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insécurité - Page 486

  • 5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    D’Eric Cusas dans Politique Magazine :

    On ne sait pas exactement combien il y a de musulmans en France. L’estimation basse est de cinq millions mais certains, comme l’ancien ministre à la Promotion de l’égalité des chances Azouz Begag ou la démographe Michèle Tribalat suggèrent qu’ils sont en réalité entre quinze et vingt millions. Si l’on considère que vingt-cinq pour cents de cette population (probablement sous-estimée) est radicalisé (c’est le chiffre généralement avancé au niveau mondial), cela fait tout de même entre 1.250.000 et 5.000.000 de personnes prêtes à prendre les armes en cas de confrontation soit, grosso modo (et a minima), quatre fois et demi l’effectif de l’armée d’active. Même si l’on divise ces chiffres par deux, ils restent terrifiants ! Nous parlons, ne l’oublions pas, de personnes souvent jeunes et n’ayant pas peur de mourir, pour qui la mort est même une consécration, au contraire de l’autochtone moyen. Voilà ce qui explique, du moins en partie, qu’un fonctionnaire qu’on sait acquis à l’islam salafiste reste en poste bien qu’on le sache potentiellement dangereux. Surtout ne pas froisser, ne pas donner l’impression que l’on condamne, ni même que l’on se protège, ce qui traduirait une forme de suspicion. On est ainsi passé imperceptiblement, d’un calcul électoraliste au petit pied, de la recherche d’un nouveau damné de la terre, à une sorte de pied de paix armée. J’en suis convaincu, les intégristes, qui s’inscrivent dans une logique de conquête, n’attendent que l’étincelle qui déclenchera l’affrontement. Ils savent que nos populations vieillissantes, gavées de graisse, lobotomisées par la téléréalité et, surtout, sevrées d’idéal comme des chapons de leur virilité ne sont pas prêtes au combat. Un idéal, eux, les salafistes, ils en ont un, si détestable que nous le jugions, et c’est cela, conjugué à notre pusillanimité, à notre renoncement moral, qui fait leur force. M. Collomb ne s’y est pas trompé qui, à la veille de son départ avertissait son successeur : deux parties de la population se font face et si l’on n’y remédie pas, elles finiront par s’affronter. Alors, quand l’islam frappe, au cœur même de nos villes, que faire sinon s’empresser de nier qu’il soit la cause du drame et trouver en toute hâte une explication au geste du meurtrier, si invraisemblable soit-elle ? Que faire lorsque le grotesque de cette explication de circonstance apparaît au grand jour, sinon condamner l’acte d’un déséquilibré ? L’islam rend-t-il fou ? Les musulmans radicaux ont-ils, a minima, un projet de partition du territoire en attendant une submersion démographique, même relative ? « La question ne sera pas posée ! » comme répondait inlassablement le président du Conseil de guerre à l’avocat de l’infortuné capitaine Dreyfus. Il n’y a qu’une diagonale des fous.

    https://www.lesalonbeige.fr/5-millions-de-radicalises-prets-a-prendre-les-armes/

  • Bistro Libertés avec Papacito : La haine anti-flics : l’escalade ?

    La haine des policiers : l’escalade ?

    Les forces de l’ordre font face à une multiplication des guets-apens, des actes de rébellion, de jets de projectiles et de tirs de mortiers. En moins d’un an, les violences dirigées contre les forces de sécurité ont augmenté de près de 15 %. Un « tout le monde déteste la police » qui trouve un écho jusqu’au sein des vrais Gilets Jaunes parfois victimes de violences ou d’erreurs policières. La haine des policiers : l’escalade ?

    Le populisme en Europe : la stagnation ?

    La défiance des populations envers les « partis de gouvernement » au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle « populistes », est sans nul doute le fait le plus marquant depuis au moins deux décennies. Pour le philosophe Alain de Benoist, nous vivons le moment populiste ! Cependant, Matteo Salvini n’est plus au pouvoir, Boris Johnson piétine, l’Autrichien Heinz-Christian Strache a été sèchement remercié. Le populisme en Europe : panne et stagnation ?

    Papacito est un blogueur, vidéaste, acteur et scénariste de bande dessinée.

    Auteur et fondateur du blog FDP, il est connu pour ses prises de position carabinées.

     Publié chez Ring, Il n’hésite pas à se mettre en scène dans les clips de son éditeur et sur les couvertures de ses livres.

