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immigration - Page 827

  • Comment arrêter l’immigration ? Il suffit de dire non !

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    L’ancien président de la République tchèque Vaclav Klaus est auteur d’un livre Migration des peuples. Bref manuel pour comprendre la crise migratoire actuelle. Quand on l’interroge sur comment arrêter l’immigration, il a une réponse simple : « Il suffit de dire non ! ». Dit autrement, il faut changer de paradigme : faire passer la souveraineté des peuples avant le gouvernement des juges, le droit à l’identité des Européens avant le droit des étrangers à entrer en Europe.
    Le texte qui suit est plus technique. C’est celui d’un praticien des questions migratoires qui liste les mesures pratiques qu’un gouvernement soucieux de la protection des frontières pourrait mettre en œuvre. Article initialement paru le 29 juin dernier. Polémia


    27 décisions à prendre en matière de lutte contre l’immigration irrégulière

    Avant l’entrée sur le territoire national

    • 1- Créer des « hots spots » délocalisés dans les pays de transit des flux migratoires (Maghreb, Albanie, Syrie, Irak, etc.) pour les étrangers en situation irrégulière (ESI) interceptés en Méditerranée dans les eaux internationales et territoriales des Etats tiers.
    • 2- Idem pour les étrangers en situation irrégulière (ESI) déboutés du droit d’asile,afin de séparer en Afrique/au Moyen Orient/ou ailleurs les vrais réfugiés des migrants clandestins, et les rapatrier ensuite dans leur pays d’origine.
    • 3- Conditionner l’aide financière au développement des pays africains et autres à la délivrance des laisser-passer consulaires (LPC) pour le retour des clandestins dans leur pays d’origine(cela concerne entre autres les Comores : 20 000 expulsions/an).
    • 4- Refouler systématiquement à la frontière les « dublinés » et les personnes ne disposant pas d’un titre d’identité en règle, sans leur permettre de déposer une demande d’asile.
    • 5- Augmenter la liste des « pays sûrs » (Indiens, Afghans, Albanais, Soudanais, Ghanéens, Libyens, Serbes, Bosniaques, etc.) qui conditionne grandement la possibilité de refuser l’obtention du statut de réfugié.
    • 6- Étendre l’étendue juridique des contrôles actuellement limités par Schengen aux frontières (article 2 du code frontières Schengen [CFS]), et par le droit national (cas de l’article 78-2 du Code de procédure pénale récemment modifié par la loi SILT et par l’article L.611-1 du CESEDA : suspicion de crime/délit/violation de contrôle judiciaire ou d’assignation/etc.;dans un rayon maximal de 10 Kms autour de certains points de passages frontaliers aériens et maritimes/certains péages ; dans une bande comprise entre la frontière terrestre de la France et une ligne tracée à 20 km en deçà pour la prévention et la recherche des infractions liées à la criminalité transfrontalières).

    Sur le territoire national

    • 7- Mettre en détention systématique les clandestins franchissant la frontière française ou contrôlés ultérieurement sur le territoire national.
    • 8- Expulser les migrants irréguliers déjà enregistrés dans d’autres pays de l’espace Schengen et de l’Europe.
    • 9- Rallonger le délai laissé aux policiers pour étayer leurs dossiers de reconduite à la frontière de 48 H à 5 jours.
    • 10- Restreindre le dispositif du droit au séjour pour raisons médicales (confié à l’Office français de l’immigration et de l’intégration [OFII]) actuellement : 30 000 dossiers/an), dispositif accordé au motif de soins soi-disant impossibles dans le pays d‘origine.Et pour lesquels les fraudes médicales sont nombreuses.
    • 11- Limiter le bénéfice de l’AME aux maladies graves et urgentes, aux douleurs aigues, aux accouchements, vaccinations, médecine préventive (à renommer aide médicale d’urgence ).
    • 12- Conditionner l’octroi d’aides sociales aux étrangers présents sur le territoire national depuis cinq ans au minimum.
    • 13- Une décision définitive de rejet de demande d’asile doit valoir obligation de quitter le territoire français, faire perdre au requérant tout le bénéfice des conditions matérielles d’accueil et des aides sociales dès notification d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) ou décision de transfert Dublin.
    • 14- Supprimer le caractère suspensif des recours des demandeurs d’asile déboutés qui bloque actuellement leur expulsion, renvoyer les étrangers en situation irrégulière(ESI) ayant fait une demande d’asile dans un autre pays d’Europe qu’en France vers leur pays d’arrivée dans l’Union Européenne (par lesquels ils ont transité en premier) dans les meilleurs délais.
    • 15- Limiter la durée des cartes de séjour à un an, dès la première admission au séjour (au lieu de 4 ans dans le Projet de Loi Collomb),des demandeurs d’asile dès qu’ils seront soumis à un régime de protection subsidiaire ou titulaires du statut d’apatride.

