Les Gilets jaunes se sont rassemblés à Nantes pour leur acte 44, fief de l'ancien ministre François de Rugy mais était aussi celui de Steve, retrouvé mort fin juillet, dans la Loire. Des heurts ont éclaté dès le début de la manifestation.
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L'acte 44 des Gilets jaunes à Nantes émaillé de violences
Quelque 1 800 personnes ont défilé à Nantes selon la police, qui a fait état de 30 interpellations, rapporte Ouest France.Plusieurs personnes ont été blessées dans les heurts qui ont éclaté entre manifestants et forces de l'ordre, précise l'AFP.Sur des images captées par l'agence Ruptly, alors que les manifestants sont dans un nuage de gaz lacrymogènes, l'un d'eux lance ce qui semble être un cocktail Molotov, qui atterrit juste devant un camion des forces de l'ordre.
Des manifestants s'en sont pris à un McDonalds, les vitrines sont brisées. -
Google accusé de revendre les informations confidentielles de ses utilisateurs
12/09/2019 – INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Google est accusé de récolter des informations à l’insu de ses utilisateurs pour ensuite les revendre aux annonceurs, a révélé jeudi dernier le Financial Times. Une enquête a été ouverte en Irlande, pays où siège le géant du web.Techniquement, Google utiliserait un mouchard à travers un lien internet invisible qui donnerait à l’annonceur un accès immédiat et illimité à tout l’historique de navigation de l’utilisateur. La méthode est si rapide que l’utilisateur ne peut pas s’en rendre compte. Selon le Financial Times, en plus de constituer une très grave infraction au règlement, cette pratique donnerait un avantage considérable au géant californien sur ses concurrents.
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Ces quatre guerres qui se livrent sous nos yeux
En 2006, Warren Buffet avait osé cette provocation : « C’est ma classe, les riches, qui a déclaré cette guerre et c’est elle qui est en train de la remporter. » Il confirma cette victoire après la crise. En fait, la guerre se poursuit, ou plutôt les guerres se développent. Ce n’est pas seulement celle qui oppose la classe supérieure mondialisée, ce 1 % qui, selon OXFAM, avait capté, en 2017, 82 % de la richesse mondiale au reste de l’humanité, dont il faut dire que la pauvreté régresse, mais moins vite que la richesse des milliardaires n’augmente. Pour cette oligarchie planétaire qui se réunit à Davos, les frontières n’existent guère et il faudrait, d’ailleurs, qu’il n’en existe que le moins possible, tant la circulation des capitaux, des biens et des personnes joue un rôle positif dans la croissance des profits. Beaucoup songent à un gouvernement mondial qui régulerait le marché pour éviter les crises.
La seconde guerre est justement celle des frontières, notamment celles des États-nations anciens qui veulent sauvegarder leur souveraineté et leur identité. L’Europe vieillissante, usée par les conflits mondiaux dont elle a été le centre, voit son importance économique reculer, son industrie dépassée et sa population changer. Son destin est-il de ne devenir qu’une péninsule de l’Asie, n’inventant plus guère, peuplée de consommateurs achetant les produits de la planète entière avec de l’argent de moins en moins issu du travail, de la production et des exportations, vendant ses entreprises au plus offrant et comptant sur l’immigration pour se renouveler et préserver son économie grâce à la modération des salaires ? Cette hypothèse ne gêne guère l’oligarchie mondiale, ni ses proconsuls au pouvoir, comme le Président français. Elle révolte une partie grandissante des peuples, ceux dont le destin et celui de leurs enfants sont liés à la nation dont ils sont les héritiers, et qui sont de plus en plus conscients du déclin, de la décadence et du risque de disparition. Les États-Unis ou l’Australie, ces colonies européennes, font preuve désormais de vigilance sur la protection de leurs frontières et la limitation d’une immigration qui les a pourtant fait naître. Cette guerre des frontières est, cependant, avant tout une guerre civile. Le cosmopolitisme des milliardaires, assez compréhensible, trouve dans le microcosme politique, médiatique et judiciaire des collaborateurs aussi zélés que totalement aveugles sur le long terme. Tous les moyens sont bons pour que les partisans de l’identité et de la souveraineté, les démocrates qui parlent au nom du peuple, soient écartés du pouvoir pour « populisme » – un mot révélateur ! Salvini trouve, en face de lui, la coalition des ennemis d’hier. Boris Johnson se voit accuser de trahir la démocratie alors qu’il essaie de mettre en œuvre la volonté exprimée par une majorité lors d’un référendum. Une étonnante « légitimité » est à l’œuvre derrière ces manœuvres : il n’y a qu’une voie et, comme par hasard, c’est celle qui correspond aux vœux de l’oligarchie mondialiste.
