Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 491

  • Maxime Nicolle porte plainte pour menaces «de kidnapping, de torture et de meurtre»

    Maxime Nicolle.jpgFigure du mouvement des Gilets jaunes, Maxime Nicolle, alias «Fly Rider» sur les réseaux sociaux, a annoncé avoir déposé plainte pour «des heures de vidéos, messages, mails, commentaires» haineux et des menaces, notamment de mort.
    Maxime Nicolle a déposé une plainte le 15 août à la gendarmerie de Dinan (Côtes-d'Armor) pour plusieurs motifs dont «menaces de mort», «harcèlement moral» ou encore «diffamation publique».
    En cause : «des heures de videos, messages, mails, commentaires», que «Fly rider» dit avoir en sa possession. 
     
    Maxime Nicolle a expliqué à RT France avoir transmis à la gendarmerie des éléments permettant d'identifier les deux auteurs de ces vidéos, décrits par lui comme proches des milieux «complotistes» incarnés par «Farida Belghoul, [Alain] Soral et [Eric] Fiorile, enfin toute la partie extrême». Ces deux personnes seraient déjà venues à sa rencontre au cours de ses déplacements et l'auraient pris en grippe pour son refus de relayer leurs thèses.

    [...]
    En savoir plus sur francais.rt.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/maxime-nicolle-porte-plainte-menaces-kidnapping-torture-meurtre.html#more

  • Scandale Epstein : politiques et hommes d’affaires mouillés peuvent trembler…

    Résultat de recherche d'images pour "photo epstien et maxwelle"
    Avec l’affaire Epstein, on n’est plus dans le simple fait divers concernant du menu fretin pervers qui s’adonne à ses sordides activités de pédophilie.
    Car c’est un vaste réseau mondain qui a été démasqué, un banc de très gros poissons que la justice américaine a bien l’intention de capturer dans ses filets. C’est une enquête tentaculaire qui s’annonce, aux nombreuses ramifications mondiales. De la dynamite, compte tenu de l’ampleur de ce réseau pédophile. On comprend mieux le peu d’empressement du Parquet à lancer une enquête en France.  Le pouvoir joue la montre et ne semble pas pressé de remuer la vase avant de voir ce qui va d’abord ressortir du côté américain. Ceux qui s’imaginent que la justice américaine va mettre la pédale douce et minimiser les faits se trompent lourdement. Nous ne sommes pas en Europe ! Et ce n’est pas le suicide plus que suspect du principal coupable qui va enterrer l’affaire, si l’on en croit le procureur général des États-Unis. « Je peux vous assurer que l’enquête va continuer, visant quiconque ayant été complice de Jeffrey Epstein. Aucun complice ne dormira tranquille. » C’est clair ! En Angleterre, le pouvoir et la police ont couvert pendant des années un viol de masse ayant fait plus de 1 000 jeunes victimes, tombées sous la coupe d’un réseau pakistanais. Mais en Amérique, suite à l’agression sexuelle commise par DSK, les policiers new-yorkais n’ont pas hésité à lui passer les bracelets aux poignets, tout directeur du FMI qu’il était.  Images qui ont fait le tour du monde. Si les faits s’étaient déroulés en France, nul doute que l’affaire aurait été étouffée.  Quel policier aurait osé arrêter celui qui était pressenti pour devenir le futur président de la République ? La justice américaine n’a pas hésité non plus à s’attaquer à Bill Clinton pour ses frasques avec Monica dans le bureau ovale.
    Les complices sont donc dans le collimateur du procureur, avec en tête de liste Ghislaine Maxwell, maîtresse et rabatteuse présumée de proies sexuelles pour Epstein. Fille du magnat de la presse Robert Maxwell, cette Anglaise serait détentrice de secrets inavouables. Le problème, c’est qu’elle a totalement disparu de la sphère mondaine dans laquelle elle évoluait depuis toujours.
    Elle est soupçonnée d’avoir agi en tant qu’entremetteuse, recrutant des mineures pour le vaste réseau.
    Les plaintes de victimes abusées affluent. Recrutées comme « masseuses », les mineures se retrouvent piégées et entraînées dans des orgies sexuelles. Son défunt père, Robert Maxwell, est soupçonné d’avoir été un agent du Mossad, ce qui ajoute au mystère entourant cette affaire devenue planétaire. Le fait est que c’est par le puissant réseau mondain familial que Ghislaine Maxwell a pu intégrer les élites new-yorkaises à la mort de son père. 
    Proche du couple Clinton, son cercle de relations haut placées ne cessera de s’élargir. Et le carnet noir du milliardaire le prouve. Politiques et hommes d’affaires de renom venus de toute la planète y figurent. Mais le clou de l’affaire, et qui rend le suicide encore plus suspect, c’est que le couple Epstein-Maxwell ne se contentait pas de procurer des filles mineures au réseau. Les deux complices se seraient vantés « de posséder des éléments compromettants sur un nombre incroyable de personnalités riches et célèbres. »  De quoi dynamiter le Gotha mondain. On imagine que les ébats torrides des grands de ce monde, invités par Epstein sur son île des Caraïbes lors des orgies sexuelles organisées, ont été filmés sous tous les angles…  L’île était truffée de caméras.
    Une assurance-vie pour Epstein, voire un moyen de chantage ?
    « Je contrôle tout et tout le monde », aurait dit Epstein. « Je rassemble les gens, je possède les gens, je peux nuire aux gens. »
    À la lecture du lien cité plus haut, on mesure l’ampleur du scandale qui couve dans bien des chancelleries à travers le monde. Ce n’est pas de la dynamité que manipule le procureur général des États-Unis, c’est une bombe nucléaire. Et apparemment, il semble bien décidé à la faire exploser.  Et tant pis pour les victimes collatérales de la déflagration !
    Jacques Guillemain
    source