    Dispositions dissuasives et conservatrices

    • 16- Supprimer le regroupement familial (parents, frères, sœurs, etc.) y compris pour les mineurs étrangers.

    • 17- Voter une loi pénalisant l’aide aux migrants entrés illégalement sur le territoire national (1 an de prison), interdiction aux ONG d’être présentes à moins de 8 Kms de la frontière française (Hongrie).

    • 18- Supprimer l’article L.622-4 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) actuel qui exclut de toute poursuite pénale (articles L. 622-1 à L. 622-3)pour l’aide à la circulation ou au séjour irrégulier des ESI « Des ascendants ou descendants de l’étranger, de leur conjoint, des frères et sœurs de l’étranger ou de leur conjoint ; Du conjoint de l’étranger, de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui, ou des ascendants, descendants, frères et sœurs du conjoint de l’étranger ou de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui ; De toute personne physique ou morale qui, face à un danger actuel ou imminent, commet un acte, nécessaire à la sauvegarde de la personne d’un étranger, visant à fournir une aide alimentaire, à l’hébergement ou aux soins médicaux, ou bien toute autre aide consistant à préserver ou à garantir la dignité ou l’intégrité physique de l’étranger. »

    • 19- Obliger les ONG à déclarer leurs ressources financières en provenance de l’étranger (Hongrie).

    • 20- Taxer les ONG soupçonnées de venir en aide aux migrants irréguliers et de favoriser l’immigration illégale, sauf si l’ESI est en danger de mort dans son pays (Hongrie).

    • 21- Inscrire dans la Constitution la défense de la culture européenne et chrétienne qui devient une obligation pour toutes les institutions de l’Etat ; interdiction à aucune institution nationale ou étrangère de changer la composition de la population (Hongrie).

    • 22- Mayotte : limiter l’acquisition de la nationalité française par le droit du sol.

    • 23- Supprimer la circulaire « Valls » de 2012 qui facilite les régularisations de clandestins (+ 30 % en 5 ans).

    • 24- Doubler les crédits (80 M€/an en 2018) liés à la lutte contre l’immigration irrégulière pour augmenter le nombre de places des centres de rétention administrative et permettre le triplement des reconduites par avion.

    • 25- Supprimer du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile l’obligation faite à l’Etat français (CESEDA : L553-6 et R 553-14) de fournir des prestations d’assistance juridique aux étrangers retenus dans les CRA pour leur permettre d’exercer leurs droits (6,73 M€ payés chaque année par l’Etat aux associations militantes immigrationnistes La Cimade, FTDA, Ordre de Malte, Forum Réfugiés, ASSFAM, Croix Rouge, qui attaquent l’Etat en justice pour obtenir la libération des retenus ou leur droit à l’asile).

    • 26- Abroger les lois liberticides (loi Pleven) criminalisant la critique de l’immigration

    • 27- Supprimer les subventions publiques (européennes, nationales et territoriales) aux associations immigrationnistes.

    Crédit photo : Migrants protestant dans la gare de Budapest – Par Mstyslav Chernov [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/comment-arreter-immigration-dire-non-rediff/

  • Strasbourg : le Bastion social occupe Pôle emploi

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    LE BASTION SOCIAL STRASBOURG OCCUPE LE TOIT DE PÔLE-EMPLOI 

    Nous occupons actuellement le toit de Pôle-Emploi pour dénoncer la situation actuelle dans le domaine de l’emploi et exiger la mise en place d’une réelle préférence nationale.

    Selon les derniers chiffres publiés par pôle emploi, aujourd’hui plus de 3 400 000 personnes sont au chômage.

    Incapable depuis des décennies d'assurer de manière pérenne le plein emploi aux nationaux, comment le gouvernement actuel compte t-il trouver un travail aux centaines de milliers de clandestins extra-européens affluant sur le territoire national ?

