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insécurité - Page 775

  • Le chanteur Goldofaf agressé à coups de marteau par 5 antifas

    Avant-hier soir, à la terrasse d’un café du XVème arrondissement de Paris, le rappeur nationaliste Goldofaf a été violemment agressé par derrière par cinq nervis antifascistes. Les agresseurs étaient armés de marteaux et de matraques. Goldofaf devait, comme chaque année, participer au Pèlerinage de Pentecôte qui a débuté ce matin…

    agression-goldo-13mai2016

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  • Guerre en Syrie : un conflit appelé à durer ?

    PARIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Nous nous étions réjouis de la nouvelle de la récupération de Palmyre par les troupes syriennes. Voilà qu’hier, on apprend que Palmyre est encerclée de toute part par Daesh. Ce conflit terrible, qui a déjà fait plus de 260 000 morts, semble donc ne jamais devoir s’arrêter.

    Mais quel est donc l’état actuel du conflit ? Il faut savoir quels sont les principaux belligérants. La Syrie d’el‑Assad doit faire face à l’Etat islamique, mais aussi aux opposants à son régime, bénignement appelés « rebelles », qui sont souvent des dérivés d’Al‑Nosra et Al‑Qaeda. Daesh, ou état islamique on l’a compris, est l’ennemi de tout le monde. Assad est quant à lui soutenu par ses alliées, à savoir la Russie, l’Irak, l’Iran et le Liban. Les autres ennemis de Daesh, ce sont la coalition US, qui rassemble les pays européens dont la France et les pays du golfe. Cette coalition frappe Daesh, mais soutient aussi les rebelles.

    On comprend donc mieux pourquoi l’armée syrienne peine face à Daesh. « Cela fait cinq ans que le peuple syrien meurt » s’écrit Riad Hijab coordinateur de l’opposition, « Nous voulons des actes, et non plus des paroles, de la part de nos amis ». La complexité de ce conflit, dû à la multiplication toujours croissante du nombre d’acteurs, prolonge le conflit, et donc le nombre de morts et de destructions de villes.

    Pour illustrer le coup de poignard dans le dos que représentent les rebelles, il suffit de regarder les nouvelles d’hier. Un raid rebelle a tué plusieurs soldats de l’armée syrienne et enlevé des civils ; à Alep, les combats ont repris entre armée syrienne et rebelles et cela malgré la trêve.

    « Ma priorité est de régler cette crise à travers un dialogue politique » a annoncé hier le secrétaire général des Nations unies. Néanmoins, résoudre ce conflit « pourrait prendre du temps », a‑t‑il ajouté. Vladimir Poutine a pourtant dû essuyer le refus d’ajouter sur la liste noire de l’ONU certains groupes rebelles. Le paradoxe de la position américaine est saisissant.

  • Allemagne : 369 signalements de terroristes parmi les migrants

    Voilà une information qui va affaiblir encore un peu plus la chancelière Angela Merkel. Mercredi, les médias allemands relayaient une information de la police fédérale (BKA), selon laquelle 369 signalements de terroristes potentiels avaient été reçus à ce jour, concernant des immigrants arrivés depuis l’été dernier. Sur ce nombre, 40 font actuellement l’objet d’une enquête. « Les services de sécurité allemands ont des informations qui permettent de penser que des membres et sympathisants d’organisations terroristes infiltrent les groupes de migrants de manière ciblée et organisée, dans le but de conduire des attaques en Allemagne », a expliqué un porte-parole de la police fédérale.

    Certains signalements de terroristes potentiels proviennent de demandeurs d’asile résidant dans les camps de réfugiés. Environ 60 % des immigrants arrivés depuis l’année dernière en Italie n’avaient pas de passeport ni aucun document permettant de les identifier, ce qui a grandement facilité l’infiltration de djihadistes de l’Etat islamique.

