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insécurité - Page 648

  • Marine Le Pen soutient totalement le personnel pénitentiaire

    “Je soutiens totalement les revendications et la colère du personnel pénitentiaire”, a déclaré Marine Le Pen dans Les 4 Vérités ce lundi 23 janvier alors que des dizaines de prisons partout en France étaient encore bloquées.

    Très clairement, nous avons dans les prisons françaises des condamnés pour terrorisme qui sont des gens qui ont commis des actes de guerre et auxquels on accorde un système carcéral de droit commun. C’est une véritable folie.

    Il faut pour ces terroristes ou pour ces radicalisés un droit particulier, une procédure pénale particulière, des juridictions particulières et un système carcéral particulier.

    La présidente du FN a donc apporté son soutien total au personnel pénitentiaire :

    Le gouvernement continue une politique de laxisme total à l’égard des fondamentalistes islamistes. Il ne prend pas la mesure de la dangerosité de ces personnes. Et ce sont les gardiens de prison qui paient et en réalité l’ensemble des Français qui paient la note.

  • Irak : 3 françaises qui avaient rejoint l’EI vont être jugées et risquent la peine de mort.

    Les trois femmes sont détenues à Bagdad depuis la chute de l’EI.

    Mélina B. a été sortie des décombres de Mossoul (Irak) en juillet dernier, avec ses quatre enfants. Une autre jeune femme de 27 ans, originaire du Nord de la France fait également partie des détenues. La troisième femme arrêtée est plus vieille indique RMC qui révèle cette information.

    Ces dernières devraient être jugées prochainement et risquent la peine de mort par pendaison si elles venaient a être reconnues coupable de liens avec l’EI.

    Une allemande déjà condamnée à mort

    À l’issue du jugement, les accusées auront 30 jours pour faire appel. Si leur demande n’aboutie pas, la peine sera immédiatement exécutée.

    Paris a récemment rappelé que les ressortissants français détenus à Bagdad seront jugés par la justice irakienne, car l’Irak “est un pays souverain reconnu par la communauté internationale”.

    Ce dimanche en Irak, une ressortissante allemande a été condamnée à mort.

    https://www.patriote.info/actualite/securite/irak-3-francaises-qui-avaient-rejoint-lei-vont-etre-jugees-et-risquent-la-peine-de-mort/

  • Surveillants de prison : La situation ne devrait pas s’apaiser de si tôt

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis quelques semaines, la tension est palpable entre l’administration pénitentiaire et les surveillants de prison. La semaine dernière par exemple, plus d’une centaine de prisons étaient bloquées par des surveillants en colère.

    Les négociations entre les deux partis se poursuivent mais n’ont toujours pas abouties. Les blocages devraient donc continuer dans les prochains jours.

    Le conflit actuel est impressionnant par sa durée et son ampleur. Les surveillants s’opposent au climat de violence auxquels ils font actuellement face.

    On recense depuis plusieurs mois un nombre croissant d’agressions de surveillants par des détenus, dont certaines par des islamistes. Le projet propose aux syndicats des surveillants proposait une création de 1100 emplois sur 4 ans avec un renforcement de la sécurité des surveillants. Un projet rejeté dans son ensemble par les syndicats car pas assez ambitieux

    Les surveillants remettent aussi en cause le taux de surpopulation carcérale qui atteint les 200% dans certaines régions comme l’Île-de-France ou le Sud Est.

    Une surpopulation aussi dans le viseur des Nations Unies qui épinglent régulièrement la France sur le sujet. Les derniers ministres de la Justice en particulier Christiane Taubira ont tenté de mettre en place de nouvelles punitions permettant de désemplir les prisons mais mettant potentiellement en danger la sécurité des Français.

    Pendant ce temps là, la situation s’est compliqué dans 2 nouvelles prisons.

    Dans les prisons de Maubeuge et Sequedin, des dizaines de détenus ont refuse de rejoindre leurs cellules. De nouvelles tensions qui devraient s’ajouter à celles déjà présentes.

    https://fr.novopress.info/

  • ET SI ON PARLAIT DU BUS RENNAIS DE LA MARCHE POUR LA VIE QUE LES ANTIFAS ONT ATTAQUÉ, BLOQUÉ ET MANQUÉ D’INCENDIER ?