    Comment les CV de Français peuvent-ils avoir une chance d'être retenus face à la concurrence déloyale d'une main d'oeuvre à bas coût et malléable à souhait ?

    Comment pouvoir parler d'égalité face au marché du travail quand des programmes d'intégration à celui-ci comme l'HOPE - par ailleurs partenaire de Pôle emploi et de l'État - sont réservés aux clandestins et pratiquent donc de fait la préférence étrangère ?

    Nous réclamons l’instauration de la préférence nationale dans le domaine de l’emploi et rappelons que ceci devrait être une des premières préoccupations du gouvernement à savoir : assurer une situation décente à son peuple !

    Plus que jamais, le Bastion Social réaffirme sa vocation de syndicat du peuple français !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/08/29/strasbourg-le-bastion-social-occupe-pole-emploi-6075797.html

  • 15 septembre 2018 à Chambéry – Conférence « Préférence nationale, remigration… Des solutions catholiques »

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  • Révolution patriotique, réaction nationale: la résistance s’organise!

    europe-des-nations-276x300.jpgInvité de l’antenne de BFM-TV il y a deux jours, le président du groupe LREM à l’assemblée, Richard Ferrand,  a posé l’enjeu des élections européennes et exposé les deux visions diamétralement opposés de l’Europe qui s’affrontent. Il a repris ici l’opposition faite par Emmanuel Macron lui même entre progressistes et nationalistes, entre partisans d’un souverainisme européen  appliquant l’idéologie  multiculturelle, cosmopolite des idéologues bruxellois d’un côté,  et de l’autre  les défenseurs des souverainetés, des protections, des identités nationales dans une Europe de la libre coopération, celle là même défendue par le RN et ses alliés européens. « C’est quelque chose de fondamental, parce que le destin des nations d’Europe est lié, et on voit bien que dans un certain nombre de pays c’est un nationalisme et un conservatisme antieuropéen à tout crin qui est en train de se développer », a déclaré M. Ferrand.  « Donc au fond, les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orban, Salvini et compagnie (…).  La vérité (sic) c’est que tout seul un pays nationaliste finit toujours par couler.  » Au rythme auquel cette Europe bâtie contre le peuples est en train justement de couler,  d’imploser, les formules caricaturales, manichéennes de M.  Ferrand révèlent en creux le désarroi, voire la panique qui gagne le  camp euromondialiste.

    Matteo Salvini en tout cas rend coup pour coup dans la guerre que lui livre les immigrationnistes. Pour avoir refusé mi-août  le débarquement en Italie d’immigrés clandestins recueillis par un navire des gardes-côtes, le ministre  de  l’Intérieur et dirigeant de la Ligue a subi de nouveau les foudres des bruxellois. Il a également été  visé par une enquête de la justice  italienne pour séquestration de personnes, arrestations illégales et abus de pouvoir !  En l’espèce constate Bruno Gollnisch, le courageux Salvini est dans la ligne de mire de   juges rouges aussi politisés et partiaux que ceux qui entendent en France  museler ou entraver la capacité d’action du RN en le privant de sa subvention  publique. En toute logique, Marine et les dirigeants nationaux Français ont apporté dans cette affaire leur soutien total à notre camarade Salvini.

    Le nouvel obs le déplore sous la plume de sa correspondante et femme de gauche Marcelle Padovani,  spécialiste de la politique transalpine, «il est peu probable que la procédure judiciaire aboutisse à une condamnation. » Et si  « cette affaire aurait pu être vue comme un semi-échec pour le ministre de l’Intérieur » cela n’a pas été le cas. «Dans la nuit qui suit l’ouverture de l’enquête, le compte Facebook de Salvini a gagné 3 millions d’abonnés supplémentaires, qui le félicitent d’avoir joué les durs et l’assurent de leur solidarité.»  Quant au  « politologue Ilvo Diamanti », il  révèle,« dans la Repubblica (du) 27 août, que pour la majorité des Italiens interrogés par son institut de sondage, l’homme politique le plus projeté vers le futur est Matteo Salvini…»

    Ce front du refus de la submersion migratoire, qui bénéficie du soutien et d’une audience croissante des peuples européens,  se construit concrètement  et prend forme. Il s’est encore matérialisé hier avec la rencontre à Milan entre le Premier ministre hongrois Viktor Orban et   le ministre de l’Intérieur italien, son  « compagnon de route » dixit M. Orban. La  manifestation organisée par l’ensemble des forces de gauche et les  associations immigrationnistes  pour protester contre ce rendez-vous a péniblement rassemblé environ  2000 personnes.

