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immigration - Page 825

  • La trahison : la preuve par Trèbes

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°196 – avril 2018)

    En suscitant et en organisant l’invasion migratoire de l’Europe, la classe dirigeante nous trahit de façon délibérée. Aux naïfs qui n’en auraient pas encore pris conscience, l’attentat de Trèbes fournit à lui seul une triple démonstration.

    • Faire venir des Radouane Lakdim par millions

    Le terroriste né au Maroc a pu entrer et s’installer en France alors qu’il était enfant, en bénéficiant du droit au regroupement familial. Chaque année plus de 90 000 immigrés s’installent légalement en France pour « motif familial » (voir cette chronique).

    Le droit au regroupement familial a été instauré dans le but d’alimenter l’immigration de masse. Rappelons que celle-ci a pour la classe dirigeante un double intérêt : casser les salaires et dégrader les conditions d’emploi d’une part ; augmenter le nombre des consommateurs d’autre part. L’arrivée massive des femmes grâce au regroupement familial à partir du milieu des années soixante-dix a ainsi permis aux employeurs de maintenir des salaires faibles dans les secteurs où elles sont venues occuper les emplois (nettoyage, maisons de retraite…).

    Les bien-pensants considèrent ce droit au regroupement familial comme une nécessité morale. Signalons leur, premièrement, que ce droit a été posé par la classe dirigeante en 1975 sans que le peuple de souche ait jamais été consulté. Indiquons, deuxièmement, qu’aucun principe supérieur ne nous oblige à accueillir les immigrés séparés de leur famille : si les immigrés veulent se regrouper, il leur est loisible de le faire en rejoignant leur famille restée au pays.

    Si les Français veulent mettre fin à l’invasion, il leur faudra mener vis-à-vis des familles originaires de l’immigration une politique en trois volets. Arrêter, premièrement, toute immigration nouvelle, en supprimant notamment le regroupement familial. Réserver, deuxièmement, les allocations et prestations sociales à la population de souche européenne afin d’inciter les immigrés et leur famille à retourner dans leur pays. Accorder, troisièmement, une aide financière incitative aux familles immigrées qui font le choix de remigrer. 

    • Donner la nationalité française à tous les Radouane, les Boubakar et les Fatoumata

    Lakdim a bénéficié de la nationalité française. On la lui a donnée lorsqu’il avait quatorze ans. Rappelons que, comme lui, les personnes originaires de l’immigration obtiennent la nationalité française par centaines de milliers chaque année (soit à la naissance, soit par naturalisation ; voir cette chronique).

    Cette politique d’attribution massive de la nationalité a un double fondement. Le premier est idéologique : la distribution de la nationalité est le reflet de la conception républicaine de la nation, constituée de citoyens censés adhérer aux mêmes « valeurs », indépendamment de leurs origines (voir cette chronique). La seconde motivation de la politique d’attribution massive de la nationalité est d’ordre tactique : en les transformant en Français, les immigrationnistes veulent rendre la présence des immigrés irréversible.

    Si les Français veulent vivre et mettre fin à l’invasion, il leur faudra procéder à une opération générale de réexamen et de réattribution de la nationalité. La nationalité française ne serait réattribuée automatiquement qu’aux personnes dont les ancêtres sont Français ou Européens depuis plus de trois générations. Les immigrés non européens ne se verraient redonner la nationalité française que de façon exceptionnelle, pour services éminents rendus à la nation. 

    • Ne jamais expulser les Radouane, les Abdelkrim et autres Djibril, même quand ils sont délinquants, même quand ils sont islamistes

    Lakdim était un délinquant, bien identifié comme tel, condamné plusieurs fois et incarcéré en 2016. Il était en outre un islamiste, bien identifié également, fiché et paraît-il surveillé. En dépit de cette double caractéristique déplorable, les autorités françaises ne l’ont ni expulsé ni déchu de sa nationalité.

    Il en est de même pour les centaines de milliers d’immigrés condamnés chaque année pour délinquance et pour les dizaines de milliers identifiés comme islamistes : alors qu’ils violent on ne peut plus gravement les lois les plus élémentaires de l’hospitalité, ces délinquants et ces islamistes originaires de l’immigration sont pourtant maintenus sur le territoire et conservent la nationalité française (le ministre Collomb a indiqué que seuls 20 islamistes avaient été expulsés en 2017 !).