    Même certains leaders de la CDU d’Angela Merkel reconnaissent désormais le grave impact sur la sécurité nationale de l’accueil inconsidéré de ces immigrants clandestins majoritairement musulmans. Ainsi Wolfgang Bosbach, président de la commission des affaires intérieure du Bundestag, a prévenu après les révélations de la police fédérale : « Nous devons traiter les répercussions pour la sécurité très, très sérieusement, (…) les dramatiques attaques à Paris et Bruxelles nous avaient déjà fait prendre conscience de cela. »

    En janvier déjà, la police allemande avait parlé de « migrants » suspectés d’être des terroristes islamiques, mais ses chiffres étaient moitié moindres (213 signalements et 18 enquêtes en cours). Après l’annonce des nouveaux chiffres, la gauche a réagi, comme on pouvait s’y attendre, en appelant à éviter tout alarmisme. Mais il semble que les Allemands se laissent de moins en moins prendre à la propagande des grands partis politiques et des médias. Un nouveau sondage publié jeudi pour Infratest Dimap montre que 60 % des Allemands sont désormais d’accord avec le parti anti-immigration AfD sur le fait que l’islam ne fait pas partie de l’Allemagne, contre seulement 34 % qui estiment le contraire, comme la chancelière.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent n° 8608 daté du 14 mai 2016

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  • Livres & Actualité • Éric Zemmour : Terrorisme et vieilles recettes

    Un expert en stratégie dénonce avec pertinence les insuffisances dans la réponse des autorités. Mais son réquisitoire tourne vite à la sérénade bien-pensante. Tel est du moins le point de vue qu'expose Eric Zemmour dans cette excellente recension du livre que publie François Heisbourg. LFAR 

    Il faut se méfier des experts. Pas seulement pour le style, souvent ampoulé et pédant. Mais leur science, incontestable, dans leur domaine d'excellence, les persuade qu'ils ont la même légitimité sur un terrain plus politique. Ils confondent science et idéologie et croient qu'ils assènent des connaissances alors qu'ils ne font que défendre des convictions.

    François Heisbourg n'est pas n'importe qui. Il est conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique; préside l'International Institute for Strategic Studies de Londres et le Centre de politique de sécurité de Genève. Il a participé à la rédaction des livres blancs sur la défense pour les trois derniers présidents de la République. Quand il aborde les attentats qui ont ensanglanté Paris en 2015, notre auteur sait de quoi il parle. La raison sans doute pour laquelle il parle aussi de ce qu'il ne veut pas savoir. François Heisbourg n'a pas l'habitude qu'on lui dise non. Il ne s'est visiblement pas remis du refus - par Manuel Valls - de convoquer une commission nationale - à l'exemple des Américains après le 11 septembre 2001 - pour tirer les leçons des attentats. Il a décidé de tenir sa convention nationale à lui tout seul. D'où ce livre.

    Son texte est bref, concis, efficace. Découpé sur le modèle des dix commandements, transformés en dix erreurs à éviter. Erreurs dont on a déjà commis la plupart ! Erreurs d'anticipation et de réaction. Il reproche ainsi à Sarkozy la fusion de la DST et des RG, qui a dépouillé notre police de ses informateurs de proximité. Il oublie seulement qu'il est plus facile pour un policier français d'infiltrer un parti politique ou un groupuscule gauchiste qu'une mouvance islamique qui repose sur les liens des fratries et de la religion.

    L'assaut à Saint-Denis qui a suivi l'attentat du 13 novembre lui paraît disproportionné. Cela a pourtant tué dans l'œuf un autre massacre prévu.

    Et puis notre expert passe de la pratique à la théorie, des actes aux mots. Comment nommer l'ennemi ? Califat ou Daech. Heisbourg félicite Hollande de parler de Daech car « c'est le nom que Daech déteste ». Notre spécialiste ne se demande pas pourquoi on interdirait aux djihadistes - avec un mépris gourmet - l'autoproclamation d'un califat alors que notre propre Histoire regorge d'autoproclamations comme la déclaration d'indépendance américaine ou la République française de 1792. Dans la foulée, Heisbourg comme d'autres glosent sur le concept de « guerre » employé à foison par nos gouvernants. C'est alors que notre expert découvre ce qui est tu ou nié : « Bombarder Raqqa dans le cadre de la guerre contre Daech est une chose, mais quid de Molenbeek ou du « 93 » ? Y faire la guerre au sens militaire du terme - armée contre armée - serait absurde ; mais cela est pourtant implicite dans le discours non métaphorique sur la guerre à Daech puisque les forces que celui-ci lance contre nous sont « de chez nous » et frappent chez nous. La guerre serait donc aussi une guerre civile ? »

    Le livre alors change d'âme. Affolé par sa découverte, l'expert se mue en prédicateur. Aucun poncif, aucun lieu commun sur la France des Lumières et des droits de l'homme ne nous seront épargnés. L'esprit du padamalgam règne en maître sur notre maître.

