
Depuis que les musulmans tuent au nom d’Allah, les autorités, dans un rituel bien huilé, cachent d’abord son identité, puis, une fois qu’on sait qu’il ne s’appelle pas Mattéo ou Kevin, ils nous disent que c’est un déséquilibré, qui n’est pas en état de subir un interrogatoire, et qu’il faut l’interner en psychiatrie. Puis, avec la complicité des psys, c’est le début d’un long parcours où on finira par vous expliquer que le malheureux assassin a eu une absence de discernement quand il a crié « Allah akbar » et porté des dizaines de coups de couteau à sa victime.







