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immigration - Page 778

  • Poitiers : un couple tabassé pour avoir répondu « vive la France ! » à des racailles qui criaient « vive l’Algérie ! »

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    Si d’autres grandes villes ont connu une nuit beaucoup plus chaud, Poitiers a tout de même été le théâtre d’incidents dans la nuit de dimanche à lundi. 

    Vers minuit, quartier de Saint-Eloi, deux jeunes de 19 ans sont dépassés par une voiture d’où sort un cri : « Vive l’Algérie ! ».

    Les passants ont le malheur de répondre « Non, vive la France ». Le conducteur descend, donne un coup de poing à la jeune femme qui tombe au sol. Puis des complices arrivent à pied et frappent son compagnon qui s’en tire avec des bleus sur tout le corps. Il a un arrêt de travail inférieur à 8 jours. Les agresseurs sont recherchés par la police. (…) France Bleu via FDS

    http://www.contre-info.com/poitiers-un-couple-tabasse-pour-avoir-repondu-vive-la-france-a-des-merdes-arabes-qui-criaient-vive-lalgerie

  • Obama sent le vent tourner et dénonce l’instrumentalisation de l’immigration par la « nouvelle élite internationale »

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    Parfois la réalité reprend le dessus, dans ce monde politique qui se drogue à l’utopie, de Merkel à Macron en passant par les Clinton. Barack Obama, lui, sent le vent tourner si l’on s’en tient à ses déclarations mardi en Afrique du Sud lors des 16es Rencontres annuelles « Nelson Mandela ». L’ancien président démocrate – et multiculturaliste incarné – a dénoncé cette « nouvelle élite internationale » confortablement installée à New York, Londres ou Shanghai, devenue, selon son nouveau discours, irresponsable à force d’exploiter « la force de travail à bas coût des migrants » sans se rendre compte de l’impact que ses décisions peuvent avoir sur les travailleurs d’origine. Obama se livrant à la dénonciation de l’instrumentalisation de l’immigration, quelle ironie !

    Obama a certes donné des gages à la bien-pensance occidentalophobe en affirmant que, quoique différente des aristocraties antérieures, cette « nouvelle élite internationale » et « la classe professionnelle qui la soutient » sont « encore majoritairement peuplées des mâles blancs ». Il parlait à Johannesburg devant les caciques du régime de l’ANC, lequel couvre un déchaînement de racisme anti-Blancs. « Un important pourcentage » d’entre ces personnages, a poursuivi Obama, « se qualifient d’hommes de gauche dans leurs engagements politiques » et « modernes et cosmopolites dans leur apparence, libérés de tout chauvinisme, nationalisme, préjugé racial ou fort sentiment religieux ».

    Obama sent le vent tourner et ne se limite pas à expliquer l’élection de Trump par l’intervention de Moscou

    La suite du propos semble montrer qu’Obama, homme issu de la gauche anticapitaliste et égalitariste la plus radicale, sent le vent tourner et ne s’en limite pas, comme le clan Clinton, à faire porter la cause de l’élection de Donald Trump sur les prétendues « manipulations » parties de Moscou. Parmi cette hyperclasse déterritorialisée, « certains ont pour héros Nelson Mandela ; certains ont même soutenu Barack Obama pour son élection à la présidence des Etats-Unis », a ironisé le conférencier, qui reconnaît que, « comme ancien chef d’Etat », il est désormais « membre honoraire du club ». De fait, l’ancien président mène un train de vie opulent depuis son départ de la Maison Blanche. En février 2017 il séjourna aux Iles Vierges en compagnie du milliardaire Richard Branson. Il retrouve Oprah et Bruce Springsteen sur le yacht à 590 millions de dollars du magnat de Hollywood David Geffen en avril de chaque année.

    Apparemment touché par la grâce du principe chrétien de subsidiarité, Obama a dénoncé le fait que « par leurs stratégies d’entreprises, de nombreux géants de l’industrie et de la finance sont de plus en plus détachés de tout pays, local ou national » et qu’ils « vivent de plus en plus isolés des luttes des gens ordinaires de leur pays d’origine ». Leurs décisions de fermer une usine, a-t-il nuancé, ou de profiter « d’une main d’œuvre immigrée à bas coût », sont souvent prises « sans vouloir faire le mal » et ne feraient selon lui que traduire « une réponse rationnelle aux contraintes budgétaires, à celles de leurs actionnaires ou encore de la concurrence ». Mais, objecte Barack Obama, « trop souvent, ces décisions sont prises sans aucune considération pour la solidarité humaine, ni intelligence pratique des conséquences supportées par une population donnée ».