  • Suisse: Selon l'UDC, « 60 % des personnes accusées de viols en 2018 étaient des étrangers »

    viol.jpgEn Suisse comme dans de nombreux pays européens, la question des violences faites aux femmes est un sujet d’actualité. Mais le lien entre ce phénomène et l’immigration extra-européenne est un tabou que de peu de responsables politiques osent évoquer. Toutefois, l’UDC déroge à cette loi du silence…
    L’UDC (Union démocratique du centre) affûte ses armes pour les prochaines élections fédérales suisses qui se tiendront au mois d’octobre prochain.
    Lors d’une conférence de presse donnée à Berne mardi 13 août, la formation politique de tendance conservatrice et nationaliste a décidé de remettre la question sécuritaire au cœur des débats.
    Dans cette optique, l’UDC a choisi un slogan sans ambiguïté : 

    « La criminalité porte un nom : l’immigration démesurée. » 

    Lors de ce rendez-vous, le parti a présenté un document stratégique mettant en lumière ses principaux axes de réflexion. L’UDC entend ainsi dénoncer « l’état d’anarchie vers lequel s’achemine le pays ». Ce plongeon dans l’abîme serait une conséquence de « l’immigration incontrôlée, des frontières ouvertes, de l’espace Schengen, de l’Union européenne et de la justice laxiste ». Selon les mots utilisés par l’UDC, la Suisse serait devenue « la Mecque des criminels étrangers ».
    Quant à l’adhésion à l’Espace Schengen, le parti a donc un regard critique : celle-ci fait dorénavant apparaître la Suisse comme un État où la criminalité est élevée. Une situation à laquelle l’UDC veut mettre un terme, afin que ce pays à l’image paisible ne devienne pas un « eldorado des criminels de tous bords ».
    Suisse : violences faites aux femmes et immigration
    À l’occasion de ces déclarations publiques, l’UDC s’est arrêtée plus particulièrement sur la question des violences commises contre les femmes. Un sujet sur lequel les non-dits sont souvent nombreux, notamment en ce qui concerne le profil des coupables. En se basant sur des statistiques officielles, l’UDC indique que 60 % des personnes accusées de viols en 2018 étaient des étrangers. De plus, le nombre de ressortissants étrangers inculpés pour une violation du Code pénal était en augmentation de 4 % au titre de la même année. Pour le parti, « les migrants sont surreprésentés chez les criminels ».
    Ces mêmes statistiques précisent aussi qu’en 2018, 432 754 violations du Code pénal ont été recensées ainsi que 76 308 de la loi sur les stupéfiants et 38 405 de la loi concernant les étrangers.
    Une fois rappelé ces chiffres éloquents, l’UDC a tenu à dénoncer le rôle de l’État suisse, qui serait plus enclin à s’occuper de thèmes secondaires que de mener à bien sa mission essentielle : la protection de ses citoyens contre l’insécurité. Et tout particulièrement celle frappant les femmes. Pour le président de l’UDC Albert Rösti, « c’est nouveau aussi d’avoir une augmentation de cette violence, que l’on doive avoir peur en sortant ».
    Afin de mettre un terme à cette situation où les femmes suisses voient leur sécurité remise en cause par des migrants extra-européens, l’UDC préconise d’imposer de nouveaux contrôles aux frontières et de stopper l’immigration illégale et l’arrivée de criminels sur le sol du pays. Selon le parti, tous les étrangers criminels et les prétendus « cas individuels » doivent être systématiquement expulsés.
     
