Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 908

  • Européens, révoltez-vous !

    tatjanafesterling10ans-588x330.png

    Discours de Tatjana Festerling, ancien porte-parole de PEGIDA

    A l’occasion des 10 ans de Riposte laïque qui se sont tenus à Rungis le 2 septembre 2017, Tatjana Festerling, ancien porte-parole de PEGIDA, fondatrice de Forteresse Europe, a prononcé un discours loin des convenances, appelant à se révolter contre les politiciens qu’elle qualifie de « caste des Protégés ». Polémia livre ce texte à ses lecteurs.
    Polémia.

    Dix ans d’activisme politique contre l’islamisation de votre nation laïque. Je vous félicite tous pour votre persévérance, votre endurance, avec laquelle vous essayez toujours de réveiller des gens et d’amener les politiciens à changer d’orientation !

    J’aimerais saluer cela expressément, parce que vous êtes différents des décideurs politiques en Europe occidentale.

    Les politiciens ont créé la caste des Protégés

    Les politiciens ont créé une caste pour eux-mêmes : la caste élitiste et narcissique des Protégés. Avec des voitures blindées, une protection personnalisée et un personnel pléthorique qui s’occupe de la sécurité et prête attention aux détails.

    Ce sont là des symboles du pouvoir. Symboles de délimitation et de distance. Symbole du mépris. Oui, l’Europe occidentale a un système de castes.

    La caste des sans-protection va diligemment au travail et, en chemin, dans les stations de métro, elle est poussée dans les escaliers, massacrée ou jetée sous les trains.
    Les personnes sans protection font la queue aux supermarchés et se font poignarder. Les filles des sans-protection sont harcelées, tripotées et violées.
    Les fils des non-protégés sont rackettés, battus et humiliés.
    Les non-protégés se baladent sur des zones piétonnes d’Europe avec leurs familles et sont fauchés par des terroristes au volant de véhicules et de camions.

    La guerre contre leurs propres compatriotes

    Nous autres militants et dissidents, nous appartenons aussi à la caste des sans-protection. En Allemagne, une sentence contre une critique de l’islam vient de tomber : 6 mois de prison avec sursis pour avoir osé comparer l’islam au national-socialisme. (http://www.pi-news.net/das-skandal-urteilvon-muenchen-ist-ein-rechtsbruch/)

    J’appelle cela « Guerre ». C’est une guerre contre ses propres compatriotes. C’est une guerre profondément raciste. Contre les Français, contre les Allemands, contre les Européens. Et quand on voit que les Américains et les Australiens luttent aussi contre des gauchistes, c’est aussi une guerre contre l’homme blanc.

    10 longues années de lutte contre l’islamisation

    Il est temps de faire le point. Qu’avons-nous réalisé ? Qu’avons-nous promu et qu’avons-nous évité ?
    Quel soutien avons-nous des citoyens ? Avons-nous apporté un éclairage sur la nature totalitaire de cette idéologie déguisée en religion inoffensive ?
    Et surtout, avons-nous été entendus, compris et a-t-on agi ?
    L’islamisation de la France a-t-elle pu être empêchée ces 10 dernières années ?

    Si nous sommes honnêtes – dans toute l’Europe occidentale -, nous devons admettre que nous n’avons pas réussi.

    Il y a longtemps que l’islam s’est emparé de l’Europe occidentale

    Erdogan a bien raison d’estimer que la conquête de l’Europe lui prendrait trois ridicules journées. En 24 heures, l’Allemagne se décomposerait.
    Comment en est-on arrivé là ?
    Bien des livres intelligents furent publiés, bien des articles, des exposés et des discours furent écrits… mais ils n’ont jamais été écoutés en politique.

    Nos mots et nos appels à la raison n’ont pas provoqué de changement politique. On ne réfute pas les arguments de celui qui s’oppose, on le réduit au silence.
    Nous constatons l’incapacité totale de la caste politique d’avouer ses erreurs.
    Nous sommes gouvernés et conquis par des gens qui n’acceptent pas la critique et qui ne réagissent pas rationnellement à quelque critique que ce soit. Des handicapés mentaux.