    La nouvelle élite internationale « ne perçoit pas la rancœur du vieil ouvrier » dans sa volonté d’instrumentalisation de l’immigration

    Pour Obama, les membres de cette « nouvelle élite internationale » ne perçoivent souvent pas « depuis leurs séminaires en salles de conférence, la souffrance des travailleurs licenciés » et sont « imperméables à la rancœur d’un vieil ouvrier qui se plaint qu’un nouveau venu ne parle même pas sa langue sur le lieu de travail où il avait travaillé ». Si la globalisation et les technologies « ont ouvert de nouvelles opportunités », a complété Obama, « elles ont aussi chamboulé » les secteurs de l’agriculture et de l’industrie dans de nombreux pays, limité l’emploi de certains types de travailleurs et « brouillé les normes sociales économiques, traditionnelles et religieuses ».

    Il convient de rappeler qu’avant de devenir membre de cette « nouvelle élite internationale » et d’en adopter les mœurs et les manies, Barack Obama dut comprendre, pour se faire élire, les sentiments de nombreux habitants Américains d’origine des quartiers sud de Chicago. Il leur disait alors que lorsqu’il voyait « des drapeaux mexicains brandis dans des manifestations pro-immigration », il « ressentait parfois une vague de colère patriotique ». De même, quand il devait « utiliser un traducteur pour communiquer avec le gars en train de réparer (sa) voiture », il « éprouvait une certaine exaspération ».

    Obama, élève de Saul Alinsky et tolérant envers Louis Farrakhan, ne fit rien de sérieux contre l’immigration

    Obama, manifeste ainsi un « en même temps » macronien et parfaitement opportuniste. Il fut un admirateur des travaux du gauchiste radical Saul Alinsky et son ouvrage Rules for Radicals. Il soutint l’organisation en 1995 de la « Marche d’un million d’hommes » menée par Louis Farrakhan, le haineux gourou de Nation of Islam. Durant ses huit années de mandat, rien ne fut entrepris de sérieux contre la submersion de main d’œuvre illégale et à bas coût – à forte coloration mafieuse – en provenance d’Amérique centrale. Devenu président, Obama signa la loi « DACA » qui offrait une amnistie temporaire et des permis de travail à des immigrés clandestins appelés à l’époque les « Dreamers » (rêveurs) par la classe bobo qui ne raisonne que par l’émotion immédiate.

    Tout en continuant d’affirmer qu’aux Etats-Unis comme en Afrique du Sud les discriminations raciales « existaient toujours » – sans nommer le racisme anti-Blancs qui ravage ce dernier pays – et en gémissant d’être devenu aussi riche, Barack Obama a décrit le temps présent comme « étrange et plein d’incertitudes ». A l’évidence, les siennes sont devenues flagrantes.

    Matthieu Lenoir

    https://reinformation.tv/obama-instrumentalisation-immigration-nouvelle-elite-internationale-lenoir-86500-2/

  • En France, fêter la victoire voudrait donc dire aussi… agresser les femmes ?

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    Le Point, France Info, BFMTV, Le Parisien, Le JDD, Closermag, le Dauphiné, Madmoizelle, Madame Figaro, l’Obs… la liste des  journaux évoquant cet épineux sujet s’allonge, même si une fois de plus, ce ne sont pas eux qui ont levé le lièvre mais les réseaux sociaux : sur Twitter, pour rassembler les nombreux témoignages livrés ça et là de façon désordonnée, a été lancé le hashtag #MeTooFoot. Vous avez compris.

    Nombre de jeunes femmes qui avaient souhaité se joindre à la foule dimanche soir, dans les bars ou sur les Champs-Élysées ont vite déchanté et rebroussé chemin. Quand elles le pouvaient encore : « La coupe du monde m’a rappelé qu’en tant que femme, je reste parfois une proie », « je me débattais en pleurant », « Je le repousse, il me prend par le cou en me disant :  c’est la victoire, qu’est-ce que tu attends ? » , « Je suis mal, très mal », «j’avais envie de pleurer d’énervement ».