    Si les Français veulent vivre, mettre fin à l’invasion et redevenir maîtres chez eux, il leur faudra pendre trois mesures convergentes. Expulser les délinquants et les islamistes fichés, dès lors qu’ils sont étrangers ou naturalisés. Les placer tous en rétention avant leur expulsion. Déchoir les naturalisés de leur nationalité (en attendant l’opération de réattribution générale de nationalité évoquée plus avant).

    **

    Ce n’est pas le nombre des immigrés présents en France, tout considérable et croissant qu’il soit, qui empêcherait les Français de procéder à une remigration massive s’ils en décidaient ainsi. Les Français de souche européenne, en effet, sont maîtres encore de tous les leviers : les rouages de l’Etat, l’armée, la police, les lieux de pouvoir économique…

    Le drame de la France et de l’Europe est sa classe dirigeante : mondialiste et immigrationniste, elle trahit depuis près de soixante ans les intérêts vitaux des peuples français et européens. Au nom de l’édification d’un monde sans frontières, elle veut la disparition des sociétés et des nations européennes et la dilution des Européens dans une population renouvelée par l’immigration. C’est par l’éviction de cette classe dirigeante en situation de haute trahison que passe notre survie.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • Invasion migratoire : Eric Zemmour étrille le sociologue immigrationniste Laacher

    Du grand, très grand, du magistral Zemmour, qui s’exprime dans une tribune intitulée « Droit d’asile pour tous », publiée le 4 avril dans le Figaro, prenant appui et dénonçant le livre de Smaïn Laacher « Croire à l’incroyable » . Là où ce sociologue à la Cour nationale de l’asile « ne connaît que des individus étrangers menacés qu’il faut protéger » sans empathie aucune pour le sort du peuple français, Eric Zemmour constate et affirme que « ce ne sont pas des individus qui demandent l’asile mais des peuples entiers ». Et de citer les chiffres, d’affirmer l’absence de volonté de s’intégrer de ces immigrés, avant de conclure par le rappel du funeste destin des Aztèques.

     1951, convention de Genève. 300 demandes d’asile reçues par la France « soit par des Sud- américains fuyant les dictatures militaires soit par des Européens échappant à la tyrannie communiste ». Pratiquement toutes acceptées. Des personnes de « race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-romaine », dit Zemmour en parodiant De Gaulle.

     Fin des années 70 : 20.000 demandes d’asile.

    Années 90 : 60.000.

    2016 : 100.000. 

    2017 : 17 % de plus.

    Demandes d’asile, qui depuis belle lurette n’émanent plus de gens issus de la même trame religieuse et culturelle mais d’Afrique et du Moyen-Orient. En outre, « aux familles d’autrefois a succédé un flot dominant d’hommes seuls pour la plupart musulmans ». Et ce n’est pas Alice Gautreau, sage-femme à bord de l’Aquarius (le bateau sauveur de migrants) qui, normalement, devrait le contredire. Une jeune camerounaise « a accouché toute seule au milieu d’une centaine d’hommes », à bord de leur canot. Ce n’est pas non plus le coordinateur national des réfugiés qui soutiendra le contraire : « Ce sont surtout des hommes seuls qui sont accueillis en France » (20 minutes2016)

    Rappelons qu’à ces demandes d’asile plus « exigées » que demandées, écrit E. Zemmour, dans ce même laps de temps, s’est greffée l’immigration légale grâce à la délivrance de titres de séjour, d’environ 168.000 par an sous Jospin à 262.000, en 2017.

    Alors Zemmour risquerait peut-être bien d’être poursuivi, comme Nicolas Dupont Aignan, pour qualifier cette immigration non stop, qui depuis quarante ans, a fait des petits qui eux-mêmes ont fait des petits, « d’invasion des peuples du sud vers le nord qui utilise tous les canaux possibles ». Des traversées, ajoutons-le, aux multiples et exorbitants tarifs qui font le bonheur des passeurs et autres charmants intermédiaires : 500 euros, 3.300, 6.700, 9.000 jusqu’à 40.000 euros pour les femmes nigériennes obligées de se prostituer pour rembourser leur dette ! 

    Une invasion, en effet, parmi laquelle de gens forts malhonnêtes se déclarent majeurs alors qu’ils sont mineurs (une arnaque qui vient de coûter 900.000 euros aux contribuables de Montpellier). Une invasion parmi laquelle se sont déjà glissés des terroristes passés à l’attaque sur notre sol. Un invasion de « demandeurs d’asile » à propos desquels, cite Zemmour, Samaïn Laacher reconnaît lui-même qu’ils « ne sont pas arrivés dans leur nouveau pays mais dans un nouveau pays  ». Dans lequel ils n’entendent (et l’Etat ne le leur demande plus) aucunement renoncer à leurs us et coutumes, leur mœurs, leur religion prosélyte, « renforçant la puissance de leur communauté au sein d’une société multiculturelle qui n’a plus de France que le nom ».