    Heisbourg en appelle à l'esprit de la Résistance pour mieux renouer avec les réflexes pacifistes de la politique « d'apaisement » qui menèrent à la collaboration.

    La déchéance de nationalité promise aux djihadistes binationaux (à laquelle Hollande a dû renoncer) provoque l'ire de notre auteur. Tous les habituels arguments de la bien-pensance sont ressassés. Il n'est pas venu à l'idée de notre expert que si l'égalité sacro-sainte était bien rompue, c'était au bénéfice des binationaux qui ont deux nationalités. Abondance de biens ne nuit pas. Si une égalité devait être rétablie en ces temps de nécessaire rassemblement national contre l'ennemi, ce serait plutôt par la suppression de la binationalité qui obligerait chacun à choisir : partager le destin français ou pas.

    Heisbourg ridiculise l'éventuel rétablissement des frontières parce qu'on peut toujours les passer. Mais alors pourquoi interdire le vol et le meurtre puisqu'on peut toujours transgresser ces lois en volant ou en tuant ?

    Il condamne la « dérive » de l'état d'urgence au nom de l'État de droit. Et si c'étaient les dérives laxistes de l'État de droit qui avaient conduit à notre tragique situation ?

    Il reprend sans aucune distance l'antienne convenue sur « les discriminations au logement et à l'embauche » qui alimentent le « vivier de Daech ». Il est vrai que les millions de Français « de souche » qui végètent dans le périurbain deviennent tous trafiquants de drogue puis djihadistes, qu'Oussama Ben Laden était miséreux et que les frères Kouachi n'avaient pas bénéficié de tous les généreux bienfaits de la République sociale…

    « Ce seront toujours les peaux mates qui appelleront les contrôles d'identité un peu virils, les portes des maisons mal situées qui seront forcées à coups de bélier. » On croit entendre le refrain de la chanson parodique de Coluche : « Misère, misère, pourquoi t'acharnes-tu toujours sur les pauvres gens ? »

    Il nous explique avec des accents apocalyptiques que l'échec de Schengen serait un « retour à l'Europe d'avant l'Union européenne et une belle victoire pour les djihadistes qui ne rêvent que de nous voir renier nos valeurs et revenir sur nos réalisations ». On ignorait qu'Oussama Ben Laden avait fait campagne pour le non à Maastricht !

    Il refuse de voir que l'Union européenne est un handicap dans la lutte contre nos ennemis puisqu'elle a laminé les souverainetés nationales sans forger une souveraineté européenne.

    Mais il est temps de conclure, impérieux et grandiloquent : « L'Histoire jugera durement ceux qui choisiront de persister dans l'incompétence et le contresens. » François Heisbourg a raison : l'Histoire jugera durement ceux qui ont choisi de persister dans l'aveuglément et le déni de réalité… 

    Comment perdre la guerre contre le terrorisme. François Heisbourg. Stock. 119p., 15 €.

    Eric Zemmour     

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 2/3

  • Terrorisme : Présomption républicaine

    La république est présomptueuse. Elle pense déradicaliser les terroristes potentiels. Cela a été annoncé à grand renfort de trompes médiatiques.

    Radical, déradicalisation : c’est, au sens étymologique, arracher les racines. La question se pose donc de savoir si les intéressés ont des racines, ce dont on peut douter. Nés en France pour la plupart, ils s’inventent  en réalité des racines qu’ils supposent être celles de leur origine ethnoculturelle. En revanche leur structure psychologique est simpliste : une dose de fascination pour la violence, beaucoup de frustration, une eschatologie vague sur le retour du califat et l’illusion qu’ils se déterminent seuls alors qu’ils sont le jouet des puissances du théâtre de la guerre en Syrie : Turquie, Qatar et Arabie saoudite. Mais ils sont aussi le jouet des puissances occidentales qui sont allées chercher au Proche-Orient des succès militaires aventureux pour détourner l’attention sur leurs problèmes internes. Il suffit de considérer la gourmandise avec laquelle notre président de la République s’est emparé des attentats de 2015. Enfin, le terroriste potentiel se sent «  autre », étranger au pays où il est né : le rejet de l’altérité non islamique va chez lui jusqu’à la névrose.

