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insécurité - Page 652

  • L’ISLAM? IL FAUT PRENDRE DES PRÉCAUTIONS AVEC LA VÉRITÉ. MARSAUD CLAQUE LA PORTE DE BFMTV

    Une vidéo fait le buzz sur les réseaux sociaux. Celle où l’on voit Alain Marsaud, ancien magistrat antiterroriste et ancien député LR, quitter, désabusé, le plateau de BFM TV devant l’incroyable cécité des deux journalistes présents et de leur second invité, lui aussi journaliste.

    Le matin, Alain Marsaud s’était déjà accroché avec Alain Marschall sur RMC, l’équivalent radio de la chaîne télé, et pareillement propriété de Patrick Drahi, l’éternel ami d’Emmanuel Macron. Cause de ces accrochages ? Barcelone, bien sûr. Et peut-être même, implicitement, Sept-Sorts. Mais les autorités françaises n’ont vu, dans ce dernier acte, qu’une malheureuse bousculade due à un déséquilibré dont le nom nous a été épargné, mais qu’on sait algérien, donc forcément un peu musulman… Mais cela est une autre histoire qui refera parler d’elle le moment venu.

    Donc, vendredi, en début de soirée, sur le plateau de BFM TV, nous avions, en face du duo paritaire des deux journalistes, en l’occurrence Alexis Cuvillier et Caroline Dieudonné, Alain Marsaud et le journaliste Anthony Bellanger, chroniqueur forcément de gauche puisqu’il commente l’actualité internationale sur France Inter. Je mentionne ce que pense de ce dernier un lecteur de Boursorama prénommé Ddrek, qui le décrit comme « un petit arrogant, la chevelure grisonnante, maniéré et bavard qui a eu cette phrase culte : il faut prendre des précautions avec la vérité ». Une phrase qui allait déclencher le buzz grâce au départ brutal de l’ancien magistrat.

    Alain Marsaud est l’auteur de cette réplique indiscutable : « À force de ne pas nommer l’ennemi, l’ennemi nous vaincra. » Eh bien, justement, qui nomme cet ennemi ? Personne, bien entendu. Personne de la sphère du politiquement correct, dont heureusement Alain Marsaud ne fait pas partie car il va oser prononcer cette phrase qui tue. Qui tue ses trois interlocuteurs : 

    « Nous sommes en guerre contre l’islamo-fascisme. Personne n’a dit que c’était un attentat islamiste. Personne ne parle d’islamisme radical. On a peur de quoi, bon sang ? Pas un seul journaliste ou responsable politique n’a dit, depuis deux jours, que c’était un attentat islamiste ! »

    Et le chevelu maniéré de s’énerver à son tour et de lui rétorquer : « Vous dites absolument n’importe quoi, tout le monde sait que ce sont des attentats islamistes. Les journalistes ne sont pas là pour dire ce que vous voulez mais pour dire les choses telles qu’elles sont. » Et de poursuivre sa diatribe : « Vous êtes libre de faire le commentaire que vous voulez, ils sont libres de faire leur métier. Leur travail, c’est de prendre des précautions avec la vérité ! »Anthony Bellanger aurait mieux fait de dire que le travail de ces journalistes-là, et lui en particulier, est de travestir la vérité. Puis, sur un ton péremptoire, comme si c’était lui le maître sur le plateau, il lance un martial : « Continuons ! »

    À ce moment-là, Marsaud, stupéfait, réfléchissant à ce qu’il va répondre, se lève en disant : « Si c’est pour me traiter comme ça, vous continuerez sans moi. » Et il quitte le plateau. Dire qu’un tel expert s’est fait blackbouler de l’Assemblée… Il y a de quoi se poser des questions sur l’intelligence des électeurs, quand on sait qu’ils lui ont préféré, à 70 %, la macroniste Amal Amélia Lakrafi !

