Le 18 janvier 2020 éclatait « l’affaire Mila » du nom de cette adolescente menacée de mort par des centaines d’individus après avoir tenu des propos peu élogieux concernant l’islam.
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Le 18 janvier 2020 éclatait « l’affaire Mila » du nom de cette adolescente menacée de mort par des centaines d’individus après avoir tenu des propos peu élogieux concernant l’islam.

Le document circule dans la mouvance Black Blocs et a déjà été retrouvé sur des téléphones portables lors d’interpellations à Paris. Il dresse la liste des endroits où les agents sont le moins protégés et, donc, vulnérables, relate Le Parisien.
Un petit guide avec la photo d’un policier casqué
Un magistrat parisien a découvert un document dans le téléphone portable d’Akram, 31 ans, « poursuivi pour des violences commises sur des policiers le 28 novembre dernier à Paris ». Il s’agit d’un petit guide avec la photo d’un policier casqué, en tenue de maintien de l’ordre, et intitulé : « En cas d’agression physique », que reproduit Le Parisien.

Parmi les articles parus sur l’affaire Duhamel, l’un d’eux est passé relativement inaperçu. Pourtant, il émane de la source, bien informée, qui a révélé l’affaire au grand public : Ariane Chemin et Le Monde. Et il décrit, précisément, l’état d’esprit qui règne à l’Élysée et autour de l’ancien Premier ministre Édouard Philippe : « fébrile », « tétanisé ». Il paraîtrait qu’« Emmanuel Macron surveille chacun de ses rebondissements comme le lait sur le feu ». Une fébrilité qui s’est d’abord traduite par une condamnation tonitruante : « Ces témoignages, ces paroles, ces cris, plus personne ne peut les ignorer. […] Le silence construit par les criminels et les lâchetés successives, enfin, explose. » Comme si le pluriel et la posture permettaient de noyer dans un mouvement général et anonyme l’encombrant Olivier Duhamel.

Un homme armé a fait irruption dans une agence Pôle emploi à Valence (Drôme), le jeudi 28 janvier. Aux alentours de 9 heures, il a mortellement touché une conseillère, indique Le Dauphiné libéré.

La chronique de Philippe Randa
Dénoncé comme beau-père incestueux sur son beau-fils, le silence « assourdissant » d’Olivier Duhamel semble prouver sa culpabilité. Un innocent, victime d’une aussi terrible accusation n’aurait eu de cesse de clamer son indignation, de s’en étouffer même, de conspuer son accusatrice et de la menacer des foudres de la justice en une plainte en bonne et due forme pour diffamation.
Plusieurs villes des Pays-Bas étaient le théâtre d’émeutes lundi, pour la deuxième nuit consécutive, après l’imposition ce week-end d’un couvre-feu afin de lutter contre la pandémie de coronavirus. Des affrontements ont opposé la police anti-émeute, qui a fait usage de canons à eau, à des groupes de protestataires dans la ville portuaire de Rotterdam, ainsi que dans la petite ville de Geleen (sud), près de Maastricht, ont rapporté la police et des médias.
“Une confrontation est en cours entre la police anti-émeutes et des jeunes qui leur lancent des feux d’artifice”, a indiqué dans un tweet la police de Geleen. “Une personne a été arrêtée“. Le maire de Rotterdam, Ahmed Aboutaleb, a pris un décret autorisant la police à multiplier les arrestations. “Des arrestations ont eu lieu“, a indiqué la mairie de Rotterdam dans un tweet. “Il est instamment demandé de quitter les lieux“.

Couv(r)e le feu
Aux Pays-Bas, le couvre-feu instauré ce week-end et prévu pour durer jusqu’au 9 février provoque de violentes contestations. Il est pourtant moins restrictif qu’un confinement et même moins strict qu’en France, courant de 21 heures à 4 h 30. L’amende en cas d’infraction est de 95 euros (135 euros en France, où 110 000 procès-verbaux ont été dressés depuis le 15 décembre).

Les images de l’agression de Yuriy tournent en boucle sur les réseaux sociaux, pour reprendre une de ces phrases toutes faites qui tiennent lieu de cortex préfrontal aux journalistes de l’info en continu. On peut y voir cet adolescent, allongé sur la dalle de Beaugrenelle (15e arrondissement), massacré à coups de pied par un troupeau (il n’y a pas d’autre expression) de « jeunes » que la mère du jeune homme a, fort à propos, qualifié d’« animaux ».
Depuis le début du mois de janvier, il y a eu ainsi, en lien direct avec le trafic de drogue, cinq fusillades aux Dervallières – un mort âgé de 15 ans et un blessé – et un enlèvement. L’homme qui avait été enlevé aux Dervallières puis retrouvé à Bellevue, libéré par les policiers, s’était montré peu loquace et demeure depuis rigoureusement introuvable.