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    Puisque les « fake news » sont un sujet à la mode, on pourrait décider d’en faire la typologie, non ? Il en est une catégorie extrêmement finaude et efficace, qui prolifère totalement incognito et sans qu’on la voie – et pour cause – dans la grande presse. On pourrait aussi l’appeler la « no news », la « circulez-y-a-rien-à voir » : la « fake news » par omission. Et par tri partial de l’information. Si chaque « fake news » s’apparente à une thèse complotiste, elle procède, elle, d’une conspiration bien connue : celle du silence.

    Un cas d’école ? L’attaque, dimanche matin, du car affrété par les Associations familiales catholiques de Vannes et de Rennes, pour rejoindre la Marche pour la vie, tout juste laconiquement relayée par la presse locale.

    Un témoin raconte à Boulevard Voltaire : il est 8 heures, sur le parking derrière l’université de chimie du campus de Rennes. Des familles ont pris place dans le car quand, dans l’obscurité, surgissent des antifas, des militants LGBT, des « jeunes communistes » (mais si, ça existe encore…). Ils constelleront le bus d’autocollants comme autant de signatures !

    Le visage masqué par une cagoule ou un foulard, ils tentent, hurlant des injures et des obscénités, de monter dans le bus. L’un d’entre eux jette, par le marchepied, un fumigène incandescent… qu’un passager a heureusement la présence d’esprit de relancer à l’extérieur. Mais le fumigène a eu le temps de brûler son vêtement et le pull d’une jeune fille, ainsi qu’un siège. L’un des occupants du bus – certains ont 75 ans -, incommodé par les fumées, fait un malaise. Un petit garçon de 9 ans et une fillette de 12 ans sont terrifiés. Des hommes, à l’avant, parviennent à repousser les assaillants vers les barrières que ceux-ci ont dressées tout autour du bus pour le bloquer. Mais ils constatent avec inquiétude qu’une liste avec les noms des passagers a été arrachée et emportée au passage…

    Quatre policiers présents sur les lieux tentent de parlementer sans succès : ils ne sont pas assez nombreux pour intervenir, disent-ils, et doivent attendre les renforts. Il va ainsi s’écouler trois heures, trois heures durant lesquelles une cinquantaine de « marcheurs pour la vie », interdits de manifester, resteront confinés dans le bus, sous les quolibets et les insultes… pris en photo malgré eux, comme dans un zoo. Ils ne pourront reprendre la route qu’à 11 h 30, sous escorte policière jusqu’à la rocade.

    On imagine le tollé, la déflagration, la bombe atomique dans la presse si un bus rempli de familles musulmanes, de vieillards, d’enfants, en partance pour une marche pacifique et autorisée vers la capitale, avait fait l’objet d’une telle attaque de la part d’identitaires cagoulés et surexcités. Si les vêtements de certains avaient été brûlés. Si l’un d’eux, pris d’un malaise, avait dû être sorti du bus. S’ils avaient dû rester parqués comme des bestiaux durant trois heures, la police se révélant incapable de disperser les trublions. Si les agresseurs étaient repartis tranquillement, sans être inquiétés… Et cette vague d’indignation unanime serait, bien sûr, infiniment légitime.

    Mais le traitement de l’information, en France, n’est pas fonction de la nature des faits mais de celle des victimes. Et il se trouve que les catholiques n’ont, en soi, aucune importance, les informations les concernant aucun caractère de gravité. Sauf, bien sûr, si on peut y trouver matière à les charger, d’une pelletée supplémentaire, de tous les malheurs du monde.

    Et ce sentiment d’impunité est si vrai que les Jeunes communistes 35 ont revendiqué benoîtement leur « action » sur Twitter, se permettant même de corriger au fluo jaune réprobateur, comme une maîtresse d’école, un article du Télégramme de Brestévoquant l’embuscade.

    Pour Marlène Schiappa, les marcheurs pour la vie sont « moyenâgeux et obscurantistes ». Ce ne sont pas eux, pourtant, pour filer le poncif, qui tentent de brûler les sorcières des temps postmodernes.

     Ecrivain, journaliste Son blog 
  • ERDOĞAN EST DE PLUS EN PLUS DANGEREUX : QUI VA L’ARRÊTER ?

