
Pas de chance pour Moustafa Rebouh : le magistrat devant lequel il comparaît possède quelque expérience. D’où son agacement : « 33 ans que je vous connais, 33 ans que vous racontez la même histoire. Et c’est toujours de la violence, des menaces, de l’alcool… » Le procureur rajoute une louche : « Au-delà de trente condamnations, à 50 ans, la réinsertion, ça va être difficile… »