    La folie est omniprésente

    Ce que nous vivons n’a rien à voir avec l’entendement, la raison ou la logique. C’est l’irrationalité, la névrose, la psychopathie.
    Tout cela a déjà pris des proportions épidémiques. La folie est si omniprésente qu’elle n’est même plus perçue comme telle.

    Au citoyen de cette société, beaucoup de choses semblent encore raisonnables, simplement parce qu’elles correspondent au sens commun admis de nos jours.
    De telles sociétés, hautement névrosées, sont facilement manipulables : à travers la culpabilisation permanente, par exemple.

    La culpabilité quotidienne

    Il ne s’agit pas uniquement des douze années hitlériennes en Allemagne ou du colonialisme français.
    Non, c’est à l’aide d’une culpabilité QUOTIDIENNE qu’on nous maintient prisonniers de la souricière névrotique :

    – Coupables si nous allons chercher le journal en voiture ;
    – Coupables si nous achetons des fraises en hiver ;
    – Coupables si nous fumons ;
    – Coupables si d’aventure nous oublions des lampes allumées pendant la journée ;
    – Coupables si nous, les hommes, nous pissons debout ;
    – Coupables si nous gagnons plus d’argent que d’autres ;
    – Coupables si nous consommons gras, sucré ou mangeons du thon ;
    – Coupables si un glacier du pôle Nord vient à se briser.

    Du matin au soir on nous assène : coupables, coupables, coupables !

    En attendant, nous n’avons même plus besoin de normes ou d’interdictions pour nous soumettre à des règles présumées.

    Une vraie culture collectiviste contraignante et névrotique

    Nous baignons dans une vraie culture collectiviste contraignante.
    Elle ne se désigne pas elle-même comme « Oumma islamique » mais comme « Démocratie occidentale ».

    Mais les parallèles avec les sociétés islamiques strictes sont effrayants !
    Vivre dans des sociétés collectivistes c’est comme vivre dans une famille dysfonctionnelle. Au centre, il y a un narcissisme pathologique sévère.
    Cela peut être comparé à la souffrance d’une famille précipitée dans le malheur par un alcoolique. Ses membres se réfugient dans la même dépendance en croyant pouvoir contrôler quelque chose de l’intérieur.

    Dans une société collectiviste névrotique, les gens n’ont pas le droit d’avoir une conscience propre, ils n’ont pas le droit d’avoir ni estime de soi, ni personnalité.
    Car ces qualités impliquent l’émergence d’un esprit de contradiction, donc danger ! Surtout pour les narcissiques au sommet… de la nation, de la communauté religieuse ou de la famille.
    Quiconque se soumet au collectivisme (à la communauté) devient facilement contrôlable par les émotions.

    En retour, le soumis collectiviste a constamment besoin d’une sorte de « récompense morale », d’une attention et d’une reconnaissance que lui renvoie sa propre caisse de résonance. La bulle idéologique filtrant l’info lui promet notamment soutien moral et orientation – une sorte de demeure spirituelle.

    Une propagande H 24

    Cette carence permanente en approbation est comme une faim spirituelle qui doit être constamment satisfaite de l’extérieur. Grâce à une propagande sur les réfugiés 24h sur 24 à la télé, à travers les différentes facettes de la culture d’accueil si ce n’est à travers les visites de mosquées et le rythme des prières.

    Mais voilà que la rationalité, la logique et l’esprit de contradiction se mettent à déclencher la dissonance cognitive, cet état de conscience désagréable que chacun de nous tente d’éviter.
    Une société aussi malade que cela – particulièrement ses narcissiques au sommet – se construit tout naturellement des mécanismes de défense.

    Nous voyons donc à l’œuvre le déni, la banalisation, la relativisation, la projection, la haine, la menace, le mensonge. Et les contes de fée. Au sujet des réfugiés, par exemple, qui auraient plein de compétences, et des familles.

    Ou bien le conte des Mille et Une Nuits : « L’islam est amour. »
    Les narcissiques et l’islam ont un important point commun : ils ne se posent jamais de questions !
    La réflexion ? Impossible ! L’autocritique ? Immédiatement reconnue comme menace et rejetée dans une fureur féroce, sans merci, ou immédiatement éliminée comme apostate ou hérétique.
    Un échec patent qu’on couvre du voile de la prochaine promesse creuse, du prochain mensonge éhonté, du prochain « jet de dés ».