    Des chiffres, un mal vivre-ensemble de plus en plus difficile à nier pour ne pas dire criant de vérité, on a du mal à comprendre qu’encore de trop nombreux Français, même sous emprise idéologique – il y a bien un moment où le rideau se déchire !  – , ne parviennent toujours pas à admettre. Même quand on met des exemples concrets en perspective.

    Vous conviez à votre table un ou deux ou trois quatre couples d’amis, ou vous organisez une grande fête avec, en plus, des relations simplement amicales. Tout se passe bien.

    Invitez les amis de vos amis que vous ne connaissez pas ou organisez un repas avec vos amis hollandais, par exemple, avec lesquels vous conversez habituellement en anglais. Dans l’un et l’autre cas, passés les premiers moments où chacun fait l’effort de s’adresser à l’autre, à l’inconnu ou à celui qui ne parle pas la même langue, on constate que chacun finit inévitablement par s’adresser exclusivement à ceux qu’il connaît le mieux, ou à ceux qui partagent la même langue. Avec pour conséquence d’isoler les maîtres des lieux… qui finissent par se sentir ignorés voire indésirables ou étrangers chez eux !

     Et il en serait différemment à l’échelle d’un pays submergé d’individus, qui iront jusqu’à constituer des peuples dans le peuple vis-vis desquels les directives européenne et onusienne préfèrent l’inclusion à l’intégration (ne parlons même plus d’assimilation, pourtant un modèle qui a fait des merveilles) , donc de renoncer à une grande partie de leur identité mais qui, à l’inverse, encourage à la garder ?

     Alors, Zemmour a raison d’être en colère. Parce que « le reste du monde se garde bien d’adopter notre régime du droit d’asile » brandi comme « la grandeur des valeurs occidentales ». « C’est en vérité, une plaie béante ».

    Les Aztèques avaient leur croyance en « un sauveur venu par la mer sur une mouture céleste », cite E. Zemmour. Le résultat ? Les Conquistadors n’en ont fait qu’une bouchée ! Et ils sont devenus les maîtres des lieux. Les Européens ont la leur : les droits de l’homme. Le résultat ? Des droits de l’homme poussés à leur paroxysme, qui leur a ôté leurs défenses immunitaires, leur instinct de survie. Les Européens béats ou lâches ou indifférents ne voient rien venir. Pire : ils se disent que cela n’arrivera pas avant longtemps, qu’ils sont de toute façon à l’abri, laissant ainsi sans état d’âme à leurs descendants le chaos qu’ils auront contribué à créer.

    « Notre droit d’asile, et plus généralement notre religion des droits de l’homme, c’est notre légende des Aztèques », conclut Zemmour. C’est vraiment ce qu’ils souhaitent, les Français tout contents d’appartenir à l’autoproclamé Camp du Bien ? On peut encore espérer que non…

    Caroline Artus 

    http://www.fdesouche.com/982693-eric-zemmour-il-ny-a-ni-droit-dasile-ni-migrant-economique-il-ny-a-quune-invasion-des-peuples-du-sud-vers-le-nord-qui-utilise-tous-les-canaux-possibles

    https://ripostelaique.com/invasion-migratoire-zemmour-etrille-le-sociologue-immigrationniste-laacher.html

  • « Invasion migratoire » : l’expression demeure interdite par le système

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Sur signalement de la Licra, le parquet de Paris a requis mercredi 5.000 euros d’amende avec sursis contre Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France, jugé pour provocation à la haine ou à la discrimination, pour avoir, dans un tweet de janvier 2017, évoqué une « invasion migratoire ».

    Le procureur a dénoncé « une thèse complotiste et raciste née dans les tréfonds de l’extrême droite française au début de la décennie précédente, la thèse du “grand remplacement” de Renaud Camus ».

    Partie civile, la Licra a notamment demandé 5.000 euros de dommages et intérêts. Délibéré le 6 juin.

  • LE SALAFISME EST UNE IDÉE, LA CRITIQUE DE L’IMMIGRATION UN CRIME ?

