Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 846

  • À AVIGNON, VA-T-ON DÉBAPTISER DES ÉCOLES POUR FAIRE PLAISIR AUX MUSULMANS ?

    AVIGNON-1.jpg

    À Avignon, des établissements scolaires publics vont-ils être débaptisés ? C’est ce qu’annonce Vaucluse-Matin, le 20 avril. Laïcité oblige ? L’école Saint-Roch, l’école Saint-Jean, pour commencer. Saint-Gabriel, Saint-Ruf et Sainte-Catherine devraient leur succéder. Cécile Helle, le maire socialiste, s’en défend. Sauf que l’adjointe d’un quartier de la cité papale a déclaré : « On propose de changer le nom de certaines écoles pour qu’il corresponde plus aux aspirations du moment. Est-ce qu’un saint représente encore quelque chose par rapport à ce quartier multiculturel ? » On peut imaginer que cette adepte du multiculturalisme a dû lire ce rapport officiel, écrit par un « groupe de réflexion » appelé « Laïcité et République moderne », et rendu en 2015 à Manuel Valls, alors Premier ministre.

    « Revoir la toponymie de la France à la lumière du vivre ensemble » : le titre dudit rapport donne le ton. D’apprendre ensuite que les deux principaux parlementaires l’ayant établi appartenaient, l’un au Parti socialiste (Yann Galut), l’autre à EELV (la trinationale Esther Benbassa), donnait d’emblée le la. Il s’agissait, pour le groupe, de proposer des solutions pour lutter contre « l’apartheid territorial, social, ethnique » évoqué par Manuel Valls, qui ciblait « les discriminations quotidiennes parce qu’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau ou bien parce que l’on est une femme ».

    Mais revenons à la toponymie. « Une fraction croissante de la population d’origine musulmane est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de manifestations d’une époque archaïque où l’identité de la France, loin de s’assumer comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d’une chrétienté triomphante et totalitaire. »

    Et de prendre pour exemple des musulmans habitant Pont-l’Abbé qui seraient « amenés à se demander s’il s’agit d’une insulte » ! Vous parlez : être appelés des Pont-l’Abbistes ! Pour parer à cette abominable éventualité, les auteurs de ce vivre ensemble nouveau n’y sont donc pas allés par quatre chemins : « Débaptiser tous les noms de communes comprenant le mot « saint » dans l’intitulé afin “de relaïciser profondément la République” » avec, pour but, de supprimer un « affichage discriminant ». Couper les têtes de nos « saints » accolés à 4.794 communes pour ne pas offenser des fidèles d’un islam intrinsèquement tolérant, quelle drôle d’idée…

    En tout cas, éradiquer les signes de chrétienté, c’est chose faite, au pays de Taubira – je veux dire en Guyane. L’école Saint-Jean s’appelle désormais Rosa-Parks, plus fun ; celle de Saint-Maurice a cédé la place au nom d’une féministe, ancienne inspectrice de l’Éducation nationale et d’académie ; et, dans un registre bien dans l’air du temps, le nom d’un architecte designer a remplacé l’école Espérance.

    Ces suggestions de la part de ces nostalgiques révolutionnaires ne vous plaisent pas, pas du tout ? Vous vous dites que vous avez votre mot à dire ? Vous rêvez ! Des « référendums locaux, s’ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns et même néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire qui ne pourrait s’exprimer en dehors des édifices cultuels » (sic).

    Ce rapport, comme le disait en aparté un conseiller de Valls en personne, « c’est l’occasion de voir qui est républicain et qui ne l’est pas ». En somme, de voir qui se préoccupe du bien-être des uns plutôt que des états d’âme des autres…

    À ce train-là d’effacement de nos racines, combien de temps, à Avignon, avec ses 35 % de population musulmane (chiffre avancé par un représentant musulman à Vaucluse-Matin en 2016 pour justifier la construction d’une grande mosquée dans la cité des papes), la mairie osera encore, sur son site, rappeler qu’elle fut « capitale de la chrétienté au Moyen Âge » ? Et combien reste-t-il à vivre, à tous nos saints communaux ?

    http://www.bvoltaire.fr/a-avignon-va-t-on-debaptiser-ecoles-faire-plaisir-aux-musulmans/

