Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 484

  • Le cancer islamiste n’a pas fini de frapper

    Le drame de la préfecture de police est un coup de semonce terrible qui va ébranler durablement tous les services de renseignement et nous obliger collectivement à une remise en cause des certitudes en matière de sécurité.

    Face au cancer de l’islamisme, le moindre doute est coupable : il faut écarter des services de police et de gendarmerie tout suspect.

    Prendre le moindre risque, c’est à l’évidence mettre en péril la vie d’hommes et de femmes, mais c’est aussi fragiliser les services en dépit des règles de cloisonnement, axiome de base de tout service de renseignement.

    En juin 2019, le rapport parlementaire d’Éric Diard et Éric Poulliat avait souligné que la radicalisation dans les services publics n’était pas alarmante mais qu’il était nécessaire d’être vigilant. Nous en avons la preuve aujourd’hui !

    Les deux députés reconnaissent qu’en l’état du droit, il est difficile d’agir pour déplacer l’agent d’un service sur de simples soupçons, l’agent bénéficiant de garanties légales en raison de son statut de la fonction publique.

    C’est très certainement sur ce point que le législateur devra se pencher à nouveau. Il ne s’agit pas de mettre en place une « loi sur les suspects » comme au temps de la Convention nationale, loi du 17 septembre 1793, mais bien de prévenir. Écarter des postes sensibles tout individu en voie de radicalisation est une nécessité.

    Il reste à découvrir cette radicalisation, tant il est vrai que la dissimulation est l’art des djihadistes, la « taqiya » qui n’est pas seulement pratiquée par les chiites mais par les sunnites également.

    Le cancer de l’islamisme n’a pas fini de frapper, il faut en avoir conscience, le meilleur remède contre cette idéologie fanatique et mortelle est de sortir des béatitudes des bien-pensants et de la naïveté du politiquement correct !

    Vaste programme !

  • La Nouvelle Librairie vandalisée avant la venue de Jean-Marie Le Pen

    jean-marie le pen.JPGL'établissement spécialisé dans les publications nationalistes situé dans le VIe arrondissement de Paris a été attaqué avant la venue de Jean-Marie Le Pen. La librairie, déjà dégradée en février dernier, a néanmoins maintenu la venue du «Menhir».

    La Nouvelle Librairie, située dans le VIe arrondissement de la capitale, a été victime, ce 4 octobre, d’une attaque alors qu’elle devait recevoir le jour même l’ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen pour une séance de dédicaces et de rencontre avec le public.
    «Dans la France de 2019, on attaque une librairie ! Heureusement, nous ne déplorons que des dégâts matériels (nos vitrines brisées). Nous ne nous tairons pas !», pouvait-on lire sur le compte Twitter de la librairie.
    [...]
    En savoir plus sur francais.rt.com
  • Terrorisme/Préfecture Paris : une "faille immense dans le système" pour le syndicat Unité SGP Police FO

    Des véhicules de polices garés près de la préfecture de police de Paris, après l'attaque au couteau qui s'est produite le 3 octobre 2019. 

    (Samedi matin, à 7 heures, sur France info)

    Attaque au couteau à la préfecture de police de Paris : une "faille immense dans le système" pour le syndicat Unité SGP Police FO

    Après l'agression au couteau à la préfecture de Paris qui a fait quatre morts plus l'assaillant, le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête. Invité de franceinfo, Yves Lefebvre, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police FO a exigé des réponses.

    Le parquet national antiterroriste s'est saisi vendredi 4 octobre de l'enquête sur l'agression au couteau à la préfecture de police de Paris, qui a fait quatre morts jeudi, en plus de l'assaillant. Invité de franceinfo, Yves Lefebvre, secrétaire général du syndicat Unité SGP Police FO, dénonce une "faille immense dans le système". Il estime "qu'on a sous-évalué la menace" et "exige des réponses".

    Franceinfo : Quelle est votre réaction alors que le parquet national antiterroriste a annoncé se saisir de l'enquête ?

    Yves Lefebvre : Une profonde tristesse. On s'aperçoit qu'on a eu une faille immense dans le système, une faille criminelle, terroriste. Et aujourd'hui, la question à se poser c'est comment cela a-t-il pu arriver ? On va attendre de voir un peu plus loin dans l'enquête, mais aujourd'hui ça crée un climat encore plus anxiogène. On savait que la menace était particulièrement palpable depuis 2015, mais à l'intérieur on ne pensait pas que ça puisse nous arriver, même s'il y avait quelques cas de radicalisation signalés.