    Voilà. L’écriture inclusive n’y peut rien. L’éradication des cartables roses non plus. Tous les bouquins de Marlène Schiappa encore moins : le premier droit de la femme devrait être celui d’évoluer librement où elle veut, dans la rue, les bars ou les transports en commun, quand elle veut, le matin, dès potron minet ou le soir, entre chien et loup, et si cela lui chante. Mais l’égalité entre homme et femme ne peut se concevoir que si une toute petite chose, purement matérielle, qui fait défaut à cette dernière et que l’on appelle la force physique, n’est pas toute puissante dans l’espace public. Et elle le devient sitôt qu’une société, par laxisme, paralysie, inconscience, idéologie, retourne à la loi de la jungle autrement appelée… celle du plus fort.

    Mais que croyait-on, au juste ? Que des petites frappes alcoolisées et agressives, cognant les passants, défiant les forces de l’ordre, saccageant les voitures, brisant les devantures et pillant les magasins allaient s’incliner, devant les jeunes filles en fleur, comme des gentlemen déférents : « mais après vous, mademoiselle ! ».

    Prise en étau entre une population masculine autochtone biberonnée à l’école libertaire – qui a dérégulé les relations hommes-femmes pour une plus grande fluidité du commerce sexuel (au vieux sens du terme), comme l’école libérale a dérégulé les relations marchandes pour une plus grande fluidité du commerce tout court, conduisant, dans l’un et l’autre cas, à plus de brutalité et moins de protection pour le (la) plus faible -, et une population masculine allochtone dont le regard sur la femme n’est pas culturellement le nôtre – et qui jauge péremptoirement la vertu de celle-ci à l’aune de critères qui nous sont étrangers -, ne pouvant compter, pour plaider sa cause en haut lieu, que sur un bataillons de féministes sourdes et aveugles à cette enclume comme à ce marteau, la femme est parfois, disons-là, bien seulette. Et le soir de la coupe du monde, elle n’était pas à la fête. Comment s’en étonner ?

    Gabrielle Cluzel

    http://www.bvoltaire.fr/en-france-feter-la-victoire-voudrait-donc-dire-aussi-agresser-les-femmes/

  • Christine Tasin & Daniel Conversano : Vive L'Europe qui résiste à l'islamisation ! (juillet 2018)

  • Sébastien Meurant : « Il y a un lien entre immigration et délinquance »

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    Rapporteur spécial au Sénat du projet de loi Asile et immigration, Sébastien Meurant, sénateur LR du Val d’Oise, est revenu sur la politique française en matière d’immigration et d’asile.

    Que pensez-vous de la loi Asile et immigration ?

    La loi qui a été votée n’est pas du tout à la hauteur des enjeux.
    Or, ce sont des enjeux majeurs pour l’avenir de la France et de l’Europe. Nous l’avons vu récemment avec les élections successives. Ce qui s’est passé en Italie est également très intéressant. C’est un enjeu qui risque de faire éclater l’Europe.
    Avant tout, si on se place du point de vue français qui m’intéresse en premier lieu, c’est un enjeu civilisationnel. Sur un certain nombre de territoires, la France et les lois de la République ne sont plus respectées. Cet état de fait est directement lié à l’immigration.
    Le texte voté ne répondra à rien de tout cela. Pire, il élargit le regroupement familial. Cette loi favorisera l’envoi de mineurs qui seront exploités. On subventionne tout un tas d’associations dont le fonds de commerce est cette misère humaine. Nous sommes donc aujourd’hui complices du trafic d’êtres humains. C’est dramatique et tragique.
    L’État français est complice de cela. Nous savons très bien qu’en envoyant des signaux forts, comme le disait l’Italie ou comme l’avait proposé un Général italien, en une semaine les flux irréguliers en Méditerranée sont réglés.
    La France qui a une politique ambiguë est complice de cela. On ne veut pas accueillir l’Aquarius, mais on va accueillir les personnes qui sont dans l’Aquarius et qui veulent quitter l’Espagne pour venir en France. Et c’est bien normal qu’ils le veuillent puisque notre modèle social, qui prend l’eau de toutes parts, est une pompe aspirante énorme. C’est humainement compréhensible. En revanche, politiquement c’est suicidaire.
    Demain, l’Afrique doublera sa population. Que fait-on ?
    Devons-nous continuer à nous voiler la face en mettant de l’argent et des moyens qui sont évidemment insuffisants, car la misère dans le monde est grande ? Nous jouissons en France d’un modèle extrêmement généreux. Or, ce modèle-là est déficitaire et la perpétuation de ce système se fait à l’encontre des Français, car il y a un appauvrissement généralisé.
    Ce refus de voir la réalité est politiquement terrible. Je suis allé voir France terre d’asile. Cette association de 35 personnes en 1997 et aujourd’hui à plus de 900 personnes. Ce sont des fonds publics. Le rôle des parlementaires est d’aller voir comment sont utilisés les fonds publics, notamment en matière migratoire.
    La réalité est que l’immigration conduit à un appauvrissement du pays et à une augmentation de la délinquance. Évidemment, l’immigration n’est pas gratuite. Lorsqu’on supprime des classes dans certaines zones rurales, on en crée dans certaines zones périphériques. Évidemment lorsqu’aucun parent ne parle français, c’est plus difficile pour les enseignants. Il faut donc mettre des moyens, mais malheureusement, nous n’avons plus ces moyens actuellement.