    Arthur Keraudren pour breizh-info.com
  • Quand Hong Kong révèle les ambiguïtés de nos démocraties...

    Les yeux se tournent vers Hong Kong, avant qu’ils ne  pleurent… Depuis trois mois, les manifestations de protestation contre un projet de loi d’extradition vers la Chine continentale (loi demandée par le pouvoir central chinois) puis pour la préservation du modèle démocratique particulier de l’ancienne colonie britannique, se poursuivent et se radicalisent, surtout depuis juillet et l’invasion par les manifestants du Parlement de Hong Kong, montrant des images que la France a eu l’habitude de voir dans ses propres rues depuis novembre dernier. Il est d’ailleurs étonnant de constater que les forces de l’ordre du territoire se voient reprocher, dans la presse française, d’utiliser des gaz lacrymogènes face aux manifestants décrits comme des « héros » quand, dans notre propre pays, la même description en « manifestants équipés de masques à gaz » vaut condamnation comme « factieux » par ces mêmes médias. Mais il est vrai que, si les policiers de Hong Kong n’emploient pas de LBD et ne sont pas accusés d’éborgner les opposants, la menace d’une intervention plus directe et plus brutale du grand voisin, qui est aussi l’Etat souverain chinois dont dépend Hong Kong, reste prégnante et pourrait bien prendre un aspect plus dramatique encore que la répression de la République française contre les Gilets jaunes qui, pour violente et parfois aussi injustifiée et injuste qu’elle soit, essaye de conserver quelques aspects « modérés »… Néanmoins, la République qui se veut nôtre devrait se méfier que sa propre attitude face aux oppositions en jaune ne connaisse, en fin de compte, la même réprobation internationale que celle des autorités pro-pékinoises de Hong Kong : la similitude des images françaises et hongkongaises s’avère troublante, et l’écoute des revendications des contestataires peut aussi troubler tout observateur objectif.

    La situation des protestataires de Hong Kong pourrait vite tourner à la tragédie si l’Etat central chinois, qui peut rappeler en de nombreux points la République jacobine de l’époque révolutionnaire, décide de siffler la fin de la récréation : cela peut se faire, soit par une répression beaucoup plus brutale encore des manifestants par les autorités autonomes de Hong Kong mêmes, soit par une intervention plus ou moins directe de Pékin, contre laquelle il sera difficile de réagir, pour les capitales et les opinions occidentales, autrement que par des déclarations droits-de-l’hommistes et des indignations bien vaines, surtout dans le contexte déjà tendu d’une guerre commerciale que condamnent les libéraux de tout poil et les instances économiques et financières mondiales et mondialisées… Que valent 7 millions d’habitants d’un territoire placé dans le giron chinois depuis vingt ans et dont le poids dans l’économie générale de la Chine ne pèse plus « que » 3 % du PIB du pays quand il en pesait environ 20 % au moment de son « retour » sous souveraineté de la Chine populaire communiste, par rapport à une Chine continentale désormais devenue, dans le même temps, la première puissance commerciale mondiale et qui représente plus d’un milliard de consommateurs réels et potentiels ? Dans la logique franklinienne et de l’idéologie libre-échangiste, plus grand-chose et, en tout cas, pas assez pour prendre le risque, pour les pays et actionnaires occidentaux, de se brouiller avec la Chine ou de se fermer son marché et s’interdire ses productions à moindre coût qui envahissent les rayonnages des grands magasins de textiles ou d’électronique. D’ailleurs, les artistes natifs de Hong Kong font eux-mêmes profil bas, comme le souligne un article fort révélateur publié dans La Croix lundi 5 août sous le titre évocateur « Rideau de silence chez les artistes de Hong Kong », préférant éviter de heurter la sensibilité chinoise pour poursuivre leur carrière, désormais largement dépendante des entreprises littéraires, musicales ou cinématographiques continentales : « L’industrie chinoise du cinéma est devenue une super-puissance, quand celle de Hong Kong décline. « Le cinéma de Hong Kong est devenu limité, et ces réalisateurs ne veulent pas faire de petits films. Pour faire des films ambitieux, il faut nécessairement passer par le marché chinois. Hong Kong n’a plus que des films à petits budgets, des drames sociaux, des comédies, et des films fantastiques (genre interdit en Chine)», explique Arnaud Lanuque [spécialiste français du cinéma hongkongais] ». Ce que confirmait tout en le précisant il y a quelques semaines la chanteuse Denise Ho : « La Chine contrôle tellement de sociétés et de compagnies localement qu’une très grande majorité des célébrités locales ont choisi de se taire pour ne pas compromettre leur carrière sur le continent chinois qui est très lucratif. ».

