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immigration - Page 829

  • Mamoudou, l’incroyable récupération, par Caroline Parmentier

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    Il y a deux incroyables récupérations dans cette affaire. La façon dont Mamoudou, Malien sans papiers, a grimpé comme un… disons comme une araignée, de balcon en balcon, pour attraper un enfant suspendu dans le vide. Et la façon dont on nous explique que tous les migrants sont des héros et des chances pour notre pays. Et là, pas de « pas d’amalgame » qui tienne.

    Comment cet enfant de 4 ans s’est-il retrouvé suspendu par les mains dans le vide au 4e étage en l’absence de ses parents ? L’affaire reste à préciser. Son père a été placé en garde à vue. Toujours est-il que Mamoudou Gassama, 22 ans, a découvert la scène alors qu’il se rendait dans un bar pour suivre la finale de la Ligue des champions et, n’écoutant que son courage, a escaladé les balcons de la façade de l’immeuble avec une rare agilité, agrippant l’enfant par le poignet pour le remettre sain et sauf à ses voisins.

    Aussitôt une vague de jubilation s’est emparée des médias et des politiques. Mais aussi d’indignation : comment cet homme n’a-t-il pas encore ses papiers, sa naturalisation, c’est scandaleux, inimaginable, intolérable. Des pétitions circulent. Ahurissante interview de Jean-Jacques Bourdin lundi à 8 h 10 qui reçoit Mamoudou et son frère sur RMC. Bourdin quasiment en larmes, tout tremblant d’adoration, en remettant des louches et des louches sur la légende Mamoudou, le conte de fées pour enfants. Mamoudou (Mahomet chez les musulmans d’Afrique occidentale) est un migrant sans papiers arrivé du Mali il y a quelques mois sur un bateau de migrants. Et Bourdin raconte à sa place : « Vous avez eu peur, Mamoudou, vous avez eu faim, vous avez eu froid, vous étiez serré non ? Aujourd’hui vous avez sauvé un enfant, tout le monde vous aime, tout le monde est fier de vous, on va vous trouver un travail, on va vous naturaliser. »

    Enfin un héros selon leurs vœux. Ils en ont enfin trouvé un. Mamoudou devait être reçu dès lundi matin par Emmanuel Macron à l’Elysée. Anne Hidalgo l’a appelé personnellement et a twitté pour saluer son « geste héroïque » assurant que la ville de Paris aurait évidemment à cœur de le soutenir dans ses démarches pour s’établir en France (Anne Hidalgo ne twitte jamais quand un migrant est responsable d’un viol, d’une agression ou d’un vol).
    « Ceux qui crachent sur les migrants à longueur de journée »…

    Plus précis encore, Ian Brossat, adjoint communiste en charge du logement et de l’hébergement d’urgence, a adressé un « avis à ceux qui crachent sur les migrants à longueur de journée » : « Je n’imagine pas que Gérard Collomb le mette en centre de rétention. […] Nos quartiers, c’est aussi ça ! Quand on sait les propos qui sont tenus parfois sur les sans-papiers, ça permet un peu de réalité dans ce débat. »

    La réalité des migrants c’est ça. Ils sont comme ça ! Tous. Ils arrivent par bateaux entiers pour sauver nos enfants. A qui pensent-ils faire gober ça ? Eux qui dissimulent volontairement les agressions sexuelles de masse, qui trafiquent et qui « bobardent » à longueur d’années au service de leur idéologie. Dans un pays normal, Mamoudou serait le seul naturalisé en raison de son acte héroïque en effet. Et les dizaines de milliers de clandestins et de faux refugiés dont les associations exigent qu’ils soient « tous régularisés » seraient renvoyés chez eux.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 28 mai 2018

    https://fr.novopress.info/

  • ENTRE LE PETIT « MÂLE BLANC » ET LES GRANDS BLACKS, EMMANUEL MACRON A CHOISI

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    Emmanuel Macron a utilisé l’expression « mâle blanc » en évoquant le plan Borloo pour la banlieue. Ce plan serait inapproprié car constituant « l’échange entre deux mâles blancs ». La banlieue, devenue zone « sensible » serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme une terre à part, domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?

    Yvan Rioufol, sur Cnews, a dénoncé à juste titre cette expression comme favorisant le communautarisme. C’est vrai, mais il y a plus. Cela s’inscrit dans le projet international d’une inversion des rapports de domination. 