    Ce qui frappe encore plus, c'est que l'attaque vient de l'intérieur même de la préfecture de police...

    Manifestement il y a eu des loupés, mais des loupés qui sont peut-être compréhensibles. Il faut savoir pourquoi ça s'est passé pour que ça ne puisse pas se renouveler. Mais le problème qui se pose aussi, c'est la conversion [à l'islam] à un âge avancé de cette personne. Comment se fait-il que cela n'ait pas attiré l'attention de sa hiérarchie ? On a sous-évalué la menace, et pour cela j'exige des réponses, tant pour mes collègues que pour l'opinion publique.

    Le fait que l'assaillant travaillait à la direction du renseignement, cela vous inquiète ?

    Bien évidemment. L'enquête devra déterminer s'il a été en lien avec d'autres potentiels terroristes. Mais la problématique se pose aussi sur l'habilitation au secret défense. L'habilitation a une validité de sept années. Cela veut dire qu'un agent, s'il n'y a pas de signe détecté de changement de position, est habilité secret défense pour sept ans. Je considère qu'il faut revoir cette procédure. Il faut qu'on soit beaucoup plus vigilant sur un appareil comme celui du renseignement, qui a démontré toute son efficacité depuis le début de la menace terroriste.

    Rappelons que, peu après l'attaque, jeudi, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner avait indiqué que cet employé atteint de surdité « n'avait jamais présenté de difficultés comportementales » ni « le moindre signe d'alerte ».

    Une incompétence de plus, une raison de plus pour demander à nouveau la DEMISSION de Christophe Castaner, le calamiteux ministre de l'Intérieur...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/05/terrorisme-prefecture-paris-d-enormes-failles-un-syndicalist-6180621.html#more

  • Sarcelles : le lycéen qui a sauvagement agressé son professeur d’EPS est un migrant sans papiers

    La vidéo a tourné sur les réseaux sociaux, lancée par des élèves de la classe du jeune homme, trop contents de montrer l’un des leurs en découdre avec son professeur d’EPS qui lui avait demandé de retirer sa casquette. Et qui ne sont pas intervenus pour aider leur professeur à maîtriser leur camarade.

    La casquette. Pour qui exerce notre profession, la casquette de nos élèves est un sujet délicat et l’on sait qu’elle peut vite devenir le casus belli. Donc, le règlement est strict : tout couvre-chef est interdit dans les bâtiments. Et nous rappelons tous les jours à certains que, dès qu’ils en franchissent les seuils, ils doivent la retirer. En général, cela se passe bien. Mais pas toujours, et pas partout, comme cette agression du lycée de la Tourelle, à Sarcelles, l’a montré. On vous laisse imaginer la scène et le cours si ce n’était pas son professeur d’EPS musclé mais la fluette professeur de lettres qui avait demandé à ce lycéen d’obtempérer, ou qui ne le lui aurait pas demandé.

    Avec la casquette, un autre objet occupe le même statut identitaire et conflictuel : le portable. Jeudi soir, à Osny, dans le Val-d’Oise, un autre lycéen, qui aurait fait tomber son professeur qui lui demandait son portable, a été placé en garde à vue. À l’Éducation nationale, les choses vont mal, même si beaucoup de collègues, par peur ou par idéologie, refusent de le reconnaître. Cette semaine, entre les suicides d’enseignants et les agressions, jusqu’au meurtre, vendredi, d’un jeune dans le 93, le bilan est terrible. Mais M. Blanquer essaie de passer entre les vagues, sauvé par les gros soucis que son collègue Castaner rencontre en ce moment à la préfecture de police de Paris.