  • En 2018, l’ONU veut forcer les États à favoriser l’immigration

    ONU-Pacte-migrations-588x330.jpg

    Par André Posokhow, consultant ♦ Les Etats sont tenus par un ensemble de traités internationaux qui limitent leur souveraineté en matière d’immigration. La Convention relative au statut des réfugiés de 1951 et la Convention européenne des droits de l’Homme en 1950 en sont de bons exemples.
    C’est sur la base de tels textes que la justice internationale contrebat les réticences nationales, pourtant souvent bien complaisantes, envers le déferlement migratoire. Ainsi le 12 avril 2018 la Cour de justice de l’Union européenne, dont Polémia a déjà dit tout le bien qu’il fallait en penser, a validé en pleine crise des migrants sa décision selon laquelle un réfugié mineur peut désormais faire venir sa famille dans l’UE et cela même s’ils atteignent leur majorité durant la procédure. Visiblement ces robins qui inaugurent ainsi en grande pompe un nouveau couloir d’invasion, ignorent la taille que peut atteindre une famille africaine !
    Il n’en demeure pas moins que les politiques nationales peuvent diverger profondément face à ce phénomène et que celles du Japon et des pays de Visegrad sont notoirement plus restrictives que celles des sociaux-démocrates scandinaves.
    D’où la tentation qui s’est fait jour d’organiser un système juridique de contraintes qui ligoteraient encore plus les nations de liens juridiques qui seraient de nature à leur faire abaisser de plus en plus la garde. C’est l’idée du pacte mondial sur les migrations.

    La genèse se trouve bien dans les organisations supra nationales et aux Etats-Unis

    L’idée d’un pacte mondial sur les migrations a été initiée en 2016  par les Nations unies et les Etats-Unis sous un Barack Obama en fin de mandat. Il fallait bien qu’il laisse une trace.

    En septembre 2016, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté un ensemble d’engagements qui sont énoncés dans la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants.

    Cette déclaration traduit l’engagement des États membres à renforcer et améliorer les mécanismes de protection des migrants.

    Elle ouvre la voie à des négociations visant l’adoption de deux nouveaux traités mondiaux en 2018 : le Pacte mondial sur les réfugiés et le Pacte mondial pour des «  migrations sûres, ordonnées et régulières ».

    Le processus est précipité à cause d’un contexte défavorable.

    Les consultations en vue du Pacte global sur les migrations ont formellement commencé au cours du premier semestre  2017 avec un document préparatoire présenté par le Mexique et, il faut le noter non sans étonnement, la Suisse qui s’est placée en pointe de cette affaire.

    Actuellement les négociations se poursuivent. Prévues pour se terminer en principe en juillet 2018, elles apparaissent difficiles. Beaucoup de pays riches prennent de plus en plus de mesures restrictives au sujet des migrations. Les opinions publiques sont divisées.

    Par ailleurs les régimes juridiques ont évolué de manière très différente entre les régions et les pays du monde. Tandis que l’Europe s’oriente de plus en plus, selon le Centre national de coopération au développement (CNCD), vers la limitation des départs dans les pays d’origine et la facilitation des expulsions et de la détention, des pays latino-américains comme l’Argentine ont adopté au cours des dernières années des législations reconnaissant les droits des migrants. Comment concilier des positions aussi antinomiques ?

    Lire la suite sur Polemia

  • Asile au col de de l’échelle, la gauche grimpe aux rideaux

    immigration-konk-2.jpgAnticapitaliste et chef d’entreprise, ancien de la LCR et ci-devant député embourgeoisé  deLa  France Insoumise dont il est un des cadres de premier plan, le socialo-trotskyste Eric Coquerel a été entarté jeudi tel un vulgaire Bernard-Henry Lévy. Les faits se sont déroulés  à Colombes (Hauts-de-Seine)  alors qu’il  se rendait à une réunion publique contre la  loi Asile et immigration – elle  été adoptée hier par les députés.  Antimacroniste… qui  a appelé à voter Macron face à Marine en mai dernier, le citoyen Coquerel a porté plainte après cet entartage revendiqué par l’Action Française.  Son jeune  entarteur a expliqué qu’il entendait dénoncer  par son geste  « un collabo de l’invasion (migratoire). » Eric Coquerel, chaud partisan d’ un accueil renforcé des migrants, a affirmé   sur France info, invité à réagir à l’agression dont il a été victime« On a les commanditaires et ceux qui le revendiquent. Si on les laisse faire là, on peut se demander jusqu’où ils iront(…).  Plusieurs députés de LFI font l’objet de menaces de la part de groupuscules d’extrême droite. » Sur cette même antenne, le porte-parole FN et maire de Beaucaire Julien Sanchez a dit « regretter ce type d’action» dont M. Coquerel a fait les frais - de pressing, de shampoing   et d’amour propre.  Mais il n’y a pas « de fumée sans feu » et «monsieur Coquerel est un  habitué de la provocation puisqu‘il a organisé avec ses amis l’occupation de la basilique de Saint Denis, ce qui est tout à fait inadmissible. On s’est attaqué à un lieu de culte dans la République et on a franchi certaines limites » a jugé Julien et  « personne n’a de leçons à recevoir de l’extrême gauche en matière de violences! »

    Dans ce registre rappelons en effet qu’un immigrationniste acharné comme Eric Coquerel était au nombre en 2012 des signatures de la pétition pour prendre la défense du rappeur Saïd  et de  sa chanson crachant sur l’histoire de notre pays qualifié de raciste, de colonialiste, intitulée «Nique la France». N….er la France par la poursuite de l’immigration massive reste bien un objectif révolutionnaire…qui n’est certes pas l’apanage de l’extrême gauche anticapitaliste

    D’un coup de com l’autre, celui mené avec  des moyens humains et matériels plus conséquents par Génération Identitaire (GI)  cette fin de semaine a été un modèle du genre par ses retombées et ses effets politiques, que l’on s’en félicite,  qu’on l’approuve ou non.