    Une fois de plus, l’information se limite à ce que la bien-pensance exige. L’islamisme intégriste n’existe pas, il est donc inutile et vain de le nommer.

    http://www.bvoltaire.fr/lislam-faut-prendre-precautions-verite-marsaud-claque-porte-de-bfmtv/

  • Espagne : les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes»

    L'enquête avance rapidement et la police découvre que l'attentat à Barcelone devait être bien plus sanglant si les terroristes étaient parvenus à leurs fins :

    "La cellule terroriste semblait envisager un scénario plus sanglant encore. Les complices ont d'abord tenté de fabriquer au moins une bombe à l'aide de plusieurs bouteilles de propane et d'explosifs artisanaux dans une maison d'Alcanar, une ville à une cinquantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Mercredi soir, cette habitation avait été soufflée par une explosion, d'abord attribuée à une fuite de gaz, faisant un mort et sept blessés. Vendredi, le chef de la police, Josep Lluis Trapero a confirmé que «les auteurs préparaient depuis quelque temps dans ce bâtiment d'Alcanar les attentats de Barcelone». «C'était un groupe dont nous ignorons le nombre exact (…). Beaucoup sont identifiés». De son côté, un magistrat de l'Audience nationale, le parquet, Javier Zaragoza, a assuré que les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes» mais constituaient un «réseau structuré».

    [...] Si les Mossos d'Esquadra, la police de Catalogne, ont confirmé détenir quatre personnes «en lien avec les attentats», au moins trois autres étaient en fuite selon une fiche de recherche diffusée vendredi. La police a d'abord longuement cherché le chauffeur de la camionnette blanche utilisée sur les Ramblas. De sources officieuses, l'homme est identifié comme Moussa O., un Marocain de 17 ans. Il aurait en fait trouvé la mort avec quatre complices dans une fusillade avec la police à Cambrils, selon la presse espagnole. Le jeune homme, résidant légal en Espagne, se serait radicalisé ces dernières années. Sur un réseau social, il avait ainsi fait part de son intention de «tuer les infidèles pour ne laisser que les bons musulmans».

    Selon les derniers éléments de l'enquête, il se serait enfui des lieux en prenant le conducteur d'une voiture en otage. Une demi-heure après l'attentat des Ramblas, cette Ford Focus a forcé un barrage à la sortie est de la capitale catalane, renversant un sergent. Elle devait être retrouvée, deux kilomètres plus loin, son chauffeur mort au volant, tué de plusieurs coups de couteau. Considéré dans un premier temps comme un suspect potentiel, cet homme, qui n'avait pas été identifié vendredi après-midi, était désormais plutôt vu comme la quinzième victime du tueur.

    Les deux autres fuyards ont, pour leur part, été identifiés jeudi dans la soirée. Il s'agirait des conducteurs d'une seconde camionnette, une Fiat, louée en même temps que celle abandonnée sur les Ramblas. Ce van, longuement traqué, a été retrouvé sur le parking d'un fast-food de Vic, une commune située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Barcelone. À l'intérieur, les Mossos ont découvert la carte d'identité d'un certain Younès A., un Marocain de 22 ans. Ce dernier pourrait être accompagné d'un autre individu, Mohamed H., 20 ans. Les deux hommes habitaient les environs de Ripoll. Le ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, a tout de même ordonné vendredi le renforcement des contrôles à la frontière franco-espagnole. Le dernier homme recherché est un Marocain, Saïd A, 18 ans.

    Les enquêteurs, très prudents, n'ont pas confirmé d'éventuels liens, ni entre les fuyards, ni avec les personnes arrêtées. Seule certitude, l'une d'elles est Driss O., le frère de Moussa O. C'est avec les papiers de ce jeune homme que la camionnette des Ramblas a été louée. Ce Marocain de 28 ans, a été interpellé vendredi soir à Ripoll, la petite ville à cent kilomètres au nord de Barcelone où il habite. Aux policiers, l'homme a affirmé s'être fait voler ses papiers quelques jours auparavant. Il n'avait cependant pas porté plainte. Driss O., s'il n'était pas connu pour des faits en liens avec le terrorisme, était fiché après avoir effectué un mois de détention préventive en 2012 dans le cadre d'une affaire d'agression sexuelle. Le second suspect placé en garde à vue est un proche de Driss O. Ce Marocain de 30 ans a été interpellé, vendredi à l'aube, également à Ripoll. Le troisième, est également un résident de cette cité. Des perquisitions étaient en cours vendredi après-midi dans une demeure de la ville.

    Le dernier djihadiste incarcéré a été appréhendé à Alcanar. Selon la police, il s'agit d'un citoyen espagnol né à Melilla, une enclave espagnole en plein Maroc. Cet homme, âgé d'une vingtaine d'années, serait l'un des blessés de la maison d'Alcanar. Il aurait lui aussi loué une camionnette.

