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insécurité - Page 740

  • Nous irions vers la « guerre civile » ? Alain Juppé devrait lire ou relire Camus...

    Dans son « négationnisme » insensé pour tout ce qui touche aux dangers de l'Islam, Juppé vient de franchir un pas de plus - encore un ! - dans l'angélisme coupable et suicidaire : «...qui veut faire l'ange fait la bête », disait Pascal, et c'est tout à fait ce qui arrive à notre Alain bordelais. Ainsi, selon lui, en nommant le terrorisme islamiste et en l'attaquant (mais, c'est lui qui nous attaque, nous égorge, nous fonce dessus en camion, nous fusille aux terrasses des cafés...) on mènerait une politique qui conduit à « la guerre civile » ! Il devrait, avant de parler de ce sujet relire Camus, et son « Mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde ».

    Or, si guerre il devait y avoir, ce ne serait pas une guerre civile (c'est-à-dire une guerre interne au peuple français), mais une guerre de Libération nationale, menée par les Français pour libérer la France de ces populations importées par le Système, qui ne veulent pas s'intégrer ni s'assimiler, mais nous intégrer et nous assimiler à « leur » Islam , dont nous ne voulons pas.

    Notre confrère Peroncel-Hugoz l'avait déjà fait remarquer, dans son commentaire du 5 mai 2016, posté sur Lafautearousseau :

    « UNE GUERRE CIVILE SE JOUE PAR DEFINITION ENTRE 2 PARTIES D'UN MEME PEUPLE, PAR EXEMPLE EN ESPAGNE JADIS OU EN SYRIE DE NOS JOURS. EN FRANCE IL EST A CRAINDRE QUE CE SOIT UNE GUERRE FRANCO-ETRANGERE SUR NOTRE SOL ENTRE INDIGENES ET ALLOGENES INSTALLES DANS LA PLACE. C'EST CE QUI SE PASSA AU LIBAN EN 1975-90 LORS DE LA GUERRE DITE A TORT CIVILE CAR ELLE FUT LIBANO-PALESTINIENNE OU SI ON PREFERE MARONITO-ISLAMIQUE . Je le sais, j'y étais ... »

    Précision : Camus n'a pas écrit la fameuse phrase sans cesse citée, mais déformée : « Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde». Dans L'homme révolté, il a écrit : « La logique du révolté est... de s'efforcer au langage clair pour ne pas épaissir le mensonge universel. » Et, dans un essai de 1944, paru dans Poésie 44, (Sur une philosophie de l'expression), il précisait : « Mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde ».

    Pour Camus, bien sûr, « un objet » ce n'est pas « les choses »; c'est un objet philosophique, le réel, ici et maintenant, ce qui tombe sous notre observation, tout ce qui est appréhendable par chacun de nous. 
  • Emeutes à Charlotte : le prisme racialiste des médias français

    Pour ceux qui ont entendu parlé des émeutes dans la ville de Charlotte aux Etats-Unis, opposant une partie de la population aux forces de police, vous aurez sans doute retenu la chose suivante : un noir a été abattu par des policiers alors qu’il ne faisait rien, d’où le déclenchement des émeutes. Cette version est fausse, non pas que ce qui y est dit soit matériellement faux, mais ce qui n’est pas dit change tout.

    Certes l’homme abattu est noir. Mais le policier qui l’a abattu est noir aussi, et le chef de la police locale est noir, ce qui change largement la perspective de l’information. Car bien évidemment, avec une telle précision, on comprend aisément que la couleur du policier comme de la victime n’ont aucun intérêt à être relevé si ce n’est pour désinformer et en faire un acte raciste ce qui n’est pas le cas. Imaginez que le policier fut blanc et l’homme abattu noir, l’évidence raciste sans contestation possible sous peine de révisionnisme aurait été proclamé. Quant à un homme blanc abattu par un policier noir, personne n’en n’aurait parlé.

    Les médias qui font une telle présentation des faits sont racistes et malhonnêtes : peu importe la couleur de l’un ou de l’autre. Il y a un homme qui a été abattu par un policier dans un contexte où les policiers semble avoir la gachette de plus en plus facile dans des Etats où ils ont un quasi droit de tuer. Il s’agit donc d’une problématique sociale et non raciste, n’en déplaise aux médias racistes et maçonniques du système. 

    http://www.medias-presse.info/emeutes-a-charlotte-le-prisme-racialiste-des-medias-francais/61426

  • ça suffit?