    Une centaine de militants , notamment Français et Italiens,  ont occupé  le   col de l’Echelle (Hautes-Alpes) une voie de passage  très  peu ou pas du tout  contrôlée  par les forces de l’ordre et qui est empruntée par  les immigrés clandestins qui  entendent gagner la France via l’Italie. Une action qui a suscité de nombreux commentaires et réactions, ce qui était bien évidemment le but recherché en plein débat parlementaire sur la poursuite de l’immigration. « La mission est une réussite, nous avons réussi à attirer l’attention médiatique et politique sur le col de l’Échelle »  a déclaré Romain Espino, un porte-parole de GI. Hier dimanche, des antifas  italiens ont  répliqué à cette action  en forçant  une  barrage de la gendarmerie pour permettre à  des immigrés illégaux de pénétrer sur le territoire français.

    De Brice Hortefeux (LR) à Danielle Obono,   tous  ont dénoncé dimanche lors du vote du projet de loi asile  et immigration,  le blocage  nauséabond   de ce  point de passage pour clandestins. Comme à leur habitude, les pontes de LFI,  qui n’ont  pas eu un mot pour dénoncer  les facs occupés et vandalisés par l’extrême gauche, se sont  distingués en hurlant au   retour des années noires après cette opération des identitaires. «Une milice d’extrême droite est actuellement en train de faire la police des frontières dans les cols alpins » s’est étranglé  M. Coquerel rejoint dans son indignation par beaucoup de ses collègues et notamment par l’ex PS  Jean-Michel Clément, député LREM  qui a voté contre le projet de loi asile-immigration et qui vient d’annoncer son départ du parti présidentiel – 14 députés LREM se sont abstenus de voter cette loi , un « péché véniel » et non « mortel » comme celui de M. Clément a précisé  le patron du groupe, Richard Ferrand

    Le  patron de LFI a vu comme les complotistes paranos de sa mouvance  la main du Front National. dans ce blocage du col de l’Echelle. M Mélenchon  a  hurlé contre   « la petite bande des amis de Madame Le Pen (qui)  prétend régler le problème de la frontière (et)  repousser dans la neige de pauvres gens qui s’y trouvent. » « C’est précisément parce que ce sont  (les identitaires, NDLR) des pitres un peu dérangés qu’il sont dangereux» a t-il déclaré avant «(d’ adjurer)» Gérard  Collomb  de sortir la grosse matraque contre GI car  «c’est votre devoir de nous protéger, et les migrants aussi.» Qu’est-ce qu’il ne fait pas dire comme âneries pour se faire bien voir et   quémander les voix des quartiers pluriels...

    Dépassé comme souvent,  le ministre de l’Intérieur  a conspué   « les gesticulations  qu’évidemment nous condamnons  (de GI) »  mais «tomber dans le panneau de ces gesticulations, c’est faire une publicité à une force qui n’en est pas une. » «Ne règne qu’une seule chose en France, l’ordre républicain que nous garantissons partout. » Le problème justement , c’est que l’ordre républicain n’est plus garanti partout, très loin s’en faut,  par ceux qui en sont les dépositaires note Bruno Gollnisch.  Et c’est parce que cette réalité là est rendue voyante par l’action menée au  col de l’Echelle qu’elle  déclenche aussi  tout ce bruit.

    Alors  M.  Collomb a tenté de  camoufler son impuissance aux yeux des Français    en déclarant   que  des renforts « importants» de forces de l’ordre vont être envoyés dans les Hautes-Alpes afin de « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières.» S’adressant plus spécifiquement  à la gauche de la gauche qui aime beaucoup l’appareil  policier pour peu qu’il persécute ses adversaires,  le ministre de l’Intérieur a assuré que ses  « services surveillent avec une extrême attention tous ceux qui font partie de cette mouvance (identitaire) » car  «dans des esprits faibles cela peut pousser à l’assassinat politique (?).  »

    Esprits faibles qui sont surtout  à la tête de de notre pays depuis trop longtemps et dont la faiblesse,  le manque de volonté devant le défi migratoire qui se pose à la France (comme au reste de l’Europe) est aussi criminel qu’aberrant. A cette aune, le FN a démasqué  lui aussi les contradictions, le double-langage de LREM et des autres partis de gauche quand quatre de ces députés ont voté hier l‘article 5 de la loi asile et immigration, réduisant le délai de première demande d’asile de 120 à 90 jours. Ce qui a entraîné une réaction embarrassée  de Nicole Belloubet, ministre de la justice, invitée hier de France Inter.