    De plus, la stratégie d’étouffement de la révolte a déjà commencé et s’accélère ces derniers jours, comme le rapporte Le Monde dans son édition du samedi 11-dimanche 12 août : « La Chine a annoncé vendredi une mesure spectaculaire et inédite : elle interdit aux employés de la société aérienne hongkongaise Cathay Pacific ayant participé à la grève générale du 5 août d’effectuer des vols vers la Chine, mais aussi de survoler son territoire. (…) Tous les vols vers l’Europe et la Russie sont donc potentiellement concernés. A partir du samedi 10 août, la compagnie doit soumettre à l’aviation civile chinoise le nom des membres de ses équipages concernés. S’ils comportent un gréviste, le vol sera interdit. (…) Cathay pourrait également être boycottée par les investisseurs chinois. » Ce que résume avec un cynisme mal dissimulé le chef de l’exécutif local, Mme Carrie Lam, qui « a, au cours d’une conférence de presse, vendredi, insisté sur les conséquences économiques de la contestation actuelle, « encore plus sévères », selon elle, que la crise financière de 2008 ». Dans un monde dominé par les « intérêts » et par l’argent, que peuvent les émeutiers de Hong Kong, piégés par la société de consommation dont ils ont, longtemps, été la vitrine en Asie et aux yeux de la Chine communiste ? Nombre d’habitants de l’ancienne colonie, comme lors de la précédente révolte des « parapluies jaunes » en 2014, accepteront, semble-t-il, de sacrifier, sans trop de regrets, un modèle de démocratie libérale imposé par l’Occident à travers le colonisateur britannique d’avant-1999, modèle devenu de moins en moins « rentable » pour les classes dominantes (mais aussi populaires) locales.

    La tragédie qui se prépare, et qui « arrangerait » les Etats-Unis dans la perspective de légitimation de leur politique de taxations et de restrictions à l’égard de la Chine, peut-elle être évitée ? Je ne suis pas certain que les plumes et les personnalités qui prônent le soutien aux démocrates de Hong Kong quand, hier, elles se ralliaient (pour celles qui ne l’étaient pas déjà auparavant) à l’autoritarisme (qui n’est rien d’autre que la caricature affligeante de l’autorité, en fait) de la présidence Macron, soient très honnêtes et qu’elles ne cherchent pas plutôt à se donner à bon compte une bonne conscience qui n’est, le plus souvent, que l’autre nom, synthétique, de l’hypocrisie et de l’impuissance… Car, que se passerait-il réellement si les troupes chinoises venaient à intervenir à Hong Kong, appelées par les autorités légales du territoire, ou quand la poussière des manifestations aura fini par retomber dans l’indifférence des médias occidentaux, vite occupés par d’autres sujets ? L’exemple des suites de la répression du « printemps de Pékin » du printemps 1989 devrait inciter à plus d’humilité de la part de ceux qui crient si fort pour le lointain quand ils négligent le prochain…

    Alors, que faire ? Doit-on regarder ailleurs quand le couperet tombera sur les manifestants de Hong Kong, ou se lamenter spectaculairement et vainement devant les caméras ? Non, il ne faudra pas détourner le regard ni se taire, mais il faudra, surtout, en tirer argument pour « faire force », pour que notre pays puisse, le jour venu, faire entendre sa voix le plus efficacement possible sur la scène internationale sans craindre de mesures de rétorsion : la liberté de parole et d’action de la France est à ce prix qui restera toujours moins coûteux que celui de la soumission et de l’asservissement, fût-il économique.