    Dans « Le crépuscule des titans »,  en bon royaliste, il prend la défense du moyen âge et nous invite à libérer les héros de leurs tombeaux.

    Les bandes déssinées  « FDP » qu’il signe avec Marsault ont des tirages à faire pâlir les grandes maisons d’édition.

     Il cartonne sur YouTube avec des vidéos frôlant le million de vues. Il bouleverse les tabous de notre société édulcorée.

     Il choque, horrifie ou terrifie certains. Provocateur barbare pour les uns ou chevalier wisigoth pour les autres ; ce qui est certain,  c’est qu’il est un grand maître de la communication numérique.

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-papacito-la-haine-anti-flics-lescalade

  • Contre le harcèlement scolaire, Emmanuel Macron a choisi le ton Petite Maison dans la prairie…

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    Mais qui lui a encore soufflé cette idée baroque ? À l’occasion de la Journée contre le harcèlement, Emmanuel Macron a décidé de s’adresser directement aux jeunes sur Snapchat pour leur dire que le harcèlement, c’est mal : il ne doivent pas laisser à l’écart ce camarade, cette « personne qu’[ils trouvent] bizarre »« une personne qui est souvent seule, moquée par un autre groupe d’élèves, moquée en direct dans la cour, dans la classe, sur les réseaux sociaux ». Il insiste : « Je suis sûr que vous voyez très bien de qui je parle. » « Vous vous dites peut-être que ce n’est pas très grave. Peut-être même que ça vous amuse parfois aussi. Vous vous dites au fond que ce n’est que des blagues » et il les exhorte d’un ton patelin : « Je vous demande pendant cette minute de vous mettre à sa place. D’imaginer la solitude, l’humiliation, les blessures. Et les blessures d’aujourd’hui et les blessures qui vont durer à cause de cel. »

    On avait vu le président de la République dans beaucoup de rôles de composition, pas encore dans celui d’institutrice de La Petite Maison dans la prairie. Celui-ci ne lui sied guère, on l’a vu meilleur acteur, surtout plus malin et moins maladroit. S’adresser au « groupe classe », comme s’il était dans sa globalité « harceleur », en lui montrant du doigt le pauvre gars à l’écart pour implorer un peu de commisération est un bleu psychologique dont la victime – qui s’est reconnue elle aussi – ne se remettra pas. C’est enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie et tourner bien fort. Ceux auxquels le président de la République accorde de l’importance, ce sont les harceleurs puisque c’est à eux qu’il s’adresse (gentiment !) – et ce n’est pas rien d’avoir droit à l’attention du chef de l’État. Il tombe d’accord avec eux pour reconnaître le caractère « bizarre » de celui qui est exclu, merci pour lui, et l’exclut un peu plus en formalisant le fait qu’il est seul contre tous… quand ce dernier n’aspire – c’est de son âge – qu’a faire partie du groupe. C’est, au contraire, les harceleurs qu’il faudrait isoler, dont il faudrait parler à la troisième personne car ils ne méritent pas un regard, encore moins une parole, du président de la République.

    Personne ne l’a donc prévenu que l’univers sordide qui pousse certains, à peine âgés de 11 ans ou 12 ans, à se pendre, n’a pas grand-chose à voir avec l’école bucolique de Laura Ingalls ?

    Ces paroles lénifiantes sont les mêmes que celles du directeur, du professeur, et de toute la hiérarchie scolaire, qui usent de l’euphémisation pour ne pas avoir à user de la coercition. Sans doute le phénomène du souffre-douleur ne date-t-il pas d’aujourd’hui. Bien sûr, les réseaux sociaux sont une donnée exogène contre laquelle on ne peut rien. Mais c’est bien notre école laxiste où règne, comme dans le reste du pays, la loi du plus fort, où les valeurs sont inversées, le bon élève étant conspué et le caïd glorifié, où l’on cherche, comme ailleurs, à acheter la paix sociale, où l’on ne fait rien pour lutter contre la vulgarité ni contre la présence importune d’élèves incapables de suivre et, de ce fait, aigris, désœuvrés et vengeurs, qui l’a affreusement amplifié.

    Comment regarder en face ces mères dévastées par le suicide de leur petit ? Et on espère tout changer par une vidéo présidentielle digne d’un mercredi après-midi sur Gulli ? Le soir du réveillon, va-t-il aussi, façon Père Castor, demander aux brûleurs de voiture – presque des enfants aussi, nous dit-on – d’aller prendre leur bain, de se laver les dents et surtout d’être bien polis avec les policiers ?

    Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/contre-le-harcelement-scolaire-emmanuel-macron-a-choisi-le-ton-petite-maison-dans-la-prairie/

  • Attentat à la préfecture – Xavier Raufer : « L’un m’a dit : “On a recâblé Mickaël Harpon car c’est tellement pas lui” »

    Un mois après l’attaque au couteau de la préfecture de police de Paris, qui a coûté la vie à quatre fonctionnaires de police, Xavier Raufer revient pour Boulevard Voltaire sur la personnalité de Mickaël Harpon, auteur de ces crimes.

    Le criminologue a pu, en effet, s’entretenir avec ses anciens professeurs, ce qui, semble-t-il, n’a pas encore été fait par la police.

    Pour certains de ces enseignants, Mickaël Harpon a été « marabouté ». Des révélations qui font entendre un autre son de cloche…

  • I-Média n° 271 – Emeutes à Chanteloup, les médias incapables de parler d’immigration


    02:00 L’image de la semaine

    Sur la très institutionnelle chaîne Public Sénat, un drôle d’intervieweur interroge les sénateurs… en mode racaille !

    04:00 Emeutes à Chanteloup, les médias incapables de parler d’immigration

    Nouvelles émeutes urbaines dans plusieurs villes de France dont Chanteloup-les-Vignes où le chapiteau d’un cirque dédié aux enfants de la commune a brûlé.
    La situation s’envenime mais les médias rechignent encore à évoquer clairement le profil des racailles.

    16:55 Revue de presse

    Présent et Paris Vox menacés… Des gros bobards médiatiques en pagaille… La revue de presse de cette semaine aurait pu être déprimante mais, grâce à Hervé Le Bras, nous aurons le droit à une note très positive.

    32:12 Quotas : les médias veulent toujours plus d’immigration

    De nombreux médias ont pris position quant au projet de quotas migratoires proposé par Emmanuel Macron. Et, sans surprise, beaucoup ont défendu l’accueil des immigrés.

    37:03 Coup de chapeau

    Alors qu’une manifestation lunaire avait lieu contre Eric Zemmour la semaine dernière et qu’une nouvelle manifestation très critiquée contre l’islamophobie doit avoir lieu dans quelques jours, il y a d’autres rassemblement plus utiles auxquels participer dans les jours à venir !

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n-271-emeutes-a-chanteloup-les-medias-incapables-de-parler-dimmigration

  • Béziers : Où est la police de Christophe Castaner ?

    Béziers : Où est la police de Christophe Castaner ?

    Madame Emmanuelle Ménard, député de l’Hérault, reprend les propos de monsieur Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, sur la mise en place de la PSQ à Béziers :

  • Les territoires perdus de la République

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    François Pupponi révèle l’alliance en banlieue entre les dealers et les islamistes          
    Ce témoignage est précieux.
    L’ancien maire de Sarcelles fait part de son expérience concrète des réalités de banlieue.
    Et là, les rigoristes de l’islam ne font pas la fine bouche lorsqu’il s’agit de leurs intérêts communs avec les caïds de la drogue.

    https://ok.ru/video/1648824289965
    À Marseille, les élus doivent demander l’autorisation aux dealers pour entrer dans certains quartiers

    François Pupponi continue de révéler, interview après interview, l’étendue du désastre auquel nous ont mené 40 ans de lâcheté.
  • “Contre l’islamophobie” : une marche qui divise à gauche – Journal du jeudi 7 novembre 2019

     

    “Contre l’islamophobie” : une marche qui divise à gauche

    Lancé le 1er novembre, l’appel à manifester contre l’islamophobie en France n’en finit plus de faire débat. Après avoir signé la pétition, de nombreuses personnalités politiques de gauche font marche arrière et provoquent des divisions.

    FDJ, une privatisation et beaucoup d’interrogations

    La privatisation de la Française des jeux est lancée. L’état se désengage d’un secteur sensible mais l’entreprise préserve l’essentiel de son monopole en attendant peut-être une dérégulation totale du secteur.

    Suède : du paradis à l’enfer

    Présenté un comme un paradis économique et social, la Suède devient le théâtre d’une véritable guerre des gangs. Les fusillades et les meurtres se multiplient et l’immigration semble être à l’origine de ce désordre.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/contre-lislamophobie-une-marche-qui-divise-journal-du-jeudi-7-novembre-2019