    Faites-vous un lien entre immigration est délinquance ?

    Il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles et de visiter les prisons. Évidemment, on peut faire un lien entre immigration, délinquance et pauvreté. On peut également faire un lien avec les attentats terroristes islamistes. Évidemment qu’il y a un lien. Je rappelle simplement ce que monsieur Valls avait déclaré en octobre 2015. Il déclarait que nous ne faisions pas de tri entre migrants. Et peu de temps après, en novembre, il déclarait que des terroristes s’étaient glissés parmi les migrants.
    La réalité qui n’est autre que celle-ci, même si elle déplaît à certaines personnes. Croyez-vous que cela va s’améliorer si on ne change rien ?
    Cette question-là est majeure pour l’Europe, un continent vieillissant qui subit une immigration de masse. Ce qui se passe en Italie et en Allemagne est très intéressant.
    L’échec de Merkel en 2015, et de l’Europe, est d’avoir annoncé que nous allions accueillir 1 million de personnes sans demander aux pays membres. Or, une fois entrées dans l’espace Schengen, ces personnes vont où elles veulent. Et actuellement, l’Europe n’assure pas la sécurité des peuples européens. Nous avons confié à la Turquie l’essence même de ce que peut faire l’Europe, la sécurité, avec 6 milliards d’euros pour assurer la gestion des flux.
    La raison d’être de l’Etat est d’assurer la sécurité intérieure et extérieure du pays. Les deux sont liées. On voit que des personnes venant de l’extérieur peuvent perpétrer des meurtres de masse. Il suffit de revenir 20 ou 30 ans en arrière, c’était inenvisageable. On ne peut pas continuer comme cela. On ne peut pas continuer à accueillir comme cela des gens de l’extérieur qui veulent nous imposer leur façon de vivre, avec une vision de la femme incroyable et une religion qui pour certains est une religion du pré-Moyen-âge.
    Les questions de l’identité, de la religion, de la sécurité sont des questions majeures et essentielles.
    La loi immigration qui vient d’être votée ne changera rien. Elle peut apparaître avec la complicité des médias et de la gauche comme trop restrictive alors qu’en réalité, elle est plus permissive que ce qui existe. On est dans la communication et le » en même temps ». On essaie de séduire un peu la gauche et un peu la droite. Il ne faut pas prendre les Français pour des gogos.

  • La gueule des pilleurs et saccageurs fêtant la coupe du monde de foot… Vidéo-reportages amateurs

    Pillage-intermarché-paris-191x300.jpgDeux vidéos comme exemples : La première a été tournée lors du pillage d’un magasin Intermarché situé avenue de la Grande armée à Paris .  Mais bien d’autres images semblables sont rapportées par la presse ou Internet. Et dans les principales villes de France aussi.

    La seconde ci-dessous a été prise sur le vif du pillage d’un magasin de scooters  prés de l’Arc de Triomphe, « Toujours par les mêmes »indique le tweet  de Donatien Véret.