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    Alors qu’aucune belligérance ou aucun droit de suite ne peut être allégué, le dictateur extrémiste Erdoğan a envoyé des milliers de soldats attaquer les troupes anti-Daech dans le nord de la Syrie. L’incursion est de plus de quarante kilomètres au-delà de la frontière. Selon l’agence de presse étatique Anadolu, les soldats turcs progressent dans la région d’Afrine en compagnie de combattants syriens formés par Ankara. « L’opération Rameau d’olivier se déroule comme prévu, l’offensive terrestre a commencé », a indiqué l’armée turque dans un communiqué.

    Erdoğan a dit espérer, dimanche, que l’offensive lancée par Ankara dans le nord de la Syrie contre une milice kurde serait terminée « en très peu de temps ». Cette vaste opération associe frappes aériennes, bombardements d’artillerie, offensive terrestre contre les positions des YPG, la milice kurde qui a été décisive contre Daech et soutenue par Washington.

    On rappellera que la Turquie s’est emparée de force d’une portion du territoire européen (Chypre), y a installé un simulacre d’État mafieux, a mis en prison des dizaines de milliers d’opposants au régime islamiste d’Erdoğan, a révoqué 200.000 fonctionnaires, enseignants, juges, policiers, persécute les minorités, notamment chrétiennes, a appuyé Daech en trafiquant avec le califat, triché sur le filtrage des migrants dont elle tire un important financement.

    La Turquie démontre ainsi qu’elle se confronte aux États-Unis et à ses alliés kurdes si utiles contre le califat islamique génocidaire. 

    La France, pays de la coalition militaire anti-califat islamique, doit être cohérente et digne, et appeler ses alliés russes et américains à ne pas laisser massacrer ses alliés, combattants civiques du nord syrien, ses camarades de combat.

    Aucune solution en Syrie n’est envisageable, pas plus qu’en Irak, sans que soient prises en compte les demandes de libertés démocratiques et de reconnaissance du fait national kurde déjà reconnu lors des accords Sykes-Picot de 1916.

    http://www.bvoltaire.fr/erdogan-de-plus-plus-dangereux-va-larreter/

  • Tandis que Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, va présenter sa loi immigration…

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    Par Marc Rousset, économiste et ancien haut dirigeant d’entreprise 

    Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an.

    Tandis que Gérard Collomb, en ce début année, va présenter son projet de loi Immigration – qui ne sera peut-être encore que de la poudre de perlimpinpin, pour reprendre l’expression du président – et qu’il nous ressort la vieille rengaine usée de la politique de la ville, coûteuse, ruineuse, inefficace et complètement à côté de la plaque, Trump et Poutine, à la tête de deux hyper puissances, agissent concrètement et nous montrent l’exemple.

    Aux États-Unis, la chute d’admission des réfugiés au quatrième trimestre 2017 a été de 79 % : 5.323 au lieu de 25.671 réfugiés au quatrième trimestre 2016 (dont 13 % seulement de musulmans et 60 % de chrétiens). Les États-Unis, mais aussi Israël, la Hongrie, les pays de l’Europe de l’Est et l’Australie nous montrent donc l’exemple.

    Poutine, lui, en ce début d’année 2018, a décidé de faire un cadeau aux jeunes parents russes. Une allocation supplémentaire de 3.700 euros sera accordée dès le premier enfant sur une période de dix-huit mois. La Russie est donc à l’antipode de la politique du socialiste Hollande et du grand-père par alliance sans enfants Macron qui s’attaque au principe de l’universalité des allocations familiales, sachant très bien qu’en faisant cela, c’est à la classe moyenne française qu’il s’attaque.

    Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an. Ils devraient être limités et combattus par une loi nouvelle revue et corrigée beaucoup plus stricte qui reviendrait à l’esprit de la loi Veil. De Gaulle, devant l’Assemblée constituante en 1945, n’avait-il pas déclaré que « si le peuple français ne se multiplie plus, alors la France ne pourrait plus rien être qu’une grande lumière qui s’éteint ».