    Elle a rappelé l’évidence en affirmant que  le gouvernement et sa  majorité sont  « en désaccord profond avec les (propositions et analyses)  qui sont défendues par le FN». «Ce texte n’a pas été écrit pour séduire le Front National », même  « le Front National adopte des tactiques pour précisément déstabiliser l’ensemble de notre système républicain 

    Ce qui déstabilise non pas le système républicain , ce qui ne serait pas le plus grave, mais  la France même c’est plus exactement  la non remise en cause  des pompes aspirantes de l’immigration, du droit du sol et  du regroupement familial.  Autant dire que Mme Belloubet a raison de dire que ce texte pas du tout à la hauteur des enjeux,  n’est guère séduisant et s’apparente et un grossier enfumage.

    https://gollnisch.com/2018/04/23/asile-au-col-de-de-lechelle-la-gauche-grimpe-aux-rideaux/

  • Jean Raspail au sujet des renégats et de ceux qui confondent la France et la République

    Le site Lectures.Françaises.Info a publié un entretien avec l’écrivain Jean Raspail, auteur notamment du prophétique Camp des Saints.

    J’ai tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d’un colis piégé. Difficile de l’aborder de front sans qu’il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C’est pourtant l’interrogation capitale. J’ai hésité.

    D’autant plus qu’en 1973, en publiant « Le Camp des saints », j’ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n’ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites. Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu’« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d’une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu’au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié – la plus âgée – de la population du pays, le reste étant composé d’Africains, Maghrébins ou Noirs et d’Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l’islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer.

    TOUTE L’EUROPE MARCHE À LA MORT

    La France n’est pas seule concernée. Toute l’Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas – rapport de l’ONU (qui s’en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment -, mais ils sont systématiquement occultés et l’Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l’Europe des Quinze est l’un des phénomènes les plus sidérants de notre époque.

    Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l’incurie des « gouvernances » et qu’il lui faudra affronter dans son âge d’homme. Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l’homme, de « l’accueil à l’autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050.

    LA PREMIÈRE HYPOTHÈSE : LES ISOLATS RÉSISTANTS

    Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français – et pas nécessairement tous de race blanche – qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile.

    Face aux différentes « communautés » qu’on voit se former dès aujourd’hui sur les ruines de l’intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c’est nous qu’on intègre à « l’autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s’agira en quelque sorte – je cherche un terme approprié – d’une communauté de la pérennité française.

    Celle-ci s’appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore. Cela ne plaira pas.

    Le clash surviendra un moment ou l’autre. Quelque chose comme l’élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ?

    Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l’ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d’une espèce à jamais disparue qui s’appelait l’espèce française et n’annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé.

    LA SECONDE HYPOTHÈSE : LA « RECONQUISTA »

    Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu’en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c’est que les derniers isolats résistent jusqu’à s’engager dans une sorte de « Reconquista » sans doute différente de l’espagnole mais s’inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus.

    Ce n’est pas moi qui m’en chargerai, j’ai déjà donné. Son auteur n’est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j’en suis sûr.

    Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c’est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d’hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n’ose dire cyniquement, à l’immolation d’une certaine France (évitons le qualificatif d’«éternelle» qui révulse les belles consciences) sur l’autel de l’humanisme utopique exacerbé.

    Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l’État (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l’organisme encore sain de la nation française.

    LES RENÉGATS DE LA FRANCE

    Même si je peux, à la limite, les créditer d’une part de sincérité, il m’arrive d’avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot « renégat », mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République.

    Les « valeurs républicaines » se déclinent à l’infini, on le sait jusqu’à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d’abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n’est qu’une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d’idéologie, idéologie avec un grand « I », l’idéologie majeure.

    Il me semble, en quelque sorte, qu’ils trahissent la première pour la seconde. Parmi le flot de références que j’accumule en épais dossiers à l’appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l’étendue des dégâts. Elle est extraite d’un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d’une jeune Française issue de l’immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République. »

    Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure:

    « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d’êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.)

    Et celle-là, tirée du XXe chant de l’Apocalypse : « Le temps des mille ans s’achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. »

    Jean Raspail

    http://www.medias-presse.info/jean-raspail-au-sujet-des-renegats-et-de-ceux-qui-confondent-la-france-et-la-republique/90521/

  • Génération Identitaire attire l’attention sur la submersion migratoire

    gi_2-600x404.jpg

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Samedi dans la journée, une centaine de militants du mouvement Génération Identitaire sont montés jusqu’au col de l’Echelle à côté de Briançon. La haut, ils ont déployé une bâche massive sur laquelle était inscrit : « Frontière fermée, vous ne ferez pas de l’Europe votre maison. No Way. Rentrez chez vous ». L’opération était menée avec de gros moyens : 4×4, hélicoptères, etc.