    Des Images qui semblent ne jamais prendre fin en France nouvelle, quand l’incendie s’éteint d’un côté il renaît de l’autre plus vif que la fois précédente. Entre les blaks blocks gauchistes et écologistes chers au régime qui ont semé la pagaille et les cocktails molotov à propos de Notre-Dame des Landes, les mécontents des actions de la police qui ont fait éclater plusieurs jours durant leur « juste » colère à Nantes, et les gais lurons du championnat de foot, maillot de l’équipe de France sur le dos,  un peu partout où la France fêtaient leur victoire sportive à leur façon. Tous les prétextes sont bons: colère ou liesse! La France est grande et généreuse!

    Le pouvoir d’Emmanuel Macron ne sévit que contre ceux qui disent la vérité à travers une traque des prétendues « fausses nouvelles » [fakes news], c’est-à-dire les vérités qui dérangent Jupiter. D’autant plus que le régime à travers ses caisses de résonances médiatiques comptait sur la victoire de la Coupe du monde de foot en Russie pour redorer son blason qui se ternit à vive allure selon tous les derniers sondages d’opinion.

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  • VAGUE D'AGRESSIONS SEXUELLES APRÈS LA VICTOIRE DES BLEUS

  • Halte au gouvernement des juges !, par Guy Rouvrais

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    9156-20180719.jpgNe nous y trompons pas, si tant est que certains s’illusionnent encore : ceux qui entendent lutter contre le « populisme », le souverainisme, le nationalisme, ce qu’Emmanuel Macron nomme « la lèpre », c’est le peuple qu’ils visent dans ce mauvais combat, le peuple qui pense mal, qui vote mal et qui entend s’émanciper de la dictature idéologique des prétendues élites. Que faire ? Telle est la question de cette classe politico-médiatique menacée par la montée en puissance de ceux qui secouent sa tutelle. En démocratie, pourtant, non seulement il ne devrait pas y avoir de problème mais, au contraire, on devrait se réjouir de ce que le peuple prenne la parole et être attentif à ce qu’il dit et veut. Mais non, il s’agit de contourner la volonté populaire et non pas d’en tenir compte !

    Dans cette perspective, foin des urnes ! L’ultime espoir et recours, ce sont les juges. Tous, bien sûr, ne sont pas prêts à sacrifier l’équité à l’idéologie dominante, mais il suffit de quelques-uns dans des affaires sensibles pour fausser les balances de la justice. Il y a plus d’un an, il fallait, toutes affaires cessantes, diligenter enquêtes et poursuites contre le candidat Fillon, mais depuis, l’intéressé n’a pas de nouvelles : l’élection présidentielle est passée, il n’y a plus d’urgence. Plus récemment, un magistrat chargé d’instruire sur les prétendus « emplois fictifs » du Rassemblement national a confisqué la subvention publique de deux millions, due au parti, et ce, avant même d’avoir statué dans cette affaire, mettant en péril l’existence d’un parti nécessaire au débat démocratique. Mais il n’y a pas que ceux-là qui agissent ainsi.

    Les Français, comme d’autres peuples d’Europe, sont vent debout contre la déferlante migratoire, mais le Conseil constitutionnel vient de donner le feu vert à ceux qui la favorisent en déclarant légal le « délit de solidarité » (voir Présent du 10 juillet.) Bien sûr, un tel délit n’existe pas et c’est déjà une grande victoire de la gauche – mais aussi des libéraux – d’avoir réussi à faire cautionner cette expression, recouvrant une fake news, par les médias et une partie de la classe politique. Ce qui était réellement sanctionné par la loi s’appelait l’aide à l’entrée ou au séjour irrégulier des étrangers. C’est cela qui a entraîné la condamnation, le plus souvent bénigne, de ceux qui, à Menton et ailleurs, s’en rendaient coupables.

    Ce qu’il convient de retenir, est le motif invoqué par la haute juridiction, à savoir que ces délinquants n’ont agi que par souci de cette « fraternité » qui figure dans la devise de la République. Les « Sages » ( ?) font de ce principe général un élément du droit positif, ce qui n’était pas dans l’esprit des constituants. On voit le danger, au-delà de l’aide apportée aux migrants. La fraternité peut être invoquée dans tant d’autres cas pour rendre absolutoire, un délit, voire un crime. Que répondre aux complices de Redoine Faïd qui l’ont fait évader de sa prison en hélicoptère, s’ils disent qu’ils n’ont agi que par fraternité à l’égard de leur ami qui désespérait dans sa cellule ?

    Décidément, trop, c’est trop ! Halte au gouvernement des juges !

