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Irma : Après l’ouragan, le chaos - Journal du lundi 11 septembre
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Newcastle. Nouvelle affaire de viols et de trafics d’êtres humains commis par un gang d’immigrés
L’affaire est, une fois de plus ignoble – mais n’a pas ou peu été relevée jusqu’ici par la presse française (hormis par Libération qui ne fait pas mention des origines des accusés alors que toute la presse anglaise l’évoque).Le tribunal de Newcastle au Royaume-Uni a condamné mercredi 9 août 17 hommes (nés au Royaume-Uni mais originaires d’Inde, du Pakistan, de Turquie, d’Iran, d’Irak) et une femme pour avoir pendant des années forcé des jeunes filles et femmes, âgées de 14 à 25 ans, à avoir des relations sexuelles.Le modus operandi était toujours le même : ils fournissaient de nombreux produits stupéfiants à leurs victimes, comme cocaïne, cannabis, alcool ou méphedrone, pour ensuite abuser d’elles pendant des orgies collectives connues comme « sessions ».Au total, près de 300 personnes auraient été victimes de ces criminels immigrés ou d’origine immigrés. « A ce jour, nous avons arrêté 461 personnes, parlé à 782 plaignantes potentielles et avons trouvé 278 victimes», a souligné Steve Ashman dans un communiqué.L’un d’entre eux, assumant totalement ses actes, Badrun Hussein (37 ans), avait déclaré lors de sa déposition : « Toutes les filles blanches ne servent qu’à une chose pour des hommes comme moi : il faut les baiser et ensuite, il faut les jeter comme des déchets. C’est tout ce qu’elles méritent. »Les faits se sont déroulés entre 2011 et 2014 à Newcastle, dans le nord de l’Angleterre. Le gang a été mis hors d’état de nuire de façon par ailleurs très douteuse (le scandale est grand outre Manche) : il a en effet été révélé durant le procès que la police avait infiltré le réseau via un violeur pédophile qui avait servi d’indicateur contre 10 000 livres (11 000 euros).La listes des condamnés :Saiful Islam,Yasser HussainMohammed Hassan AliRedwan SiddiqueCarolann GallonMohammed AzramJahangir ZamanNashir UddinAbdulhamid MinoyeeEisa MousaviMonjur ChoudhuryTaherul Alam.Prabhat NelliNadeem Aslam,Mohibur RahmanBadrul HussainAbdul Sabe,Habibur Rahim,Une nouvelle affaire de violences sexuelles en réseau donc, après les scandales de Roterham, Rochdale ou encore Oxford, avec à chaque fois des autorités et une police qui ont cherché à ne pas étendre ces affaires monstrueuses sur la place publique, racialement et politiquement correct oblige.This is England 2017…really ? -
Saint-Martin : La sous-préfète s’est enfuie de l’île, pillage et fusillades sur fond d’effondrement de l’état français
BREIZATAO – NEVEZINTIOU (10/09/2017) cliquez ici Sur l’île de Saint-Martin, l’État Français s’est effondré en moins de 24 heures après le passage de l’ouragan « Irma ». Largement occultée par les médias étatiques hexagonaux, cette réalité a cependant pu être communiquée au plus grand nombre par les gens présents sur place grâce aux réseaux sociaux. Une anarchie qui tranche avec la mobilisation immédiate du gouvernement américain.
La sous-préfète s’enfuit
Premier élément de cet effondrement, la fuite de la sous-préfète de l’île, Anne Laubiès. Cette dernière a abandonné les habitants à leur sort et avec son départ précipité, c’est l’organisation politico-administrative française qui s’est évaporée instantanément.
Cette fuite n’entraînera, bien sûr, aucune poursuite pénale.
Les nombreux pillards, essentiellement des individus de race africaine, ont rapidement mis à profit cet écroulement du gouvernement pour se livrer à des meurtres et pillages à grande échelle. Les Français de l’île expliquent avoir du organiser, sur conseil d’une gendarmerie totalement dépassée, des milices pour garantir leur sécurité.