Mais il y a une troisième guerre, qui est celle du G20 contre le G7, celle de l’avenir contre le passé, des puissances émergentes contre le vieil Occident. Ce n’est pas très malin d’avoir rejeté la Russie parmi les adversaires de l’Occident. La Chine, l’Inde, le Brésil et la Russie sont en train de dépasser les nations occidentales, les unes après les autres. Elles possèdent la puissance économique, acquièrent peu à peu la force militaire et aspirent à se voir reconnaître à leur niveau. La dernière réunion du G7 appartenait au passé et n’était plus qu’une apparence nostalgique privée de tout futur. On aurait tort de négliger la réponse de Bolsonaro à Macron dénonçant son colonialisme : c’était, malheureusement, le bon angle d’attaque.
Enfin, il y a une guerre dont on s’efforce de parler moins en voyant derrière chaque terroriste islamique un déséquilibré. Elle a disparu des écrans, mais elle s’amplifie aux frontières des quartiers sensibles de plus en plus nombreux dans notre pays, très loin de Davos, d’Abou Dabi ou des îles Caïmans.
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Et la répression contre les gilets jaunes se poursuit en silence…
135 euros par gilet !
La 43e manifestation des gilets jaunes, samedi dernier, ne s’est pas trop bien passée. Dans les grandes villes, et à Paris notamment, les policiers n’y sont pas allés de main morte pour maîtriser une foule assez peu dense pourtant, mais très pacifique. Volée de grenades, encerclement, matraquage en bonne et due forme, arrestation d’un jeune homme qui mangeait une pizza et qui fut projeté sans ménagement dans le bus des gardes à vue.
Tout cela se voit sur les réseaux sociaux qui, décidément, s’avèrent être une vraie source d’information. J’ai ainsi pu voir et écouter un jeune journaliste belge prénommé Nicolas, porteur d’une vraie carte de presse, interviewé par une chaîne privée alors qu’il était encerclé par une dizaine de gendarmes sur les Champs-Élysées. Très calmement, il expliquait qu’il venait de se prendre une amende de 135 euros pour manifestation illégale ! Il concluait, devant l’air embarrassé des gendarmes, que le pays des droits de l’homme et celui de la liberté n’était décidément plus qu’une image vieillotte.
Question violence, une scène hallucinante qui donne raison à Vladimir Poutine lorsqu’il interpelle Emmanuel Macron sur la virulence des arrestations en France. À Bordeaux, en effet, une vidéo montre un paraplégique recevant une volée de gaz lacrymogène pendant qu’un membre des forces de l’ordre envoie un violent coup de botte à son fauteuil roulant ! Un observateur des droits de l’homme, à Toulouse, a été violemment jeté à terre et exfiltré par les street medics.
Un film de 90 minutes de Jamel Bouabane nous fait vivre ce qui s’est passé autour des Champs-Élysées, ce 7 septembre. « Vous avez le droit d’être sur l’avenue, mais seul. Si vous êtes plusieurs, c’est une manif non déclarée, donc vous êtes passible d’une amende de 135 euros ! » Voilà la réponse des gendarmes aux personnes interpellées pendant que le cinéaste filmait avec son téléphone. Merci à MM. Macron et Philippe, signataires de ce sinistre décret n° 2019-208 du 20 mars 2019 instituant une contravention pour participation à une manifestation interdite sur la voie publique. Sont visés les gilets jaunes ! Car les Black Blocs sont hors jeu puisque rarement interpellés, comme ceux qui ont incendié, à Montpellier, une voiture de la police municipale, samedi dernier, occasionnant le début d’incendie d’un immeuble.
À Paris, Éric Drouet a été verbalisé deux fois dans la journée pour avoir été présent dans « un périmètre interdit ». Amende : 270 euros. Il a expliqué à RT France que sa première interpellation était au motif de manifestation alors qu’il était tout seul dans la rue. « Que je sache, on ne m’a pas interdit de venir à Paris… C’est du harcèlement politico-policier. »
Intéressante, aussi, cette vidéo en accéléré qui, sur le site Facebook Gilets jaunes le mouvement, montre plusieurs milliers de manifestants défilant dans une rue commerçante de Montpellier, là où la police n’en a dénombré que 2.000, dont 500 Black Blocs. Édifiant, ce tour de France des défilés jaunes sur cette même page Facebook et qui remplace le silence de nos chaînes, pour ceux qui veulent savoir et qui ne se sont pas contentés des quinze secondes offertes par France 2 sur ce sujet. Le journal Libération, lui, a estimé que cela avait été « une journée sans grande ampleur ». Alors…
Attendons la grande manifestation jaune nationale prévue à Paris le 21 septembre.
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Des « circonstances atténuantes » à la tuerie de Villeurbanne ?
Bernard Plouvier
Pour la énième fois depuis 2014, un « réfugié » mahométan tue et blesse avec un poignard d’honnêtes passants, par le simple fait qu’ils ne sont pas de sa race et de sa religion.
Le fait est patent. Néanmoins, voilà-t-il pas qu’au lieu de se pencher sur le caractère multi-récurrent du phénomène depuis cinq longues années, meurtrières à souhait, les journalistes des chaînes télévisées et radiophoniques cherchent et trouvent (!) des excuses au meurtrier, comme ils le font avec les violeurs et les pédophiles, sauf s’ils sont européens de souche et/ou (de mauvais) chrétiens.