    Echec prévisible

    Le résultat est prévisible : la « déradicalisation » sera un échec. On peut cesser d’être djihadiste, on peut difficilement modifier sa façon de l’être. La taqyia aidant, les  « travailleurs sociaux » créés à cette fin seront dupes de la dissimulation. D’ailleurs, nos radicaux  «  indigènes » ne le sont-ils pas toujours ? Voyez Jean-Marc Rouillan. L’assassin d’Action directe a déclaré que les petits gars du Bataclan avaient bien travaillé mais qu’ils auraient pu faire mieux… Nous ne savons pas si ce sinistre personnage, qui était en liberté surveillée, est retourné en prison. Dans son cas, on aurait tendance à soupçonner les juges de quelque indulgence. Car la vraie question est là. La déradicalisation étant vouée à l’échec, il faut incarcérer ou expulser. Seulement, les juges si prompts à traquer des arrière-pensées racistes chez le péquin lambda, ne peuvent agir contre les terroristes islamistes qu’en cas de passage à l’acte. Et pourtant, imaginons, ce qu’à Dieu ne plaise, qu’un militant d’extrême droite soit soupçonné de radicalisation… Pas besoin d’être Jérémie comme disait ce cher Brassens pour deviner le sort qui lui serait réservé !

    Impuissance du catéchisme républicain

    Nous baignons ainsi dans la plus totale hypocrisie. La marâtre républicaine a ses chouchous. Elle va servir à ces graines de radicaux un prêchi prêcha sur les fameuses mais introuvables valeurs de la république ! Catéchisme bien pauvre qui, précisément, sera de nature à renforcer leur radicalité puisque c’est justement ce moralisme à deux sous qui les révulse.

    En plus, le terrorisme étant totalement décentralisé, ses acteurs agissent de façon indépendante, aléatoire voire improvisée. Ils ne sont pas des soldats ou des militants d’un parti, construits sur la rationalité de la guerre idéologique ou militaire.  Inutile de vouloir les «  retourner » ou les «  convertir ». Les chances de conversion sont d’autant plus minces que la République n’a, en ce domaine, absolument pas les moyens de ses ambitions. Son corpus idéologique, proposé comme prix de la conversion, est trop faible, trop léger.

     Il reste une solution, mais celle-là n’appartient pas à la République. C’est la conversion de Dismas, le bon larron, au Golgotha : «  Ce soir tu seras avec moi en paradis ! ». Ce paradis n’est certes pas celui du Coran. Quant au paradis terrestre socialiste et républicain, nous avons déjà donné pour les lendemains qui chantent…   

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  • Les réfugiés chrétiens persécutés par les musulmans : cela se passe en Europe !

    Persécutés au Moyen-Orient, les chrétiens orientaux qui fuient les massacres, les réductions à l’esclavage et les égorgements des fous d’Allah, des combattants au drapeau noir ne trouvent pas la paix en Europe ! Ils se retrouvent soumis aux persécutions, moins meurtrières, mais persécutions tout de même, dans les fameux camps de « réfugiés » contrôlés et habités en majorité par les mahométans. !

    Insultes, vexations, coups, menaces de mort, 90% des réfugiés chrétiens y sont confrontés dans les centres d’hébergement et d’accueil, selon une enquête menée en Allemagne par l’ONG Open Doors Germany qui a présenté un rapport à Berlin au titre significatif :« Persécutions des chrétiens en Allemagne ». Les différentes associations de défense des droits humains parlent de 40 000 réfugiés chrétiens soumis aux persécutions dans les camps. Selon le responsable de l’association, Markus Rode, ces chiffres ne sont que « la pointe émergée de l’iceberg ».

    Parmi les épisodes cités, celui des chrétiens qui ont refusé de prendre part à des prières collectives imposées par les musulmans dans les centres  ont été menacés.  Selon Paulus Kurt du Centre allemand pour les Chrétiens d’Orient, certaines familles ont décidé de repartir dans leur pays d’origine à cause de ces persécutions actives en Europe. Et d’après, Karl Hafen ,de l’International Society for Human Rights, des chrétiens qui ont fui l’État islamique à Raqqa, ont retrouvé leurs persécuteurs syriens à l’intérieur des camps de réfugiés.