    En Europe, le Noir est apparu sous sa désignation grecque de « Maure » (mavros = noir) dès l’Antiquité. Au XIIe siècle, dans La Chanson de Roland, il apparaît sous les traits du roi sarrasin de Saragosse, Marsile. Fin XVIe le modèle d’Othello, le Maure de Venise, de William Shakespeare, est aussi un roi – marocain, cette fois.

    Mais au XIXe, le Noir apparaît comme une victime, celle du commerce d’esclaves avec le Nouveau Monde décrit par La Case de l’oncle Tom, de Harriet Beecher Stowe, ou Les Aventures de Huckleberry Finn et de Tom Sawyer, de Mark Twain. 

    Au XXe siècle, la littérature enfantine de Jean de Brunhoff – Babar– et de Hergé – Tintin au Congo – véhicule une double image. Gentil naïf et drôle, il éveille la sympathie. Cannibale, soumis à un sorcier jeteur de sorts au masque terrifiant, il est ressenti comme une menace.

    Notre XXIe siècle pérennise l’image de la victime – sans-papiers jetés dans des bateaux de fortune au péril de leur vie pour fuir la guerre ou la famine et aborder sur nos côtes – mais lui superpose une image valorisante. Devenu l’unique ancêtre d’une humanité présumée entièrement africaine à l’origine, star multimillionnaire des terrains de foot, pouvant revendiquer le président de l’État le plus puissant du monde comme un des leurs hier, l’accueil par la plus vieille famille régnante de l’État le plus colonisateur de la planète d’une des leurs, le « Noir », aujourd’hui devenu « Eurafricain » ou « Afro-Américain », est passé du mépris à la gloire.

    L’expression « mâle blanc » s’inscrit dans ce contexte. 

    Désormais, en Occident, ce n’est plus le seul Noir qu’on désigne comme présentant une particularité visible le distinguant de l’ensemble de la population autochtone, mais aussi le Blanc. 

    De même, le héros n’est pas seulement Arnaud Beltrame, mais aussi Lassana Bathily, qui a sauvé des otages de l’Hyper Cacher en 2015, ou Mamadou Gassama, qui a sauvé hier un petit garçon menaçant de tomber d’un balcon.

    Entre Borloo, le petit « mâle blanc » rigolard à barbe grise, et les grands blacks intrépides des cités, Emmanuel Macron a donc choisi. La banlieue sera leur affaire. Ainsi se réalisera la « politique inclusive » qu’il a mentionnée lors de la conférence de presse de vendredi dernier en Russie à propos de la Syrie, devant un Poutine dubitatif. 

    Dès 2011, Guy Hagège, dans Le Monde, la définissait comme « un projet universel de personnalisation de la politique » en fonction « des différences de la personne », afin de lui donner « toutes les chances de réussite dans la vie ». À l’époque, la « différence » était le handicap, et cela concernait toute la France.

    Mais en Syrie, comme dans nos banlieues, on peut craindre que cette « politique inclusive » n’implique une reconnaissance, voire une promotion des « différences » ethniques et religieuses qui pourrait mener au séparatisme.

    Ce qui, comme au Kosovo, pourrait favoriser un autre projet universel : le projet postnational.

    http://www.bvoltaire.fr/entre-petit-male-blanc-grands-blacks-emmanuel-macron-a-choisi/

  • Face à la guérilla urbaine rampante, les médias français feraient ils diversion ?

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est l’opinion de Laurent Obertone, auteur de « France, orange mécanique » qui relate sur Facebook l’avertissement d’un membre du GIGN : alors que le mariage en Angleterre et le festival de Cannes font les unes des journaux, de graves événements sont traités par les médias de propagande en faits divers.

    Mais, de quels événements s’agit-il ?

    En l’espace de deux semaines, on a assisté :
    A des attaques de policiers en civil : à Grenoble, à Courcouronnes,
    A une rixe impliquant deux cents individus à Lyon la Duchère,
    A un homme battu à mort par des adolescents à Pau,
    A une fusillade à la kalachnikov entre policiers et trafiquants cagoulés à Marseille, dans le narco-quartier de la Busserine : Gérard Collomb s’est rendu sur place avec la BAC et a déclaré : « nous ferons régner l’Etat de droit » reconnaissant ainsi implicitement l’existence de zones de non-droit, si longtemps déniées par les autorités ;
    A une nouvelle fusillade le week-end dernier encore à Marseille : un assaillant armé a surgi dans les locaux d’une association sportive et a tué deux personnes.
    Au lynchage d’un père à Lille devant ses enfants, par une vingtaine de jeunes pour s’être opposé à un rodéo
    Enfin à Orléans, à l’égorgement d’une femme de 30 ans par un récidiviste déjà condamné à 20 ans de réclusion par une cour d’assise pour homicide volontaire.

