Avignon – Vers 11h15, un homme armé d’un couteau a attaqué des policiers en rue en criant “Allah Akbar”. Les policiers menacés ont abattu leur assaillant. Le procureur de la République, Philippe Guémas, se rend sur les lieux.
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Avignon – Attaque au couteau contre des policiers au cri de “Allah Akbar” – L’assaillant abattu
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Marion Maréchal réagit aux attentats : “Nous sommes en guerre mais pas contre un virus”
Clair et limpide. Très bonne analyse sur la notion d’Etat de droit :
https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-reagit-aux-attentats/
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Nouvelle décapitation terroriste islamiste à Nice : on en a marre.
La basilique Notre-Dame de l'Assomption, à Nice. Mister No - Creative Commons
Dans l'attente de développements de l'enquête, nous redonnons la position que nous avons exprimée juste après la décapitation de Samuel Paty :
La basilique Notre-Dame de l'Assomption où a eu lieu la décapitation :
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Guillaume Bigot, après l’attentat de Conflans : « On assiste à un retournement de veste des politiques sur l’islamisme »
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on assiste à de nombreuses prises de parole de la part des politiques ayant la volonté d’engager « la guerre » contre l’islamisme.
Guillaume Bigot, qui vient de publier La Populophobie (Plon), s’interroge sur la portée de la parole de la classe politique et se dit « écœuré » devant l’hypocrisie de ceux qui dénoncent l’islamisme après avoir souvent « cherché l’accommodement » .
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, on sent une volonté de la part de nos politiciens d’engager la guerre, pour reprendre leurs mots contre le terrorisme islamiste. Cependant, derrière les mots, on attend encore une action claire. Le moins que l’on puisse dire, la parole est assez chaotique. Quelle est votre opinion sur la parole politique ?
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L’Union européenne, la « grande puissance » muette face aux provocations d’Erdoğan
Dans le conflit qui s’envenime entre Paris et Ankara, la presse française s’est félicitée, en divers articles, des soutiens que Macron a recueillis de ses partenaires européens, en particulier de Rome, Athènes et Amsterdam, aux avant-postes pour condamner Erdoğan. Mme Merkel a, elle, fait le service minimum et jugé les propos du président turc « diffamatoires ». Mais à part des effusions verbales, que fait donc l’Union européenne pour défendre la France et, au-delà, le modèle de société libéral qui est le nôtre ? Qui se souvient des arguments usés et abusés jadis par nos médias et politiques pour nous vendre l’Union européenne qui, seule, pouvait faire de nous une grande puissance capable de rivaliser avec les États-Unis, la Chine et la Russie ?
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IMPOSER LES CARICATURES, EST UNE FAUTE POLITIQUE ET PSYCHOLOGIQUE !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Pour le président de la République, il semble que l’horizon indépassable de la lutte contre l’islamisme, soit la publication ad vitam aeternamdes caricatures de « Charlie Hebdo » sur le Prophète. Pense-t-il guérir ainsi la fièvre musulmane qui s’est emparée du monde arabe, mais pas que ?
Est-il opportun d’agiter le chiffon rouge devant une communauté prompte à s’embraser, dès que l’on touche aux « poils de la barbe du Prophète » ? (Barbe supposée, car dans le monde musulman, il n’y a pas de représentation graphique des visages…). Surtout, alors que l’on est incapable, par manque de volonté politique, de faire régner l’ordre dans les zones de non droit et autres quartiers difficiles, il est inutile d’exciter la haine des fidèles. Des prédicateurs sournois et autres imams autoproclamés n’attendent que cela.
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Appels à la décapitation, demande de rançons : résister aux menaces islamistes
Jérémie Bréaud est le maire nouvellement élu de Bron, ville de 38 000 habitants de la banlieue de Lyon. Cette ville a basculé à droite le 28 juin, après une très longue mainmise du PS et du PC. Jeudi matin, les habitants de Bron ont découvert des appels au meurtre peints sur les murs de la ville : « Jérémy Breaud on va te décapité » et aussi « Nik la mumu ». La mumu en question, c’est la police municipale. Ces menaces sont prises au sérieux, et le maire est désormais sous protection policière.
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Les mesures pour lutter contre la délinquance sexuelle et les violences faites aux femmes.
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Gollnisch : “Au risque de choquer, je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, il y a du souci à se faire !…”
Dans la foulée de la décapitation de l’enseignant Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, le Président Emmanuel Macron (de même que Robert Ménard) est devenu un promoteur du droit au blasphème et un représentant commercial de Charlie Hebdo et de ses caricatures. Ce qui vaut à la France de nouvelles menaces islamiques provenant de différents pays musulmans et de grosses angoisses parmi les services de police, de gendarmerie et de renseignements appelés à redoubler de vigilance sur tout le territoire.
Un tweet de Bruno Gollnisch fait preuve d’un bon sens qui manque tant à ceux qui nous gouvernent mais aussi, hélas, à beaucoup de représentants du camp national.
“Au risque de choquer (Mais il paraît que l’on a droit au blasphème…), je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, qui n’ont rien à faire dans les classes de collège, il y a du souci à se faire !…“, écrit avec sagesse Bruno Gollnisch.
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La fièvre monte à Ankara
Par deux fois, le 24 et le 25 octobre, Erdogan a explicitement insulté le tenant du pouvoir parisien, l'accusant de troubles mentaux, à la suite de son discours de la Sorbonne. Difficile dans ces conditions de ne pas donner raison à un Clément Beaune, secrétaire d'État aux affaires européennes, quand il dénonce "une volonté de déstabilisation" de la France de la part gouvernement turc. Dans un tel contexte on peut légitimement conclure que "ce n'est pas un hasard s'il n'y a pas eu de condamnation officielle", par la Turquie, de l'immonde attentat du 16 octobre.
Les officieux atlantistes affirmaient, 48 heures plus tôt, le 22 octobre, que "l’incident du Courbet est dépassé. L’OTAN essaie d’oublier", tout se passant bien au mieux la meilleure des alliances euro-turques… Ils se trompaient : ce ne sont plus les militaires kémalistes d'hier, ni les vieux cercles diplomatiques, qui mènent la danse à l'est du Bosphore, mais un pouvoir politique s, au contraire, a parfaitement compris désormais que le mégalomane d'Ankara "se présente en protecteur des musulmans de façon complètement instrumentalisée".