    Les policiers se concentraient en parallèle sur les cinq terroristes tués dans la foulée de l'équipée sauvage de Cambrils. Ils avaient tout d'abord lancé leur Audi A3 noire, dans les rues entourant le port de cette station balnéaire très fréquentée. La voiture avait ensuite pris la fuite, plein sud, avant d'être bloquée à un barrage de police. Les terroristes, dont certains étaient équipés de fausses ceintures explosives, sont alors sortis de la voiture pour attaquer les forces de l'ordre avec des armes blanches. Ils ont été tous abattus. Trois d'entre deux ont été identifiés. Le caractère visiblement improvisé de cette dernière attaque renforce l'hypothèse des enquêteurs. Dans leur refuge d'Alcanar, les complices souhaitaient sans doute mettre au point une ou deux bombes de forte puissance. Ils voulaient ensuite les placer dans les camionnettes louées et envoyer ces engins piégés à Barcelone. Josep Lluis Trapero a affirmé que «les terroristes souhaitaient déclencher des bombes». «L'explosion de la maison d'Alcanar a sans doute permis de l'éviter». «Ils se sont alors rabattus sur un plan B de manière désespérée.» Un plan B qui a fait 14 victimes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Catalogne est à son tour victime du terrorisme islamique

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    Un communiqué de LLorenç Perrié Albanell,

    président du mouvement régionaliste Resistència

    Dans l’après-midi, sur les célèbres Rambles de Barcelone,  une camionnette a foncé dans la foule. Le véhicule laisse dans son sillage deux morts, et 32 blessés selon les informations recoupées sur divers site d’informations.

    La police catalane n’a pas hésité longtemps à qualifier cet acte odieux « d’attaque terroriste ». Nous sommes loin de la prudence pétocharde des autorités française toujours prêtes à saupoudrer à grand coup de cuillère à pot l’opinion publique avec de la poudre de « pasdamalgame ».

    Seulement dans cette triste affaire les masques tombent rapidement. L’identité de l’un des terroristes est dévoilée par les forces de l’ordre : Driss Oukabir. Un passeport a été trouvé dans la camionnette qui a servi au crime.

    Apparemment deux suspects armés seraient en fuite.

    Comme à chaque événement du même genre, nous avons tous le ventre noué par le dégout, une pensée pour les familles, et le regard tourné vers les autorités. Ces autorités que nous dénonçons depuis des mois, des années même. Nous dénonçons leur laxisme. Nous dénonçons leur folie migratoire qui plonge aujourd’hui encore notre Europe dans le chaos.

    Ce n’est pas avec des bougies, des fleurs, des discours, ou toute autre marque d’affection du même type que nous arrêterons le carnage. Non.  Afficher une marque de solidarité ce n’est pas s’afficher dans la niaiserie. Afficher sa solidarité c’est résister contre la barbarie. Afficher sa solidarité c’est savoir désigner l’ennemi. Savoir c’est très bien, oser le dénoncer et le combattre c’est encore mieux.

    L’heure n’est plus à liker sur facebook, allumer une bougie ou de gober des comprimés au pasdamalgame. L’heure est à la Résistance.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • BARCELONE : QUE LES COUPABLES (LES VRAIS) SOIENT ENFIN DÉVOILÉS

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    Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone : c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir.

    L’ennemi vient encore de frapper à Barcelone, où l’on compte, au moment d’écrire ces lignes, 13 morts et environ 80 blessés, dont certains très graves. Le moment est venu de dévoiler enfin les coupables – les vrais.

    Et les vrais coupables, les coupables premiers, ne sont ni l’Arabe né à Marseille (un certain Driss Oukabir, déjà arrêté), ni les deux autres tués par la police, ni tout le reste de complices… et de commanditaires. Eux ne sont rien d’autre, finalement, que l’ennemi. Et avec l’ennemi qui vous déclare la guerre, les culpabilités n’ont strictement rien à voir. Les prêchi-prêcha de la moralité non plus. Les cierges qui seront bientôt allumés et les peluches qui seront déposées par les Bisounours de toujours, encore moins. Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone, c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir : l’empêcher de le faire, l’abattre avant qu’il n’y parvienne, voilà notre devoir le plus simple, le plus élémentaire. Un point, c’est tout.