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    Mars dernier, le Premier ministre intervenait à l’Assemblée pour répondre aux questions des parlementaires sur les assassinats islamistes qui venaient d’être perpétrés dans l’Aude. Édouard Philippe répondit à ceux qui voulaient interdire l’islam radical, le salafisme. Il le fit avec componction, en s’appuyant, plein de dignité, sur la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, dont il cita l’article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. » Et en tira la conclusion suivante : « On ne peut interdire une idée mais sanctionner les comportements qu’elle entraîne s’ils sont contraires aux lois de la République. »

    Le chef du gouvernement se trompait ici par les deux bouts. D’abord, si une idée peut être interdite lorsqu’elle menace les lois de la République, alors le salafisme peut et doit être interdit, puisque le salafisme s’appuie sur le texte fondamental de l’islam, le Coran, et sur les pratiques initiales du prophète et de ses compagnons, relevés dans les hadiths. Il exige l’application des préceptes et l’imitation des modèles qui y figurent. Il est alors facile de montrer que le meurtre des mécréants, des chrétiens et des juifs, bref, de tous ceux qui résistent à la conversion et à la soumission, y est encouragé. L’infériorité de la femme, l’esclavage, la prise de butin, l’humiliation des vaincus, voire l’extermination des hommes et le partage de leurs femmes et de leurs enfants, sont manifestement tenus pour choses normales. Bref, il y a une totale incompatibilité entre ces idées et les lois de la République. Alors, le grand légiste de Matignon dira qu’il s’agit d’idées et non de comportements, frappé d’une curieuse amnésie qui lui fait oublier les horreurs commises par les djihadistes.

    Mais ce qui rend ce discours grotesque ou odieux, c’est l’extraordinaire aveuglement qui conduit Édouard Philippe à prétendre, à propos du salafisme, qu’on ne peut punir une idée mais seulement des comportements, alors que l’évolution de plus en plus pernicieuse de la loi sur la liberté de la presse, non seulement permet de sanctionner les idées et ceux qui les émettent, mais autorise des associations à jouer le rôle de chiens de garde du système répressif de l’opinion qui a, ainsi, été instauré. C’est ainsi que Nicolas Dupont-Aignan s’est retrouvé, après beaucoup d’autres, devant les juges pour avoir osé parler « d’invasion migratoire ». Il risque une amende de 5.000 euros, avec sursis.

    Il faut dénoncer vigoureusement cette aberration française qui, en l’occurrence, additionne cinq scandales. Premier scandale : il s’agit d’une opinion sur un fait objectif. Qu’un citoyen y soit opposé fait partie de la libre expression des idées dans une démocratie authentique. Deuxième scandale : le droit pénal doit être précis et ne pas laisser place à des interprétations tendancieuses. L’appel à la haine et à la discrimination est une formule déjà trop large, mais les magistrats se permettent de l’interpréter pour poursuivre des intentions cachées. Dire qu’il y a trop d’immigrés n’appelle nullement à la haine ni à la discrimination. C’est un constat. Troisième scandale : le terme « invasion » est une figure de style, ce que la caricature est au dessin. L’absurdité dans laquelle nous sommes tombés va nous conduire à défendre le dessinateur qui n’a pas de légitimité particulière, mais à condamner le représentant du peuple lorsqu’il force un peu le trait d’un discours : c’est le monde à l’envers. Quatrième scandale : Nicolas Dupont-Aignan est député. Le pouvoir actuel tente déjà de jouer de la démagogie antiparlementaire, mais en permettant à un fonctionnaire de justice de faire la leçon à un député sur ce qu’il doit dire, il ébranle un pilier essentiel de la démocratie. Cinquième scandale, enfin : les propos du parquet ne sont pas de nature juridique, mais politique. C’est ainsi que le procureur ose stigmatiser la critique parfaitement légitime d’un opposant politique envers la politique migratoire des socialistes. Il la dénonce, comme « reprenant tranquillement à son compte une théorie complotiste et raciste née dans le tréfonds de l’extrême droite » et considère qu’on doit la sanctionner pour « ne pas ouvrir les vannes à la parole raciste décomplexée ». C’est un condensé d’idéologie : les amalgames sémantiques, les termes volontairement péjoratifs, la discrimination politique. Tout y est.