    Si le général de Gaulle a pu, un temps, incarner cette liberté souveraine de la France, c’est aussi parce qu’il avait « longue mémoire » et plongeait les racines de cette politique dans l’histoire et la géopolitique de la dynastie capétienne. Mais le fondateur de la Cinquième République a disparu, et peu à peu, l’esprit de celle-ci s’est évaporé, faute d’un « Etat de longue durée » qui pérennise les efforts anciens des origines de celle-ci…

    Il n’est néanmoins pas interdit de réfléchir aux institutions qui permettraient de renouer avec cette liberté nécessaire de la France dans un monde toujours dangereux.

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Sauver Hong Kong du communisme

    Sauver Hong Kong du communisme 

    De Francis Bergeron dans Présent :

    C’est tous les jours, à présent, que manifestent les habitants de Hong-Kong : vendredi des milliers d’opposants, vêtus de noir (mais rien à voir avec les black blocs anarchistes), ont commencé une occupation pacifique de l’aéroport. Samedi et dimanche, des foules énormes ont manifesté, notamment au nord de Hong Kong, dans ce que l’on appelle « les nouveaux territoires ». Eux aussi étaient vêtus de noir, et équipés de casques et de masques à gaz. Leur slogan : « sauver Hong Kong du communisme ».

    Lundi, l’aéroport a été littéralement submergé de manifestants. Ils ont opéré une jonction avec les étudiants qui occupaient les lieux. Les derniers avions autorisés à atterrir ont libéré leurs passagers qui traversaient cette foule immense mais pacifique. Les manifestants s’excusaient auprès des voyageurs : « Pardon pour le dérangement, mais nous combattons pour notre survie. » La foule scandait à l’infini « Combattez avec Hong Kong, combattez pour la liberté. » Dans la zone aéroportuaire, les manifestants se sentent plus protégés de la répression, à cause des témoins étrangers potentiels.

    La foule était si nombreuse qu’il était devenu impossible de circuler dans l’aéroport. Tous les vols ont donc été annulés, ce qui constitue en soi un évènement de première importance, car il s’agit de l’un des plus grands aéroports au monde. Des informations contradictoires circulaient sur une poursuite du blocage au sol des avions, ou au contraire une reprise progressive des vols.

    Un complot impérialiste

    A la différence de nos Gilets jaunes, la revendication quasiment unique (car elle détermine toutes les autres) des manifestants est simple : la démission de Carrie Lam, la femme désignée par Pékin et le PC, pour diriger l’ancienne colonie britannique. Ils demandent l’élection d’un nouveau gouverneur, mais cette fois au suffrage universel, à l’occidentale. Revendication facile à comprendre, facile à satisfaire, du moins techniquement, mais quasiment impossible dans un pays communiste. Cela irait à l’encontre de toutes les règles enseignées par Marx, Engels, Lénine, Staline et Mao. C’est bien pourquoi on n’imagine pas que Xi Jinping, le nouveau Mao, fasse quelques concessions que ce soit, sur ce terrain, aux habitants de Hong Kong.

    De même que Pékin voit un complot impérialiste derrière les manifestants, de même il croit identifier des provocations antichinoises derrière certains slogans publicitaires d’entreprises étrangères. La communication des grandes marques mondiales est passée au crible, et Pékin leur envoie ses ukases, généralement suivis d’effet. Pour un tee-shirt laissant entendre que Taiwan et la Chine communiste, cela faisait deux, Givenchy a été menacé de boycott, et a fait des excuses. Ce qui n’a pas empêché le chanteur chinois qui faisait la promotion de ses produits, d’interrompre sa collaboration. Mercedes pour sa part a dû faire son autocritique pour avoir cité le Dalaï-lama dans l’une de ses publications. Des entreprises étrangères commencent à menacer de licenciement leurs propres salariés, de peur d’être interdites de commerce avec la Chine.