    Et Laurent Obertone déplore les suicides à répétition de policiers, de gendarmes et de gardiens de prison s’inscrivant dans ce climat d’ensauvagement dramatique.

    https://fr.novopress.info/

  • MENACES DE MORT, SHIT, COCAÏNE ET RAMADAN : PETITE SCÈNE DE VIE ORDINAIRE À VILLENEUVE-SUR-LOT

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    L’entrée en matière avait le mérite de la clarté. C’est ainsi qu’ont été accueillis le serrurier, les deux témoins et l’huissier mandaté pour notifier 6.800 euros de loyers impayés à un locataire des « quartiers nord-est » de Villeneuve-sur-Lot (La Dépêche se met à parler de notre petite sous-préfecture comme s’il s’agissait de Marseille). L’huissier a déposé plainte, rappelant à quel point, loin des douces berceuses du vivre ensemble, sa profession est en contact quotidien avec cette partie de la société qui profère menaces et insultes, et passe souvent à l’acte :

    Notre quotidien est de se faire insulter comme les policiers et les gendarmes mais nous n’avons qu’un stylo à bille.

    L’auteur de ces insultes a été jugé en comparution immédiate, d’autant plus que, comme il n’avait pas eu « le temps de faire le ménage » (toujours selon La Dépêche), les policiers ont découvert 1,2 kg de résine de cannabis et de la cocaïne. Il a été condamné à un an de prison dont six mois avec sursis.

    Voilà le fait divers. Tellement divers qu’il est devenu le quotidien de centaines de quartiers en France, aussi bien dans des petites villes comme Villeneuve-sur-Lot que des cités de banlieue de nos grandes agglomérations ; et encore : lorsque les forces de l’ordre peuvent, sans être caillassées ou visées par des tirs, entrer dans ces quartiers.

    Mais revenons au mot d’accueil de notre commerçant de 34 ans, ce locataire-délinquant qui va donc poursuivre son ramadan quelques jours en prison.

    « Tu as foutu en l’air mon ramadan… » Il y a certainement ramadan et ramadan, musulman et musulman. Et toute religion a ses degrés de ferveur, de compréhension, de pratique, de cohérence, de moralité. Toute religion a sa piété populaire. Et puisqu’il est à la mode, dans les rangs du gouvernement et de La République en marche, de mettre dans le même sac voile islamique et foulard de la mère d’Alain Juppé, prêche en arabe et messe en latin, radicalisés islamistes et traditionalistes catholiques – ce qui, Gabrielle Cluzel vous l’a expliqué avec bien d’autres, n’a absolument rien à voir -, on pourrait aussi s’y interroger sur cette conjonction de faits qui touchent malheureusement souvent nos villes et banlieues : délinquance, trafic de stupéfiants, agression contre les forces de l’ordre et revendication islamique bruyante et agressive. Une conjonction que résume ce « Tu as foutu en l’air mon ramadan ».

    Certaines bonnes âmes ou autres doctes théologiens me diront que ça n’a rien à voir. Mais justement, dans la vraie vie, c’est une réalité qui se voit. Et qui s’entend.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/menaces-de-mort-shit-cocaine-ramadan-petite-scene-de-vie-ordinaire-a-villeneuve-lot/

  • Le n°4 de "Confrontation", la revue qui dénonce l'islamisation de l'Europe, sort en fin de semaine

    1420490145.jpgConfrontation n°4 - Été 2018 80 pages, 12 €

    Au sommaire :

    Page 3 : URGENCES !   

    L’éditorial de Jean-François Touzé

    Page 5 : Pauvres petits mineurs étrangers isolés

                  Julien Aubin

    Page 9 : La subversion islamo-gauchiste

                  Jean-Yves Léandri

    Page 20 : L’emprise de l’Islam depuis 1973

                     Alain Wagner

    Page 23 : Tariq Ramadan, Dr Jekhill ou Mr Hyde ?