Anarchie française, mobilisation générale américaineContrairement aux USA qui ont mis en place un vaste plan d’évacuation en Floride, le gouvernement français est pour l’essentiel resté spectateur malgré les informations dont il disposait au sujet de l’arrivée de l’ouragan. Dès le 31 août, les premières informations sur la venue de l’ouragan étaient connues et ce dernier mettra une semaine complète à atteindre l’île de Saint-Martin.
Ce délai n’a pour ainsi dire jamais été mis à profit pour évacuer l’île ou préparer un puissant dispositif sécuritaire.
En Floride, le gouvernement fédéral ainsi que les autorités de cet état ont procédé depuis des jours à l’évacuation préventive des zones potentiellement touchées tandis que tous les services gouvernementaux étaient mobilisés en prévision. Le président Trump détaille depuis des jours les mesures à prendre, donne les adresses des sites internet diffusant les informations indispensables ou supervise la mise en œuvre du dispositif de crise.
Il y a trois jours déjà, le président américain s’adressait directement au peuple américain pour lui signifier l’urgence de se préparer.Pour mesurer le gouffre qui sépare les deux gouvernements, on rappellera que Saint-Martin est une petite île d’un peu plus de 600 kilomètres carrés – un dixième du Finistère – peuplée par seulement 35,000 habitants. La superficie de la Floride représente un tiers de celle de la France pour 20 millions d’habitants.En d’autres termes, l’État Français a été mis à genoux par un ouragan ayant frappé l’équivalent d’une petite ville hexagonale comme Alfortville là où les USA assurent, dans l’ordre, la gestion d’une crise impliquant l’équivalent d’un tiers de la population française.
Une priorité pour Macron et l’État Français : sauver les apparences
Face aux images et témoignages communiqués sur les réseaux sociaux, le gouvernement français tente désormais de limiter les retombées politiques. Il s’agit donc d’organiser et de scénariser un déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Objectif : faire croire que tout est sous le contrôle de l’état et du président français.
Cet effondrement rapide du gouvernement représente un avertissement pour la société bretonne : en cas de crise et d’émeutes raciales à grande échelle, elle sera livrée à elle-même. Nul ne doit faire confiance à l’état français, sous peine de s’exposer à de cruelles déconvenues.
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AFFRONTEMENTS AVEC LA POLICE, VIOLS, CRIMINALITÉ : ÉTÉ NORMAL POUR LES MIGRANTS D’ITALIE
L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration et la réalité de l’intégration. Entre deux reportages vantant la bonté de Mamadou qui fait du jardinage bio pour nourrir les Italiens et le civisme d’Habib qui lave son pot de yaourt avant de le jeter au tri (véridique), elle était plutôt faite d’émeutes avec la police, de viols à répétition et d’agressions dans les transports en commun.
Le 24 août, à Rome, une centaine de réfugiés mettaient à feu et à sang la place de l’Indépendance pour protester contre la proposition de relogement de la mairie, alors qu’ils occupaient illégalement un immeuble depuis 2013 (où furent retrouvés plusieurs milliers d’euros d’argent liquide et des biens de luxe). De violents affrontements eurent lieu avec les forces de l’ordre, qui essuyèrent jets de pierres, de cocktails Molotov, mais aussi de bouteilles de gaz. Les sempiternels gardiens de la bonne conscience, qui dénoncèrent l’utilisation des canons à eau pour calmer les émeutiers, ne purent que se taire devant les images où est clairement visible l’attaque contre la police. Seules quatre personnes ont été interpellées.
Des images parlant d’elles-mêmes aussi, celles qui montrèrent un groupe de Subsahariens jetant à terre et rouant de coups un chauffeur de bus. Étrangement, les gardiens de la bonne conscience n’ont pas commenté l’incident.
Silence analogue quant au viol, d’une rare violence, perpétré quelques jours plus tard à Rimini (le quotidien La Repubblica a quand même produit un article dénonçant… les commentaires à caractère raciste publiés sur la page Facebook d’un des violeurs !). Une bande de quatre « jeunes » (dont trois mineurs) – deux Marocains, un Nigérian et un Congolais (à qui le statut de réfugié avait été refusé) – massacrèrent un couple de touristes polonais, violant la jeune femme à tour de rôle, et étouffant son compagnon en lui mettant la tête dans le sable. Non contents de leur agression, que la police a qualifiée de « brutale et bestiale », ils s’en prirent à un transsexuel péruvien rencontré quelques centaines de mètres plus loin, le sodomisant six fois. La Pologne a demandé l’extradition des quatre auteurs.