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 18 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • SORTIE PROCHAINE DU N°49 (été 2018) DE LA REVUE "SYNTHÈSE NATIONALE"

    1691809348.jpgAU SOMMAIRE DU N°49 (été 2018) :

    P 2 : ÉDITORIAL  Roland Hélie

    P 4 :  SORTIR DE L’EUROPE ? Arnaud Menu

    P 6 : LA DÉSINFORMATION PAR LE DÉTAIL Bernard Plouvier

    P 11: AFFAIBLIR LES MÉDIAS AUX ORDRES 

    P 15 : LEXIQUE ANTI-SUBVERSIF Éric Delcroix

    P 22 :  QUE DEVIENT SERGE AYOUB ? Rencontre avec Basile Tomé

    P 28 : ENTRETIEN AVEC VINCENT VAUCLIN (DISSIDENCE FRANÇAISE)

    P 33 : LA CHRONIQUE BARBARE Philippe Randa

    P 35 : NON AUX ÉOLIENNES Aristide Leucate

    P 38 : L’AVENIR INCERTAIN DES BLANCS SUD-AFRICAINS Jean-Claude Rolinat

    P 44 : ERDOGAN VOILÀ UN ENNEMI Jean-François Touzé

    P 48 : IL Y A 30 ANS : DÉCÈS DE ROMUALDI ET D’ALMIRANTE Massimo Magliaro

    P 52 : UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE Charles-Henri d’Elloy

    P 58 : UN GRAND ENTRETIEN AVEC JEAN-PIERRE COUSTEAU Clothaire de La Rue

    P 72 : LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta

    P 75 : LES EXPOS VISITÉES PAR Scipion de Salm

    P 80 : REÇUS, LUS ET APPRÉCIÉS 

    P 82 : LES PAGES LITTÉRAIRES Georges Feltin-Tracol, Daniel Cologne

    P 93 : LA VIE DE SYNTHÈSE NATIONALE Activités de l’association

    106 PAGES : 12 € (+ 4 € de port)

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  • Agressions sexuelles le soir de la victoire de la Coupe du Monde : que fait Marlène Schiappa ?

    6a00d83451619c69e2022ad35be66b200c-250wi.jpgGabrielle Cluzel se désole suite aux nombreuses femmes agressées sexuellement dans les rues le soir de la victoire de la coupe du monde de  football, rappelant les viols du 31 décembre à Cologne :

    "[...] L’écriture inclusive n’y peut rien. L’éradication des cartables roses non plus. Tous les bouquins de Marlène Schiappa encore moins : le premier droit de la femme devrait être celui d’évoluer librement où elle veut, dans la rue, les bars ou les transports en commun, quand elle veut, le matin, dès potron minet ou le soir, entre chien et loup, et si cela lui chante. Mais l’égalité entre homme et femme ne peut se concevoir que si une toute petite chose, purement matérielle, qui fait défaut à cette dernière et que l’on appelle la force physique, n’est pas toute puissante dans l’espace public. Et elle le devient sitôt qu’une société, par laxisme, paralysie, inconscience, idéologie, retourne à la loi de la jungle autrement appelée… celle du plus fort.

    Mais que croyait-on, au juste ? Que des petites frappes alcoolisées et agressives, cognant les passants, défiant les forces de l’ordre, saccageant les voitures, brisant les devantures et pillant les magasins allaient s’incliner, devant les jeunes filles en fleur, comme des gentlemen déférents : « mais après vous, mademoiselle ! ».

    Prise en étau entre une population masculine autochtone biberonnée à l’école libertaire – qui a dérégulé les relations hommes-femmes pour une plus grande fluidité du commerce sexuel (au vieux sens du terme), comme l’école libérale a dérégulé les relations marchandes pour une plus grande fluidité du commerce tout court, conduisant, dans l’un et l’autre cas, à plus de brutalité et moins de protection pour le (la) plus faible -, et une population masculine allochtone dont le regard sur la femme n’est pas culturellement le nôtre – et qui jauge péremptoirement la vertu de celle-ci à l’aune de critères qui nous sont étrangers -, ne pouvant compter, pour plaider sa cause en haut lieu, que sur un bataillons de féministes sourdes et aveugles à cette enclume comme à ce marteau, la femme est parfois, disons-là, bien seulette. Et le soir de la coupe du monde, elle n’était pas à la fête. Comment s’en étonner ?"

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