    Il venait tout juste de retirer le prix «d’homme politique de l’année» (!)  pour  sa lutte contre  le terrorisme que lui avait décerné en mai dernier la très controversée et étrange association  new-yorkaise Appeal of conscience (« Appel à la conscience ») créée en 1965 par le rabbin Arthur Schneier.  François Hollande, c’est de lui dont il s’agit , n’a pas manqué de justifier la confiance mise en lui. «Je n’ai qu’un seul mot à dire : ça suffit ! », a ainsi clamé le Président de la république mardi  à la tribune de l’ONU. Il visait par son propos le régime laïque syrien,  responsable selon lui de «l’échec du cessez-le-feu conclu sous l’égide des Etats-Unis et la Russie» et  notamment la reprise des combats à Alep pour en chasser les  bouchers de l’Etat islamique. Chacun se renvoie la balle: Moscou avait accusé samedi soir  l’opposition  syrienne dite  modérée, soutenue par les Etats-Unis, d’avoir  fait échouer ce cessez-le-feu.

    Jacques Chirac l’affirmait pour étayer le refus de la France de participer à la seconde guerre contre l’Irak en 2003,  «on exporte pas la démocratie dans un fourgon blindé.» La sentence garde toute sa justesse au moment ou la lutte  de M.  Hollande contre le régime syrien ne se dément pas.  Il n’a eu de cesse  de vouloir éradiquer, à l’instar de l’Arabie saoudite, du Qatar, des Etats-Unis et de ses vassaux atlantistes, le gouvernement en place à Damas.  Depuis l’ONU, Le président le plus impopulaire de la Vème république  a de nouveau dénoncé le soutien de Moscou à Bachar el-Assaddans son combat contre un golem islamiste qui aurait échappé (?) à ses créateurs.

    Hier rapportait Le Monde, lors de  la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU, le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, «a demandé solennellement à la Russie de faire en sorte que l’aviation syrienne soit clouée au sol pour ne plus bombarder l’opposition et les civils et  pour rétablir la crédibilité du processus  diplomatique (…). Montrant du doigt la Russie et la Syrie, M. Kerry a encore qualifié de violation flagrante du droit international le raid de lundi contre un convoi humanitaire de l’ONU (une vingtaine de morts) et celui de mardi soir contre deux ambulances (quatre tués). En réponse, l’ambassadeur syrien, Bachar al-Jaafari, a accusé les Etats-Unis et leurs partenaires de conduire une guerre de propagande immonde, pendant que son pays combat des dizaines de milliers de terroristes ».

    « Impassible devant le Conseil de sécurité,  (le ministre des affaires étrangères russe)  Serguei Lavrov n’a pas fermé la porte à un retour de la trêve mais il a affirmé qu’il  ne pouvait plus y avoir de pause unilatérale  par l’armée du président Bachar al-Assad, accusant l’opposition d’avoir repris les hostilités. Il a également indiqué que les frappes aériennes de lundi méritaient  une enquête profonde et impartiale ».

    Chacun sait que le concept de guerre propre ou de frappes chirurgicales qui épargneraient les civils est un mythe. On se souvient  ainsi du bombardement  par l’US Air Force en octobre  2015 de  l’hôpital de MSF (Médecins sans frontières) de Kunduz en Afghanistan, une «erreur» ( ?) qui elle, avait été révélée au grand public. Autre «bavure», en fin de semaine dernière des avions de la Coalition ont bombardé une position tenue l’armée syrienne Deir Ezzor (nord-est de la Syrie).

    Il y a quatre jours Le Figaro  faisait état de la réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU, «à  la demande de la Russie » pour avoir des éclaircissements sur ce bombardement . Il n’était pas «intentionnel» a expliqué  l’ambassadrice américaine  auprès des Nations Unies Samantha Power. Celle-ci décrite par wikipédia comme une militante  des droits  de l’homme à Harvard et un soutien de longue date de Barack Obama  «s’est livrée ensuite à une violente critique contre Moscou qui a convoqué cette réunion, parlant de moralisme, de mise en scène et de cynisme». Toutes choses dont la diplomatie américaine  ne peut bien évidemment pas être taxée…non ?

    La reprise de  Deir Ezzor est un enjeu hautement stratégique, une ville nous l’évoquions sur ce blogue, où 200 000 Syriens sont  assiégés depuis des mois par l’EI et dans laquelle l’aviation russe a fait parvenir des tonnes de nourritures à la population affamée,  dans les  quartiers contrôlés par les forces armées du gouvernement légal syrien. Une zone  pétrolière où sévissent  notamment des miliciens islamistes de nationalité française et où les terroristes du Front al-Nosra  -ceux qui «font du bon boulot» selon Laurent Fabius- se sont signalés par des attaques  et des attentats  contre les villages et les églises des chrétiens Syriaques.