    A ce collectivisme compulsif et contraignant de l’Europe occidentale Merkel a massivement convié des psychopathes du monde afro-arabe. Quel cocktail détonnant ! Car avec des psychopathes, peu importe leur origine, on ne peut pas discuter.

    C’est pourquoi nous sommes confrontés à une perte de contrôle totale, à l’échec total de l’UE.
    Des frontières nationales devenues passoires, des frontières extérieures de l’UE totalement ouvertes et un droit d’asile complètement dément en Allemagne. L’UE assure en quelque sorte à chacun des sept milliards d’étrangers un droit individuel lui permettant d’engager une procédure administrative et judiciaire lourde pour demander l’asile.
    Aucun changement en vue !

    Chers amis, cette crise offre une dernière chance : soit nous reconnaissons notre problème et modifions quelque chose, soit nous nous suicidons.
    Mais pourquoi ne ressentons-nous pas de colère et d’envie de survie en Europe occidentale ?
    Comment se fait-il que nous soyons plus soumis que jamais et choisissions toujours la caste des Protégés, celle qui alimente notre submersion par des envahisseurs ?

    La première voie vers la guérison consiste à comprendre que nous sommes une société profondément malade. C’est une grande réalisation que d’échapper à ces schémas de croyance contemporains, à tous ces mythes dans lesquels nous sommes collectivement conditionnés et tenus prisonniers.

    De quoi avons-nous peur ?

    Et puis la question suivante doit être posée : de quoi avons-nous vraiment peur, nous Européens ?
    Avons-nous peur des mots ? Craignons-nous d’être qualifiés de nazis ? Ou bien des conséquences concrètes qui nous attendent dans une Europe islamique ?

    Grands dieux ! Si 1 million d’Européens, Français, Allemands, Britanniques, Suédois… refusaient de payer leurs impôts, vous ne pourriez pas tous les emprisonner !
    Si, à l’échelle européenne, tous les cheminots succombaient simultanément au virus Europa-Ebola pendant une semaine, vous ne pourriez pas tous les licencier !

    Si, pour une fois, tous « les » Européens, en un seul et même jour, restaient alités et ne travaillaient pas, ne consommaient pas…, on ne pourrait tout de même pas tous les punir et les surveiller !
    Si les Européens s’accordaient pour une seule occasion et appelaient à la grève dans toute l’UE, l’effet domino s’étendrait et aurait vite fait de conjurer le sort maléfique qui nous est jeté !
    La question cardinale, que chacun de nous doit sincèrement et profondément se poser, est : « Ai-je envie de vivre ? »

    « Etre ou ne pas être », Mesdames et Messieurs, cette question n’a jamais été aussi claire que de nos jours.

    Merci de votre attention et pardonnez-moi de ne pas conclure par une phrase convenue comme « Je vous souhaite beaucoup de succès pour les 10 prochaines années ». Le temps des formules creuses est définitivement révolu! !

    Tatjana Festerling 2/09/2017

    Source : Riposte Laïque.com
    http://ripostelaique.com/tatjana-festerling-francais-europeens-avez-vous-encore-envie-de-vivre.html

    Voir : Une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste
    https://www.polemia.com/une-forteresse-europe-contre-le-danger-islamiste/

    Forteresse Europe ! Et après ?
    https://www.polemia.com/forteresse-europe-et-apres/

    https://www.polemia.com/europeens-revoltez-vous/

  • AFFRONTEMENTS AVEC LA POLICE, VIOLS, CRIMINALITÉ : ÉTÉ NORMAL POUR LES MIGRANTS D’ITALIE

    f-libya-b-20150505-1550x660.jpg

    L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration et la réalité de l’intégration. Entre deux reportages vantant la bonté de Mamadou qui fait du jardinage bio pour nourrir les Italiens et le civisme d’Habib qui lave son pot de yaourt avant de le jeter au tri (véridique), elle était plutôt faite d’émeutes avec la police, de viols à répétition et d’agressions dans les transports en commun.