                     José Castano

    Page 27 : Entretien avec le Carl Lang, Président du PdF

    Page 34 : Les nouveaux amis de Jupiter.

                    Jean-Gilles Malliarakis

    Page 39 : Macron face à l’immigration

                    Robert Martin

    Page 54 : Frappe en Syrie, grand spectacle...

                    Roland Lombardi

    Page 58 : Retrait des Etats-Unis de l’Accord de Vienne 

                     J-F Touzé

    Page 62 : Un peuple oublieux est un peuple qui meurt 

                     J. Guillemain

    Page 67 : La chronique de Bernard Atlan

    Page 70 : Au fil des pages…

    Jean-Yves Léandri et Agnès Claude

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  • L’Union européenne inquiète [Communiqué de l'Action française]

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    1409345534.jpgEn date du 25 mai 2018,

    l'Action française a publié le communiqué suivant :

    Les urnes ayant parlé, les prétendues élites donnent de la voix : le peuple, une fois de plus, s’est trompé. Il ne croit pas aux bénéfices de la mondialisation, il méprise les vertus de l’immigration, il est insensible aux charmes des diktats technocratiques de Bruxelles.

    Bref, les Italiens sont des sots, des gueux et des méchants, comme les Hongrois qui ont réélu Orban, les Allemands qui ont voté AfD, etc. Le suffrage universel, nous fait-on savoir, est devenu un instrument imprévisible et dangereux qui laisse le peuple décider, alors que le peuple doit obéir à ses doux maîtres européens. Ces mêmes maîtres qui manifestent leur compétence, leur ténacité et leur volonté face aux attaques de Trump, à la concurrence chinoise, aux menaces d’Erdogan et ne conçoivent l’exercice du pouvoir que comme le déni constant de la volonté des peuples. La chose est d’une ironie constante, et ce déni permanent de la légitimité de votes régulièrement exprimés en faveur de partis autorisés, dit assez la valeur véritablement accordée au Peuple, à la Démocratie et à la Liberté par tous ceux qui ont pourtant en permanence ces grands mots à la bouche !

    Il est bien trop tôt pour évaluer la pertinence du choix des Italiens, et nous ne pouvons en juger qu’en fonction de notre intérêt national français. Il est aussi trop tôt pour prédire l’échec ou le succès des politiques italiennes à venir, qui auront contre elles toute la puissance sans frein des technocrates de l’UE et des sectateurs européistes, qui ont montré avec la Grèce l’étendue de leur possible malfaisance. Le premier effet certain, pour la France, est qu’Emmanuel Macron, qui se rêve en refondateur d’une Europe encore plus méprisante des nations, est privé d’un allié. Le président français, à défaut de destin européen, va devoir se recentrer sur son pays et, au lieu de légiférer sur la vitesse des routes départementales, s’attaquer à ce qui constitue véritablement sa mission : le redressement national. Il est clair qu’il ne passe ni par la mondialisation, qu’il a constamment favorisée, ni par l’immigration, qu’il n’entend pas juguler, ni par la dissolution dans l’UE, qui est de plus en plus contestée par les Européens.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le président italien refuse l’équipe gouvernementale anti-système. Di Maio veut engager la destitution du président.

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    « Le Président du conseil désigné Giuseppe Conte a remis son mandat au président Mattarella », selon le secrétaire général de la présidence. Le président italien, Matarella a rejeté la désignation de Paolo Savona au poste de ministre des Finances, en raison de son hostilité à l’euro et aux institutions européennes. Comme en Grèce la Haute banque s’interpose contre la volonté populaire clairement exprimée dans les urnes.

    Luigi Di Maio et Matteo Salvini, les chefs de file antisystèmes qui ont remporté les élections et s’étaient entendus pour désigner Guiseppe Conté comme Premier ministre sont en fureur:

     « C’est une crise institutionnelle sans précédent », s’est emporté le leader du mouvement 5-Etoiles, Luigi Di Maio, sur une vidéo diffusée en direct sur Facebook, jugeant « inacceptable » le rejet de Paolo Savona comme ministre de l’Economie par le président Mattarella. « Quel est l’intérêt d’aller voter si ce sont les agences de notation qui décident? », a poursuivi Di Maio, qui a appelé à « destituer » le président pour avoir « trahi la Constitution ».