    Or, ce n’est pas de combattre l’ennemi, c’est de l’accueillir qu’il s’agit pour les véritables coupables de notre déroute. Ce Carles Puigdemont, par exemple, président sécessionniste de la Generalitat de Catalunya (Généralité de Catalogne) qui, lorsque le sang des tués et des blessés est encore tout frais sur les Ramblas de Barcelone, a eu l’outrecuidance de déclarer, après avoir essuyé une larme : « La Catalogne a toujours été terre de paix et d’accueil. Nous ne permettrons pas qu’ils nous empêchent de l’être toujours. »

    Non seulement ils accueillent l’ennemi les bras ouverts, mais voilà que lorsque celui-ci frappe, ils osent encore insister sur leur complicité coupable. Pas la moindre mise en question, pas l’ombre d’une interrogation sur l’impossibilité de la société « multiculturelle » qu’ils ont eu le rêve fou de vouloir bâtir. Et le bâtir en faisant majoritairement appel, en Catalogne, à l’immigration arabe et musulmane, de préférence aux immigrés provenant de l’Amérique espagnole, qui ont, eux, le tort de parler la langue que les séparatistes haïssent et qu’ils voudraient voir disparaître de leur territoire. (C’est, d’ailleurs, peine perdue, car la plupart des « nouveaux Catalans » venus remplacer les anciens finissent, malgré les aides considérables qui leur sont allouées, par apprendre l’espagnol. Que voulez-vous ! Six millions de personnes en Catalogne, face aux 500 millions parlant l’espagnol de par le monde, ça fait quand même une petite différence !)

    C’est pour que les populations visées par les actes de guerre continuent à les considérer comme de simples attentats qu’il faut certes condamner, mais qui ne devraient nous faire tomber ni dans l’islamophobie ni dans le rejet de la fraternité multiculturelle, c’est pour cela que les autorités ont lancé ce soir des appels (inutiles, au demeurant) pour qu’on évite de faire circuler les images les plus frappantes de la tuerie. Mais les images ont circulé et circuleront. La censure n’a jamais empêché la vérité d’éclore ni les peuples de se révolter pour retrouver leur liberté et leur identité bafouées.

     Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto
  • L’Espagne frappée de plein fouet par le terrorisme - Journal du Vendredi 18 Août 2017

  • Italie : Des bombes contre les migrants, nous risquons actuellement la guerre civile