    Le 24 août, à Rome, une centaine de réfugiés mettaient à feu et à sang la place de l’Indépendance pour protester contre la proposition de relogement de la mairie, alors qu’ils occupaient illégalement un immeuble depuis 2013 (où furent retrouvés plusieurs milliers d’euros d’argent liquide et des biens de luxe). De violents affrontements eurent lieu avec les forces de l’ordre, qui essuyèrent jets de pierres, de cocktails Molotov, mais aussi de bouteilles de gaz. Les sempiternels gardiens de la bonne conscience, qui dénoncèrent l’utilisation des canons à eau pour calmer les émeutiers, ne purent que se taire devant les images où est clairement visible l’attaque contre la police. Seules quatre personnes ont été interpellées.

    Des images parlant d’elles-mêmes aussi, celles qui montrèrent un groupe de Subsahariens jetant à terre et rouant de coups un chauffeur de bus. Étrangement, les gardiens de la bonne conscience n’ont pas commenté l’incident. 

    Silence analogue quant au viol, d’une rare violence, perpétré quelques jours plus tard à Rimini (le quotidien La Repubblica a quand même produit un article dénonçant… les commentaires à caractère raciste publiés sur la page Facebook d’un des violeurs !). Une bande de quatre « jeunes » (dont trois mineurs) – deux Marocains, un Nigérian et un Congolais (à qui le statut de réfugié avait été refusé) – massacrèrent un couple de touristes polonais, violant la jeune femme à tour de rôle, et étouffant son compagnon en lui mettant la tête dans le sable. Non contents de leur agression, que la police a qualifiée de « brutale et bestiale », ils s’en prirent à un transsexuel péruvien rencontré quelques centaines de mètres plus loin, le sodomisant six fois. La Pologne a demandé l’extradition des quatre auteurs.

    Le problème, ce n’est pas – seulement – que ces « faits divers » soient tous l’œuvre d’hôtes d’origine étrangère, immigrés de fraîche date ou nés en Italie. Mais plutôt qu’ils bénéficiaient tous de la solidarité et de la générosité du pays d’accueil. Pire : dans le cas des frères marocains, malgré la décision d’expulsion de toute leur famille tombée en 2014 (ils faisaient l’objet de plusieurs plaintes), ils vivaient aux frais de la princesse, mairie et Caritas s’acquittant de leur loyer, de leurs factures d’énergie et de leurs courses.

    On pourra alors rétorquer que de nombreux délits ont été commis par des Italiens durant la même période. Certes. Or, si de tels crimes sont difficilement prévisibles, il est néanmoins possible et impératif de contrôler les entrées sur son territoire, comme cela fut le cas des siècles durant. Ces racailles (aucune ne provenant d’une zone de guerre) n’avaient rien à faire sur le sol italien. La politique de la porte ouverte et de l’argent facile ne pourra que drainer vers nos contrées ce que la démographie explosive africaine produit de pire. Puisque les gens bien, eux, quand ils ne s’engagent pas pour l’amélioration de leur lieu de vie, restent au moins chez eux, auprès de leur famille 1.

    Notes:

    1. Rappelons que, selon l’UNHCR, sept migrants sur dix qui débarquent en Italie sont des hommes dont l’âge est compris entre 18 et 34 ans. 

    http://www.bvoltaire.fr/affrontements-police-viols-criminalite-ete-normal-migrants-ditalie/

  • Terrorisme islamique : une menace bel et bien présente - Journal du Jeudi 7 septembre 2017

  • L'immigration contraire à la charité

    D'Eric Letty dans le dernier Monde & Vie :

    6a00d83451619c69e201b7c91cb05a970b-250wi.jpg"Pour préparer la « journée mondiale du migrant et du réfugié 2018 », le pape François a diffusé, le 15 août, un message dans lequel il appelle à ouvrir largement les portes à l’immigration, au nom de la charité. Il est pourtant douteux que cette dernière y gagne. Les propositions de François émanent d’une conception essentiellement individualiste de l’immigration, envisagée comme un droit personnel qui primerait sur celui des nations. Cette opposition ne me paraît pas fondée. Dans son livre Mémoire et identité, saint Jean-Paul II rappelait que

    « la doctrine sociale catholique considère que tant la famille que la nation sont des sociétés naturelles et ne sont donc pas le fruit d’une simple convention. C’est pourquoi, dans l’histoire de l’humanité, elles ne peuvent être remplacées par rien d’autre. »

    Le pape polonais y définissait la nation comme « une communauté qui réside dans un territoire déterminé et qui se distingue des autres nations par une culture propre » et insistait sur l’importance de la culture nationale dans la résistance de son pays et de son peuple aux totalitarismes, nazi et communiste.