    Mais revenons à la casquette de Sarcelles. Qui est ce lycéen rebelle, violent, capable de se battre avec son professeur ? Sa comparution immédiate nous en a appris un peu plus : d’après Le Parisien, il s’appelle Dio, il a 19 ans, il est arrivé clandestinement en France en 2013. Il a été condamné à huit mois de prison, dont quatre avec sursis. Mais il ne sera pas expulsé…

    Il paraît que l’enseignant agressé, qui a pourtant porté plainte, a tenté, lui, de minimiser les faits ! Croit-il que c’est ainsi qu’il combattra ce genre de comportements et qu’il aidera les collègues dans la même situation ? Sa réaction, pour étonnante qu’elle soit venant d’un homme qui a montré un réel courage physique, peut se comprendre quand on connaît les pressions multiples de l’administration dans ce genre de circonstances. Et la culpabilisation insidieuse qu’elle instille. Vous vous souvenez du mouvement #Pasdevagues ? C’était il y a un an.

    Faut-il rappeler que nos établissements scolaires, avec la complicité du ministère de l’Éducation nationale, et de multiples associations, comme RESF, accueillent des milliers de migrants sans papiers, parfois clandestinement, c’est-à-dire sans que l’autorité préfectorale ou judiciaire en soit informée, qu’il nous est parfois demandé de falsifier des bulletins, des résultats, pour que « le jeune » n’ait pas de problème, que cela ne va pas sans poser de nombreux autres problèmes, de discipline et de sécurité ?

    L’Éducation nationale, pour les migrants, est devenue une zone de non-droit. Avec la complicité de beaucoup trop d’enseignants. Complices. Et victimes.

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/sarcelles-le-lyceen-qui-a-sauvagement-agresse-son-professeur-deps-est-un-migrant-sans-papiers/