Le problème, ce n’est pas – seulement – que ces « faits divers » soient tous l’œuvre d’hôtes d’origine étrangère, immigrés de fraîche date ou nés en Italie. Mais plutôt qu’ils bénéficiaient tous de la solidarité et de la générosité du pays d’accueil. Pire : dans le cas des frères marocains, malgré la décision d’expulsion de toute leur famille tombée en 2014 (ils faisaient l’objet de plusieurs plaintes), ils vivaient aux frais de la princesse, mairie et Caritas s’acquittant de leur loyer, de leurs factures d’énergie et de leurs courses.
On pourra alors rétorquer que de nombreux délits ont été commis par des Italiens durant la même période. Certes. Or, si de tels crimes sont difficilement prévisibles, il est néanmoins possible et impératif de contrôler les entrées sur son territoire, comme cela fut le cas des siècles durant. Ces racailles (aucune ne provenant d’une zone de guerre) n’avaient rien à faire sur le sol italien. La politique de la porte ouverte et de l’argent facile ne pourra que drainer vers nos contrées ce que la démographie explosive africaine produit de pire. Puisque les gens bien, eux, quand ils ne s’engagent pas pour l’amélioration de leur lieu de vie, restent au moins chez eux, auprès de leur famille 1.
Notes:
- Rappelons que, selon l’UNHCR, sept migrants sur dix qui débarquent en Italie sont des hommes dont l’âge est compris entre 18 et 34 ans.
http://www.bvoltaire.fr/affrontements-police-viols-criminalite-ete-normal-migrants-ditalie/
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Terrorisme islamique : une menace bel et bien présente - Journal du Jeudi 7 septembre 2017
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UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES
Michael Stürzenberger avait publié une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme.
Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.
Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.
Le vendredi 18 août 2017, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.
Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.
Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.
Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.
Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.
Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.
Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.
Lionel Baland Écrivain et journaliste belge francophone Son blog -
Pizzagate : deux suicides si identiques !
Non le Pizzagate n'est pas une affaire qui a fait pschitt ou qui serait passée de mode comme s'il ne s'agissait ou qu'il ne s'était agi que d'une nouvelle marotte passagère de geeks excités. Toutes les questions soulevées par les chercheurs de vérité du monde entier depuis novembre 2016 restent sans reprises officielles. Pourquoi le propriétaire du Colmet Ping Pong, James Alefantis, fait-il partie des 50 personnes les plus puissantes de Washington DC selon un classement établi par le Washington Mag’ ? Pourquoi publie-t-il des photos scabreuses où on le voit accompagné de très jeunes enfants attachés et mis dans des positions scandaleuses ? Pourquoi l'intérieur de ce restaurant est-il empli de fresques sadiques, cannibalistes, d'enfants suppliciés ? Pourquoi tous les symboles pédosatanistes dont la signification générale a été très officiellement divulguée par le FBI sont-ils gravés, dessinés ou moulés dans cet antre où l'on joue « au ping pong » ? Pourquoi y organise-t-on des concerts sataniques (des vidéos l'attestent sur Youtube notamment) au cours desquels les chanteurs et les convives font part de leurs goûts particuliers en matière de sévices pédomaniaques ? De l'humour incompréhensible pour les ploucs provinciaux et chrétiens ? Pourquoi ce restaurant, au demeurant fort laid, est-il devenu un heu de regroupement de la clique clintonienne à Washington ? Pourquoi John Podesta, son frère Tony (tous deux collectionneurs de tableaux pédomaniaques horribles) fréquentent-ils, eux, dés délinquants sexuels notoires comme Anthony Weiner et Jef Epstein ? Pourquoi les Podesta, les Clinton et tous leurs petits copains discutent-ils parfois en langage codé utilisant le lexique de la restauration rapide pour préciser certaines informations apparemment pas très catholiques ?