    Notre bon confrère Libération ne justifie guère son titre quand il s’agit de traiter de ce qui se passe en Chine. Son numéro de lundi (24 pages, tout de même !) ne comporte pas une seule ligne sur les manifestations de samedi, de dimanche, sur l’occupation de l’aéroport etc. Nous avons droit en revanche à une page au profit d’un terroriste italien qui doit être expulsé de France. Simple retour aux sources, sans doute, pour ce journal qui se fit si longtemps le porte-parole du maoïsme et des khmers rouges.

    https://www.lesalonbeige.fr/sauver-hong-kong-du-communisme/

  • Des jeunes femmes allemandes témoignent...

    «Nous ne sommes pas des esclaves» ou «des proies faciles» : plusieurs voix s’élèvent actuellement en Allemagne contre les violences émanant des migrants illégaux que subissent les femmes.

    Se considérant comme des victimes de la politique migratoire, dans le cadre du mouvement #120dB les femmes en accusent les autorités européennes.Pas certain que la bien-pensance aime ce genre d'initiative.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/x-6168506.html

  • Djihadistes jugés en Irak : l’ONU accuse la France de les condamner à mort par procuration !

    capture-decran-2019-08-13-a-20-07-01-1.png

    On savait, depuis le procès de Saddam Hussein, qu’il ne suffisait pas de changer de régime pour rendre la justice plus équitable en Irak. Jusqu’à présent, on ne s’en souciait guère, comme si le nouveau gouvernement, établi avec l’aide des Américains, avait droit d’office à l’indulgence internationale. Mais quand il s’agit de juger des djihadistes français et qu’ils peuvent être condamnés à mort, voilà que la conscience universelle se réveille. C’est ainsi qu’Agnès Callamard, rapporteur spécial de l’ONU sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, vient, dans un courrier de six pages, d’interpeller le gouvernement d’Édouard Philippe.

    Dans un entretien au Figaro, elle dénonce le comportement de la France, qu’elle accuse d’« avoir bafoué les droits de l’homme et les conventions internationales ». Elle explique que « des personnes qui étaient détenues en Syrie […] ont été extradées en Irak où elles encourent la peine de mort grâce au soutien actif ou passif des autorités françaises ». Elle souligne l’hypocrisie de la France qui, en ne jugeant pas les accusés sur son territoire, accomplit une condamnation à mort « par procuration ».

    Ces accusations, aussi excessives soient-elles, ne sont pas dénuées de fondement. Quand Jean-Yves Le Drian déclare, devant l’Assemblée nationale, que « contrairement à ce qu’ [il entend] ici et là, le procès est équitable », on se demande s’il sait vraiment comment l’on pratique la justice en Irak ou s’il se moque du monde. Il faut une certaine hypocrisie pour soutenir que « les adultes détenus en Irak doivent être jugés par la justice irakienne », dès lors qu’elle se déclare compétente, tout en précisant que « la France est opposée, par principe, en tout temps et en tout lieu, à la peine de mort ».

    Mais, s’il est hypocrite, c’est surtout parce qu’il ne reconnaît pas que la France ne dispose pas des moyens juridiques pour juger, sur son territoire, ses ressortissants partis combattre en Irak ou en Syrie. Bien qu’ils aient délibérément trahi la France, qui est théoriquement en guerre contre le terrorisme, le gouvernement souhaite s’en débarrasser en respectant en apparence ses principes, en gardant les mains propres et en laissant à d’autres le soin de se salir.

    Le courage et l’honnêteté voudraient que, comme en temps de guerre, des tribunaux, fussent-ils spéciaux, dans le respect des droits de la défense, jugent ces terroristes qui sont des ennemis de la France et leur appliquent des peines maximales et incompressibles. Il eût fallu aussi mettre au point des accords pour expulser les binationaux dans leur pays d’origine et déchoir les autres de la nationalité française pour crime de haute trahison.

    Rien n’est plus odieux que ces Tartuffes des droits de l’homme qui sont plus soucieux des coupables que des victimes et jouent au « Monsieur Propre ». Leur costume d’« honnête homme » cache mal la réalité de leur cynisme et de leur lâcheté. Quand on pense que l’État a été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts à Salah Abdeslam, membre des commandos du 13 novembre 2015, sous prétexte que la vidéosurveillance portait une atteinte excessive à la vie privée de l’intéressé, on se demande si nos institutions ne marchent pas sur la tête !