    La France et l’Europe doivent donc à la fois arrêter l’immigration et favoriser la natalité, afin de survivre et de garder leur identité. L’Europe, avec son taux de fécondité de 1,6 enfant par femme, ne fait plus d’enfants et devient le seul endroit au monde qui appartient à tous les immigrés de la terre. Comme a pu le dire Frauke Petry, ancienne responsable de l’AfD en Allemagne : « L’Union européenne ne veut plus des peuples, mais des populations. »

    Le nombre de naissances en France métropolitaine a baissé pour la sixième année consécutive, soit 747.000 naissances seulement en 2016. L’indice de fécondité est passé à 1,89 : en dessous du taux de reproduction minimum des populations à l’identique, qui est de 2,1 enfants par femme et ce, malgré l’apport significatif d’une population immigrée extra-européenne avec un taux de fécondité de 2,6 par femme (selon un ouvrage de l’INSEE publié en 2012) .

    Il faut savoir que, même avec une immigration zéro, la population d’origine immigrée continuerait d’augmenter en France. La France, selon ses prévisions actuelles, devrait compter 74 millions d’habitants en 2050, dont 30 % de population d’origine immigrée. On n’intègre plus, on assimile encore moins, aujourd’hui dans notre pays. Alors, avec de telles perspectives statistiques, comment ne pas imaginer qu’on pourrait aller droit vers une guerre civile ? 2050, c’est dans 32 ans seulement, soit le temps pour un enfant de devenir un homme !

    L’Allemagne, avec un taux de fécondité toutes origines par femme de 1,39, tout comme l’Italie, perdent 150.000 autochtones par an. L’Allemagne est morte et commence tout juste à le savoir sans avoir encore réagi. Selon Thilo Sarrazin, dans son ouvrage best-seller Deutschland schafft sich ab, si l’Allemagne du 8 mai 1945 avait connu le même taux de natalité que les Palestiniens, il y aurait aujourd’hui 600 millions d’Allemands…

    Marc Rousset 09/01/2018

    Source : Boulevard Voltaire
    https://www.polemia.com/tandis-que-gerard-collomb-ministre-de-linterieur-va-presenter-sa-loi-immigration/

  • LES MÉTROS PARISIENS NE MARQUENT PLUS L’ARRÊT : TROP DE DROGUÉS SUR LES QUAIS !

    À Paris, il y a la clientèle de madame Hidalgo. Celle qui pense voiture électrique et pistes cyclables, qui pique-nique aux beaux jours sur une nappe à carreaux en bord de Seine, flâne aux terrasses des bistrots devant un burger bio et frites de patates douces, celle qui porte ses fringues Claudie Pierlot à la ressourcerie où l’on sirote son thé vert devant un prolo de pacotille et son accordéon musette.

    Et puis il y a les autres. Ceux qui, bien obligés, se tapent les transports en commun et constatent que leur Paris à eux est devenu invivable. Ils ne vivent pas dans le même monde, n’habitent pas les mêmes quartiers, n’ont pas les mêmes horaires et, surtout, ont à subir tout ce que les premiers chassent de leur environnement avec la bénédiction complice des autorités.

    Clochards, drogués, prostituées, vendeurs d’objets volés, de cigarettes ou de faux papiers et immigrés clandestins grouillent au milieu de la crasse et des rats. On les pousse d’un arrondissement à l’autre, mais depuis des décennies que le phénomène gangrène le nord de la capitale, il n’a cessé de croître.

    En 2012, Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, inaugurait en grande pompe dans le quartier Barbès-Château Rouge (XVIIIe) la première « zone de sécurité prioritaire (ZSP) parisienne ». En janvier dernier, cinq ans après, donc, la commissaire de police de cet arrondissement déclarait au Parisien : « Depuis huit mois, la délinquance est de plus en plus volatile. Elle a également investi la place de la Chapelle (hors ZSP). Les revendeurs, notamment, sont changés régulièrement par les réseaux, et nous avons perdu les contacts qui nous étaient précieux. Les mineurs, aussi, souvent algériens et tunisiens, ont fait leur apparition en masse. » Des gosses qui vivent dans la rue, sniffent de la colle et détroussent les passants.