    La recension de la situation en Syrie est toujours marquée dans les médias Français, à de notables exceptions près, par un fort parti-pris anti Assad et anti russe ce qui n’est pas pour surprendre quand on connait la coloration idéologique des grands groupes financiers qui contrôlent la quasi totalité des canaux d’information. Reste que sous l’effet de la poursuite du conflit, de ses conséquences géopolitiques (terrorisme, invasion migratoire…)   en Europe, et  des éclairages alternatifs auxquels  ont désormais accès les citoyens sur internet et les réseaux sociaux, une vision moins manichéenne  des événements  se fraye (parfois)  un chemin dans les « gros » médias ».    Ce qui ne change pas cependant constate Bruno Gollnisch,  c’est le crédit donné à  l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), officine décrit laconiquement par Le Figaro comme «une ONG installée à Londres et disposant d’informateurs sur le terrain», «une organisation disposant d’un vaste réseau de sources dans le pays en guerre…».

    Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE, rappelait pourtant  que si «le régime syrien résiste à ce mouvement généralisé d’islamisation au prix d’une incompréhension généralisée et de l’opprobre internationale», l’OSDH, «dénomination qui sonne bien aux oreilles occidentales (…)  est devenu la source d’information privilégiée voire unique (des médias) ». Or, «c’est en fait une émanation de l’Association des Frères musulmans et il est dirigé par des militants islamistes dont certains ont été autrefois condamnés pour activisme violent, en particulier son fondateur et premier Président, Monsieur Ryadh el-Maleh. L’OSDH  s’est installé à la fin des années 80 à Londres sous la houlette bienveillante des services anglo-saxons et fonctionne en quasi-totalité sur fonds saoudiens et maintenant qataris.» «Je suis tout de même surpris  que les médias occidentaux et en particulier français, l’utilisent comme source unique sans jamais chercher à recouper ce qui en émane» faisait mine de s’étonner M. Chouet…Un manque de curiosité de la presse française, pour dire les choses poliment,  qui ne se limite certes pas  au conflit syrien.

    http://gollnisch.com/2016/09/22/ca-suffit/

  • L’italienne Tiziana Cantone ou la fatale exhibition !

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    La chronique de Philippe Randa EuroLibertés cliquez ici

    Autrefois, la Justice condamnait parfois un coupable à être exhibé plusieurs heures, voire plusieurs jours, en place publique, attaché à une armature de bois appelée pilori (ou encore plus explicitement nommée alors « échelle patibulaire »). Cette humiliation publique était censée lui faire passer le goût de se mal conduire ; elle était sans doute préférable à d’autres peines plus violentes, sinon définitives : flagellation, bannissement, mutilation, peine de galère ou exécution, le choix des peines était alors bien plus varié qu’à notre époque.

    Cette pratique, pour ce qui est de la France, a été abolie en 1832… vraiment ? On peut en douter depuis l’omniprésence de l’internet dans notre vie quotidienne et plus encore par celle des réseaux sociaux.

    On y est plus facilement encore qu’autrefois, exhibé, non plus sur une simple place localisée, mais désormais sur la planète entière.

    Non seulement, sa vie publique y est connue pour l’éternité – plus sûrement encore qu’inscrit dans quelque marbre que ce soit… Connue, oui, pour ce qu’elle est réellement… ou non : la vérité y côtoie trop souvent le mensonge, l’approximation ou la relation tendancieuse, sans qu’on puisse vraiment y remédier : le temps et les difficultés rencontrés pour supprimer ou corriger une information découragent la plupart des gens concernés.

    Quant à sa vie privée, malheur à ceux qui la voient exposée dans les mêmes conditions : vraie, fausse ou déformée, rien ne la protège davantage, d’autant que bien souvent, par inconscience ou provocation, certains sont directement responsables de leur infortune.

    Ainsi Tiziana Cantone, dont le nom et les déboires défraient la chronique depuis son suicide : s’étant prêtée à des jeux érotiques filmés avec son accord, cette jeune italienne n’imaginait nullement que ses ébats régaleraient ensuite des millions de voyeurs via internet.

    Elle eut beau changer de lieu de résidence et de nom, son visage trop connu et surtout trop reconnu, la clouait partout au pilori des moqueries publiques. Elle a donc fini par se suicider pour échapper à la honte.

    Le monde politique n’est pas resté indifférent à son calvaire… toutefois après qu’elle y a mis fin elle-même si tragiquement : la ministre italienne des réformes constitutionnelles et des relations avec le Parlement, membre du Parti démocrate (centre gauche), Marina Boschi a immédiatement dénoncé les « siècles de violences exercées sur les femmes », oubliant qu’en l’occurrence, la première responsable de son malheur fut Tiziana Cantone elle-même, et bien qu’elle n’ait évidemment pas prévu toutes les conséquences de laisser filmer ses ébats intimes, devenus terribles exhibitions sexuelles.