  • Guerre civile en France : analyse des forces en présence

    1194168104.jpg

    Ex: https://echelledejacob.blogspot.com

    Ce texte, signé Antonin Campana, est paru sur le site des Volontaires pour la France.
    L’auteur sectorise sociologiquement la population de la France en 3 classes :
    • une classe dominante, autochtone, aisée, plutôt bobo, qui habite les grandes villes ;
    • une classe paupérisée, également autochtone, qui habite plutôt les zones rurales et à faible densité ;
    • et au milieu, une classe allochtone qui réside plutôt dans les banlieues des grandes métropoles.
    Il faut connaitre les jeux de pouvoir entre ces 3 classes pour comprendre ce qui risque de se passer si la guerre civile éclate.
    Cet article pertinent mérite d’être lu attentivement
    En nous inspirant des analyses de Christophe Guilluy, nous observerons trois grandes « classes » sociales en France :
    • une classe dominante résidant dans les centres urbains
    • une classe allochtone résidant dans les banlieues
    • une classe populaire autochtone installée dans la France périphérique.
    L’erreur de ceux qui pronostiquent la guerre civile est de ne considérer généralement que les autochtones et les allochtones et de faire disparaître de l’équation la classe des bobos urbains peuplant le centre des métropoles, classe, il faut le dire, en grande partie autochtone par son origine, mais largement étrangère par la sous-culture délirante qui lui donne son homogénéité. Dès lors, analyse et conclusions s’en trouvent largement faussées.
    Cette classe dominante urbaine (enseignants, universitaires, journalistes, cadres, hauts fonctionnaires, artistes, juges… l’électorat incompressible d’un Macron, pour faire court) est en effet complètement déconnectée du peuple autochtone traditionnel, tel qu’incarné aujourd’hui par les Gilets jaunes. Le problème n’est pas uniquement social ou économique. Bien sûr, la classe dominante s’est enrichie grâce à la mondialisation et se prend à rêver d’un monde encore plus globalisé qu’il ne l’est, alors que la France périphérique s’est appauvrie et aspire à un retour à des frontières plus protectrices. Mais l’essentiel n’est pas là. En fait, le peuple autochtone originel s’est scindé en deux groupes qui ne se parlent pas, qui ne se connaissent pas, qui n’ont plus le même langage, qui n’ont plus les mêmes valeurs, qui se méprisent et qui sont entrés en opposition frontale dans de nombreux domaines.
    En fait, ces deux groupes n’ont plus du tout le même regard sur les valeurs sociétales fondamentales grâce auxquelles une société gagne son homogénéité. La distance séparant la classe autochtone urbaine de la classe autochtone périphérique est désormais plus anthropologique que sociale à proprement parler. Dans la classe autochtone périphérique, on considère par exemple qu’un couple est naturellement constitué d’un homme et d’une femme. Dans la classe urbaine, on pense qu’un couple est la réunion de deux individus, quel que soit leur sexe. Dans la France rurale, la famille reste traditionnelle. Dans la France des métropoles, on valorise la famille LGBTQ+, voire le « trouple » (ménage à trois), qui est aujourd’hui très « tendance ». On a entendu parler de PMA et de GPA dans la France périphérique, mais c’est dans la France des métropoles qu’on les pratique. Dans la France périphérique, l’homosexualité est une bizarrerie. Dans la France des métropoles, c’est une banalité. Dans la France périphérique, l’immigré est un étranger. Dans la France des métropoles, l’immigré est un domestique. Dans la France périphérique, on est de quelque part. Dans la France des métropoles, on est de n’importe où. La France périphérique est contre l’immigration. La France des métropoles est no-border. La France périphérique voit des hommes et des femmes. La France des métropoles voit des genres. La France périphérique consomme de la viande. La France urbaine est vegan. La France urbaine admire l’art contemporain. La France périphérique le vomit. La France périphérique distingue des rôles sociaux masculin et féminin. La France urbaine indifférencie la femâle virile et le femâle fragile, la fake femme et le fake homme. La France urbaine veut sauver la planète. La France rurale veut sauver son emploi. La France urbaine adule Greta Thunberg. La France périphérique en rigole. Dans la France urbaine, les races n’existent pas. Dans la France rurale, on sait qu’un Bruno du Jura n’est pas un Setter anglais. Dans la France urbaine, la nation est surannée. Dans la France périphérique, la nation est une bouée…
    Classe autochtone urbaine et classe autochtone périphérique vivent désormais en fonction de deux centres de gravité culturel complètement opposés. A ce point, cela n’était jamais arrivé dans notre histoire. Et pour cause : pour la première fois depuis le début des temps, une classe d’hommes composée de millions d’individus peut se payer le luxe inouï d’évoluer en fonction d’une réalité qui n’existe pas, sans en subir immédiatement la sanction. Deux univers parallèles se sont constitués dont l’un, composé d’une nébuleuse sectoïde émancipée des faits, repose entièrement sur la conviction plus ou moins implicite que le réel n’est qu’une construction de l’esprit. Il existe un espace où l’on peut croire qu’un homme peut vraiment devenir une femme, si tel est son choix. Que le quinquagénaire Mickaël Jackson était véritablement un enfant, puisqu’il le disait. Qu’un Malien peut vraiment devenir Français, par la vertu d’une simple décision administrative. Que l’immigration est vraiment une chance. Qu’il n’y a pas plus d’étrangers aujourd’hui qu’en 1930 ou que le « suprémacisme blanc » est le seul danger qui menace le « vivre ensemble ». Des gens croient véritablement tout cela ! Et le malheur veut que, pour l’essentiel, ces gens constituent la classe dominante.
    La classe dominante vit dans une réalité fictionnelle mais assure néanmoins une domination sur le réel. La classe dominante domine : les lois qu’elle va établir vont traduire cette réalité fictionnelle, les décisions politiques et économiques qu’elle va prendre vont traduire cette réalité fictionnelle, le discours médiatique va traduire cette réalité fictionnelle… La domination dont il est question est en fait la domination de la fiction sur le réel : désormais, de par la loi et le politiquement correct, les hommes et les femmes n’existent plus, les nations n’existent plus, les peuples n’existent plus, les identités n’existent plus, les religions n’existent plus, les frontières n’existent plus, la culture française n’existe plus… La classe urbaine autochtone assure le règne de l’entropie généralisée. Elle déstructure le monde, le renvoie au chaos, alors que la classe autochtone vivant à la périphérie des métropoles lui oppose sans armes, arcbouté sur un réel démodé, une contre-entropie qui semble sans avenir.