    Et aujourd’hui ? Aujourd’hui, c’est pire encore : le « nettoyage » de surface n’a fait que déplacer le problème, transformant les stations de métro en cour des miracles. Envahies par les fumeurs de crack, elles sont devenues des coupe-gorge, si bien, comme le rapporte Le Parisien de ce vendredi, que les métros, désormais, n’y marquent plus l’arrêt. Mais les belles âmes balayent tout cela d’un revers de main, préférant dénoncer « les mains aux fesses »… Pourtant, « la situation est devenue explosive, au point qu’à l’appel de l’UNSA-RATP, certains conducteurs de trains de la ligne 12 ont récemment décidé de ne plus marquer l’arrêt à certaines stations, lorsque les quais sont envahis de toxicomanes. Une question de sécurité. La leur et celle des usagers. »

    Voilà bientôt trente ans, les fumeurs de crack squattaient le bassin de la Villette. On les a repoussés dans l’arrondissement voisin. Le ballet continue, en sous-sol désormais, sur les lignes 4 et 12 : « Errant inlassablement entre Jules-Joffrin, Marcadet-Poissoniers, Marx-Dormoy, Simplon, Porte-de-la-Chapelle. Chassés de leurs anciens territoires […] par les opérations d’éviction successives. »Ils sortent parfois à l’air libre : « Ils s’éparpillent même au-delà de leur secteur habituel, fréquentant parfois les stations Grands-Boulevards, Bonne-Nouvelle et Strasbourg-Saint-Denis, Stalingrad, Gare-du-Nord et Gare-de-l’Est », écrit Le Parisien.

    J’en témoigne : voulant un jour prendre le RER à la station Havre-Caumartin, je suis tombée dans un véritable campement où des zombies vivotaient dans le noir au milieu de leurs déjections. Faut-il rappeler que cette station dessert les grands magasins qui attirent des milliers de touristes ?

    Que fait la gauche socialiste depuis dix-sept ans qu’elle dirige cette ville ? Pour quels résultats, la salle de shoot installée gare du Nord ? Et les camps de migrants baladés sous le métro aérien ?

    80 % des cadres parisiens veulent fuir la ville. On a compté un million de départs d’Île-de-France en cinq ans. 
Je m’en vais moi aussi et, ce printemps, je vous écrirai depuis le bord de mer…

    http://www.bvoltaire.fr/metros-parisiens-ne-marquent-plus-larret-de-drogues-quais/

  • OLIVER IVANOVIĆ, HÉROS SERBE DES TEMPS MODERNES, ASSASSINÉ AU KOSOVO

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    Le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs…

    Oliver Ivanović (Оливер Ивановић), un des responsables historiques des Serbes du Kosovo, a été assassiné devant l’entrée de son bureau dans la zone serbe de Kosovska Mitrovica, au nord du Kosovo. Quasiment vingt ans après les terribles bombardements de l’attaque illégale de l’OTAN sur toute la Yougoslavie, le martyre du peuple serbe se poursuit dans une violence inouïe qu’aucun autre peuple européen ne connaît depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

    Malgré les promesses de « démocratie » et de « respect des droits de l’homme » faites par l’OTAN, les Serbes continuent de subir la terreur au quotidien. Il fallait attendre un nouveau meurtre pour que les médias dominants reviennent sur le sujet du Kosovo.

    Quel sarcasme, quand on pense que ce sont ces mêmes médias qui pleurent la mort d’Ivanović aujourd’hui qui, il y a vingt ans, ont travesti la vérité en faisant passer les Serbes pour des bourreaux alors qu’ils ne faisaient que défendre leur foyer et leur héritage national et chrétien. Depuis vingt ans, 250.000 Serbes ont fui le Kosovo et plus de 1.000 ont été assassinés et continuent de l’être aujourd’hui. Rien que depuis le début de cette année, les Povratnici, ces Serbes qui osent revenir au Kosovo depuis l’exode de 1999 de différents villages, sont attaqués, volés et ostracisés.

    À Novake, près de Prizren, l’ancienne capitale impériale serbe, les Serbes ont eu leurs fermes attaquées à l’engin incendiaire. À Đakovica, des pèlerins orthodoxes serbes n’ont pas pu fêter Noël le 7 janvier dernier car des manifestants leur refusèrent l’accès à l’église. Pas une semaine ne passe sans qu’un tel incident ne se produise, et pourtant les Serbes restent. Silencieux, minoritaires, ils n’abandonnent pas leur terre. Ils n’implorent pas notre pitié mais ils méritent notre respect et notre soutien. 