    Son successeur argentin paraît au contraire ignorer cette dimension culturelle, lorsque, appelant les pays d’arrivée à l’accueil universel, il privilégie en outre la notion d’intégration sur celle d’assimilation, au nom d’« opportunités d’enrichissement interculturel général du fait de la présence de migrants et de réfugiés » dont l’expérience a prouvé l’inanité.

    Dans les pays d’accueil, en particulier en France, la cohabitation anarchique de populations très différentes de mœurs et d’origines conduit au contraire à une “désintégration” culturelle des classes les plus pauvres de la population de souche, qui les prive de leur héritage collectif et de leur identité. L’Église devrait s’inquiéter des conséquences de cette perte d’identité qui favorise la déchristianisation au moment où l’islam s’installe, et de ce désarmement culturel à l’heure où le transhumanisme favorise un nouveau type de matérialisme, guère moins dangereux que les précédents.

    Pour les pays d’origine, l’émigration d’une partie jeune et dynamique de leur population (il faut de la volonté pour tenter l’aventure) représente un appauvrissement et une perte de ressources humaines – sans parler de la politique d’« immigration choisie » pratiquée par les nations occidentales, qui les prive des cerveaux et des talents nécessaires à leur développement.

    Pour les migrants eux-mêmes, enfin, le départ est douloureux et le pape François regarde comme une « contrainte » le fait de « quitter sa patrie à la recherche d’un avenir meilleur ». À tout cela, seuls trouvent finalement leur compte les mondialistes, aux yeux desquels les nations représentent des obstacles obsolètes à la marche vers une gouvernance mondiale qui servirait leur idéologie… et leurs intérêts. Pourtant, il ne suffira pas de fermer les frontières pour endiguer ces mouvements migratoires massifs. Il faudra supprimer la cause des départs. Une solution, la plus charitable, serait de dissuader les populations de quitter leurs terres natales en aidant efficacement au développement des nations pauvres. Comme le disait récemment Philippe de Villiers dans Famille chrétienne, « Il faut aider les pays d’origine – ce que le mondialisme refuse de faire car il encourage la transhumance de l’homme traité comme une marchandise ». Cette solution demandera un effort aux plus riches ; mais le coût en sera inférieur à celui de la disparition de leurs propres civilisations. Et les Français pourront au contraire y trouver une nouvelle raison de croire à la grandeur de leur pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • POUR NE PAS FROISSER SA CLIENTÈLE MUSULMANE, LIDL INVENTE L’ÉGLISE SANS CROIX

    Je parlais ici, la semaine passée, du « fascisme identitaire ». Je n’aime pas ce mot galvaudé, « fascisme », mais on nous en rebat tellement les oreilles quand il s’agit de défendre notre pays et nos valeurs françaises, européennes, chrétiennes, occidentales, etc., qu’il faut bien, à un moment, le coller là où il doit aller. Car si fascisme il y a dans l’acception qu’on en donne aujourd’hui, au sens de prétendre imposer aux autres des règles qui ne sont pas les leurs, c’est bien du côté de ces communautés sociales ou religieuses qui veulent tout sauf faire « communauté », justement, avec leurs concitoyens.

    Cela n’est pas nouveau, ça fait même quelques décennies que ça dure. Le problème, c’est notre soumission croissante à toutes ces injonctions, ces restrictions au nom du respect de l’autre. Cet effacement progressif de qui nous sommes, de ce qui nous a construits, la négation de nos siècles d’histoire, tout cela sur un fond de culpabilité qu’on pourrait presque qualifier de génétique, tant on prétend nous la faire porter génération après génération. Il nous faut expier la longue histoire, réelle ou fantasmée, du monde blanc contre le reste de la planète. Les « lois mémorielles » et leur cascade de procès, les réparations financières sans fin, les passe-droits, la discrimination positive… rien n’y fait. Il en faut toujours plus pour se faire pardonner d’exister.