    De Turin à Tarante, en passant par les régions « rouges » (ndt les régions politiquement à gauche) et le Latium, de plus en plus de bombes explosent près des centres d’accueil et des hôtels qui logent les migrants 
    Du nord au sud, en passant par les îles, la révolte contre le business de l’accueil des migrants envahit toute la botte. Les bombes ou les cocktails molotov, mais également des armes plus rudimentaires sont les moyens les plus utilisés par les citoyens pour stopper l’arrivée des migrants dans leurs villages. 
    La Sardaigne, l’île où la crise économique favorise la révolte 
    Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé jeudi de la semaine passée devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance les 64 occupants ne furent pas blessés même si l'explosion a fait un grand trou à l'extérieur du bâtiment. Ce n'est pas le premier cas en Sardaigne, en fait cette aversion envers les réfugiés a déjà connu deux précédents. Le 11 octobre passé, l'ex caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, a subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de mettre à disposition ce bâtiment pour en faire un centre d'accueil. La même chose s'est produite à Burcei, également dans la province de Cagliari, aux premiers jours de septembre, quand une maison privée qui devait accueillir 25 migrants a été dévastée. En novembre, à Buddusò, un village de 4.000 habitants, un complexe de tourisme rural qui devait héberger des réfugiés, a été pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale. 
    Les Sardes ont dépassé le seuil de tolérance. Ils considèrent cet afflux de migrants comme une invasion en bonne et due forme, et ceci dans une région qui a un des plus haut taux de chômage d'Italie. Le seuil de tolérance est dépassé et a eu une répercussion telle sur le Partito Democratico (ndt, le PD est le parti gouvernemental), autant au niveau national que régional, que le 4 décembre dernier, la Sardaigne a enregistré le taux le plus élevé de Non au référendum constitutionnel. 
    La majorité du président PD Francesco Pigliaru, toujours plus fragile s'est effondrée le 26 juillet à l'occasion d'un vote sur le tourisme, grâce à un amendement qui avait été proposé par Forza Italia. Cet amendement refusait que des fonds régionaux aillent aux hôtels qui, plutôt que recevoir les touristes, accueillent des migrants. 
    Devant une telle règle de bon sens, et grâce au vote secret, même des conseillers de la majorité ont pu voter conformément à leur sentiment d'appartenance sarde. Mais cela n'a pas suffit à calmer les esprits. 
     Le 30 juillet, à Sassari, une villa, qui devait devenir un centre d'accueil pour migrants, a été attaquée par quelques individus qui ont mis le feu aux matelas qu'on avait amené quelques jours plus tôt. 
    La colère des citoyens du Latium et du Nord de l'Italie 
    Et pourtant, la Sardaigne n'est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux porte de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d'enceinte d'une structure d'accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015, toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés
    D'autres faits similaires se produisent aussi dans le Nord. En Vénétie, il y a environ une semaine, des jeunes gens ont lancé trois feux de bengale contre le centre d'accueil extraordinaire "La Verdiana di San Vito di Legnago" dans la province de Vérone. Le 17 février de cette année, à Aselogna di Cerea, toujours près de Vérone, une bombe a explosé contre le portail d'une structure qui abrite une vingtaine de requérants d'asile. A la fin octobre 2016, à Prada di San Zeno di Montagnaun, un ancien hôtel a été touché par deux bombes artisanales. En décembre de la même année, au Frioul, une lettre de menace a été envoyée au syndic de Turriaco et une bombe incendiaire a été retrouvée dans les jardins de la rue du 5 Juin, à côté de l'ancienne caserne des carabiniers où devaient être accueillis 12 migrants. 
    Et, beaucoup plus récemment, des actes similaires se sont produits en Lombardie. Une attaque à coup de cocktails Molotov contre l'hôtel Eureka à Vobarno, (province de Brescia). Ces évènements ont eu lieu début juillet et ont provoqué un incendie qui a détruit le rez-de-chaussée de cet hôtel qui devait recevoir des requérants d'asile. La même méthode a été utilisée fin mars pour endommager une petite villa à Cumignano sul Naviglio (province de Cremona). 
    Même au Piémont il y a eu des conflits entre Italiens et migrants. En novembre 2016 des Turinois, exaspérés par une situation qui se dégrade de plus en plus, ont lancé deux engins explosifs contre les bâtiment ex Moi, occupé depuis des années par des centaines de nord-africains lesquels sont tout de suite descendus dans la rue où il y a eu de très violents affrontements. En septembre, une enveloppe contenant un engin explosif a été envoyé à l'agence de Voyage 747 qui s'occupe d'organiser le rapatriements de migrants. 
    Dans les régions gouvernées par la gauche, la colère contre les migrants monte au son d'engins explosifs 
    La "rouge Emilie" elle aussi a prouvé qu'elle n'en peut plus de cette arrivée continue de migrants. Le 19 juillet, à Forli, deux bouteilles incendiaires ont été lancées sur le Cas (centre d'accueil extraordinaire), géré par la Croix Rouge qui hébergeait un seul migrant. En février, au centre d'accueil de Spadarolo, à Rimini, on a lancé des bouteilles : une vitre a été cassée et les ordures ont été éparpillées ce qui a sali les murs du bâtiment et le jardin. En mai 2016, à Parme, le siège d'un centre d'accueil pour réfugiés où vivaient une vingtaine de personnes, avait aussi été pris pour cible. 
    Dans les Marches, la plupart des agressions ont eu lieu en 2016, l'année où, à Fermo, Emmanuel Chidi a été tué suite à une dispute. Avant cet épisode, déjà une certaine intolérance montait face à l'arrivée continuelle de migrants. Cela s'est vérifié dans les premiers jours de mai avec un incendie volontaire contre l'hôtel Mark à Frontignano, qui était fermé depuis 10 ans et devait accueillir des réfugiés. 
    A Montottone, un petit village de la province de Fermo, une bombe a explosé devant l'église Santa Maria à l'endroit où sont accueilli les réfugiés. L'auteur de ce geste avait déjà sévi en avril à San Marco alle Paludi di Fermo. 
    Au Sud de l'Italie 
    Si on descend dans le sud de l'Italie, la situation n'est pas différente. En Calabre, à San Fernadino, un incendie probablement volontaire s'est déclaré début juillet dans un village de tentes. Toujours à San Fernandino, entre le 10 décembre et le 3 janvier 2016, 6 nord africains ont été agressés aux alentours de la date anniversaire de la révolte de Rosarno. 
    Dans les Pouilles, le dernier épisode de violence a eu lieu début juin quand une bombe a explosé près d'un centre d'accueil extraordinaire à Ginosa (province de Tarente).