    De son côté Mattéo Salvini de la Ligue enrage: « Nous avons travaillé pendant des semaines pour faire naître un gouvernement qui défende les intérêts des citoyens italiens. Mais quelqu’un, sur la pression de qui ?, nous a dit NON », a réagi M. Salvini,  sur les réseaux sociaux. « Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L’Italie n’est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread , [qui est l’écart entre les taux d’emprunt à 10 ans allemand et italien, ndlr], ou de la finance », a-t-il insisté. « Les Italiens d’abord. Moi je ne lâche rien », a-t-il ajouté.

    Vers de nouvelles élections ?

    M. Salvini, le chef de file de la Ligue a annoncé que la seule solution désormais était la tenue de nouvelles élections législatives, probablement cette année. « Dans une démocratie, si nous sommes toujours en démocratie, il n’y a qu’une seule chose à faire, laisser les Italiens avoir leur mot à dire », a déclaré Matteo Salvini devant des partisans rassemblés dans le centre de l’Italie.

    De son côté, Sergio Mattarella a déclaré lors d’une allocution télévisée ne pas être celui à blâmer pour l’impasse politique. Il a dit avoir joué, en tant que chef de l’Etat, son rôle de garant. Il a proposé des alternatives pour le portefeuille des Finances, mais ses suggestions ont toutes repoussées par le M5S et la Ligue, a-t-il précisé. Mattarella prendra « rapidement » une décision sur la marche à suivre. Il n’a pas voulu se prononcer sur la tenue ou non d’élections anticipées. Source Le Figaro

    Plutôt qu’engager des élections législatives qui ont déjà eu lieu, ne vaudrait-il pas mieux destituer le président Matarella qui sert d’entrave à l’expression populaire italienne ? 

    C’est exactement ce que pense Luigi Di Maio:

    Le chef de file du Mouvement5 Etoiles, Luigi Di Maio, a déclaré dimanche soir que la seule solution à cette crise était d’obtenir du nouveau Parlement la destitution du président de la République, Sergio Matterella qui a refusé de nommer le ministre des Finance présenti: Savona.

    « La Ligue ne peut pas se défiler ». Luigi Di Maio a dit au cours d’un entretien téléphonique avec une émission de télévision qu’il comptait invoquer l’article 90 de la Constitution italienne, qui permet de mettre en accusation le chef de l’Etat devant le Parlement pour « haute trahison » ou s’il porte « atteinte à la Constitution ». « En portant cette crise au Parlement, nous éviterons qu’elle ne se répande hors du Parlement », a-t-il affirmé plus tard devant ses partisans rassemblés à Fiumicino, près de Rome. « Avec la Ligue (extrême droite, ndlr), nous avons la majorité, et la Ligue ne peut pas se défiler, elle doit aller au bout », a-t-il encore dit.  Source Europe 1

    Steeve Bannon qui s’était de nouveau rendu en Italie pour se réjouir de l’élection du gouvernement en gestation avait déclaré peu avant la démission de Guiseppe Conte que Di Maio et Salvini « doivent insister sur le professeur Savona [finances], ce sera une personne très dure, un grand négociateur, avec des idées très claires qui pourra faire entendre sa voix en Europe ». Bonnon, l’homme qui a fait élire Donald Trump aux USA était venu soutenir Marine Le Pen lors du congrès du Front national cette année.

     

    http://www.medias-presse.info/le-president-italien-refuse-lequipe-gouvernementale-anti-systeme-di-maio-veut-engager-la-destitution-du-president/92458/

  • Éric Zemmour : “On détruit un peuple avec l’immigration et on détruit une Nation avec le multiculturalisme

    Voir l'image sur Twitter
    Fdesouche@F_Desouche
     

    Éric Zemmour : "On détruit un peuple avec l'immigration et on détruit une Nation avec le multiculturalisme" http://www.fdesouche.com/1011819-eric-zemmour-on-detruit-un-peuple-avec-limmigration-et-on-detruit-une-nation-avec-le-multiculturalisme 

  • Une femme égorgée à Orléans par un récidiviste

    Samedi, une femme de 31 ans, mère de trois enfants, a été poignardée à plusieurs reprises, à Orléans. La presse indique qu'elle présentait des plaies au niveau du cou et du thorax. Autrement dit, elle a été égorgée.

