Le 22 mai, le président de la République rendra dans la prison de Caen un hommage national aux deux surveillants pénitentiaires assassinés (finalement Gabriel Attal remplacera le président parti en urgence pour la Nouvelle-Calédonie).
Les Français "ne font pas confiance à l'exécutif pour contrer l'insécurité (...) et après le braquage sanglant du fourgon pénitentiaire dans l'Eure, la sécurité se hisse parmi leurs principales préoccupations" (Le Figaro).