Pourquoi aucune enquête n'-a-t-elle été ouverte sur l'agenda exact des frères Podesta, de Weiner et de Clément Freud, alors tous les 4 présents dans la petite ville du Portugal où fut enlevée la petite Maddie le 3 mai 2007 alors que les portraits robots correspondent traits pour traits (c'est estomaquant) aux visages de John et Tony Podesta et d'Anthony Weiner ? Pourquoi ignore-ton la cause de la mort de Clément Freud (petit-fils de Sigmund) en 2009 et pourquoi n'apprit-on que 7 ans après son trépas qu'il était un violeur d'enfants en série comme son ami Jimmy Savile ? Pourquoi les révélations de vedettes américaines sur les agissements monstrueux de pédomanes n'engendrent-elles pas l'intérêt des média mainstream ? Pourquoi ces stars immenses, selon les propres canons du média obèse, ces stars étrangement innombrables, ont-elles été si souvent victimes de la cruauté de pédomanes ? Pourquoi cette redondance pédomaniaque dans la biographie des rock stars ? Pourquoi la thématique du viol infantile, de la pédomanie, est-elle si développée dans les chansons, dans les tubes, dans les grands refrains à succès ? Nous y reviendrons mais avant de regarder de près cette particularité artistique, arrêtons-nous sur les inattendus décès de deux vedettes colossales du rock-grunge-metal mondiales.
Chris Cornell étouffé
Chris Cornell, de son vrai nom Christopher John Boyle, est mort dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 mai à l'âge de 52 ans. L'ancien chanteur d'Audiolslav était pourtant sur scène quelques heures avant son décès, à Détroit où il chantait avec son ancien groupe quasi légendaire Soundgarden reformé timidement en 2010. Originaire de Seattle dans l'État de Washington, Chris Cornell avait fondé son groupe à la fin des années 1980. Ils connurent un succès phénoménal à cette époque, ouvrant les concerts des Gun's n Roses lors de leur tournée américaine ou en partageant l'affiche de festivals avec les Red Hot Chili Feppers, Çypress Hill ou encore Rage Against The Machine. Soundgarden avait obtenu deux Grammy Awards en 1995 dans les catégories meilleures performances de hard rock et meilleure performance de métal. La suite de la carrière de Chris Cornell est d'un point de vue professionnel tout à fait honorable ; il fut ainsi l'auteur de l'un des titres qui accompagne Casino Royal, l'un des meilleurs James Bond de toutes les époques. Mais son plus grand succès reste incontestablement Black Hole Sun, un titre et un clip incroyables incompris cependant du gros de son public. Donc, lorsque l'on découvrit Cornell sans vie dans sa chambre d'hôtel, la nouvelle fit l'effet d'une bombe. Une mauvaise et énorme surprise en effet pour les fans de Chris Cornell et surtout pour ses amis qui le connaissaient fort bien. Car si Chris Cornell était réputé pour être véritablement le fondateur du style grunge, avant ou devant Kurt Cobain du groupe
Nirvana, pour être une sorte d'icône d'un rock noir, parfois caricature dépressive, commercialement dépressive à l'adresse d'un public adolescent toujours un peu torturé, il était devenu, et telle était la vérité, un bon père de famille parfaitement sensé, un papa au grand cœur, un homme équilibré, resté poète mais qui avait dépassé ses tourments et ses souffrances (un homme qui n'avait jamais été diagnostiqué psychotique par ailleurs). Sa mort stupéfia d'autant plus. Il fut en effet retrouvé "suicidé", pendu à une poignée de porte avec quelque bande en coton si serrée autour du cou que le sang coulait par la bouche du malheureux quand on le retrouva. Mais aussitôt l'énorme matrice journalistique déversa la version officielle du pourquoi du comment. Chris Cornell était en pleine forme mais il était bel et bien un chanteur de rock pop et il prenait des poses grunge dépressives ce qui laissait présager un suicide. Un écorché vif se suicide nécessairement selon le média débile. Même si rien n'indiquait un tel dénouement. Point.