    Malheureusement, à cause des autorités politiques et religieuses qui veulent imposer aux peuples européens le Grand Remplacement au nom d’une nouvelle humanité plus belle, plus bonne, plus tout, ces persécutions systématiques de chrétiens par les musulmans, non plus en terre d’Islam mais en terre chrétienne, sont trop souvent enterrées. 

    Pourtant c’est une véritable persécution des chrétiens orientaux qui existe bel et bien dans les camps de réfugiés en Allemagne et certainement dans tous les centre d’accueil disséminés dans toute l’Europe.  Mais le dire, l’écrire, en parler, c’est porter atteinte au bien-fondé de l’idéologie multi-culturaliste, multi-religieuse, multi-ethnique défendue par tous les humanitaristes et philanthropes modernes, pape François en tête…

    Les utopies sont terribles !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.occhidellaguerra.it/germania-profughi-cristiani-perseguitati-nei-campi/

    http://www.secoloditalia.it/2016/05/i-profughi-musulmani-fanno-violenze-sui-profughi-cristiani-allarme/

    http://www.dw.com/en/german-activists-decry-attacks-on-christian-refugees-in-asylum-centers/a-19244927

    http://www.medias-presse.info/les-refugies-chretiens-persecutes-par-les-musulmans-cela-se-passe-en-europe/54246

  • Général Pinard-Legry : « Il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis »

    MINUTE-2770-Couv.jpegLe général Henry Pinard-Legry, interviewé par l’hebdomadaire Minute sur les attaques répétées contre les militaires français sur leur propre sol, estime qu’« il faut traiter les agresseurs de soldats en ennemis », et non pas comme des criminels de droit commun – quand ils ne sont pas déclarés « irresponsables au moment des faits » comme l’islamiste qui avait tenté d’égorger un militaire à La Défense.

    Extrait de cet entretien avec le président de l’Association de soutien à l’armée française (Asaf) :

    « Minute » : Les agressions contre des militaires se multiplient. Quelle est votre réaction ?

    Général Henri Pinard-Legry : Sur le fond, c’est logique qu’on s’en prenne aux soldats de l’opération Sentinelle. Certains partent en Syrie et en Irak, d’autres s’attaquent à des soldats français en mission sur le territoire national.

    Le vrai problème est le suivant. Les agresseurs de soldats seront jugés pour coups et blessures, comme n’importe quel voyou. Pourtant, il faut les traiter comme des ennemis, puisque nous sommes en guerre. Mais, comme il n’y a pas eu de déclaration de guerre, on ne peut pas les juger dans le cadre d’un tribunal spécial comme collaborateur, par exemple. On a en face de nous un ennemi qui agit en ennemi. Il faut donc un traitement et un cadre juridique adapté.

    Pour les soldats, quelle riposte est possible ?

    Cette question pose le problème des conditions d’emploi des armées sur le territoire national et des limites de l’utilité de la présence des militaires. Sur le moment, c’est toujours compliqué de riposter avec un Famas au milieu d’une foule. D’où la réflexion en cours : est-ce qu’on doit utiliser les militaires comme des vigiles ? Est-ce que ce n’est pas du « gaspillage » d’utiliser les militaires comme simples supplétifs des forces de sécurité ?

    Je crois, au contraire, qu’il faut identifier les domaines de compétences dans lesquelles les armées pourraient compléter le travail des forces de sécurité intérieure. C’est une question d’optimisation de la ressource.

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  • Face aux allogènes, la police viennoise conseille aux femmes de se teindre les cheveux en brun

    Après avoir été volée et tabassée par quatre Afghans, une jeune autrichienne est allée porter plainte. C’est à cette occasion que la police lui a donné des conseils avisés.

    Jugez plutôt : « Après l’attaque, ils (la police) m’ont dit que les femmes ne doivent pas être seules dans les rues après huit heures du soir. Ils m’ont donné un autre conseil, que je colore mes cheveux en noir et que je ne m’habille pas de manière aussi provocatrice ».

    Plutôt que de lutter contre la délinquance allogène, c’est donc à nos femmes de changer leur comportement pour éviter les agressions.

     

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  • Journal du Mardi 10 Mai 2016 : Terrorisme / L’Allemagne récolte la tempête