    Devant la presse, Matteo Salvini  s’est félicité d’un accord « à portée de mains avec l’Allemagne sur les migrants dits secondaires, ceux déjà enregistrés dans un autre pays de l’Union européenne, comme l’Italie. Nous sommes prêts à reprendre dans notre pays des migrants secondaires, à condition que le même nombre de migrants soit éloigné de notre pays. »

    M Orban, dont le parti a triomphé lors des législatives d’avril dernier - sept hongrois sur dix cont voté pour les nationaux conservateurs de son parti  Fidesz   et pour  les nationalistes de Jobbik -  a  été comme à son habitude  très direct dans ses propos. L’Afp l’a rapporté, le Premier ministre hongrois a clairement désigné l’adversaire:  «Il y a actuellement deux camps en Europe et l’un est dirigé par Emmanuel Macron (qui)  est à la tête des forces politiques soutenant l’immigration. (…) Et nous, nous voulons arrêter l’immigration illégale ». Un constat bien évidemment partagé par le ministre de l’Intérieur italien qui a dit « (espérer) que cette rencontre sera la première d’une longue série pour changer le destin de l’Italie, de la Hongrie et de la totalité du continent européen»,

     Oui, le déclin n’est pas inéluctable! Aide-toi, le ciel t’aidera: par une action politique vigoureuse, il  est loisible d’espérer que les fossiles intellectuels et autres   partisans  du vieux monde bruxellois, hors-sol,  sans frontiériste,  ouvert à tous les flux,   seront enfin balayés par la révolution patriotique, la réaction nationale qui  se lève un peu partout en Europe. Les élections de mai 2019 devront en effet être une étape importante  de cette reconstruction, de cette renaissance  de l’idée européenne, fidèle à son génie, à ses valeurs, respectueuse de l’âme des   peuples  et des nations de notre continent.  Il s’agit bien  d’un enjeu de civilisationLe RN, les nationaux entendent bien y prendre toute leur part.

  • Après un nouveau crime commis par des migrants, Angela Merkel dénonce la chasse aux immigrés

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    Alors que la population allemande est confrontée, quotidiennement, à la délinquance des migrants importés par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et notamment à des agressions sexuelles et des meurtres commis par ceux-ci, un nouveau drame survenu à Chemnitz, en Saxe, le dimanche 26 août 2018 à 3 h 15 du matin, qui a coûté la vie à un Allemand de 35 ans et envoyé deux autres Allemands, âgés respectivement de 33 et 28 ans, lourdement blessés, à l’hôpital, a conduit, le même jour en fin de journée, des citoyens à descendre dans la rue et à se rassembler afin de s’élever contre ces actes.

    Les forces de l’ordre ont arrêté les auteurs supposés des faits : un Syrien âgé de 23 ans et un Irakien de 22 ans. Selon des informations non confirmées par la police, cet événement aurait pour origine le fait qu’une femme aurait été harcelée par plusieurs hommes, les Allemands blessés et celui décédé – à la suite de 25 coups de couteau ! – étant venus à son secours.

    Comme souvent, les médias subventionnés ont présenté les manifestants, qui sont visiblement de simples citoyens, comme des « extrémistes de droite » et ont mis en avant le fait que l’un ou l’autre étranger se trouvant dans la rue aurait été poursuivi et frappé par des manifestants alors que ces derniers criaient « Les étrangers dehors ! »« Ceci est notre ville ! » et « Nous sommes le peuple ! » (un slogan utilisé en 1989 lors des manifestations qui ont conduit à la chute du régime communiste).

    Cette presse avait été mise en cause lorsque la chaîne de télévision publique ARD n’avait pas évoqué, dans son journal télévisé, le meurtre au couteau, à la mi-août 2018, d’un médecin – son assistante étant lourdement blessée lors de l’attaque – à Offenbourg, au Bade-Wurtemberg, par un demandeur d’asile somalien. Le rédacteur en chef avait alors répondu que cet événement n’avait pas une portée nationale mais seulement régionale.