Chris Cornell était en forme, actif, social et poursuivait une tournée musicale très honorable qui le comblait. Et pourtant, il se serait suicidé... Le public le croit aisément : Cornell a été très malheureux de l'âge de 13 à 14 ans, et il chantait des textes tristes et glauques ; il fut donc "normal" qu'il se suicidât. Néanmoins, absolument rien n'indiqua que cette vedette sans problème (les molécules des médicaments qu'il ingéra n'étaient pas très dangereuses et il n'était même pas considéré comme un toxicomane, ce qui est finalement rare dans ce milieu qui connaît finalement très peu de suicides (le dernier en date, très controversé, - sans parler de la petite scène - est celui de Kurt Cobain en 1994) allait commettre l’irréparable. Cela arrive, entend-on, et il n'est pas nécessaire d'en faire tout un fromage !
Deux mois plus tard, même son de cloche. Chester Bennington, chanteur emblématique du groupe Linkin Park, se serait suicidé (il y a donc dix jours) à son domicile en se pendant un peu de la même façon. Le 20 juillet, jour anniversaire de son ami Chris Cornell, Chester se tue. Il n'aurait pas supporté la disparition de son collègue musicien bien qu'il fût père aimant de six enfants et que rien, là encore, ne laissait présager le pire. Cette fois, le gros média débile argua de la fragilité mentale de Chester Bennington, victime à l'âge de 7 ans de viols monstrueux qui le rendirent "dépressifs" (état légitimant un éventuel suicide). Les connaisseurs furent sceptiques cependant lorsqu'ils apprirent ce nouveau suicide. Car, là encore, même si la vedette était connue pour ses traumatismes d'enfance, tout allait bien pour lui : une famille nombreuse, une vie professionnelle active loin des frasques qui caractérisent le monde déjanté des punks toxicomanes auquel il n'appartenait absolument pas. Il se serait lui aussi tué soudainement, sans le laisser présager, à l'âge de 41 ans. Le scénario tissé par le média mainstream était cousu de fil blanc. Touché par la mort brutale de son ami, fragilisé par ses blessures, Chester se serait donné la mort sur la scène tragique du rock dur. Il ne faut pas se poser de questions, c'est l'univers de la souffrance habituellement sublimé qui a déraillé...
Chester Bennington Liquidé ?
Chester Bennington était une victime de pédomanie ; il fut violé à l'âge de 7 ans et il n'avait jamais fait mystère de cette blessure et de sa volonté d'aider les malheureux enfants souffrant dans leur âme de ce fléau infiniment pervers. Les métamorphoses du combat contre la pédomanie, l'éclatement du Pizzagate principalement, ont fait déferler des légions de chercheurs de vérité qui se sont mis à ratisser tout le champ médiatique afin de découvrir l'étendue du réseau pédomane dont la zone de Washington ne pouvait être que la face émergée de l'iceberg. Nous pouvons penser qu'un homme comme Chester Bennington fut très largement sollicité non seulement par une partie de ses fans mais par des milliers d'Américains désireux d'en savoir plus sur les agissements et l'identité des tarés pédomanes. Il l’était nécessairement, sollicité, puisqu'il avait d'autre part créé une association d'aide aux victimes de la pédomanie. Il en serait donc lui-même mort à 41 ans. Comment ?
Répétons-le, le milieu dans lequel évoluait Chester Bennington est étonnamment rempli de victimes de pédomanes. D'ailleurs le chanteur de Linkin Park a évoqué à maintes reprises ce mal dans ses compositions, et quand on gratte un peu ses textes, souvent hermétiques, on se demande s'il ne parie pas de cela dans la plupart de ses titres ! Elément que le gros média et la presse spécialisée comme Rollington Stone magazine ou en France Les Inrocks n'analysent guère. Ces journaleux sont paradoxalement bien pudiques sur la chose...
