insécurité - Page 304
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VIOLS DE RUE – OÙ EST SANDRINE ROUSSEAU ?
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Rangueil / Vieille-Toulouse (31) : une femme de 38 ans menacée avec une arme à feu, enlevée, puis violée, les auteurs présumés sont deux clandestins algériens de 18 et 21 ans
C’est une affaire terrible : une femme de 38 ans menacée avec une arme de poing par deux individus puis enlevée et violée par l’un d’eux. Tout commence à Rangueil dans la soirée du 24 septembre. La victime rentrait chez elle en voiture. Elle dit avoir été abordée devant sa résidence par deux jeunes hommes. Les deux agresseurs présumés l’auraient alors menacée avec une arme à feu, forcée à s’arrêter, puis ils se seraient emparés de son véhicule en la forçant à monter avec eux.
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Soissons (02) : une femme de 58 ans violée à deux reprise à son domicile, un réfugié afghan de 26 ans interpellé (Màj : « Je veux qu’il paye cher, qu’il soit jugé sévèrement ici, et expulsé dans son pays après »)
05/10/2022
Un réfugié afghan de 26 ans est mis en examen à Soissons (Aisne). Dimanche, il a été interpellé en flagrant délit alors qu’il avait violé une femme de 58 ans chez elle. Cette dernière a accepté de se confier deux jours après l’agression.
Je sortais mes poubelles quand j’ai vu un homme étrange dans le couloir. Je lui ai dit de sortir, sinon j’appelle la police. J’ai fait demi-tour pour ouvrir cette porte et rentrer chez moi et d’un seul coup, j’ai senti quelqu’un qui me poussait vers l’intérieur, qui m’a prise au cou et qui me serrait le cou. Il a essayé de m’embrasser. Là, j’ai compris et j’ai eu peur. J’ai voulu m’asseoir, mais il s’est jeté sur moi me faisant tomber de ma chaise. Je n’arrivais plus à me débattre. J’ai trouvé un bâton à côté de moi, mais il me l’a enlevé des mains. Il m’a mis un coussin sur la tête et il a appuyé. J’ai cru que j’allais mourir étouffée. Il poussait des cris, je tremblais. Il avait une force dingue et était très, très énervé. Il m’a fait très mal et il a recommencé plusieurs fois
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Jugé pour avoir proposé de violer sa fille mineure sur des sites, un ancien magistrat voit sa peine allégée en appel
Du sursis pour avoir voulu prostituer sa fille de 13 ans…
L’ex-magistrat Olivier Bailly a vu sa peine allégée par la cour d’appel de Besançon. Il n’écope finalement que de deux ans de prison avec sursis. L’ancien magistrat dijonnais avait été condamné en première instance de deux ans de prison dont un ferme à effectuer à domicile. C’était visiblement encore trop pour les juges qui ont secouru leur confrère malgré les faits. Olivier Bailly avait en effet proposé à des internautes d’avoir des relations sexuelles avec sa fille de 12 ans à l’époque. Il expliquait à ses interlocuteurs qu’ils pourraient la forcer, l’humilier et lui uriner dessus… Il avait aussi suggéré des viols collectifs et évoqué je cite “un réseau de pédo”. Olivier Bailly était, vous vous en doutez peut-être, juge pour enfants, avant d’être révoqué au commencement des révélations sur cette affaire !
Information dans le JT de TVL
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Pontarlier (25) : Une fillette de 9 ans échappe de justesse à une agression sexuelle en sortant de l'école
Vendredi 30 septembre, alors qu’elle sortait de l’école, une petite fille de 9 ans s’est fait suivre par un individu jusque dans son hall d’immeuble, situé à Pontarlier. Une fois à l’intérieur du bâtiment, l’homme a tenté d’agresser sexuellement la fillette qui a finalement pu rejoindre son appartement.
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Une folie suicidaire
par Rafael Poch de Feliu.
Ce mois-ci marque le soixantième anniversaire de la crise des missiles cubains. Aujourd’hui, nous nous approchons de quelque chose de similaire, mais l’opinion publique reste dans l’ombre.
Entre le 14 et le 28 octobre 1962, le monde est au bord du gouffre. Un sentiment profond et extrême d’insécurité, découlant de la présence des moyens militaires de destruction massive de l’adversaire nucléaire à proximité de ses propres frontières, est à l’origine de cette crise.
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Gare de Clichy – Levallois (92) : une sexagénaire placée sous curatelle, victime d’une tentative de viol par un migrant maghrébin, interpellé plus tard sous le pont de Gennevilliers
Une femme d’une soixantaine d’années a été agressée à Clichy-la-Garenne dans la nuit du 1er au 2 octobre. La femme, placée sous curatelle, a été approchée par un SDF qui aurait tenté de la violer.
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La déclaration de guerre
par Patrick Reymond.
Il semble évident que le sabotage de North Stream 1 et 2, ne peut être qu’occidental.
Polonais, britannique ou américain. Les russes n’y avaient aucun intérêt. Ils pouvaient, simplement, procéder au remontage des manettes.
Quand on attaque une infrastructure énergétique, c’est une déclaration de guerre. Mais les « Zeuropéens », ne veulent pas la voir.
Pourtant, il faut bien voir la vérité.
Les trublions à courte vue, n’ont pas anticipé le plus important. Personne ne peut remplacer les Russes comme fournisseur, et le continent va plonger dans la ruine et la misère, et le maintien de ces élites si lécheuses de culs américains, risque d’être problématique.
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« C’est un problème de culture » : Un épicier ne sachant pas parler français, condamné à 4 mois avec sursis après avoir agressé sexuellement une collégienne dans son magasin à Saint-Étienne Jeanne02/10/2022 à 12h
Poursuivi pour agression sexuelle sur une jeune collégienne, le gérant d’une épicerie de Saint-Étienne s’était montré un peu trop entreprenant à l’endroit d’une jeune mineure. Les enregistrements vidéo de sa boutique l’ont en partie trahi.
On l’appellera Emma. Mais peu importe le prénom. La jeune fille, scolarisée en classe de sixième, a l’habitude de faire quelques courses dans cette épicerie stéphanoise. Ce 31 mars, elle entre dans la supérette. Elle en ressortira quelques minutes plus tard, traumatisée. Elle raconte à sa mère, le soir venu, que le vendeur lui a dit qu’elle était belle, qu’il l’a prise par le cou et lui a caressé la poitrine.
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Une policière rouée de coups à Alès : ces violences faites aux femmes dont on ne parle pas
De cette femme on ne saura rien, sinon qu’elle arrive de la région parisienne et qu'elle est mère d’un enfant de trois ans. Dans le registre des violences faites aux femmes dont les féministes se fichent comme de leur première pancarte #MeToo, celles infligées aux policières. Comme si ce tabassage en règle était vraiment bien peu de chose à côté de la gifle « conjugale » d’un Quatennens ou la drague lourde d’un Abad.