    Une enquête pour « incitation au suicide » a été ouverte par le procureur d’Aversa-Napoli Nord, ce qui revient à constater que la Justice italienne va peut-être tout bonnement se retourner… contre elle-même !

    Tiziana Cantone avait en effet tenté de faire cesser la diffusion de ses galipettes par voie judiciaire, mais déboutée, c’est elle qui fut condamnée à rembourser 20 000 euros de frais de justice : on ne s’attaque pas impunément à Google, Yahoo, Italia et YouTube, pour ne citer que les plus célèbres des moteurs de recherche. Il fallait que cela se sache ! Avis aux procéduriers imprudents !

    Au burlesque et au drame de cette affaire s’ajoute désormais le ridicule et elle prouve que ce pilori du XXIe siècle sur internet s’avère de fait bien plus redoutable que son ancêtre en bois !

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • A quoi sert l’opération sentinelle ?

    Après les révélations hallucinantes de la commission d’enquête sur les attentats du 13 novembre 2015 et en particulier au Bataclan, on est en droit de s’interroger sur l’intérêt de cette vaste opération sentinelle qui mobilise aujourd’hui 10 000 hommes sur le territoire national.

    Voilà ce que nous dit l’Obs, après écoute des échanges radio entre les autorités et les policiers sur le terrain : « (…) le soir du 13 novembre, à 22h22, sur les ondes de la radio réservées aux policiers chargés de surveiller l’agglomération parisienne. L’un des interlocuteurs est un agent de la brigade anti-criminalité (BAC) arrivé parmi les premiers devant le Bataclan juste après le début de la tuerie.

    Un autre fonctionnaire, un commissaire qui passait devant la salle de spectacle en voiture, est déjà là et a pris l’initiative d’y entrer, arme au poing, et d’ouvrir le feu sur un terroriste qu’il a tué. Mais le policier qui parle à la radio ne peut que sécuriser les abords de la salle de concert, son équipement et son arme ne lui permettent pas de rentrer.

    (…)Les militaires sont au nombre de 8. Eux aussi se sont arrêtés devant le Bataclan en entendant la fusillade, alors qu’ils allaient relayer une équipe chargée de surveiller des bâtiments situés non loin de là. Les militaires n’ont toujours pas le feu vert pour tirer. Les victimes ne seront secourues que plus tard, sans l’aide de l’armée.[....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?A-quoi-sert-l-operation-sentinelle

  • Bombardement US contre les troupes syriennes: « Ils ont achevé les soldats à la mitrailleuse ». « Il y avait accord entre les États-Unis et l’État islamique » – Analyse en vidéo

    Le récit d’un soldat syrien survivant fait froid dans le dos. La coalition américaine a lancé une attaque qui a fait au moins 62 morts et une centaine de blessés, contre l’armée régulière syrienne à Deir ez-Zor, alors que les USA viennent de s’engager à faire respecter une trêve. Les USA plaident l’erreur, mais le témoignage d’un rescapé de l’attaque ne laisse que peu de doute sur l’intention de tuer:

    Un survivant de la « bavure » perpétrée en Syrie par les avions de la coalition internationale témoigne sur Life.ru. Il doute fort que l’attaque menée par les avions de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis fût une erreur :

    les avions ont poussé la barbarie jusqu’à abattre les soldats syriens blessés avec des mitrailleuses. Un avion de reconnaissance a d’abord survolé les positions de l’armée syrienne, peu après des chasseurs ont lancé une attaque, a raconté ce militaire syrien au site Life.ru. « Nous avons pensé que l’avion menait la reconnaissance des positions de Daech. Mais peu après nous avons été attaqués par les chasseurs de la coalition qui ont frappé nos chars, véhicules blindés et pièces d’artillerie. Ils achevaient avec les mitrailleuses nos soldats qui tentaient de se réfugier dans les ruelles. Chaque chasseur a tiré sur nous au moins trois missiles. J’ai vu de mes propres yeux la mort d’environ 100 soldats. Ils ont pilonné nos soldats battant en retraite. Beaucoup ont péri. De nombreux blessés ne pouvaient pas bouger », a-t-il précisé. Aussitôt après le raid aérien, les djihadistes sont partis à l’assaut des positions des militaires syriens.« l’État islamique a attaqué nos positions, nos soldats ont été capturés. J’ai eu l’impression qu’il y avait un accord entre les Etats-Unis et Daech. Les terroristes étaient en liesse, ils tiraient des coups de feu en l’air comme s’ils fêtaient quelque chose », a ajouté le militaire.  «Il ne pouvait y avoir aucune erreur!» (Source

    Des soldats capturés qui vont payer très cher la traîtrise américaine.La colère du Kremlin et les protestations de Damas ont obligé Washington à réagir qui plaide un bombardement « involontaire ». Le spécialiste de la Syrie, Bassam Tahhan, explique pourquoi cette explication ne tient pas la route, dans la vidéo ci-après.