Deux hommes encombrants
Même commentaire à propos du traitement médiatique de Chris Cornell, le chanteur de Soundgarden et du tube Black Hole Sun dont l'hermétisme n'a visiblement pas "travaillé" la presse spécialisée ! Et ce n'est pas parce que Cornell lui-même fut bien taiseux sur la signification de sa chanson que les exégètes doivent l'être pareillement à ce propos, surtout aujourd'hui ! Car avec la documentation dont on dispose actuellement en matière de symbolisme, le message sous-jacent véhiculé dans Black Hole Sun saute désormais aux yeux. Le clip très noir de cette chanson est tout autant parlant quant au sujet profond abordé par Cornell ; notamment cette séquence pendant laquelle une envolée de papillons traversant le living-room d'adultes abrutis par la télévision qui symbolise la fin de l'enfance sanctionnée par un viol silencieux dans une chambre voisine. Autre question lancinante : pourquoi la presse habituellement si curieuse, si indiscrète, ne s'est-elle pas intéressée aux causes de la dépression subie par Chris Cornell au tout début de son adolescence ? Pourquoi, par ailleurs, l’énorme entreprise Clear Channel avait-elle profité du 11 septembre 2001 pour rayer de sa liste de diffusion le titre Black Hole Sun ? Rappelons que Clear Channel est propriétaire de centaines de stations de radio et de plusieurs chaînes de télévision et premier organisateur de concerts dans le monde avec Live Nation Entertainment - « Au départ organisateur de concerts, Live Nation s'est transformé par des rachats successifs en société intégrée contrôlant toute la chaîne du spectacle. Live Nation opère sur cinq métiers principaux : promotion de concerts et gestion de salles ; billetterie gestion d'artistes (contrats publicitaires, gestion de fan-clubs, produits dérivés) ; vente en ligne (vente de billets de spectacles sur les sites internet de Live Nation) ; partenariats. En 2010, Live Nation organise près de 100 000 spectacles (dont 21 000 concerts) dans près de 40 pays, rassemblant 200 millions de spectateurs. Côté au Nasdaq, Live Nation réalise un chiffre d'affaires de 5 milliards de dollars et emploie 6 500 salariés au 31 décembre 2010 » selon Wikipédia. Ces faits ont-ils un rapport avec le silence assourdissant de Chris Cornell à propos de sa chanson fétiche qui semblait indisposer les producteurs de toutes sortes bien qu'elle soit depuis sa sortie formidablement "bankable" ?
Nos deux hommes étaient-ils sur le point de révéler les secrets du secret ? Le Système pédomane (pour parler comme Vladimir Poutine) utilise toujours la même stratégie pour inciter les masses à se désintéresser de toutes ces questions. Il existe ainsi une multitude de sites Internet "louches", très officieusement conspirationnistes qui s'empressent d'ajouter au vrai du taux et du grotesque afin de discréditer tout le travail des chercheurs de vérité aux yeux du grand public. Plusieurs sites inventèrent ainsi une parenté entre l'affreux John Podesta et Chester Bennington qui serait... son fils naturel caché... Le fait que Bennington ressemble très approximativement à John Podesta suffirait à étayer cette croyance et à ridiculiser du même coup tous ceux essayant de se poser les bonnes questions. Cette idée absurde rend de facto l'hypothèse d'une émulation antipédomane qui s'est développée autour de Cornell et de Bennington peu séduisante. Elle est pourtant évidente. Cornell était proche de Bennington, mais aussi du chanteur des Gun's and roses, Axel Rose, qui fut violé à l'âge de deux ans par plusieurs membres de sa famille, de Slash, victime lui aussi de pédomanie et qui en parle dans sa chanson The Unholy, de Serj Tankian du groupe System of Down, chanteur très engagé dans des causes humanitaires (protection de l'enfance notamment). À cette aune, il est certain que l'amitié liant Cornell à Bennington reposait sur leur volonté respective d'aider les victimes de pédomanie de la meilleure façon possible. Chris Cornell avait lui aussi créé une fondation à cet effet, la fondation Vicky et Chris Cornell destinée à aider les entants abusés de 5 à 15 ans. Cette association existe depuis fin 2012 mais depuis quelques mois elle s'était rapprochée de celle dirigée alors par Bennington...
François-Xavier Rochette Rivarol du 3 août au 5 septembre 2017
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Djihad: pensons l’ennemi pour mieux le combattre Une tribune de Nicolas Dhuicq, ex-député LR et psychiatre
Les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur français, convoquant la psychiatrie dans la lutte contre le terrorisme, montrent le désarroi intellectuel dans lequel se trouvent nos gouvernants face au terrorisme islamiste. En effet, nous devons avoir à l’esprit que les dits terroristes se vivent comme des combattants, au service d’une cause. Ils poursuivent un but politico-théologique clair : l’instauration d’un califat salafiste, c’est-à-dire wahhabite, sur les terres actuellement islamisées, ou qui le furent un temps, comme l’Espagne avant la Reconquista, ou la Narbonnaise en France.