    fgc2.jpg

    Mais il existe donc aussi une troisième « classe » : celle des étrangers qui peuplent les banlieues. Quelles sont les relations que cette classe entretient avec les deux autres ? On sait que la classe étrangère et la classe autochtone périphérique s’ignorent complètement. Leurs intérêts divergent trop, comme l’a montré l’épisode des Gilets jaunes. De plus, si ces classes se tolèrent pour le moment, elles ne s’aiment pas et ne se mélangent pas. Au contraire, la classe étrangère entretient avec la classe autochtone urbaine des rapports qui, objectivement, apparaissent comme beaucoup plus « symbiotiques ».
    D’une part, les habitants des banlieues constituent l’essentiel de la domesticité de la classe dominante urbaine. C’est dans ce vivier humain que la classe dominante va chercher à bas prix les nounous pour ses enfants, le personnel nécessaire à l’entretien de ses propriétés (concierges, femmes de ménage, gardiens…), mais aussi les chauffeurs de taxi ou de VTC, les vigiles, les conducteurs de bus ou de métro, les serveurs de restaurant, les assistantes aux personnes âgées, le personnel des hôtels, les manutentionnaires, les épiciers, etc.
    D’autre part, et en échange, la classe dominante assure à la classe étrangère, par le détournement de fonds prélevés sur la France périphérique, le versement régulier d’allocations et de subventions diverses. De plus, par les lois qu’elle vote, la classe dominante assure à la classe étrangère son installation définitive sur le territoire national et la criminalisation de tous ceux qui remettraient en cause cette installation. Ajoutons que les juges de la classe dominante font preuve d’une clémence toute particulière pour la racaille et que l’économie parallèle des banlieues, basée sur le trafic de drogue, n’est jamais sérieusement combattue, ce qui permet de maintenir le statu quo symbiotique.
    Cependant, l’importance du petit personnel immigré astreint au service de la classe dominante ne peut justifier à lui seul les cadeaux faramineux (en termes de milliards déversés, de lois pro-immigrés et antinationales, de traitement laxiste de la délinquance, d’acceptation d’une économie parallèle basée sur les trafics en tous genres…) consentis par cette classe à la classe étrangère. En fait, cette « générosité » fait partie du « deal » et ne peut être comprise que si on la rapproche d’autres mesures avantageuses concédées aux allochtones.
    Ainsi, la classe dominante a aussi pris un ensemble de mesures favorisant l’entrée massive des immigrés dans la fonction publique (mesures pudiquement baptisées « prise en compte de la diversité de la société française dans la fonction publique », avec à la clé un « label diversité » pour les administrations, des « allocations pour la diversité », une aide ciblée aux concours de la fonction publique, une diminution des exigences desdits concours et une « discrimination positive » qui s’assume, etc.). L’objectif déclaré, les sites gouvernementaux ne s’en cachent pas, est que les allochtones constituent à terme une part significative du personnel de toutes les administrations et institutions étatiques. S’il vous arrive de fréquenter un peu mairies, préfectures, conseils généraux, hôpitaux… vous vous êtes assurément rendu compte du changement ethnique dans la composition du personnel en place. Nous avions déjà indiqué (ici) que l’Etat avait fait sécession du peuple autochtone et qu’il s’était mué en une sorte de mécanique apatride au service des intérêts de la classe dominante. Nous avions souligné que le Grand Remplacement n’aurait pas pu se faire sans son concours actif. La présence en son sein d’allochtones de plus en plus nombreux indique qu’il n’y aura pas de retour en arrière. Définitivement, l’Etat n’est plus nôtre.
    Plus particulièrement, on observe que la classe dominante change de plus en plus rapidement la composition des institutions exerçant la violence ou qui sont susceptibles de l’exercer. Ainsi de la police et de l’armée, activement engagées « contre la discrimination » dans le recrutement.