Pourtant, les choses sont simples : chaque mois, on tue du « Souchien », du non barbu - un mahométan y regarde à deux fois avant d’expédier un barbu puisque cet artifice pileux est fort « tendance » chez ses coreligionnaires. L’évidence du crime sélectif et gratuit devrait être constatée par nos « chers journalistes ». Que non pas !
Tout le monde connaît le déchaînement de haine envers ceux qui nient la réalité de tel ou tel génocide. Or, le négationnisme se porte bien, s’il a pour but de renforcer la politique immigrationniste de nos princes, toutes tendances confondues, depuis la funeste année 1976 et le décret de regroupement familial des travailleurs immigrés décidé par le couple maudit Giscard-Chirac.
Crevez, Français de souche européenne, vous n’intéressez pas nos princes et leurs valets du monde merveilleux des média, au service de la méga-consommation.
Après tout, si vos enfants meurent, s’ils sont rackettés, tabassés, violés, c’est peut-être parce que, depuis un demi-siècle, vous votez pour les candidats d’une mafia au service, non pas de la Nation, non pas du « peuple souverain », mais au service des superbénéfices des producteurs et des négociants… qui n’ont pas toujours une quelconque attache française ni même européenne.
Électeurs, vous avez gravement péché contre la Nation et l’État. Vos enfants et petits-enfants en subiront toutes les conséquences… à moins d’un sursaut d’honneur et d’orgueil national, de moins en moins probable, s’agissant d’un « peuple de veaux », comme disait ouvertement le sieur de Gaulle.
Faudra-t-il attendre un salut de l’Est ?
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Afrique du Sud : les cocus ayant cru à la fable de la nation arc-en-ciel peuvent sortir des rangs et avancer de trois pas…
Communiqué de Bernard Lugan
En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d'autres Noirs.Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc...
Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu'ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier.
Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité...
La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc.
Résultat :
- Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;
- 17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;
- Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.
En 25 années de pouvoir, l'ANC - le parti de Nelson Mandela -, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants encore tenus par des Blancs.
Un naufrage économique qui tient en trois points :
1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité, les investisseurs ont délocalisé.
2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.
3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.
Dans ce pays où un abîme s'est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres.
Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’Etat-parti ANC n’a désormais plus que trois options :
1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.
2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre.
La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage dans la misère.
3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays.http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/afrique-du-sud-les-cocus-ayant-cru-la.html#more
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La France ? 84 millions d'habitants et 3 millions de centenaires ! Le Système, c'est le grand foutoir généralisé...
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Les Gilets jaunes face à la répression
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I-Média n°262 – Villeurbanne : islamisme et relativisme
Nouveau format pour l’émission I-Média sur TV Libertés, avec Jean-Yves Le Gallou et Nicolas Faure. Au sommaire (détaillé ci-dessous) : islamisme, censure, justice, Allemagne…
Sommaire
02:25 Villeurbanne : islamisme et relativisme
Un migrant afghan a poignardé mortellement un jeune Savoyard de 19 ans et blessé plusieurs personnes à Villeurbanne. Les médias ont tout fait pour relativiser l’attaque islamiste.
12:56 Revue de presse
Dans cette nouvelle rubrique, nous balaierons quelques actualités médiatiques particulièrement intéressantes. Censure, bien-pensance et folie végane, il y en aura pour tous les goûts !
25:07 Condamnation inique, silence médiatique
Trois militants identitaires ont été iniquement condamnés pour avoir mené une opération symbolique de sécurisation des frontières dans les Alpes. Les médias ont fait profil bas.
33:55 Vers le réveil allemand ?
Pour clore l’émission, Jean-Yves Le Gallou analysera la hausse notable des scores de l’AfD en Allemagne.
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Les "mutilations des manifestants, marque indélébile du quinquennat Macron", estime Marine Le Pen
En pleine rentrée politique dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), la présidente du Rassemblement national a vivement critiqué la gestion gouvernementale de la crise des "gilets jaunes".
Une rentrée offensive contre Emmanuel Macron. Marine Le Pen a dénoncé, dimanche 8 septembre, les "dérives antidémocratiques" et "impardonnables" du gouvernement lors des manifestations des "gilets jaunes" depuis un an, les "mutilations des manifestants" constituant, selon elle, la "marque indélébile du quinquennat Macron"."Les mutilations des manifestants de l'année dernière, tragiques faits d'armes de l'indigne Chritophe Castaner, restent une marque indélébile du quinquennat Macron", a-t-elle lancé.
Pour Marine Le Pen, "la faute politique" de ce gouvernement est aussi "d'avoir mis en œuvre un projet pour ceux qui ont réussi, tout en ignorant, voire méprisant, ceux qui aux yeux du président ne seraient rien".[...]
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