  • 26 Français parmi les victimes à Barcelone

    26 Français ont été blessés dont 11 grièvement dans l'attentat revendiqué par l'État islamique, a annoncé le Quai d'Orsay.

    Une troisième personne a été arrêtée en relation avec les attaques de Barcelone et de Cambrils, a annoncé la police espagnole aujourd'hui.

    La police recherche toujours un homme en fuite. Il pourrait s'agit du conducteur de la camionnette qui a renversé des dizaines de personnes à Barcelone et s'est enfui en courant. Un témoin l'a décrit comme "un homme très jeune, d'une vingtaine d'années, au visage mince".

    Le bilan s'élève à 13 morts et une centaine de blessés à Barcelone et sept blessés dans la station balnéaire de Cambrils où la police a tué cinq "terroristes présumés".

    Un Marocain, Driss Oukabir, a été arrêté jeudi à Ripoll à une centaine de km au nord de Barcelone, tandis qu'un Espagnol à l'identité non révélée né à Melilla, enclave espagnole au Maroc, a été arrêté à Alcanar, à 200 km au sud de Barcelone, après l'explosion mercredi soir d'une maison dont la police croit que les occupants préparaient un engin explosif.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Charlottesville : à qui profite le crime ?

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    Philippe Randa EuroLibertés cliquez ici

    Heureusement que la droite dite extrême existe ! Sinon, de quoi les médias parleraient-ils en cette période terriblement démunie d’actualité croustillante ?

    Samedi 12 août, à Charlottesville en Virginie d’Amérique, la « bête immonde » – telle que la plupart des médias politiquement correctes ont prises l’habitude de présenter tous ceux qui n’ont pas l’heur de leur plaire – avait appelé à un rassemblement pour protester contre le projet de retrait d’une statue du général confédéré Robert Lee.

    Héros des armées du Sud lors de la Guerre de Sécession, celui-ci est présenté – ô surprise ! – comme un défenseur de l’esclavagisme par les extrémistes de gauche, soit les « antiFas » qui, selon la définition qu’en donne l’encyclopédie Wikipédia, rassemblent skinheads communistes, trotskistes, communistes libertaires, autonomes, on en passe et des plus sympathiques encore.

    Ceux-ci n’entendaient pas laisser faire ceux-là : d’où des violences inévitables, des dizaines de blessés et même un mort parmi les contre-manifestants…

    Sautant sur cette macabre opportunité, les médias ont aussitôt titrés à l’unisson sur « les manifestations d’extrême droite qui ont dégénéré » (Le Monde), « la Marche raciste » (Libération), « les groupuscules de l’extrême droite américaine » (Le Parisien), etc.

    Personne ne fait toutefois remarquer que cette manifestation était parfaitement légale et autorisée (elle n’a été interdite qu’à partir des premiers incidents et avant la proclamation de l’état d’urgence) et que ces violences à l’évidence déplorables ne se seraient sans doute pas produites sans la présence de contre-manifestants dont les slogans ne sont guère moins haineux que ceux qu’ils entendent dénoncer chez les défenseurs de la mémoire du général Lee…

    Le président Trump ne s’y est visiblement pas trompé en renvoyant les deux camps dos à dos…

    Si les « antiFas » avaient respectés le droit de manifestation et la liberté d’expression, il n’y aurait pas eu plusieurs dizaines de blessés et un mort à Charlottesville… À moins que cela n’ait été, au contraire, le but recherché ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 2e attaque terroriste en Espagne cette nuit

    Six civils et un policier ont été blessés cette nuit quand des terroristes ont foncé dans la foule dans une station balnéaire de Catalogne (nord-est de l'Espagne), avant d'être abattus par la police, quelques heures après l'attentat qui a fait 13 morts à Barcelone.

    La voiture a fauché des piétons vers minuit sur la promenade de bord de mer à Cambrils, une ville touristique à 120 km au sud de Barcelone. Un des civils blessés est dans un état critique.

    Les cinq occupants de la voiture ont été tués. Certains d'entre eux portaient des ceintures d'explosifs.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html