    Ce n’est pas du droit mais de la politique. En quoi est-ce un complot de voir la montée de l’immigration ? Est-il question de race ? De quel droit interdire aux idées d’extrême droite de s’exprimer ? La Justice a-t-elle le souci de protéger les Français ?

    http://www.bvoltaire.fr/salafisme-idee-critique-de-limmigration-crime/

  • 30 000 migrants supplémentaires en deux ans : ce que va nous coûter la décision de Hollande

    405 millions d’euros : c’est la facture des engagements de François Hollande (30 000 migrants supplémentaires en deux ans). En septembre 2015, Michel Sapin, ministre des Finances, annonçait un coût de « quelques millions d’euros ». 
    Article extrait de la 34e étude de Contribuables Associés « Les migrations méditerranéennes en 2015. Chiffre et coûts, réalités du présent et scénarios du futur ». Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’ Afrique et les migrations, y dresse un panorama complet des flux migratoires en 2015 en Europe. Vous pouvez vous procurez cette étude sur notre boutique en ligne. migrations méditerranéennes 2015 
    Le 8 septembre 2015, le ministre des Finances, Michel Sapin, annonce aux Français que l’accueil de 24 000 migrants supplémentaires en deux ans ne coûterait à la France, c’est-à-dire aux contribuables, que « quelques millions d’euros ». Ceux-ci concerneraient les frais de transport, de renforcement de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et les dépenses pour les collectivités locales qui prennent en charge le logement des migrants et le financement du RSA.
    Cette déclaration qui ne mentionne que les migrants « supplémentaires » fait l’impasse sur ce que coûte actuellement au pays l’immigration régulière et irrégulière. De plus, elle minimise le nombre de ceux que la France risque de devoir accueillir en 2016 et leur coût. Michel Sapin a été immédiatement contredit par son Premier ministre, Manuel Valls, qui a avancé le chiffre de 600 millions d’euros. Ce qui est encore en dessous de la réalité.
    Entre temps, lors du sommet européen du 23 septembre 2015, il avait été demandé à la France de porter sa capacité d’accueil jusqu’à 30 000 réfugiés dans le cadre d’un « plan de relocalisation des migrants ». La France avait fini par accepter et a confirmé ce choix en ce début d’année 2016.
    La France respectera « l’ensemble de ses engagements », a martelé le chef de l’État, le 4 mars dernier, bien que ce plan soit un échec total. Fin février 2016, 642 personnes avaient été « relocalisées » sur les 160 000 prévues, alors que le Portugal se désespère de ne voir arriver que quelques dizaines de migrants. coût des migrants
    Approche globale 
    Sur cette base, en considérant que chaque demandeur d’asile arrivant sur le territoire français est en situation irrégulière jusqu’à ce qu’il soit régularisé, on pourrait établir ce que ces 15 000 migrants supplémentaires irréguliers par an, par rapport au stock de 550 000 migrants irréguliers en Métropole (l’Outre-Mer étant exclu pour les migrants transitant par la Méditerranée) coûteraient à l’État.
    Le déficit de l’immigration irrégulière était estimé à 3,29 milliards d’euros par an. 
    Les comptes de 2015 ne peuvent être exactement calés sur ceux précédemment évoqués. En effet, ces nouveaux migrants ne paient pas de taxes de visa à la différence de ceux, qui étant entrés avec un visa de séjour régulier et l’ayant prolongé au-delà, sont devenus des migrants irréguliers. De plus, comme ils ne travaillent pas (en principe), ils ne cotisent pas aux prélèvements sociaux et les entreprises ne sont pas non plus redevables d’amendes pour les avoir embauchés illégalement. Le manque à gagner pour l’État, qui avait été estimé antérieurement à 97 millions d’euros, devrait avoisiner les 100 millions. Le déficit pour cette immigration irrégulière passerait de 3,29 à 3, 39 milliards, ce qui nous donne pour 15 000 migrants supplémentaires par rapport à 550 000 migrants irréguliers un déficit de : 3,29 milliards x 12.000 soit 71,78 millions d’euros, 6 164 euros par migrant irrégulier. 550.000
    À ce chiffre, il faut ajouter les investissements consentis par l’État pour l’ensemble des migrants présents sur le territoire (dépenses d’éducation, de politique de la ville, d’aide aux associations…) dont la rentabilité à moyen terme ne peut être actuellement mesurée. Ils représentent un montant total annuel de 6,9 milliards d’euros et concernent aussi bien les migrants en situation régulière que ceux en situation irrégulière, c’est-à-dire pour la Métropole (les départements et régions d’outre-mer et les collectivités d’outre-mer étant exclus) 9,755 million de personnes. Soit 708 euros par migrant.
    Sur cette double base le coût unitaire annuel d’un migrant irrégulier s‘établit à 6 164 + 708, soit 6 872 euros. 
    Cette approche est une base minimum. Elle mélange en effet les flux et les stocks. Or ceux qui arrivent, en raison des coûts d’accueil, de procédure, de formation, coûtent en général plus cher que ceux qui sont déjà là, pour lesquels les investissements peuvent être étalés sur une période plus longue, et dont les coûts d’hébergement diminuent au fur et à mesure qu’ils trouvent du travail et rapportent à l’État en cotisations, en amendes payées par les entreprises fautives et en augmentation du PIB de la nation.
    Si un migrant irrégulier voit sa procédure durer 18 mois comme c’est actuellement la moyenne, son coût unitaire sera de 6 872 x 1,5 = 10.387 euros.