    C’était le combat d’Oliver Ivanović, un homme qui n’a pas hésité à prendre les armes pour défendre son peuple quand des extrémistes albanais ont voulu exterminer tout ce qui restait de serbe au Kosovo et en Métochie à la fin des années 1990. Mais Ivanović était aussi, et avant tout, un homme de paix, un homme capable de faire le consensus et de trouver des solutions. C’était un homme courageux qui ne se cachait pas. C’est un homme qui a été jeté deux ans dans une prison albanaise au Kosovo, accusé injustement de crimes de guerre et qui fut libéré faute de preuves. C’était un homme, père de famille, fier, c’était un homme droit. C’était forcément l’homme à abattre.

    Aujourd’hui, tous les Serbes pleurent un frère et la liberté pleure un fils, mais le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs : « Nous ne partirons jamais. » C’était aussi cela, le message d’Oliver Ivanović, un vrai héros des temps modernes. Que son âme repose en paix.

    http://www.bvoltaire.fr/oliver-ivanovic-heros-serbe-temps-modernes-assassine-kosovo/

  • LE DJIHADISME, CE N’EST PAS À LA CARTE : ON PREND TOUT LE MENU OU RIEN !

    « Il est honteux d’être sans honte », disait saint Augustin. Il semblerait que la honte n’éclabousse pas tous les rivages théologiques.

    Après une plainte pour « meurtre avec circonstances aggravantes » déposée par le père de Mohammed Merah en 2012, suite à l’exécution – inévitable, compte tenu des circonstances – de son fils à Toulouse, voici que « des avocats de femmes et d’enfants de djihadistes français récemment capturés par les forces kurdes en Syrie ont annoncé […] déposer plainte contre les autorités françaises pour “détention arbitraire” et “abus d’autorité” » (Le Figaro).

    Cette initiative pour le moins obscène est ainsi justifiée par les avocats dans un communiqué : « Le Kurdistan syrien n’ayant aucune existence légale et ne disposant par là même d’aucune institution souveraine, ces femmes et ces enfants sont tous détenus sans droit ni titre. »

    On passera sur les crimes – très vraisemblablement – commis par ces ressortissants sur place, qui n’ont de français que les papiers puisqu’ils abhorrent désormais tout ce que représente viscéralement la France, pour s’interroger sur la recevabilité d’une telle démarche.

    Le Kurdistan syrien n’est, en effet, pas reconnu par les instances internationales, mais ce territoire se situe dans un pays souverain, à savoir la Syrie, dont le président, Bachar el-Assad, est toujours en fonction. C’est donc à la justice syrienne qu’il reviendrait de juger les actes perpétrés sur son sol par des étrangers au service d’une armée d’invasion – à savoir Daech.

    Quant aux Kurdes, ils ont la légitimité de leurs sacrifices au combat et, très franchement, s’ils décidaient d’exécuter leurs impitoyables ennemis – même s’ils viennent de chez nous –, je m’en remettrais. Le gouvernement français a pour le moment tranché – mais les avis changent, pas toujours pour le meilleur – en déclarant « que les djihadistes devaient être jugés par “les autorités locales” » (Le Monde).

    On ne peut vouloir le beurre et l’argent du beurre. Autrement dit, on ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce. Car, parmi les djihadistes attrapés dans les filets kurdes, il y a de gros poissons, dont « Thomas Barnouin, originaire d’Albi et proche de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, ou Émilie König, une Bretonne devenue la première femme djihadiste inscrite sur la liste noire des terroristes internationaux établie par les autorités américaines » (20 Minutes).

    Il serait temps de mettre un terme à cette mascarade, qui envoie par ailleurs un signal déplorable aux viviers de l’intégrisme islamique essaimant sur notre sol. Faut-il rappeler que les djihadistes ne sont pas des braqueurs de banques ? Il y a peu de chances qu’ils se rangent des affaires. Leur rapatriement mettrait encore plus en danger les citoyens français, qui ont déjà eu leur dose.

    Enfin, le djihadisme, ce n’est pas à la carte : on prend tout le menu ou rien !

    http://www.bvoltaire.fr/djihadisme-nest-a-carte-on-prend-menu-rien/