    Lors des attaques sexuelles de masse perpétrées à Cologne et à Hambourg le 1er janvier 2016 par des migrants nord-africains ou de type arabe, la presse du système avait également été accusée de ne pas avoir abordé immédiatement le sujet alors que celui-ci était largement diffusé sur les réseaux sociaux et les sites allemands de réinformation.

    Ce lundi 27 août 2018, le porte-parole d’Angela Merkel a dénoncé des « chasses collectives »contre les immigrés qui « n’ont pas leur place dans notre État de droit », oubliant que le président de la CSU – son allié social-chrétien bavarois – et actuel ministre de l’Intérieur, de l’Urbanisme et de la Patrie, Horst Seehofer, avait qualifié, en février 2016, la politique des frontières ouvertes de cette chancelière, permettant à de nombreux migrants d’entrer illégalement dans le pays, de « règne du non-droit ».

    Une nouvelle manifestation a eu lieu à Chemnitz, autrefois appelée Karl-Marx-Stadt, lundi en fin de journée, et a rassemblé plusieurs centaines de personnes.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/apres-un-nouveau-crime-commis-par-des-migrants-angela-merkel-denonce-la-chasse-aux-immigres/

  • Samedi 1er septembre : colloque en mémoire des morts de Breslan

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    Contre la barbarie et la terreur qu'ils cherchent à nous imposer: Union de toutes celles, et de tous ceux, qui sont attachés à nos libertés, et à notre civilisation : 
    Mémoires et Vérités rend hommage aux victimes du terrorisme. Beslan (1er septembre 2004) Paris (13 novembre 2015) et Nice (14 juillet 2016).
    Le samedi 1er septembre 2018, au Centre Cultuel et Culturel de Russie (1, quai Branly 75007 Paris).
    16 heures :
    Cérémonie religieuse Cathédrale de la Sainte-Trinité (1, quai Branly à Paris). Chœurs de la Cathédrale dirigée par Alexis Tcherkov.
    17 heures :
    Cérémonie civile et Colloque Mémoires et Vérités sur le thème Beslan, Paris, Nice, victimes d'un même terrorisme islamiste. Au Grand Amphithéâtre du Centre Culturel russe de Paris.
    Henri-Paul Falavigna : Vérité pour l’attentat de Beslan, terroristes seuls responsables (vidéos)
    Jean-Claude Hubler, vice-President de l'Association des victimes de l’attentat terroriste de Nice : face au terrorisme. Solidarité entre toutes les victime.
    Georges Fenech, ancien magistrat : bilan de l'arsenal judiciaire contre l’islamisme.
    Xavier Raufer, criminologue : autopsie de l'islamisme.
    Emmanuel Leroy, Président d’une association de soutiens aux jeunes victimes du terrorisme : l’étiologie du terrorisme : une stratégie de propagande et de contrôle des populations.
    Capitaine (er) Pierre L. Plas (TAP. URH. DRM.) : la terreur est-elle devenue une arme géostratégique de niveau planétaire.

    Solidarité enfants de Beslan association humanitaire et d'amitiés France Ossétie-Alania Fédération de Russie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Allemagne (vidéos) : colère populaire dans la ville de Chemnitz après un meurtre raciste contre un Allemand

    xvm6d832018-aa2e-11e8-bc61-2e9f952ed857.jpgPrès de 2 000 personnes se sont rassemblées. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans la ville de Chemnitz.

    Des milliers de sympathisants d’extrême droite se sont rassemblés lundi 27 août, dans la soirée, à Chemnitz sous haute tension. Cette manifestation intervient au lendemain d’une « chasse collective » aux immigrés dans cette ville de l’ex-RDA, dénoncée avec véhémence par Angela Merkel.

    « Merkel doit partir », scandaient certains manifestants, arborant des drapeaux allemands, du parti d’extrême droite AfD, et des pancartes telles que : « Arrêter le flot de demandeurs d’asile » ou « Défendre l’Europe ! ».

    Mot d’ordre de ce rassemblement organisé par le mouvement Pegida : exiger que le gouvernement allemand garantisse « la sécurité de ses citoyens » après le meurtre d’un Allemand de 35 ans vraisemblablement commis par deux jeunes étrangers, un Syrien et un Irakien.