    Sur la base de 15.000 arrivants supplémentaires par an, le coût ajouté est de 10.308 x 15.000 = 154,62 millions d’euros. Et celui de 30.000 sur deux ans de 309,24 millions d’euros, loin des « quelques millions d’euros » annoncés par le ministre des Finances.
    Mais ce chiffre ne tient pas compte du temps d’instruction d’une demande d’asile ni du fait que selon la Cour des comptes, 96% des déboutés resteraient en France.
    Approche différenciée 
    On peut, pour une estimation plus fine, partir des coûts calculés dans les autres pays. Ainsi l’Allemagne, qui avait prévu d’accueillir 800.000 migrants, avait réservé une enveloppe de 10 milliards d’euros, soit un coût unitaire de 12.500 euros (supérieur à notre estimation annuelle), mais ses procédures plus rapides permettent de régler une situation sur 12 mois. La Cour des comptes a, quant à elle, fixé l’étiage à 13.724 euros pour un demandeur d’asile et à 5528 euros pour un débouté, sous réserve qu’il ne reste pas en France après la décision.
    Un coût de 13.724 euros pour un demandeur d’asile et de 5528 euros pour un débouté selon la Cour des Comptes 
    En fait, le coût d’un migrant irrégulier en France se distribue, comme nous l’avons montré, selon trois paramètres.
    Les paramètres spécifiques concernent uniquement les migrants irréguliers : ce sont les dépenses de santé en particulier l’aide médicale d’État (AME), les coûts de l’hébergement dans les centres de rétention pendant toute la durée de la procédure, les coûts de la reconduite aux frontières quand elle est effective, les coûts juridiques des demandes d’asile, auxquels il faut ajouter les appels devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) et l’aide juridictionnelle qui peut être accordée, les coûts de la lutte menée à l’intérieur et à l’extérieur du territoire contre les migrations irrégulières, les coûts de la scolarisation de migrants irréguliers.
    Les coûts partagés sont ceux que l’État supporte pour l’ensemble des migrants, qu’ils soient en situation régulière ou irrégulière. Ils concernent la totalité de la demande d’asile y compris la construction de nouveaux centres, les pertes de cotisations sociales dues au travail illégal ou dissimulé, les subventions aux associations d’aide et de défense des migrants, les investissements consentis pour leur formation, leur logement et l’amélioration du cadre de vie.
    Les coûts proportionnels sont ceux que les migrants supportent à due proportion de leur importance dans la communauté nationale : coûts sécuritaires, sociaux, fiscaux, sociétaux.
    Le coût de l’aide médicale d’État 
    Parmi ces coûts, certains sont relativement faciles à approcher. Ainsi l’aide médicale d’État qui regroupe l’AME de droit commun, les soins urgents pour les non-bénéficiaires en situation d’urgence, et l’AME humanitaire, avait été programmée dans le budget 2013 pour 588 millions. Le ministre de la Santé, Marisol Touraine, a reconnu que les dépenses constatées étaient de 744 millions d’euros. Le budget a été augmenté de 17 millions en 2014 et de 73 millions pour les crédits 2015, mais le député Les Républicains Claude Goasguen avance pour sa part un chiffrage d’un milliard d’euros- pour près de 300.000 bénéficiaires. Les prévisions de l’État sont donc inférieures aux dépenses réelles. En moyenne, plus d’un migrant irrégulier sur deux y a recours annuellement et en « consomme » au minimum pour 2.600 euros. 
    Cette aide étant attribuée à tout immigré en situation irrégulière voulant se soigner à condition qu’il réside de façon ininterrompue depuis plus de trois mois en France, et que ses ressources soient en dessous d’un plafond calculé selon le nombre de personnes au foyer et de 720 euros par mois par personne en Métropole, on peut conjecturer qu’à court terme la moitié des 30 000 migrants supplémentaires en bénéficieraient, soit une dépense approximative de 19,5 millions d’euros pour 7 500 migrants la première année et de 39 millions pour la seconde année.
    De la même façon, l’ensemble des coûts relatifs aux déboutés (interpellations + zones d’attente + rétention + surcoût judiciaire + renvois + quote-part des dépenses d’investissements + dépenses de fonctionnement) avait été évalué dans notre monographie « Ce que nous coûte l’immigration irrégulière » (parue chez Contribuables Associés en 2011) à 787,8 millions d’euros pour environ 29.874 reconduites et départs volontaires réels, ce qui correspondait à un coût unitaire de 26.370 euros. À l’époque, un peu plus d’une reconduite sur cinq était effectuée. Les évaluations de l’OFPRA pour 2015 faisant état de 31,5% de statuts obtenus, cela signifierait que 4.725 seraient acceptés et 10.275 déboutés. Si l’on adopte la position de la Cour des comptes, (4% de reconduites effectives) cela veut dire qu’en définitive que 429 seraient reconduits en définitive, et que 14.571 resteraient. 
    Un débouté réel ayant selon elle un coût global de 5.528 euros et un demandeur d’asile de 13.724, le coût de ces 15.000 migrants supplémentaires annuels reviendrait à 2,37 million (5.528 euros x 429) + 199,97 millions (13.724 euros x 14.571), soit un total de 162 millions d’euros par an. Et pour 30.000 migrants sur deux ans de 405 millions d’euros
    Ceci n’est qu’un ordre de grandeur du coût ajouté que représenterait l’engagement de la France d’accueillir 30.000 migrants supplémentaires en deux ans.

