
Quatre militants identitaires étaient jugés jeudi 10 août par le tribunal correctionnel d’Angers pour des faits de préparation de violence en marge des émeutes de fin juin-début juillet. Trois ont été relaxés, un d’entre eux a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour violences tandis que le parquet avait réclamé des peines bien plus lourdes, dont du ferme, dans un procès couvert par un journaliste du Monde comme si il s’agissait quasiment d’un procès d’assise avec Francis Heaulme comme accusé principal.