    Lire la suite

  • Russes et Syriens accusent la coalition internationale d’avoir frappé l’armée syrienne

    Entré en vigueur depuis cinq jours, le cessez-le-feu mis sur pied par les Etats-Unis et la Russie en Syrie semble de plus en plus fragile, après que Moscou et Damas ont accusé samedi 17 septembre la coalition internationale conduite par les Etats-Unis de frappes contre une position de l’armée syrienne dans l’est du pays. Dans la soirée, la coalition internationale a admis avoir bombardé ce qu’elle pensait être une position du groupe Etat islamique (EI) en Syrie.

    « Des avions de la coalition internationale antidjihadiste ont mené aujourd’hui quatre frappes aériennes contre les forces syriennes encerclées par le groupe Etat islamique (EI) près de l’aérodrome de Deir Ezzor », a indiqué le ministère russe de la défense dans un communiqué, précisant que plus de soixante soldats syriens avaient été tués. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), cette organisation qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie, les raids aériens ont tué au moins 80 soldats du régime syrien.

    De son côté, la coalition internationale a indiqué samedi avoir bombardé ce qu’elle pensait être une position de combat djihadiste en Syrie, mais avoir mis fin à cette opération dès que Moscou l’a prévenue qu’il s’agissait peut-être de militaires syriens. « Les forces de la coalition pensaient qu’elles frappaient une position de combat de l’EI qu’elles suivaient depuis un certain temps avant le bombardement », précise un communiqué.

    Jusqu’à ces frappes, si ni Moscou, ni Washington n’avaient formellement prolongé la trêve dans la nuit de vendredi à samedi, les deux pays affichaient leur volonté de le faire, en dépit des violations (près de 200, selon l’armée russe), tout en s’accusant mutuellement de ne pas faire en sorte que leurs alliés - le régime de Damas pour les Russes, les groupes rebelles modérés pour les Etats-Unis - appliquent l’accord à la lettre. [....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Russes-et-Syriens-accusent-la

  • Le traitement de la radicalisation : le gouvernement en flagrant échec

    Le copinage ne fait pas tout :

    "Composez le numéro Vert, connectez-vous sur Stop djihadisme, et nos équipes de psychologues, juristes, criminologues, éducateurs spécialisés, vous épauleront et vous accompagneront dans cette épreuve difficile. Vous n'êtes pas seuls. Dounia Bouzar dirigeait le Centre de prévention des dérives sectaires liées à l'islam (CPDSI). Elle a mis fin à sa mission en avril 2016, officiellement pour marquer son désaccord avec le gouvernement au moment du débat sur la déchéance de nationalité. Omniprésente sur les plateaux de télévision, dans les studios de radio, adulée autant que critiquée sur la pertinence et l'efficacité de sa méthode, on ne peut cependant pas lui reprocher de ne pas avoir travaillé, testé et défriché une matière que personne ne connaissait, et de ne pas avoir fait ce qu'elle pouvait avec les moyens dont elle disposait.

    Julien Revial, lui, a travaillé un an dans l'autre structure «référence», avec Sonia Imloul au sein de la Maison de la prévention et de la famille. Il a rapporté de cette expérience un témoignage aussi étourdissant qu'accablant, publié par les éditions Michalon*. C'est un peu Candide au pays de la déradicalisation. Souvent drôle, mais aussi glaçant. Car on se rend compte, à la lecture de ce journal de bord, que l'on a confié une partie d'une mission essentielle pour la sécurité nationale à une bande de Pieds Nickelés, peu scrupuleux et parfois carrément malhonnêtes. Tout ça pour quoi ? Pour cacher la misère, colmater avec des rustines. Mais en communiquant. Ça, pour communiquer, on a communiqué".

    Lahire http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pendant les assassinats, l’invasion continue

    Que nous disent les rapports de l’OFPRA et de la CNDA pour l’année 2015 ?

    ♦ André Posokhow, consultant Polémia, nous en donne l’analyse.

