En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Sa photo apparaît dès que vous tapez « Bayonne » sur un moteur de recherche. C'est celle de sa page LinkedIn. Staff Quality Engineer chez OpenClassrooms, Patrice Lanies est décrit par des collègues interrogés par Le Figaro comme « un mec adorable apprécié de tous ». Tous les témoignages vont dans le même sens : « C’était quelqu’un de toujours très humain et de très positif. [...]) Il était vraiment gentil, c’était une crème. »
Ils s’appelaient Enzo Parissot, Axelle Dorier ou encore Adrien Perez. Leur mort n’a pas fait la une de l’actualité nationale ni suscité de réactions dans la classe politique, à quelques exceptions près. Dans un entretien exclusif accordé au Figaro , la mère du jeune Enzo, un adolescent de 15 ans récemment tué à coups de couteau dans une petite commune de l’Eure, s’interrogeait : «Pourquoi ne parle-t-on pas de mon fils? Parce qu’il ne vient pas d’une cité mais d’une petite commune de 1400 habitants? Parce que nous sommes restés dans le respect, le silence et le calme? Pourquoi notre chef de l’État ne vient pas nous rendre hommage ?». Quelques jours avant cet entretien, la mère du jeune homme avait publié un message de la même teneur sur LinkedIn. «Les politiciens, les footballeurs, les stars, vous êtes où ?», questionnait-elle.
Elle ne s’est pas déplacée à l’audience mais a tout de même écrit au tribunal pour dire qu’elle ne demandait pas d’argent et qu’elle espérait que justice soit faite. Lucienne, née en 1934, vit à Saint-Sébastien. Chaque matin ou presque, appuyée sur ses deux cannes, elle fait un tour du pâté de maison, au niveau du boulevard des Pas-Enchantés.
Polémia prend ses quartiers d’été, tout en gardant un œil attentif sur l’actualité. En attendant la rentrée, en plus des articles inédits que nous continuons à publier, retour sur les articles les plus consultés depuis l’été dernier sur Polémia. Voici aujourd’hui un texte percutant de Camille Galic, publié le 5 septembre dernier.
C’est le 8 septembre [2022, ndlr] que sera inauguré en fanfare le Conseil national de la Refondation (pompeusement appelé CNR, en référence au Conseil national de la Résistance) mais, dès le 2 septembre, le président de la République a réuni un Conseil de défense et de sécurité nationale français sur l’approvisionnement énergétique du pays afin de « se préparer à tous les cas de figure cet automne et cet hiver ». Ces assises seront-elles aussi fructueuses que le « Grenelle sur les violences conjugales » lancé il y a trois ans, avec le même tam-tam publicitaire et dont le bilan est négatif ? 122 femmes ont en effet été tuées en 2021 par leur conjoint passé ou actuel, une hausse de 20 % par rapport à 2020 selon le ministère de l’Intérieur. « Des chiffres glaçants malgré les efforts sans précédent engagés par l’État » se désole Isabelle Rome, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
Le Fremantle Highway en feu à cause de la batterie d’une voiture électrique
Deux drames récents viennent conforter l’hypothèse que les voitures et vélo électriques sont un danger meurtrier en puissance.
Au large des côtes des Pays-Bas, le cargo Fremantle Highway est en feu, « un feu perpétuel », causé par l‘explosion d’une batterie de voiture électrique
Le navire Fremantle Highway, le cargo transportant des voitures en service pour K Line (propriété du japonais Shoei Kisen) a pris feu, le 26 juillet dernier, au large des côtes hollandaises. Un « feu perpétuel » à cause des 498 voitures électriques à bord explique Nicolas Tamic, directeur adjoint du Centre de Documentation, de Recherche et d’Expérimentations sur les Pollutions Accidentelles des Eaux (CEDRE) :
« C’est un feu perpétuel, un auto-emballement thermique qui nécessite de noyer cette batterie pour calmer l’intensité du feu. Pour les batteries lithium ion, il n’y a pas de moyen d’extinction, ça n’existe pas. C’est vraiment un problème. »
Des Lyonnaises qui vivent le harcèlement sexuel et sexiste au quotidien témoignent. Elles confient changer de tenue, ne plus se maquiller et éviter des quartiers à Lyon.
Leur quotidien est rythmé par les insultes, les remarques, les comportements déplacés, voire des agressions physiques et des attouchements sexuels.
Plusieurs Lyonnaises confrontées au harcèlement sexiste dans la rue ou dans les transports en commun de la métropole de Lyon témoignent.
actu Lyon donne la parole à des femmes qui ont préféré, de force et malgré elles, changer leurs habitudes, leur comportement et leurs tenues vestimentaires pour tenter d’échapper au fléau du harcèlement. Afin de protéger l’anonymat des témoins, les prénoms ont été modifiés.
Mardi matin, une octogénaire s’est fait agresser boulevard des Pas-Enchantés, à Saint-Sébastien-sur-Loire, en périphérie nantaise. Vers 10h15, un individu lui a arraché son collier en la poussant. Sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, un homme a été interpellé mardi à Saint-Sébastien-sur-Loire. Il sera jugé en comparution immédiate. En garde à vue, il a dégradé une cellule du commissariat central de Nantes. Le jour du vol, il venait de sortir de prison trois jours auparavant.Après examen médical, la victime a reçu une ITT de cinq jours.
L'été : l'occasion pour beaucoup de se plonger enfin dans ce fameux livre dévoré des yeux toute l'année sans pour autant avoir eu le temps de s'y plonger. À cette occasion, BV vous propose une sélection de ses meilleures recensions. Aujourd'hui, pourquoi pas redécouvrir Ces petits renoncements qui tuent, de Carine Azzopardi. Le cri d'alarme d'un professeur contraint à l'anonymat.
Le livre est paru chez Plon en août dernier mais son actualité, à deux jours du deuxième anniversaire de l’assassinat de Samuel Paty, n’a jamais été aussi brûlante. Ne cherchez pas l'auteur. Vous ne le trouverez pas.
Une Lyonnaise de 23 ans, a reçu une contravention pour «stationnement de véhicule gênant l’accès à un autre véhicule». Le contrôle par l’agent de police municipale date du 1er juillet à 9h10.
Vandalisée dans la nuit précédente, lors des émeutes, la Twingo avait été retournée sur le toit. Et ainsi elle bloquait la rue.
Une situation ubuesque pour laquelle elle peine à obtenir des réponses.
La France d’aujourd’hui, forte avec les faibles, faible avec les forts…
Pendant des mois, les habitants de Husby ont tiré la sonnette d’alarme auprès de la police.
Des toxicomanes vivaient dans leurs caves et leurs débarras, ils volaient et cambriolaient des voitures.
Mais rien n’a changé et les jeunes ont fini par se faire justice eux-mêmes.
Nous avons l’impression de ne pas être pris au sérieux. Nous avons dû prendre nos propres mesures”, déclare un habitant du quartier âgé de 18 ans.
Depuis plusieurs mois, les habitants de Husby rencontrent des problèmes avec les toxicomanes sans-abri qui passent la nuit dans les garages, les sous-sols, les entrepôts et les écolodges.