  • Etats-Unis : Donald Trump veut déployer “entre 2 000 et 4 000 militaires” à la frontière mexicaine

    Donald Trump avait annoncé, mardi, qu’il souhaitait déployer l’armée le long de la frontière sud des Etats-Unis.

    Après les mots, les chiffres. Pour la première fois, jeudi 5 avril, le président américain Donald Trump a quantifié le déploiement qu’il souhaite à la frontière avec le Mexique pour endiguer l’immigration clandestine : “Entre 2 000 et 4 000 militaires.” Dès mercredi, il a ordonné l’envoi de la Garde nationale, mais sans fournir de précisions.

    A bord de l’avion présidentiel Air Force One, il a expliqué jeudi qu’il“garderait probablement” ces milliers de militaires sur place, “ou au moins une grande partie”, jusqu’à ce que le mur qu’il a promis pendant sa campagne présidentielle de 2016 soit construit.

    “Manque de respect” pour le président mexicain

    Le financement du mur, dont le coût est évalué à 18 milliards de dollars, a déjà donné lieu à un bras de fer entre républicains et démocrates lors de l’examen au Congrès du budget fédéral. Seulement un peu moins d’un dixième du coût a été accordé. En envoyant la Garde nationale, le président républicain souhaite contenir l’immigration clandestine mais aussi accroître la pression sur le Mexique pour qu’il s’implique davantage en la matière.

    La relation entre les deux voisins “est intense et dynamique et présente naturellement des défis”, estime le président mexicain, Enrique Peña Nieto, dans un communiqué. “Mais ces défis ne peuvent en aucun cas justifier des attitudes menaçantes ou un manque de respect entre nos deux pays”.

    Enrique Peña Nieto, qui a déjà annulé deux déplacements à Washington, lance ensuite une pique à Donald Trump : “Si vos récentes déclarations puisent leur origine dans une certaine frustration liée aux affaires de politique intérieure, de vos lois ou de votre Congrès, adressez-vous à eux, et non aux Mexicains.”

    Source francetvinfo

    https://www.patriote.info/actualite/trump/trump-ordonne-lenvoi-de-la-garde-nationale-la-frontiere-avec-le-mexique/

  • Invasion migratoire et procès politique contre Dupont-Aignan, par Pierre Malpouge

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    Dans leur démocratie, il y a des mots qu’on peut (encore) penser mais à ne pas dire et encore moins écrire : le 17 janvier 2017, en pleine campagne présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, a eu le malheur de commenter par un tweet les statistiques démographiques publiées par l’INSEE. Ces chiffres indiquaient une hausse des entrées d’immigrés légaux sur le territoire français ainsi qu’une baisse de la natalité. Dans son tweet, le président de Debout la France dénonçait avec ironie l’action du gouvernement socialiste qui avait choisi de mener une politique laxiste plus favorable à l’immigration alors qu’il affaiblissait dans le même temps la politique familiale. Mais voilà…

    Une vérité et une liberté de parole qui dérangent

    En reprenant avec ironie le slogan de campagne de François Hollande – « Le changement de population, c’est maintenant ! » –, Nicolas Dupont-Aignan a fait grincer quelques dents. Notamment celles de l’association politisée de la LICRA qui s’est portée partie civile. Selon la LICRA, ce tweet – qui « ne contient aucun appel à la haine ni aucune opinion hostile à une communauté », comme l’ont précisé les avocats de Nicolas Dupont-Aignan – justifiait qu’un élu de la nation, ancien candidat à la présidentielle, soit convoqué par la justice. Ce qui n’a pas raté.