Perversion n’est pas synonyme de maladie
En premier lieu, l’attitude du ministre se heurte à deux écueils principaux au plan de la branche de la médecine qu’est la psychiatrie.
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Retour à Barcelone : Ce qu'en pense Mathieu Bock-Côté
Par Mathieu Bock-Côté
Cette tribune [24.08] est de celles que Mathieu Bock-Côté donne sur son blogue du Journal de Montréal. Il revient ici avec de justes réflexions et des inquiétudes, bien-sûr, fondées, sur la tragédie de Barcelone et du terrorisme en général, dont nous avons nous-mêmes traité par deux fois. [Voir liens en fin d'article]. LFAR
On a peu parlé, ou du moins, trop peu parlé des attentats de Barcelone.
Quinze personnes sont mortes, plus d’une centaine sont blessées. Pourtant, une fois la nouvelle connue, nous sommes vite passés à autre chose.
Peut-être est-ce parce que nous sommes désormais habitués à la violence islamiste ? Autour de dix morts, on ne veut y voir qu’un fait divers. À cinquante morts, on est prêt à s’y intéresser quelques jours.
Nous sommes blasés. Nous ne parvenons même plus à nous révolter. Certains s’en réjouissent : ce serait une manière de vaincre le terrorisme que de faire comme s’il n’existait pas.
C’est la stratégie de l’autruche.
Terrorisme
Et pourtant, cet attentat marque une étape supplémentaire dans la guerre de l’islamisme contre l’Occident.
Il nous rappelle d’abord une chose : tous les peuples sont visés. Même les Catalans le sont. Personne ne peut se croire à l’abri.
Et les islamistes misent aussi sur le meurtre de masse. Ils sont dans une logique d’éradication. Hommes, femmes, enfants, tous peuvent crever, s’ils sont d’Occident.
Quand une voiture fonce dans une masse humaine, elle ne fait pas de discrimination : elle écrase sans nuance.
Mais il y avait quelque chose de plus dans cet attentat. Les terroristes avaient aussi prévu de s’en prendre à la Sagrada Familia, la cathédrale mythique de Barcelone.
On aura beau tout faire pour relativiser les événements, il faut en convenir : dans la tête des islamistes, c’est une guerre de religion qui se mène. Il s’agit de conquérir l’Europe, de la soumettre, d’y imposer l’islam et d’éradiquer les traces du christianisme.
Dans leur esprit, il s’agit de nous imposer leur Dieu, de nous y soumettre. Pour eux, le terrorisme n’est qu’un moyen. D’ailleurs, bien des islamistes le condamnent, mais espèrent néanmoins établir une domination globale. C’est une question de stratégie.
Pourquoi détruire une cathédrale ? Pour humilier l’Europe, et pour faire comprendre aux Européens qu’ils ne sont plus chez eux. Pour faire comprendre qu’une civilisation doit disparaître et qu’une autre doit s’édifier sur les ruines d’un vieux monde épuisé.
On nous dira que les islamistes ont peu de chances de réussir leur coup. Ce qui est certain, c’est qu’ils peuvent faire d’immenses dommages à notre civilisation et semer la terreur partout où ils passent.
Je crains qu’un jour, ils ne parviennent à dynamiter la Sagrada Familia, Notre-Dame de Paris ou la cathédrale de Strasbourg. Un jour, ils détruiront un symbole sacré de notre civilisation.
Occident
Comment réagirons-nous ?
La question, dès lors, semble simple, même si elle ne l’est pas.
Au nom de quoi pouvons-nous nous battre ? Au nom des seuls droits de l’individu ? C’est terriblement insuffisant.
Au nom de notre prospérité ? Cela manque d’âme.
Au nom d’une religion ? Ce n’est plus possible. La foi est chose intime. Nous ne sommes plus au temps des croisades.
Au nom d’une civilisation, de son histoire, de son héritage, des peuples qui l’habitent ? Oui. Mais encore faut-il la comprendre. Encore faut-il vraiment réapprendre à l’aimer.
Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).
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Jupiter fait du terrorisme islamique "sa priorité N°1" - Journal du mercredi 30 août 2017