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  • L’immigration de peuplement conduit à une catastrophe civilisationnelle

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    Article initialement paru le 25 juin dernier. L’oligarchie ne cesse de nous vanter les avantages de l’immigration et les mérites des immigrés. M. Macron n’a-t-il pas souligné leurs « qualifications remarquables » et la nécessité d’en accueillir davantage ? Chacun sait pourtant que la réalité est tout autre. Car l’immigration est massive, elle ne s’assimile pas, elle provoque un éclatement territorial et culturel et mène à l’islamisation de notre pays. Bref, elle change la France et conduit les Français à ne plus se sentir chez eux dans leur propre pays. L’immigration de peuplement est peut-être une chance pour les immigrés, mais c’est une catastrophe pour la France et pour l’Europe.

    L’immigration a changé brutalement la France

    L’immigration de peuplement a commencé dans les années soixante-dix lorsque le grand patronat a fait pression sur le gouvernement pour autoriser le regroupement familial afin d’obtenir une main-d’œuvre abondante et peu exigeante. Mais, en ouvrant ainsi les portes à l’immigration de peuplement, le Système n’a pas rendu la France plus prospère, plus forte ou plus jeune, il a seulement changé la France. Changé ses mœurs, changé sa physionomie, changé sa population et changé sa religion. Il suffit de parcourir les rues de nos villes ou de regarder des photographies des années soixante-dix pour s’en rendre compte. Et seuls ceux qui n’aiment pas la France, ceux qui la réduisent à une idéologie politique ou à une ligne de compte, peuvent s’en réjouir. Pour les autres, il s’agit d’un bouleversement traumatisant et d’une grande brutalité, car c’est en moins de trente ans que la France a changé, un phénomène sans précédent dans l’histoire moderne.

    L’importance de la présence immigrée est occultée ou minimisée

    Or, le phénomène se poursuit à un rythme extrêmement élevé. Aujourd’hui, la pression migratoire est si forte qu’on ne sait pas exactement combien d’immigrants ont fait souche en France et combien y séjournent actuellement. Selon l’Insee, 25% des bébés nés en 2016 dans notre pays avaient au moins un parent né à l’étranger.
    Mais les chiffres officiels sont faussés, d’abord en raison de l’interdiction des statistiques ethniques, ensuite à cause de l’immigration irrégulière, laquelle a connu une progression spectaculaire depuis 2015 avec ce que l’on nomme la « crise des migrants ». Les données sur l’immigration sont également truquées par l’effet du droit du sol et des naturalisations massives qui ont ainsi fabriqué des Français de papier à la chaîne, lesquels n’ont aucun lien réel avec notre pays, sinon leur présence sur notre territoire.
    La manipulation est d’ailleurs poussée si loin que les membres de l’oligarchie et leurs soutiens osent prétendre sans rire que l’immigration n’augmente pas. Il est vrai qu’ils n’utilisent pas les transports urbains, qu’ils ne vivent pas en banlieue et ne mettent pas leurs enfants dans les écoles publiques ! Pour autant, ils ne peuvent ignorer les faits et, s’ils se livrent à un tel déni de réalité, c’est pour minimiser leur propre responsabilité dans la catastrophe.

    L’assimilation est impossible, le Vivre ensemble une fiction

    En dépit de l’occultation des chiffres, force est en effet de constater qu’en raison de sa masse, l’immigration de peuplement a empêché toute assimilation. De fait, les immigrants sont trop nombreux pour pouvoir se diluer dans la population, et cela d’autant plus qu’ils se concentrent dans les zones urbaines. Les technologies modernes de communication leur permettent par ailleurs d’entretenir des liens étroits avec leur pays d’origine, ce qui les aident à conserver leur identité et donc à ignorer celle du pays qui les accueille. L’immigration de masse a dès lors débouché sur le communautarisme, un phénomène que l’on retrouve pour les mêmes raisons dans tous les pays occidentaux.
    Face à cette situation, l’oligarchie a inventé le concept du « Vivre ensemble » et en vante assidument les vertus. Mais ce mot d’ordre ne correspond à aucune réalité concrète : les autochtones refusent de vivre avec les migrants selon un phénomène déjà connu dans les pays anglo-saxons sous le nom de white flight. Quant aux migrants, ils veulent seulement vivre en France comme ils vivent chez eux, c’est-à-dire selon leur culture africaine ou leur religion musulmane. Certains « jeunes » des banlieues de l’immigration ont même repris à leur compte le slogan identitaire « on est chez nous », pour bien montrer qu’ils entendent se constituer en société différente de celle de la France, une France que certains font d’ailleurs profession de vouloir « niquer » au son du rap.