    Alors, on prend les devants. On s’autocensure avant qu’on nous censure. On arrondit les angles, on ne prononce pas les mots qui fâchent, on efface tout ce qui pourrait heurter. En 1983 – il y a 34 ans… –, Pascal Bruckner publiait Le Sanglot de l’homme blanc. En sous-titre : Tiers-monde, culpabilité, haine de soi. Un livre majeur sur ce sentimentalisme tiers-mondiste qui s’est substitué, à gauche, à la lutte des classes et dont nous vivons les conséquences mortelles, aggravées par une mondialisation immaîtrisable.

    « Les capitalistes nous vendront à crédit la corde pour les pendre », aurait dit Lénine. Vraie ou pas, la phrase est transposable. Aujourd’hui, nous y sommes : l’Europe offre au monde qui l’envahit les outils pour éradiquer ses propres racines.

    Nous sommes devenus des flagellants, en route vers l’expiation perpétuelle.

    Dernier épisode marquant : la publicité des magasins Lidl pour leur gamme de produits grecs Eridanous, original Greek product. Pour accroître ce parfum de vacances et de Méditerranée, la moussaka, les yaourt, pistaches, feta, olives, etc., sont vendus dans un emballage idoine : la photo de la Grèce, celle des murs blancs, de la mer et du ciel d’un bleu pétaradant. Image symbole que tout le monde connaît : celle de la petite église orthodoxe qui surplombe la mer, sur l’île de Santorin, confondant avec le ciel sa coupole d’un bleu vif.
    Oui, mais voilà, dans la vraie vie, la coupole est coiffée d’une croix blanche. Pas chez Lidl, qui a cru devoir effacer cette odieuse provocation.

    Explication de la marque à RTL Belgique, auprès de qui un client s’était indigné : « Nous évitons l’utilisation de symboles religieux car nous ne souhaitons exclure aucune croyance religieuse », a répondu le représentant du géant allemand de la grande distribution. « Nous sommes une entreprise qui respecte la diversité et c’est ce qui explique la conception de cet emballage. »Une conception qui n’empêche toutefois pas la marque de sortir en France chaque année – et ailleurs sans aucun doute – une ligne de produits Spécial ramadan, avec certificat très religieux de la mosquée d’Évry-Courcouronnes !

    Personne n’a demandé à Lidl d’opérer ce stupide révisionnisme architectural, ni de choisir une église pour illustrer ses produits. Si Grèce, pourquoi pas l’Acropole ? Mais l’Acropole, c’est le Parthénon et le temple d’Athéna, le monde antique des mécréants qui, en plus, sacrifiaient aux déesses… On n’en sort pas ! Pire : on ne s’en sortira plus.

    http://www.bvoltaire.fr/ne-froisser-clientele-musulmane-lidl-invente-leglise-croix/

  • Une étude commandée par Mark Zuckerberg montre que la fin de l’amnistie pour les jeunes clandestins libérerait 700.000 emplois pour les Américains

    fin amnistie jeunes clandestins 700000 emplois Américains Mark Zuckerberg
    Ce n’était pas le but de la manœuvre. Lorsque le groupe FWD.us, un groupe de lobbying immigrationniste créé par Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, s’est penché sur les souffrances qu’entraînerait la fin du programme DACA pour les jeunes émigrés clandestins, il a constaté bien malgré lui que les effets sur l’économie américaine ne seraient pas tous néfastes. En tout cas pour les Américains, puisque l’arrêt de l’amnistie systématique permettrait à 700.000 emplois de se libérer à leur profit.
    Le programme DACA (Deferred Action for Childhood Arrivals – action différée pour les arrivées d’enfants) permet de donner à des jeunes clandestins un permis de travailler malgré leur statut illégal. Quelque 850.000 jeunes sont concernés par cette amnistie temporaire, leur nombre ayant fortement augmenté au cours des derniers mois de la présidence de Barack Obama dont l’administration s’est efforcée de multiplier les permis temporaires accordés : quelque 120.000 sur cette seule période.