    C’est la deuxième opération de Génération Identitaire sous la bannière Defend Europe. Il y a six mois, ils avaient affrété un bateau qui sillonnaient la méditerranée au large de la Libye pour alerter les autorités sur la présence de passeurs et de bateaux de clandestins.

    Ils ont aussi déployé une barrière symbolique tout le long du col

    L’objectif était d’attirer l’attention sur l’arrivée massive d’immigrés clandestins en France. Le col de l’Echelle est un des points de passage connus de clandestins de l’Italie vers la France. Le message de Génération Identitaire était clair. En gros, si nous sommes capables de le faire à cent, qu’attend le gouvernement pour remplir sa mission.

    Les réactions ont été nombreuses et immédiates

    Marine Le Pen a soutenu a demi-mots l’initiative. Elle a annoncé sur le réseau social Twitter : « L’opération de Génération Identitaire a une conséquence cocasse : toute la gauche s’est plainte en hémicycle que ce ne soient pas les forces de l’ordre qui aillent protéger les frontière #StopMigrantAlpes »

    Gérard Collomb a lui refusé de commenter ce qu’il a appelé une gesticulation. Son refus de s’attaquer encore plus durement aux militants identitaires le met sous le feu des critiques de la gauche qui l’accusent de complaisance alors qu’une loi sur l’accueil de migrants est actuellement étudié au parlement.

    Dernière réaction, celle des antifascistes italiens qui ont affrété un car et fait passer 150 clandestins sur le territoire français via un autre point de passage.


    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel

    L’opération de Génération Identitaire a une conséquence cocasse: toute la gauche s’est plainte en hémicycle que ce ne soient pas les forces de l’ordre qui aillent protéger les frontières... 
</section>
<section class=

  • Génération Identitaire bloque le passage de la frontière franco-italienne aux immigrés clandestins

    6a00d83451619c69e20223c845069a200c-250wi.jpgBelle opération de communication de Génération identitaire, qui s'était déjà fait remarquer en Méditerranée : samedi 21 avril à 9h, une centaine de militants, composés de Français, d’Italiens, de Danois, d’Autrichiens, d’Anglais et d’Allemands, ont pris position au col de l’Échelle, à 25 km de Briançon, dans les Hautes-Alpes, afin de barrer la route aux immigrés clandestins. Le mouvement a pu mobiliser deux hélicoptères qui ont survolé la zone tout au long de l’après-midi.

    Depuis l’été 2017, le flot de clandestins empruntant ce passage ne cesse de grandir. Plus de 2 000 immigrés illégaux ont déjà été officiellement été comptabilisés. Combien en réalité ? Plutôt que de débloquer des fonds pour créer de nouveaux centres d’accueil pour les migrants clandestins, ce sont les budgets de la PAF (Police Aux Frontières) qui devraient être musclés.

    "Génération Identitaire exige l’arrêt de l’immigration massive et le blocage définitif du passage du col de l’Échelle. Plus aucun clandestin ne doit pouvoir rentrer illégalement en France en empruntant cette voie. Les Français ne veulent plus d’immigration ! La place de ces migrants clandestins n’est ni en France, ni en Italie, mais dans leur pays d’origine. L’opération « Alpes » de Defend Europe est lancée !"

    Romain Espino (porte-parole de Génération Identitaire) explique :

    «On a repris le contrôle de la frontière franco-italienne pour montrer aux pouvoirs publics qu’avec de la détermination et nos moyens, on peut reprendre le contrôle de nos frontières.Donc on remarque bien qu’il s’agit d’un manque de courage politique.»

    Témoignage d'un habitant du briançonnais :

    "J'adore ma vallée, ma ville, mais la situation est de pire en pire... Grâce à des gens comme vous, ça peut s'améliorer. Alors j'ai tenu à venir vous soutenir. 95% des gens sont d'accord avec moi."

    Pendant que la gauche et l'extrême-gauche deviennent hystériques, la préfecture a simplement indiqué « suivre les opérations » quand le ministre s’est contenté de regretter des « gesticulations ». Dans un communiqué, le préfet des Hautes-Alpes s’est contenté d’indiquer que

    « la préfecture et les forces de l’ordre continuent de suivre avec attention et vigilance la poursuite de cette opération afin de prévenir tout trouble à l’ordre public et de garantir le respect du droit« . L’opération « s’est jusqu’à présent déroulée dans le calme».

    Pendant ce temps, côté Italiens, les nouveaux trafiquants d'esclaves accompagnent les immigrés clandestins pour les aider à violer la loi. L'extrême-gauche tombe dans le piège en diffusant ce genre d'image, plus anxiogène pour les Français que des étudiants en doudoune bleu ciel bloquant une frontière :

    DbZKSgvW4AExq-O

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’indispensable radicalisation de la Nation française

    Godefroi-de-Bouillon.png

    Bernard Plouvier

    On ne cesse de nous parler d’islamistes « radicalisés », alors qu’ils ne sont que des fanatiques prêts à tuer n’importe qui dans le cadre de leur Djihâd moyenâgeux et oriental. Une fois encore, les fabricants d’opinion publique jouent sur les mots (en termes nobles : ils usent et abusent des confusions sémantiques) pour tromper les nations européennes.