    L’immigration provoque un éclatement territorial et culturel

    Dès lors, ce sont des territoires entiers qui sortent de l’orbite nationale pour abriter des populations, une culture et des normes qui n’ont plus rien de français. On recenserait officiellement dans notre pays mille trois cents « quartiers sensibles », plus de six cents « zones de non-droit » et près d’une centaine de Molenbeek (par référence à la banlieue bruxelloise pépinière de terroristes islamistes). L’actualité a en outre montré qu’il fallait y ajouter les « no-go zones » de certaines villes, où les femmes non voilées risquent le harcèlement. Autant de territoires où, contrairement à l’expression trompeuse de « zones de non-droit », s’impose en réalité un droit clanique, mafieux et religieux, en tout cas une autre civilisation que celle des Français.
    L’immigration de peuplement a ainsi multiplié la création d‘enclaves étrangères qui viennent miter le territoire national avec une logique de sécession de fait. Un processus que la « politique de la ville », la coûteuse panacée du Système, n’a pas été capable d’enrayer.

    L’immigration a entraîné l’islamisation qui a apporté l’islamisme

    Les conséquences dramatiques de cette immigration de peuplement ne se limitent cependant pas à cet éclatement territorial et culturel, car, comme le rappelle la démographe Michèle Tribalat, l’immigration de peuplement a entrainé l’islamisation. Et l’islamisation a apporté l’islamisme et sa haine de l’Occident. La catastrophe migratoire est donc d’ampleur géométrique.
    Avant les vagues d’immigration de la fin du XXe siècle, l’islam restait confidentiel en France comme en Europe (à l’exception des Balkans) et ne posait aucun problème particulier. Aujourd’hui, il serait en passe de devenir la seconde religion dans notre pays et, en raison de sa forte natalité, l’importance de la population musulmane ne cesse de croître indépendamment même de l’immigration. Aujourd’hui, en Seine-Saint-Denis, la majorité des habitants est ainsi de religion musulmane.
    Or, l’islam n’est pas une religion comme les autres. Non seulement elle est étrangère à notre culture, mais elle impose un mode vie bien particulier. La pression pour que la société française se conforme aux commandements de l’islam ne cesse donc d’augmenter et de modifier en conséquence la physionomie de notre pays ainsi confronté à un antagonisme civilisationnel de grande ampleur.

    Les Français de plus en plus indésirables en France

    Comment dès lors s’étonner que nos concitoyens soient de plus en plus nombreux à exprimer leur inquiétude de ne plus se sentir chez eux ? Les sondages en témoignent mais les oligarques méprisent ce sentiment et y voient la marque infâmante du « racisme ». Il s’agit pourtant des conséquences fatales de la catastrophe migratoire qu’ils ont délibérément provoquée. Un désastre dont ils semblent se satisfaire puisque, loin de chercher à l’enrayer, ils consacrent tous leurs efforts à le faire accepter de gré ou de force par les Français.
    En tout cas, tel est le sens des campagnes incessantes qu’ils lancent pour une meilleure représentation des « minorités » ethniques et pour la réduction symétrique de la place réservée aux personnes « perçues comme blanches » ( pour reprendre la terminologie officielle). Tel est aussi l’objet de la mise en place d’une discrimination prétendument « positive » au seul profit des personnes issues de l’immigration. À cela s’ajoute le fait que les familles immigrées, ayant plus d’enfants et présentant un taux d’activité inférieur au reste de la population, se trouvent de facto prioritaires dans l’octroi des prestations sociales. Autant de réalités qui renforcent les Français d’origine dans la conviction qu’ils ne sont plus les bienvenus dans leur propre pays et qu’ils pourraient bien être « remplacés » par d’autres.
    Une catastrophe civilisationnelle qu’il est encore possible d’empêcher mais plus pour longtemps.

    Ligne droite 25/08/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Alastair Rae via wikimedia cc

    https://www.polemia.com/immigration-peuplement-catastrophe-civilisationnelle-rediff/

  • Mélenchon veut accueillir les migrants « au nom de la Révolution de 89 » !