    En 2010, selon une enquête de l’INED, 20% des policiers étaient issus de l’immigration. Combien sont-ils aujourd’hui ? Il est difficile de le savoir. Selon les études, il apparaît que la « diversification ethnique » s’opère par le bas (brigades de police secours, BAC…). Au contraire, la féminisation de la police s’opère par le haut. En 2015, 24,7% des commissaires de police étaient des femmes ainsi que 24.2% des officiers de police. Cette féminisation correspond très exactement aux conceptions sociétales de la classe urbaine dominante, qui considère par ailleurs que les femmes ainsi « libérées » soutiendront naturellement le système qui les a promues socialement au détriment du mâle blanc.
    Le même phénomène s’observe dans l’Armée. Les allochtones forment une part grandissante au niveau des hommes du rang et des sous-officiers. Il est néanmoins très difficile d’en estimer le nombre exact. En 2005, selon une enquête menée par Christophe Bertossi de l’Institut français des relations internationales (IFRI), les musulmans composaient entre 10 et 20% de l’armée de la République. Sur les 88 soldats morts en Afghanistan et les 22 soldats morts au Sahel (mars 2018), 14 au moins sont allochtones, du grade de 1ere classe à celui de capitaine (JDD). Cela nous donne une idée très approximative de la proportion d’allochtones dans les unités combattantes (13%), même si cette proportion peut être faussée par le refus de certains musulmans de servir en Afghanistan contre d’autres musulmans. A noter, pour Marlène Schiappa, que la parité n’a pas été respectée puisqu’aucune « soldate » n’a été tuée en Afghanistan ou au Sahel. Les femmes représentent pourtant 15,5 % des effectifs (23% dans l’armée de l’Air), et 7,8 % des officiers et officiers généraux. Cela n’est assurément pas suffisant. Aussi le ministre de la Défense, Florence Parly, a annoncé un « plan mixité » destiné à corriger cette anomalie insupportable.
    La volonté affichée et revendiquée de « diversifier » ethniquement, de féminiser et même d’ouvrir aux transsexuels et aux homosexuels les portes de la police et de l’armée traduit certes les délires idéologiques de la classe dominante urbaine (féminisme, genrisme, transexualisme, antiracisme, refus du réel…) mais exprime surtout un désir d’évincer, autant que faire se peut, les autochtones issus de la France périphérique : ce qui est visé ici est évidement le mâle blanc hétérosexuel et chrétien !
    On pourra objecter que les mâles blancs en question, policiers et CRS surtout, ont jusqu’à présent parfaitement fait leur travail de larbins au service de la classe dominante. Encore une fois, l’épisode des Gilets jaunes est là pour le prouver. D’autre part, s’il fallait une preuve supplémentaire, ces policiers sécurisent parfaitement les quartiers où habitent leurs maîtres, au détriment des quartiers où ils habitent eux-mêmes. Le fait que la classe dominante les remplace en partie par des gens issus des minorités est donc hautement significatif. D’une part, cela montre que les maîtres n’ont plus une confiance excessive en leurs larbins autochtones issus de la France périphérique. Il se pourrait, se disent-ils, que, dans une situation ethnique et sociale trop détériorée, ces autochtones aliénés retrouvent leur dignité et par la même occasion le sentiment de fidélité à leur classe. Il ne faudrait pas que la violence de ces dépositaires de l’autorité se retourne alors contre la classe dominante responsable de cette situation. Métisser, féminiser et rendre LGBTQ compatible la Police, la Gendarmerie, l’Armée et l’Etat en général est une bonne manière de neutraliser définitivement ces institutions. D’autre part, s’appuyer sur les minorités et faire de leurs membres des sortes de harkis au service du Système, Système dont par ailleurs ils profitent en retour, pourrait s’avérer un bon calcul pour neutraliser et marginaliser un peu plus cette classe autochtone populaire qui à l’évidence est considérée par la classe dominante comme LA classe dangereuse.