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/djihadistes-juges-en-irak-lonu-accuse-la-france-de-les-condamner-a-mort-par-procuration/

  • L’Espagne a peur, suite à la recrudescence de viols par des migrants

    policia.jpgL’Espagne a peur. En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces.
    En moins d’un mois plusieurs viols ont été commis dans différentes provinces et notamment dans deux villes principales, dirigées par des maires de gauche et d’extrême gauche, très favorables à l’accueil des migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, et dont certains quartiers ont été transformé en d’authentiques ghettos.
    A Bilbao, une jeune fille de 18 ans a été violée en groupe, dans un parc, par des mineurs clandestins d’origine algérienne.
    Quatre d’entre eux ont été libérés par le tribunal, relâchés après avoir déclaré qu’ils avaient violé une jeune fille de 18 ans, sous la menace d’une arme à feu, et sont sortis en riant, criant et se moquant ouvertement des journalistes présents et des passants.
    Cela a choqué et provoqué la colère d’une partie de la population, qui subit depuis des mois les agressions, les vols et les viols de ces migrants clandestins, mineurs ou adultes, d’origine maghrébine pour la grande majorité.
    Par la voix de son président, Santiago Abascal, le Parti Vox a manifesté publiquement son indignation et sa colère, après cette libération : « Ils devraient êtres chargés de chaines et mis dans un avion pour l’Algérie, afin d’y purger leurs condamnations et ne jamais revenir en Europe, et ils sont de nouveau dans nos rues, en train de rire, et la dictature socialiste ne se préoccupe que de la xénophobie, c’est dégoûtant. »
    Toujours à Bilbao, dimanche dernier, à la sortie du métro, un jeune homme de 22 ans a été agressé et dépouillé de son portefeuille et de son portable, par deux racailles, dont l’une âgé de 27 ans, qui l’ont ensuite entraîné, sous la menace d’un couteau, vers le marché aux poissons, dans la rue Iturribide, à Otxarkoaga, devenu l’un des quartiers les plus sensibles de la ville basque, où ils l’ont obligé à leur pratiquer des fellations, selon le quotidien « El Correo ».
    A Barcelone (Catalogne), c’est encore un maghrébin qui a agressé et volé une femme âgée de 87 ans qui se déplaçait en fauteuil roulant, afin de lui arracher son collier en or et s’est enfui en courant.
    Cela s’est passé vers 18 h 30, dans le quartier « Sant Vicenc del Raval ».
    Deux policiers catalans, « Los Mossos », qui le suivaient depuis un moment l’ont appréhendé quelques dizaines de mètres plus loin.
    Il était déjà connu des autorités pour de nombreux vols.
    Actuellement, selon les services de police, plus de 20 agressions quotidiennes sont enregistrées à Barcelone. Un chiffre jamais atteint auparavant dans cette ville.
    Après Barcelone, c’est Bilbao, actuellement le chemin le plus sûr vers la France, qui est devenue l’une des villes les plus vulnérables d’Espagne, à cause de cette migration clandestine incontrôlée, et acceptée par les socialistes qui gouvernent momentanément.
    Le viol tout récent d’une jeune femme, sur la plage de Cullera, à quelques kilomètres au sud de Valence, par deux mineurs clandestins, a soulevé une émotion considérable également dans cette province qui accueille à bras ouverts les migrants clandestins.
    Les services de police signalent que les provinces les moins menacées par les agressions, vols et viols commis par cette invasion migratoire, sont les provinces andalouses, celles du sud de la péninsule où justement débarquent les migrants et la raison est que tous ces migrants poursuivent leur pénétration vers le nord et que c’est à partir des provinces de Murcia, Alicante et, surtout, Valence, Barcelone et, à présent, la province basque, qui sont les plus menacées.
    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

  • La Colline du crack à Paris : L’enquête de TV Libertés

    Au début du mois de Juin, TVLIBERTÉS publiait une enquête sur la « Colline du crack » à Paris. une vidéo choc à revoir !

    Drogue, violence, immigration clandestine, dans le Nord de Paris,à la Porte de La Chapelle, cumule tous les problèmes. Alors que la Mairie d’Anne Hidalgo reste visiblement impassible, TVLibertes est allé sur le terrain, au cœur de la colline du crack pour montrer ce que les pouvoirs publics aimeraient que vous ne sachiez pas! Un reportage glaçant et exceptionnel.

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-colline-du-crack-a-paris-lenquete-de-tv-libertes