    L’actualité est dévastatrice : attentats meurtriers, invasion de l’Europe, progression de l’islamisation dans notre pays, guerre au Moyen-Orient, réactivation du front en Libye, discrédit de gouvernants accrochés à leur poste comme des moules à leur rocher. On pourrait penser que ces événements perturberaient la marche ronronnante de nos administrations en charge de l’immigration et de la gestion du droit d’asile.

    Tel n’est pas le cas.

    Développement de l’activité, accroissement des moyens, complicité affective avec l’invasion allogène et autosatisfaction ressortent de la lecture des rapports pour l’année 2015 de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).

    L’année 2015 a vu une forte poussée des demandes d’asile et une hausse du taux de décisions favorables

    Alors que le niveau de la demande d’asile s’était stabilisé, l’année 2015 a connu une reprise : 80.075 demandes d’asile (mineurs inclus) ont été déposées, soit une hausse de 23,6%. Celle-ci résulte pour l’essentiel du contexte de crise de l’asile que connaît l’Europe depuis la mi-2015.

    Elle correspond pour une bonne part à une démarche en faveur de l’asile à Calais (près de 2.500 demandes enregistrées pendant l’année à l’Ofpra) et en faveur des personnes mises à l’abri depuis les campements parisiens (plus de 5.000 personnes). On constate ainsi une soumission de cette administration à la politique du fait accompli et de l’occupation spontanée, pratiquée par les migrants et les associations qui les conseillent.

    De même la CNDA a connu, en 2015, une période d’intense activité avec 38.674 recours enregistrés.

    L’Ofpra se targue d’un taux de « protection », c’est-à-dire du nombre de décisions favorables (nous sommes en pleine novlangue), passé de 12,8% en 2013 à 22,9% en 2015.

    Au final, 26.818 personnes ont été « protégées » en 2015 et ce sont 206.172 personnes (à peu près l’équivalent de la ville de Rennes) qui sont estimées être sous « protection » de l’Ofpra (hors mineurs accompagnants) au 31/12/ 2015. Rassurez-vous il ne s’agit pas des Français que l’on massacre.

    La clientèle : des réfugiés ou des migrants ?

    Toute personne qui sollicite l’asile en France peut obtenir l’une ou l’autre des deux formes de protection, la seconde étant une extension de la première.

    – le statut de réfugié reconnu, conformément à l’article L. 711-1 du CESEDA :

    • en application de la Convention de Genève du 28 juillet 1951 qui définit le réfugié comme « toute personne (…) craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques,…  » ;
    • en application du préambule de la Constitution, « à toute personne persécutée en raison de son action en faveur de la liberté » ;

    – la protection subsidiaire conformément à l’article L.712-1 du CESEDA est octroyée à la personne qui ne remplit pas les critères ci-dessus mais qui établit « qu’elle est exposée dans son pays à la peine de mort, à la torture ou à des peines ou traitements inhumains ou dégradants, ou, s’agissant d’un civil, à une menace grave, directe et individuelle contre sa vie ou sa personne en raison d’une violence généralisée résultant d’une situation de conflit armé interne ou international ».

    On assiste ainsi à un élargissement voire une dérive illimitée de l’ouverture du droit d’asile. Quelques exemples de profil trouvés dans le rapport de l’Ofpra le montrent aisément :

    – SOUDAN : 5.115 dossiers. La demande soudanaise est devenue pour la première fois le premier flux des demandes déposées en France en 2015. Elle s’exprime dans sa grande majorité par des personnes d’origine africaine du Darfour, qui fondent leur demande de protection sur leur origine ethnique. Peu de personnes invoquent un engagement personnel au sein de mouvements rebelles ;

    – PAKISTAN : 1.842 dossiers. L’actualité n’a que peu d’incidence sur les motifs des demandes : problématiques concernant des unions contrariées ayant pour origine la différence de confession ou une mésentente entre familles, auxquelles se greffe fréquemment un fond de divergence politique ; conflits fonciers, parfois en lien avec l’appartenance confessionnelle ; tentatives de recrutement forcé de la part de mouvances fondamentalistes ;
    – SÉNÉGAL : 393 dossiers. Les problématiques sociétales représentent l’essentiel de la demande d’asile. De nombreuses demandes sont fondées sur un risque de mutilation génitale féminine, d’un mariage forcé ou des craintes liées à l’orientation sexuelle du demandeur d’asile.

    Cet élargissement va plus loin avec la prise en compte des Mineurs isolés étrangers (MIE) dont Polémia (*) a déjà rendu compte et qui prend une extension inquiétante, et surtout de l’orientation sexuelle, motif le plus fréquemment invoqué dans le cas du Cameroun, qui constitue pour la CNDA, organisme très proche du Conseil d’Etat, un thème de prédilection.