    fgc3.jpg

    Quoi qu’il en soit, ce mouvement de reflux des autochtones de la France périphérique au profit des minorités ethniques et sexuelles, mouvement organisé et conduit par les autochtones de la classe dominante urbaine, traduit une guerre menée par la France des métropoles contre la France périphérique. Une guerre que cette dernière est en train de perdre. La classe dominante a choisi les étrangers contre le peuple autochtone qui a construit ce pays. De là ces discours alambiqués sur l’islamisme qui ne serait pas l’islam, de là le laxisme judiciaire, de là la criminalisation de l’islamophobie : il s’agit de courtiser l’étranger pour s’en faire un allié. De là aussi la rigueur judiciaire envers les autochtones, de là la christianophobie à peine voilée, de là la culpabilisation de l’autochtone à travers la falsification de son histoire, de là la réduction de la culture européenne au racisme : il s’agit bien d’avilir, et l’histoire nous apprend que l’avilissement précède toujours la destruction.
    Si l’on accepte cette description objective d’une classe dominante qui domine, d’une classe étrangère dont l’expansion est organisée par la classe dominante et d’une classe autochtone dont le reflux est lui-aussi organisé par cette classe, alors il faut conclure que la classe dominante est en guerre contre la classe autochtone. Et il faut admettre que dans cette guerre à mort, la classe dominante se sert de la classe allochtone contre les autochtones qu’elle trahit et sacrifie.
    Le choix absurde de la classe dominante de se servir de la classe étrangère pour affaiblir le peuple autochtone découle de la réalité fictionnelle et de l’univers parallèle, hors du champ du réel, dont nous parlions plus haut : les bobos urbains croient vraiment, pour reprendre une expression de Bernard Lugan, que l’Africain est un Européen pauvre à la peu noire ; ils croient vraiment qu’une femme est un homme sans pénis ni testicules ; ils croient vraiment que l’islam est une religion de paix et d’amour ; ils croient vraiment que les sexes sont fluides ; ils croient vraiment au droit de choisir son genre ; ils croient vraiment que le mâle blanc est un « oppresseur raciste, sexiste et homophobe » qui empêche le « vivre ensemble » ; ils croient vraiment que l’islam et les mentalités africaines sont compatibles avec les valeurs LGBTQ+ ; ils croient vraiment que tout ce passera bien et que les allochtones incorporés dans leur police ou leur armée seront des harkis aussi fidèles que le sont leurs femmes de ménage africaines ! Bien sûr, ils commettent une lourde erreur. Leur univers parallèle est aussi entropique qu’il est contrenature et par avance condamné. La négation du réel ne peut durer qu’un temps. La classe dominante s’en apercevra bientôt et, sauf pour ceux qui sont au sommet de la pyramide, il sera alors trop tard pour sauver sa peau.
    Quelle forme prendra le retour au réel ? Tôt ou tard les rapports de force s’inverseront. La classe populaire autochtone paraît incapable de se rassembler et de s’organiser. Pour le moment, elle ne compte pas. Si elle ne réagit pas rapidement, elle est sans doute condamnée. Par contre, la montée en puissance de la classe allochtone paraît inexorable. Quand le réel resurgira, les évènements commenceront. Il est probable que les allochtones investiront d’abord les métropoles où se concentrent les richesses et les principaux organes du pouvoir. Les anciens maîtres de la classe dominante auront alors tout loisir de réciter à leurs anciens esclaves les maximes de Greta Thunberg ou de leur expliquer que la sexuation des êtres humains est une pure construction sociale. La violence, les viols et les égorgements feront instantanément voler en éclats toutes ces sottises. Ce retour au réel sentira le sang, la pisse et les larmes. Pour ma part, pour ces gens, je ne lèverai pas le petit doigt. Ce monde sera leur monde, leur chose.
    Qu’ils profitent à leur tour, mais dans la vraie vie cette fois, du vivre ensemble qu’ils nous ont imposé.
    Comme le disent les publicités stupides dont ils nous abreuvent : « Enjoy ! ».
    Antonin Campana
    Source
  • 5e Colonne mahométane : combien de morts faudra-t-il pour enfin ouvrir les yeux ?

    602x338_cmsv2_4563bebb-228a-5dd9-a68c-652ab5c0d69f-4207772.jpg

    Bernard Plouvier

    Un fou furieux antillais et mahométan, employé au ministère de l’Intérieur, poignarde quatre employés de la Préfecture de police de Paris. Et il ne s’agirait ni d’un crime raciste anti-Blancs ni d’un attentat de djihadiste !  

    Pourtant, des injures racistes, des viols racistes, des attaques racistes anti-Blancs et anti-Blanches (non pas verbales – celles-là se comptent par centaines tous les jours depuis les années 1980, mais des attaques physiques), les Français du « menu peuple » des grandes villes (Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille-Roubaix-Tourcoing, mais aussi Douai ou Cambrai, Saint-Étienne, Rouen etc… lisez les livres qui ont paru sur le sujet depuis le début du règne de Mitterrand-la catastrophe), ces « petits-Blancs », ni riches ni protégés,  les connaissent bien. Cela fait partie de leur quotidien.

    Seulement, dans la France de Giscard-Mitterrand-Chirac-Sarkozy-Hollande-Macron, soit un seul Politicard cosmopolite en 6 apparences - la sainte trinité chrétienne est largement dépassée ! -, chacun sait que seuls les Blancs sont racistes et seuls les colorés sont des gentils, purs de tout crime et de toute intention malfaisante… du moins dans les fantasmes des politicards et de leurs complices des media.