    700.000 emplois américains libérés si les jeunes clandestins étaient traités comme tels
    L’étude commandée par Zuckerberg affirme que l’élimination de DACA aurait des conséquences néfastes pour les 800.000 « Dreamers » (rêveurs) qui font actuellement partie du programme, et aussi pour leur proches, y compris les « millions d’Américains qui vivent, travaillent et étudient avec ces jeunes chaque jour ».
    Mais au passage, on apprend que la révocation du programme entraînerait chaque mois l’ouverture de 30.000 emplois – accessibles, donc, aux Américains. Le président de FWD.us a présenté la chose comme un drame pour le monde de l’emploi, avec des « conséquences graves » pour l’économie.
    Vraiment ? Alors que les Etats-Unis comptent entre 12 et 30 millions d’immigrés clandestins – les estimations sont forcément imprécises ! – et que chaque année, un million d’immigrés illégaux font leur entrée sur le territoire américain, bien des observateurs notent que cela a des effets directs sur les travailleurs américains, contraints à plus de déplacements et de mobilité, en même temps qu’une pression à la baisse s’exerce sur les salaires, entraînant leur stagnation.

    Une étude commandée par Mark Zuckerberg justifie malgré elle la fin de l’amnistie
    L’ouvertures de postes ne pourrait que bénéficier aux Américains dont le taux de chômage et d’inactivité est bien plus important que ce que soutiennent les statistiques officielles, si l’on tient compte de tout ceux qui ne travaillent pas, pour diverses raisons, sans être officiellement comptabilisés comme demandeurs d’emploi.
    Sans surprise, ce sont les partisans des frontières ouvertes et des grosses entreprises qui demandent le maintien du programme DACA que d’administration Trump ne semble pas vouloir lever dans l’immédiat. A telle enseigne que plusieurs « attorneys general » des Etats – leurs ministres de la justice – brandissent aujourd’hui la menace d’une procédure à l’encontre de l’administration centrale afin que Trump décide de révoquer le programme. Ils menacent également de ne pas défendre le programme s’il était contesté judiciairement.

    Anne Dolhein

    http://reinformation.tv/fin-amnistie-jeunes-clandestins-700000-emplois-americains-mark-zuckerberg-dolhei-74153-2/

  • Islamisation de l’école: les (tardives) vérités d’un ex-principal de collège

    « Le cri d’alarme d’un ancien principal de Marseille », titrait La Provence du samedi 26 août, rendant compte du livre de Bernard Ravet, tout récemment paru (éd. Kero). Et le reste de la presse, du Figaro à l’Express en passant par Valeurs actuelles, a fait chorus (et il est invité sur BFM TV à l’instant même où je mets en ligne cet article, mercredi 30, 19h et des broutilles) Curieusement (non, je blague), je n’ai rien trouvé dans les journaux de gauche, ce qui doit peiner l’auteur, qui n’a guère de sympathies pour la Droite — sans doute sans l’étonner. La Gauche serait-elle dans le déni ? Je ne peux le croire.

  • PARTOUT, ANGELA MERKEL EN CAMPAGNE ÉLECTORALE EST HUÉE ET SIFFLÉE !

    5996cbc5fc7e93eb3e8b4567.jpg

    Des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    La chancelière allemande chrétienne-démocrate Angela Merkel, quasi assurée malgré une chute de popularité de rester aux commandes du pays à l’issue des élections législatives du dimanche 24 septembre 2017, est en tournée électorale. Elle tient, au fil des jours, des meetings à différents endroits. Cette promenade ne se déroule cependant pas sous les meilleurs auspices. En effet, des opposants à la politique de la chancelière la huent et la sifflent, tout en tenant en main des panneaux portant des slogans contestant sa politique.

    Que ce soit à Bitterfeld-Wolfen, à Brandenbourg-sur-la-Havel, à Ludwigshafen ou à Erlangen, les opposants sont au rendez-vous et se font entendre.

    Ce mercredi 30 août, Angela Merkel débarquait, en fin de journée, à Ludwigshafen, la deuxième ville la plus peuplée de la Rhénanie-Palatinat. Au sein de cette cité de 160.000 habitants se trouve le siège originel et principal du géant de la chimie BASF. Pourtant, le centre-ville a fortement changé au cours des dernières années. Les commerces de pitas turcs, les magasins de produits à bon marché, les agences de paris sportifs et les bars à chicha y sont de plus en plus nombreux. Dans le centre piétonnier de la cité, le peuple allemand originel est devenu minoritaire.