    Comme disait le président Pompidou : « Lorsque les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites ». C’est le cas aujourd’hui et nous voyons s’immiscer et s’imposer les concepts de réfugié économique et surtout de réfugié climatique et environnemental particulièrement prôné par François Gemenne qui se présente comme un géopoliticien du changement climatique et est surtout un propagandiste de l’invasion migratoire dans les pays civilisés.

    L’Ofpra et la CNDA représentent un ensemble juridico-administratif considérable

    Les deux organismes regroupent plus de 1.000 personnes sur plusieurs sites, effectif en constante augmentation : 575 agents pour l’Ofpra, 363 agents, 15 magistrats et 246 vacataires ou assesseurs pour la CNDA. Celle-ci s’enorgueillit d’être la première juridiction administrative de France en nombre de décisions rendues.

    Le budget global des deux organismes s’élève à environ 57M€. Il faut souligner que la CNDA est rattachée administrativement et budgétairement au Conseil d’Etat dont Jean Louis Harouel dit qu’il a trahi le peuple français au nom de la religion des droits de l’homme en revenant à une «  prêtrise judiciaire » et qui vient de se distinguer dans l’affaire du burkini.

    Le bureau d’aide juridictionnelle de la CNDA a enregistré 29.181 demandes d’aide juridictionnelle. Ce nombre est en hausse constante et importante depuis plusieurs années.

    La loi sur le droit d’asile a institué, devant la CNDA, une aide juridictionnelle de plein droit, sauf si le recours est manifestement irrecevable.

    Le taux d’assistance des requérants par un avocat est en augmentation constante et c’est un millier d’avocats qui se constituent annuellement devant la Cour dans des conditions particulièrement profitables.

    Une particularité de la Cour est de mettre gratuitement à la disposition du requérant, pour l’assister à l’audience, un interprète. Les requérants étant essentiellement non francophones, plus de 320 interprètes assermentés, extérieurs à la Cour, sont intervenus cette année. Ils ont assuré 12.500 vacations dans 120 langues avec des variantes régionales. Les langues lingala, albanaise, bengalie, tamoule, arménienne et peule ont été principalement demandées. Il en va de même à l’Ofpra où 83% des auditions, soit 40.000 auditions des demandeurs, ont été réalisées à l’aide d’interprètes.

    Cette situation est démente. Au nom de principes de l’asile bafoués de manière permanente par des « réfugiés » qui sont pour la plupart des demandeurs économiques, on immobilise plus de 1.000 agents de statuts divers et des sommes importantes sont engagées pour maintenir en permanence ouverte une porte aux flots de l’invasion.

    L’Ofpra et la CNDA ont en charge la préparation et la mise en œuvre de la loi sur le droit d’asile du 29 juillet 2015

    La loi asile de juillet 2015 confère de nouveaux droits aux demandeurs d’asile :

    -systématisation de l’entretien dans le cadre de l’instruction de la première demande ;
    -faculté pour le demandeur d’être accompagné par un avocat ou un représentant d’association. La liste de celles-ci figure sur le site de l’Office ;
    -enregistrement sonore de l’entretien ;
    -communication de la transcription de l’entretien ;
    -identification des vulnérabilités ;
    -possibilité de l’utilisation de la vidéoconférence.

    Que de droits supplémentaires et de moyens offerts au demandeur qui est plus considéré comme un créancier au moins moral que comme le quémandeur d’un séjour dans un pays qui n’est pas le sien ! On n’est pas certain que les identitaires arrêtés lors de manifestations aient eu droit à autant d’égards.

    Mieux : la préfecture peut décider du placement en procédure accélérée lorsque le demandeur :

    -refuse de se conformer à la prise des empreintes digitales ;
    -a présenté de faux documents ou a dissimulé des informations relatives à son identité, sa nationalité ou ses modalités d’entrée en France ;
    -s’est présenté à la préfecture en vue de faire enregistrer une demande d’asile plus de 120 jours après la date de son entrée en France ;
    -la demande d’asile n’est présentée qu’en vue de faire échec à une mesure d’éloignement ;
    -la présence en France du demandeur constitue une menace grave pour l’ordre public, la sécurité publique ou la sûreté de l’Etat.

    Non mais on rêve, on cauchemarde ! Voilà des allogènes qui ont la chance de pouvoir entrer dans le pays d’une des plus grandes civilisations du globe, qui mentent, trichent, se rebellent ou constituent une menace et la seule sanction pourrait être une procédure accélérée ! Mais ce que nous proposons à Polémia, et nous ne sommes pas les seuls, c’est de les reconduire aux frontières de leur interdire à jamais l’accès au dispositif de l’asile et, si nécessaire, de les sanctionner voire les incarcérer, dans l’attente d’une expulsion !