    Pourtant depuis 2014, les émeutes raciales de Joué-lès-Tours, les assassinats multiples de djihadistes (à la « Kala », à la voiture-bélier ou plus simplement au couteau en céramique) auraient dû ouvrir les yeux et les oreilles de nos princes et de leurs valets.

    Seulement, il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre, pire aveugle que celui qui ferme volontairement les yeux… surtout quand l’islamo-pétrodollar et l’islamo-haschischo-dollar viennent renflouer les caisses électorales des « partis de gouvernement ».

    Quel régal d’entendre, ce 4 octobre, madame Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement de la République Française, nous faire la leçon sur les « Fake news » concernant l’assassin de la Préfecture de Police, le sieur Michael Harpon, Antillais et mahométan, qui a usé d’un couteau en céramique (l’arme préférée des djihadistes de cette décennie) pour exécuter quatre fonctionnaires qui avaient le malheur de travailler dans les mêmes locaux que ce fou furieux.

    Fake news, madame Ndiaye : allez expliquer cela aux familles des assassinés ! Puis, si vous avez une once de conscience, démissionnez, car vous avez trahi les devoirs de votre charge.

    Quant aux Français de souche européenne, s’il en existe encore un seul pour voter en faveur du Grand Président Fake News, c’est à désespérer de l’avenir de la Nation. 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/05/5e-colonne-mahometane-combien-de-morts-faudra-t-il-pour-enfi-6180579.html

  • Carnage de la préfecture : l'islamisme au cœur de l'Etat

    prefcapt_0.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Le Parquet anti terroriste vient donc de se saisir de l'enquête sur le carnage de la Préfecture de police.
    En dépit des déclarations lénifiantes des autorités, complaisamment relayées par les médias, les conditions de la tuerie, le profil de son auteur et le mode opératoire ne laissaient que peu de doutes quant au caractère islamique de ce qui est aujourd'hui qualifié par le Parquet d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste.
    Les responsables de la Préfecture de police, et plus généralement des services de sécurité devront maintenant répondre à cette question : comment un converti en voie de "radicalisation" dont le comportement prosélythe et son refus de serrer les mains des femmes avaient été remarqués au sein du service, a-t-il pu conserver un poste aussi sensible que celui qu'il occupait et continuer de disposer de l'habilitation "secret défense" ?
    Quatre policiers ont payé de leur vie cet aveuglement.

    2109 13 JNI JFT.jpg

    Le terrorisme islamique, cette fois, a frappé au cœur même du réacteur nucléaire de la sécurité publique et du renseignement.
    Nous sommes désormais non seulement devant une affaire de nature terroriste, mais clairement confronté à un scandale d'Etat.
  • Manifestation de policiers : « Ce n’est pas le boulot que je conseillerais à mes enfants »

    policiers-manifestation.jpg

    A l’appel d’une large intersyndicale, des milliers de policiers ont défilé mercredi à Paris, entre la place de la Bastille et celle de la République, lors d’une manifestation baptisée « marche de la colère » sur fond de malaise de l’institution, de hausse des suicides, de manque de moyens et de réforme des retraites.

    Lire la suite

  • Drame de la préfecture de police, la France de l’ensauvagement – Journal du vendredi 4 octobre 2019

    1) Drame de la préfecture de police, la France de l’ensauvagement

    Une attaque au couteau par un individu aux motivations possiblement islamistes a fait quatre morts jeudi à la préfecture de Paris. Une actualité qui rappelle la menace permanente qui pèse sur les Français.

    2) Consommation : enfin une lutte contre l’obsolescence programmée ?

    Le Sénat et la Commission européenne ont adopté une batterie de mesures contre l’obsolescence programmée. Une volonté politique, au moins de façade, qui met en lumière la complexité que constituerait un changement des modes de production et de nos modes de consommation.

    3) FIFA : escroc… mais pas trop !

    Alors que les montants des transferts atteignent des sommets, la Fifa tente de réguler le marché. L’instance internationale du football va limiter les commissions des agents et les prêts de joueurs. De quoi limiter l’appétit financier de certains acteurs du ballon rond.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/drame-de-la-prefecture-de-police-la-france-de-lensauvagement-journal-du-vendredi-4-octobre-2019