    Le rassemblement électoral organisé par le parti d’Angela Merkel, la CDU, avait pour objet de permettre à la chef du gouvernement de tenir un discours durant trente minutes. À 17 h pile, celle-ci est apparue devant le public, sous haute protection policière. Immédiatement, les sifflements ont retenti et se sont prolongés durant une grande partie du discours. La chancelière a été copieusement huée.

    Les spectateurs étaient composés, pour un quart, de membres du parti, protégés par la police et des barrières. Derrière ceux-ci figuraient les autres personnes appartenant au public. Un quart étant venu pour écouter l’exposé, un autre quart étant composé de musulmans, certains d’entre eux applaudissant frénétiquement des paroles du discours et, le quart restant, d’opposants pour la plupart proches du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD).

    Les phrases creuses de la chancelière, telles que « Pour un pays au sein duquel nous vivons bien et volontiers » et « La CDU veut expulser immédiatement les criminels étrangers », n’ont pas pu, malgré l’installation audio mise en place par le parti, être plus audibles que les huées et sifflets des opposants.

    Les applaudissements des membres de la CDU ou des musulmans, parmi lesquels figuraient des femmes en tchador ou portant des voiles, n’ont pas pu non plus couvrir, par leurs applaudissements, les sifflets et les huées visant la politique d’asile pratiquée par la chancelière.

    Celle-ci a ensuite quitté les lieux par un passage situé derrière la scène, sans se mêler au public. Seule la présidente de la CDU de Rhénanie-Palatinat, Julia Klöckner, a osé sortir de la zone protégée derrière les barrières afin de se mêler aux électeurs.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Que pensent les Français de l'affaire Cédric Herrou à Paris et à Breil-sur-Roya ?

  • Spectacle pro-migrants à Breil-sur-Roya : à quoi joue André Ipert ?

    Communiqué de Génération Identitaire Nice du 29 août 2017

    Depuis notre communiqué du 23 aoûtles nombreux appels à la mairie de Breil-sur-Roya au sujet du spectacle pro-migrants du 2 septembre sont systématiquement basculés vers l’office du tourisme, qui renvoie à son tour vers la mairie, laquelle finit par botter en touche, le maire André Ipert étant indisponible pour répondre aux interrogations des Breillois et habitants de la région.

    Ce mutisme est étonnant.
    Le 22 novembre dernier, à l’antenne de France Bleu Azur, André Ipert se plaignait d’avoir dû « accueillir de manière un petit peu forcée des migrants mineurs ».
    Il précisait alors que l’accueil des migrants par des associations crée un « appel d’air » vers la France et la vallée de la Roya, l’information passant « très facilement » aux autres migrants massés à la frontière franco-italienne, de sorte que les associations elles-mêmes et la commune se trouvent « rapidement débordées » (extrait ci-dessous).

    Le maire divers gauche reconnaissait ainsi le rôle néfaste de ces organisations faussement « humanitaires » mais véritablement immigrationnistes.
    Rappelons également que le plus célèbre de ces individus sans-frontiéristes, Cédric Herrou, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis par la cour d’appel d’Aix-en-Provence pour ses activités de passeurs de clandestins.

    Alors pourquoi André Ipert accepte-t-il aujourd’hui de louer le chapiteau de la commune pour un spectacle de soutien – sans oublier d’en faire la promotion sur sa propre page Facebook ! – dont les bénéfices ne feront qu’alimenter les agissements de ces associations et créer de nouveaux appels d’air ?

    Avec courtoisie mais fermeté, posons la question directement à Monsieur Ipert et mettons-le face à ses contradictions :

    > Sur sa page Facebook
    > Par courriel : monsieurlemaire@villedebreil.fr
    tourismebreilsurroya@wanadoo.fr (office du tourisme)
    > Par fax : 04 93 04 99 70 
    > Par téléphone : 04 93 04 99 99

    Aucune aide ni soutien aux complices de l’immigration clandestine !
    —————————————————-
    Écoutez le maire de Breil évoquer « l’appel d’air » créé par les associations qui accueillent les migrants (France Bleu Azur, novembre 2016).

    http://www.medias-presse.info/spectacle-pro-migrants-a-breil-sur-roya-a-quoi-joue-andre-ipert/79493/