    Le terme « radical » implique le refus de transiger avec ses principes d’ordre éthique et les nôtres sont simples et démocratiques : travail, famille, patrie européenne, égalité de tous devant la Loi, strict respect des libertés d’opinion et d’expression, laïcité de l’État (ce qui implique de combattre tout fanatisme religieux), enfin respect de la logique géographique – ce qui signifie que pour devenir membre de la Nation française, il faut, par définition, appartenir à la race européenne.

    Toute mixité raciale ne peut que créer une société multiraciste. De même, les cultures exotiques ne sont que des curiosités pour esthètes, à la façon des pièces de musée ethnographique. L’Europe est riche de sa race civilisatrice et d’une culture plurimillénaire ; elle n’a nullement besoin d’importer du fatras exotique, sauf à titre de curiosités (comme l’on disait au XVIIIe siècle).

    Les partisans des sociétés multiraciales et multiculturelles peuvent s’expatrier là où l’on aime le genre pot-pourri, par exemple dans les Amériques. Mais nous autres, Européens, n’avons pas à subir les effets pervers d’un afflux monstrueux – par le nombre, la brutalité et l’insociabilité – d’immigrés inadaptés à nos conditions de vie, parce qu’étant issus de pays sous-développés, aux mentalités opposées à la véritable modernité.

    La vie moderne est faite d’un travail où l’intelligence et l’adaptation ont remplacé la force physique, nettement moins efficace et contrôlable que l’énergie matérielle. Elle est faite aussi de respect absolu de la vie privée, des sentiments d’autrui, de la liberté de penser et de s’exprimer pour tout citoyen honnête. La vie publique moderne est donc laïque, le phénomène religieux étant d’ordre strictement privé.

    Notre conception de la vie est en tout point opposée au fanatisme mahométan. Dans la société islamique, totalitaire comme toute société à dogme unique – qu’il soit de nature religieuse ou politique ne fait rien à l’affaire –, le moindre crétin fanatique peut dénoncer son « frère » en Allah, comme autrefois le communiste dénonçait au Parti ou à la police politique le « camarade déviant » ou « l’ennemi de classe ».

    Envahies, appauvries, meurtries, les nations européennes doivent contre-attaquer. Le milieu politico-médiatique étant, sinon entièrement pourri, du moins assez faisandé et largement pénétré par la propagande globalo-mondialiste, métisseuse de races et de cultures, les Nations ne peuvent espérer de salut que par le populisme.

    Un mouvement populiste efficace doit diffuser quotidiennement sur les réseaux sociaux un bilan des pillages, incendies, scènes de vandalisme, rackets et viols perpétrés par la racaille (autochtone et immigrée), de façon à ce que même le bobo le plus larvaire comprenne, grâce aux images et au discours, simple et véridique, que notre pays est délabré par l’effet d’un mauvais usage de l’argent public, dévasté de façon pluri-hebdomadaire par des individus hautement indésirables et que des citoyens français y sont molestés de façon pluriquotidienne.

    L’on n’a pas besoin du discours néolibéral des mollassons du « Front National nouvelle vague ». L’on a besoin d’images du désastre français et de l’invasion exotique. L’on a besoin d’un avatar de Jean-Marie Le Pen, jeune et charismatique, qui ne dise pas de sottise par goût immodéré de la provocation : les faits réels sont suffisamment graves pour qu’on n’y adjoigne pas de polémique stupide sur le passé. Seuls comptent le présent et l’avenir.

    Il est absurde de discuter de problèmes économiques, financiers, sociaux, etc. tant que l’on n’a pas défini une attitude générale de défense vigoureuse – ce qui implique une action dure – de nos valeurs et tant que l’on n’a pas pris la ferme décision de rejeter l’envahisseur inassimilable.

    La globalisation de l’économie fait de l’Europe (à l’exception de l’Allemagne, pour l’instant) un désert industriel. C’est le seul problème économique et social à régler d’urgence… alors que les démagogues parlent de réduire la quantité de travail à fournir par ceux qui ont (encore) un emploi !

    L’ouverture des frontières aux êtres et aux biens, fondement de la société globalo-mondialiste, fait de l’Europe un caravansérail pour inadaptés, tout en créant les conditions optimales pour une fin de civilisation.

    L’Europe ne sera de nouveau forte que lorsqu’elle ne contiendra que des Européens de souche et n’englobera que des terres européennes. Les territoires extra-européens doivent être abandonnés, sauf s’ils sont peuplés quasi-exclusivement d’Européens (tels le Groenland et les îles Saint-Pierre-et-Miquelon, qui appartiennent à la plaque tectonique nord-américaine). Les DOM-TOM ne font en aucun cas partie intégrante de la France : la décolonisation doit être complétée, tant pis pour les nostalgiques du XIXe siècle conquérant.