    Donnant raison à la LICRA, le parquet (sur ordre ?) avait alors engagé des poursuites à l’encontre de Nicolas Dupont-Aignan qui, pour avoir évoqué une « invasion migratoire », était accusé de provocation à la haine et/ou à la discrimination.

    Mercredi dernier 4 avril, s’est tenue devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris l’audience à laquelle l’accusé, ne voulant pas donner de crédit à ce procès politique ridicule, ne s’est pas rendu. C’est donc devant les défenseurs du président de Debout la France que s’est ouverte l’audience. Et là, les avocats de Dupont-Aignan sont tombés des nues.

    Devant eux, le procureur de la République s’est livré à un réquisitoire digne de l’Inquisition en tenant des propos politiciens ahurissants : « On a un responsable politique de premier plan, candidat déclaré à l’élection présidentielle, qui reprend publiquement et à son compte une théorie complotiste – celle du “grand remplacement” – et raciste née dans les tréfonds de l’extrême droite française au début de la décennie précédente […]. Ne pas le condamner serait considérer qu’on peut ouvrir les vannes de la parole raciste décomplexée, en pointant du doigt tous ceux qui n’appartiennent pas à la communauté nationale », a lancé, le visage déformé par la haine, le procureur. Lequel procureur a requis 5 000 euros d’amende avec sursis en précisant, sans rire, qu’il s’agit là du « premier et, j’espère, dernier avertissement ».

    De leur côté, les avocats de Dupont-Aignan, ont plaidé la relaxe de leur client. Dans un communiqué, le bureau national de Debout la France estime que « depuis la fin de l’ORTF, jamais aucun gouvernement n’avait autant voulu contrôler l’information. La diversité des opinions politiques, déjà maltraitée par des règles d’accès aux médias injustes et mal appliquées, est plus que menacée en France ». A noter que Marine Le Pen a apporté son soutien à Nicolas Dupont-Aignan en précisant qu’« il est inadmissible que le parquet, c’est-à-dire le pouvoir, s’en prenne à la liberté d’expression d’un représentant du peuple ». Délibéré le 6 juin.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 6 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Le parti Islam qui prône la Charia se présente dans 14 communes bruxelloises

     

    6a00d83451619c69e201b8d2e8b92c970c-250wi.jpgPetit à petit, l'islam avance ses pions :

    "Le parti Islam (Intégrité, Solidarité, Liberté, Authenticité, Moralité), qui avait créé la surprise en 2012 en obtenant deux conseillers communaux à Bruxelles, se présentera dans 14 des 19 communes de la capitale en octobre 2018. À désormais six mois des élections communales, le parti Islam a dévoilé quelques pans de son programme aux journaux du groupe Mediahuis. Outre l’établissement d’un État islamique en Belgique ainsi que l’instauration de la charia, la formation politique islamiste propose également de séparer les hommes et les femmes dans les transports publics."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Islamisme radical : flagrant délit de désinformation pour le Monde !

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    Comme l’a noté le site Fdesouche, Le Monde a changé le titre d’un de ses articles en ligne. Ainsi, le titre : « L’inquiétante radicalité des jeunes musulmans » devient « L’inquiétante radicalité d’une minorité de jeunes ».

    Le corps de l’article n’est pas en reste de novlangue et d’euphémisme. Ainsi, le fait de ne pas « totalement » condamné les attentats contre Charlie Hebdo est désigné comme une « tentation radicale ».

    Pour parler d’islamisation, les sociologues parlent de « manifestations de radicalité » ou encore « d’adhésion à l’absolutisme religieux ».

    Pour traiter de la perte de confiance dans les médias, ils utilisent le concept de « radicalité informationnelle ».

    https://fr.novopress.info/

  • Interdit aux djihadistes : après Toulouse, Bordeaux

    Après Toulouse, c'est Bordeaux qui se voit ornée de panneaux de malvenue aux djihadistes :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html