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    Ce dernier week-end d’août, les troupes de Jean-Luc Mélenchon étaient rassemblées à Marseille pour les « AMFiS d’été » de La France insoumise.

    Mélenchon, donc. Sans son costume de garde-chasse, mais en chemise bleu ciel infroissable au mistral. Mélenchon-le-teigneux, Mélenchon hargneux, Mélenchon-les-postillons… bref, le Mélenchon comme l’aime la grande presse.

    Les médias et Mélenchon, c’est en fait un numéro de duettistes bien rodé. Chacun dans son rôle, les victimes et leur bourreau. « Vas-y, Jean-Luc, fais-moi mal ! Et surtout fais-lui mal : dézingue-le, ce Macron, venge-nous de sa morgue ! »

    Il a fait parfaitement le job, Mélenchon, surtout ce samedi. Parfait sur toute la ligne, postillons et vociférations ad libitum. Alors, la presse a respecté le contrat, elle aussi, louant unanimement le seul opposant véritable à la politique du gouvernement, martelant que le patron de La France insoumise avait « appelé à faire des élections européennes un véritable référendum anti-Macron ».

    Et après ? Rien. C’est là, justement, où c’est intéressant : rien du côté de la presse, rien non plus du côté de Mélenchon.

    Car le bonhomme, s’il a parlé « du changement climatique » et dénoncé la politique de Macron, a aussi parlé d’immigration. Pour nous culpabiliser et traiter en substance les Français de salauds d’égoïstes, une fois de plus – ce que personne n’a jugé bon de relever.

    « Un sujet qui est, paraît-il, délicat pour nous – il ne l’est nullement ! –, c’est celui des vagues d’immigration auxquelles nous assistons », dit Mélenchon pour introduire la chose qui n’intéresse personne.

    Habile orateur, comme toujours, il martèle sa phrase choc : « Notre position est la suivante. »L’auditeur est en haleine… mais rien ne vient, sinon la critique du (large) camp d’en face : « Votre attitude est irraisonnable parce qu’elle est irraisonnée. Vous comptez sur la peur parce que vous espérez submerger toute la discussion politique par un sentiment de peur d’une invasion QUI N’EXISTE PAS ! »

    Reconnaissons que c’est habile. Critiquer sans jamais se mouiller, c’est tout un art. Mélenchon poursuit : « Oui, il y a des vagues migratoires. Oui, elles peuvent poser de nombreux problèmes aux sociétés d’accueil. Elles posent de nombreux problèmes quand certains s’en servent pour faire du profit sur le dos des malheureux. » Il poursuit, écumant : « Honte à vous, qui nous parlez d’appel d’air. Parce qu’on n’a pas rejeté les gens à la mer, parce qu’on ne les a pas laissés mourir sur place, ce serait un appel d’air ! Bravo, l’Aquarius ! Bravos, SOS Méditerranée ! À bas la cruauté indigne de ceux qui décident, contre le droit de la mer le plus permanent… » Etc.

    Enfin arrive un début d’engagement au nom de « la révolution de 89 qui avait dit “cette terre est la terre de la liberté” ». Alors, qu’on se le dise, « il n’y aura pas d’exception pour La France insoumise. Le devoir de soutien à la détresse, la protection de tous ceux qui sont dans la misère et le danger est un devoir pour nous quand les gens ont touché le sol sacré de la terre de la patrie. »

    Car tous les migrants, dit Mélenchon, sont nos victimes : « Qui les a fait partir ? L’Europe, les États-Unis, le capitalisme, et je vais vous en donner une preuve immédiate », ajoute-t-il : « On met plus d’argent pour s’occuper de l’opération Barkhane qu’on en met dans l’aide au développement des pays qui se trouvent dans cette zone. »

    Faux : chaque année, 40 % de l’aide publique au développement générée par la Commission européenne est destinée à l’Afrique. Dans un rapport de l’OCDE daté de 2015, on lit aussi que s’il y a trois fois plus de chômeurs chez les immigrés, c’est en raison de leur faible niveau d’études et de compétence : cela coûte 0,5 point de PIB à la France. Rien à voir, par exemple, avec un pays comme le Canada « qui pratique une immigration hautement sélective et attire des Asiatiques et des Européens ».

    Mais ce sont là des nuances qui n’intéressent pas Mélenchon.

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/melenchon-veut-accueillir-les-migrants-au-nom-de-la-revolution-de-89/