    A contrario, il faut organiser sans faiblesse le retour intégral en leurs terres d’origine des Extra-Européens. La preuve est faite, et largement, du caractère inassimilable des populations exotiques demeurées primitives, même si les rares élites d’origine extra-européenne s’assimilent assez aisément… mais que font ces personnes en Occident ? Leur devoir, envers leur race et leur continent, est de retourner dans leurs contrées d’origine pour les civiliser.

    Pour défendre nos valeurs, nous devons radicaliser notre discours, mais surtout nos actes. La seule radicalisation efficace, c’est d’organiser des manifestations de grande ampleur, soit témoigner de notre force. Les arguments logiques sont manifestement inopérants auprès des pantins qui se sont hissés aux apparences du Pouvoir pour servir des maîtres non-européens. La preuve est faite que l’expression de la volonté populaire est biaisée par le matraquage médiatique au service du pouvoir économique, ce qui revient à dire : la Finance.

    Le discours populiste n’est en aucun cas suffisant. Un mouvement populiste doit être orienté vers un militantisme politique pour reconquérir les rues et les places publiques, de façon à permettre la libre expression de tous – et plus seulement celle des pseudo-gauchistes, nervis de la finance cosmopolite, et des forts en gueule exotiques – et pour assurer la libre déambulation, ce qui implique d’aider les forces de l’ordre, totalement dépassées, à lutter contre les bandes de sauvages qui pillent, violent, incendient, rackettent, molestent.

    L’organisation de milices non-armées d’autodéfense, constituées de deux ou trois dizaines d’hommes rompus aux sports de combat, est la seule véritable démarche citoyenne, dans le contexte de la France urbaine actuelle.

    L’époque du bobo consommateur béat, tiers-mondiste et féministe, est révolue – aux USA comme en Europe, d’ailleurs, mais la décrépitude de la classe moyenne d’Outre-Atlantique est dépourvue d’intérêt pour les Européens, qui n’ont pires ennemis que les financiers installés en Amérique du Nord qui façonnent l’opinion mondialiste.

    Finies les années de jouissance molle et de bêtise crasse. Commencent les années rudes de la guerre des races et des religions en notre Europe. Ou nous nous battrons, ou nos descendants seront esclaves… comme les Européens de l’Est le furent des Mongols, puis des assassins marxistes.

    L’avenir de notre continent dépend de notre action.

    EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Mélenchon veut agir contre les identitaires car «Delanoë s’était pris 7 coups de poignards à Paris» (L’agresseur était Azedine Berkane, d’origine algérienne

    Jean-Luc Mélenchon « adjure » Gérard Collomb d’agir contre les groupes identaires qui menacent les migrants et les politiques : « Delanoé s’était pris 7 coups de poignards à Paris, c’est votre devoir de nous protéger, et les migrants aussi ».

    Nils Wilcke
     
    @paul_denton

    Grave, @JLMelenchon, "adjure" Gérard Collomb d'agir contre les groupes identaires qui menacent les migrants et les politiques : "Delanoé s'était pris 7 coups de poignards à Paris, c'est votre devoir de nous protéger, et les migrants aussi"

    08/10/2012 : L’agresseur de Delanoë était un « un déséquilibré » d’origine algérienne, Azedine Berkane

    L’auteur du coup de couteau sur Bertrand Delanoë, Azedine Berkane, était passé par Lourdes en juin dernier. Le 26 juin, au cours d’un banal contrôle d’identité, les policiers lourdais l’avaient interpellé alors qu’il se trouvait en compagnie de plusieurs SDF à proximité de l’entrée des sanctuaires. « C’est en vérifiant l’identité qu’il nous avait donné que nous avons découvert qu’il faisait l’objet d’une fiche de recherche dans l’intérêt des familles », se souvient l’un des policiers. La mère de Berkane avait en effet signalé sa disparition du domicile familial le 25 février. Depuis, ses parents, un couple d’Algériens, n’avaient plus aucune nouvelle de lui.  […]

    L’homme, âgé de 39 ans, doué pour l’informatique, a un casier judiciaire alourdi par une succession de menus larcins. Gros fumeur de haschisch, et à ce titre considéré comme toxicomane, il est condamné une première fois en 1980, à l’âge de dix-sept ans, pour un vol de voiture. Par la suite, il est interpellé en 1985 pour dégradations de véhicules et recel de vol, puis en 1988, 1989 et 1990 pour trafic de stupéfiants. En 1992, il est condamné pour dégradation de biens publics et une dernière fois en 1993 pour trafic de drogue. […]  Il dit détester les hommes politiques parce qu’ils ne lui ont jamais fourni de travail, ainsi que les homosexuels, que sa religion réprouve. Samedi soir, il a croisé dans les couloirs de la mairie de Paris Bertrand Delanoë, l’homme qui incarnait l’objet de sa haine. Hier soir, il a été mis en examen pour « tentative d’assassinat » et écroué.