    Un homme a été interpellé, samedi soir, à Paris dans le 12e arrondissement. Le meurtrier présumé est actuellement en garde à vue à l’hôtel de police d’Orléans. L’individu âgé de 34 ans, Malik S., a déjà été condamné par le passé pour avoir tué un jeune homme à l’arme blanche. Il est actuellement en... libération conditionnelle depuis 2012 et il est suivi par un juge d'application des peines. Il devait terminer son aménagement de peine en décembre 2018.

    Le 18 décembre 2004, la cour d’assise du Loiret avait reconnu Malik S. coupable d’homicide volontaire pour un crime de 2002. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • MARYAM POUGETOUX ET LE VOILE ISLAMIQUE À LA FAC : POUR LES FRANÇAIS, C’EST NON, NON ET NON !

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    On ne remerciera jamais assez l’UNEF – ce syndicat étudiant qui a du mal à se remettre de ses accointances avec un PS lui-même moribond, et surtout de ses affaires de harcèlement – d’avoir fait la promotion subliminale du voile islamique par le truchement de sa présidente à la Sorbonne : Maryam Pougetoux. Grâce à ladite dame, l’IFOP a eu l’idée d’aller reprendre la température au sujet du port du voile à l’université qui est, rappelons-le, autorisé. Et le résultat de ce sondage réalisé pour CNews et Sud Radio est sans appel : 77 % des Français considèrent justifiées les critiques à l’égard de cette responsable syndicale voilée, et 71 % sont opposés au port du voile islamique à l’université.

    71 % ? Voilà les deux Français sur trois que nos futurs candidats à la présidence de la République devraient écouter. Mieux que les 66 % du Président Macron… Ce n’est pas rien. Et sur une question précise et sur une ligne claire, car le voile – n’en déplaise à certains – n’est pas qu’une question de mode ni une simple option religieuse. Pour les Français, le voile est perçu comme l’un des nombreux chevaux de Troie de l’islam politique qui noyaute la société et les institutions françaises.

    Comme toujours dans les sondages, il est bon d’analyser le chiffre dans les détails. D’abord, il est relativement stable puisqu’en quelques années, il est passé de 78 % en 2013 (sondage du Figaro) à 71 %. Cette érosion traduit-elle une acclimatation de la société française au voile ? Comment en irait-il autrement puisque les médias – hier « The Voice », aujourd’hui les caméras braquées sur Maryam Pougetoux – cherchent à le promouvoir et que la communauté musulmane, en pleine expansion, cherche à l’imposer dans tous les espaces publics. Mais cette légère érosion, justement révélatrice du prosélytisme musulman, ne fera que conforter cette majorité des deux tiers qui s’y oppose mordicus. Elle leur donne paradoxalement raison.

    Ensuite, l’analyse de ce refus selon les sympathies politiques est révélatrice d’un phénomène qui devrait, là encore, retenir l’attention des potentiels successeurs d’Emmanuel Macron. En effet, s’il n’y a rien d’étonnant à trouver une opposition massive au voile dans les rangs du Front national et de la droite (89 et 87 %), on constate aussi une forte opposition au sein du parti présidentiel : 76 % des électeurs d’En marche ! Ce n’est vraiment que quand on passe à gauche, au PS ou chez La France insoumise, qu’on est plus partagé et plus ouvert au voile. Plus complaisant. Des chiffres qui montrent que l’islamo-gauchisme est peut-être plus qu’un fantasme, mais bien une réalité politique en train de prendre corps. Des chiffres qui valident aussi l’existence d’un « en même temps » nouveau : qu’ils soient Front national, LR ou LREM, les Français s’accordent sur une chose : l’opposition au voile islamique, y compris à l’université, où il est actuellement autorisé. D’autres sondages disent qu’Emmanuel Macron est majoritairement perçu comme étant « de droite ». Lui-même, au sujet de sa sympathie pour Philippe de Villiers, a parlé de son « ethos de droite ». Sur la question du voile, ses électeurs le sont visiblement aussi. Et plus encore que lui.

    Emmanuel Macron a voulu recomposer la vie politique française autour du libéralisme économique. Il semble qu’il y ait un autre créneau d’avenir pour une autre recomposition : celui de la résistance à l’islamisation de la société française. Emmanuel Macron sera-t-il aussi l’homme de cette recomposition? Dans ce cas, entre Yassine Belattar et Philippe de Villiers, il lui faudra choisir.

    http://www.bvoltaire.fr/maryam-pougetoux-voile-islamique-a-fac-francais-cest-non-non-non/