    La durée moyenne de traitement des premières demandes a un peu baissé et est de 265 jours en moyenne, soit près de 9 mois. Les demandes peuvent faire l’objet de contentieux devant la CNDA, le Conseil d’Etat, la Cour de justice de l’UE, la Cour européenne des droits de l’homme. Le délai moyen des jugements de la CNDA est d’environ 7 mois.

    Tout cela est long, dispendieux et ne peut que contribuer à encombrer un dispositif déjà engorgé et souvent dénoncé par Eric Ciotti. Tout le système est à réformer et changer de fond en comble. Il ne s’agit pas ici de préparer des textes de loi mais il n’est pas interdit de formuler quelques propositions de base :

    -abolir la loi socialo-gauchiste sur l’asile du 29 juillet 2015 ;
    -considérer que les demandeurs d’asile se doivent d’être modestes, respectueux de nos lois et de nos usages et en cas de « protection » présents sur notre sol d’une manière temporaire ;
    -instruire les demandes dans nos consulats installés dans le pays d’origine du demandeur ;
    -supprimer les pompes aspirantes sociales accordées aux demandeurs d’asile ;
    -suppression de la CNDA et déjudiciarisation de la procédure ;
    -modification profonde de la composition de l’Ofpra.

    L’Ofpra et la CNDA sont-ils des organismes administratifs français ou des officines immigrationnistes ?

    Affirmer que l’Ofpra et la CNDA ne sont que des officines immigrationnistes ne correspondrait pas complètement à la réalité. Ces organismes effectuent un travail considérable et difficile en application de lois qu’ils ne font pas, même s’il leur arrive de les inspirer quelque peu. Le taux d’admission est de moins du quart des demandes. Ils n’ouvrent pas la porte grande ouverte.

    Cependant, cette porte, ils se gardent bien de la fermer malgré le raz-de-marée migratoire. C’est surtout l’état d’esprit de ces deux maisons, fortement influencées par le Conseil d’Etat et leur action en dehors de la routine des instructions individuelles qui montrent que la protection du sol et des citoyens français n’est pas leur souci majeur.

    Donnons quelques exemples parmi d’autres :

    • L’Ofpra a, en 2015, effectué 5 missions au Liban, en Egypte et en Jordanie pour protéger 1.000 personnes signalées par le HCR comme se trouvant en particulière vulnérabilité. Ce dispositif leur permet de gagner l’Europe sans perdre la vie. En l’occurrence l’Ofpra n’agit pas comme une barrière sévère et néanmoins bienveillante, mais va chercher les migrants outre-mer. Ce n’est plus la même chose !
    • Selon le rapport de l’Ofpra, celui-ci a contribué, avec ses partenaires institutionnels et associatifs, à installer durablement une culture de l’asile à Calais et également à la Grande-Synthe et dans les campements parisiens. En d’autres termes, allié des associations immigrationnistes, l’Ofpra, organisme administratif français, se place du côté de clandestins pour pérenniser une intrusion.
    • Toutes les opérations de communication, et elles sont nombreuses, sont menées dans un état d’esprit favorable aux migrants et à l’immigration.

    En définitive, les rapports de l’Ofpra et de la CNDA montrent que, si ces deux organismes administratifs ne se veulent pas complètement étrangers à la protection des frontières de notre pays et la protection de nos concitoyens, ils placent ces objectifs loin derrière les intérêts des demandeurs d’asile et l’idéologie multiculturaliste du globalisme.

     A ce titre et par leur état d’esprit que reflètent leurs actions de communication, ils constituent un vecteur efficace de l’immigrationnisme bien au-delà de leur mission juridico-administrative.

     Le directeur général de l’Ofpra dans la conclusion du rapport de 2015 a souhaité affirmer que : « L’Ofpra entend rester plus que jamais mobilisé en 2016 au service des demandeurs d’asile et des réfugiés, au côté de ses partenaires et dans le plus absolu respect de son indépendance de décision désormais consacrée par la loi ».

     Cette affirmation d’indépendance de la part d’un organisme administratif apparaît particulièrement choquante et, pour le coup, contraire, non pas aux valeurs de la République dont on nous rebat les oreilles, mais à ses principes fondamentaux de subordination de l’administration au politique et surtout au peuple français qui est bien oublié dans cette affaire.

     André Posokhow Consultant Polémia 9/09/2016

    Note : La rumeur du 9-3 : la preuve par les mineurs isolés étrangers (17/04/2014)

    http://www.polemia.com/pendant-les-assassinats-linvasion-continue/