    La Dépêche

    http://www.fdesouche.com/993145-melenchon-veut-agir-contre-les-identitaires-car-delanoe-setait-pris-7-coups-de-poignards-a-paris

  • Le projet de loi immigration : Des mesures de durcissement « bidon » cachant plusieurs dispositions qui accentueront l’invasion

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°197 – avril 2018) 

    Le projet de loi du gouvernement intitulé « Pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif » se présente comme un texte équilibré. Il affirme viser à la fois l’ouverture – améliorer l’accueil des personnes en situation régulière – et la fermeté – éloigner plus efficacement du territoire les personnes en situation irrégulière -.

    En réalité le caractère équilibré du projet est factice et la fermeté affichée un trompe-l’œil : les mesures de durcissement que le projet contient sont des mesurettes « bidon » visant à camoufler et à faire passer en douceur les autres dispositions du texte, qui sont elles destinées à accroître l’immigration.

    Nous citerons ci-après les principaux articles du projet de loi et certains passages importants, avec le numéro de page correspondant, de l’étude d’impact annexée au projet. Nous renvoyons d’autre part à cette précédente chronique, dans laquelle figure une présentation générale du dispositif de l’asile.

    1. Les flux d’immigration ne cessent d’augmenter

    Il faut rappeler tout d’abord le contexte dans lequel ce projet s’inscrit : le rythme de l’immigration s’est encore accéléré depuis que M. Macron a été élu.

    • L’immigration régulière

    Les immigrés non européens entrés de façon régulière en France métropolitaine pour s’y installer (regroupement familial, étudiants, immigration de travail, asile) ont été 267.000 en 2017. Ce nombre, en augmentation de 14 % par rapport à l’année précédente, constitue un record, jamais atteint jusqu’à présent (voir cette chronique).

    • Les demandes d’asile

    Les demandes d’asile sont elles aussi en augmentation constante. En 2017 elles se sont élevées à 92.830 (73.689 premières demandes + 19.141 mineurs accompagnant le demandeur). Ce nombre, en augmentation de 18 % par rapport à l’année précédente, est là aussi un record (pages 29 et 58 de l’étude d’impact).

    Encore faut-il ajouter à ces chiffres les « demandeurs placés sous procédure Dublin », c’est-à-dire les personnes demandant l’asile en France alors qu’elles sont entrées en Europe dans un autre pays que la France (les accords de Dublin prévoient d’une part que c’est le premier pays dans lequel l’étranger a été enregistré qui doit traiter la demande d’asile, et d’autre part que l’étranger concerné, s’il a gagné un autre pays d’Europe, doit être reconduit dans le pays qui traitera sa demande).

    Le nombre des « dublinés » entrés en France en 2017 et ayant présenté une demande d’asile est de près de 30.000 personnes. Le nombre total de nouvelles demandes d’asile présentées en France, mineurs accompagnants compris, atteint donc en 2017,  121.200 (p. 10).

    • Les demandes d’asile satisfaites

    Les demandes d’asile satisfaites augmentent elles très fortement. En 2017, l’asile a été accordé à 35.825 personnes, soit une hausse de 56 % par rapport à l’année précédente (p. 21 et 30).

    Lire la suite sur Paysan savoyard.

  • Le Pouvoir se montrant incapable de protéger nos frontières, des militants identitaires s'en chargent

    DbTHb3YW0AE5M8w.jpg

    DbTVd2LWAAEIzOw.jpg

    DbTFNVyXUAEwNdW.jpg

    DbUOz87WkAMnB9f.jpg-large.jpg

    Des militants  expliquent à un migrant la bonne nouvelle : ii n'est plus possible de rentrer en France, le Col de l'Echelle étant désormais fermé.

    Après une ascension commencée après 9 heures, en raquettes sur la neige, les militants de Génération Identitaire ont matérialisé une « frontière symbolique » à l’aide de grillage en plastique de chantier et prévoient de passer la nuit au col. Il s’agit d’« expliquer aux migrants éventuels que ce qui n’est pas humain, c’est de faire croire à ces gens qui traversent la Méditerranée ou les Alpes enneigées que ces parcours ne présentent aucun risque. C’est faux », a déclaré Romain Espino, le porte-parole de GI. « Ils ne vont pas trouver l’Eldorado, c’est immoral. Ceux qui en paient les frais, ce sont les Français », a-t-il ajouté.

    Depuis un an, les Hautes-Alpes connaissent une augmentation exponentielle d’arrivées de jeunes, majoritairement de Guinée (Conakry) et de Côte d’Ivoire (pourtant première puissance économique d’Afrique de l’Ouest). Ces nationalités arrivent loin devant celles des autres migrants, très majoritairement ouest-africains. Selon la préfecture, 315 personnes en situation irrégulière ont été refoulées vers l’Italie en 2016 et 1 900 en 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/