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insécurité - Page 776

  • Nous n’irons plus au Bataclan par André WAROCH

    « Ce n’est pas un complot, c’est pire, c’est une logique. »

    Guillaume Faye 

    Le 1er janvier dernier, revenant du réveillon du jour de l’An que j’avais passé chez des amis, un peu fatigué, je me suis arrêté dans cette ville que je ne connaissais pas. 

    C’était une petite ville de province, naguère oubliée de Dieu et des hommes, une sous-préfecture paressant sur les bords de Loire, comme une loutre repue et bedonnante, cernée de vieux remparts qui jetaient encore sur le fleuve l’ombre des siècles passés. 

    Je garai la voiture, et allai faire quelques pas dans le centre. 

    Il y a encore trente ans, on aurait pu jurer que rien ne viendrait jamais troubler la quiétude de ces lieux. Que les mêmes nuages continueraient à passer au-dessus des mêmes fronts, que le même soleil éclairerait les mêmes enfants s’adonnant aux mêmes jeux. Que les mêmes coutumes, les mêmes gestes quotidiens se perpétueraient imperturbablement, comme ils s’étaient perpétués depuis peut-être un millénaire.

    Puis, un jour, la banlieue était arrivée, venue du Nord, et s’était jetée sur sa proie. 

    Je le compris en allant prendre un café au bistrot en face de l’église. J’écoutais discuter les habitués. La ville, ce matin-là, se réveillait les mains tremblantes, la bouche pâteuse et les yeux embués, ne pouvant croire à ce qu’elle voyait. La nuit du 31 avait été terrible : onze voitures avaient été incendiées en plein centre-ville, des vitres avaient été brisées un peu partout, des cailloux jetés sur les forces de l’ordre. Les restaurants avaient du fermer, les clients évacués en catastrophe. 

    En sortant du café, je pris la direction de l’église, et, effectivement, je remarquai des policiers et des pompiers allant et venant, puis je tombai, sur le parking de la place du marché, devant cette carcasse de voiture, totalement calcinée, et fumant encore. 

    J’écoutais les conversations, à peu près les mêmes qu’au bistrot, des badauds qui se massaient. Comme souvent, le plus important n’était pas ce que les hommes disaient. C’était ce qu’ils ne disaient pas.

    Je lisais dans leurs yeux et dans leur âme comme dans un livre ouvert. Ils savaient que ce qui venait de se passer n’était pas un accident. Que cela se passerait de nouveau. Ça ou quelque chose d’encore pire. Et que cela se répéterait. Et que cela ne s’arrêterait plus. La seule solution pour eux, désormais, était de fuir tant qu’il en était encore temps. Fuir vers un territoire non encore contaminé. Fuir, pour beaucoup, pour la deuxième ou la troisième fois. 

    Il pouvait m’arriver d’éprouver de la haine, une haine inextinguible devant les responsables de ce désastre qu’était devenu mon pays; de la peur, à la pensée que mes enfants ne pourraient pas toujours compter sur la protection de leurs parents, qu’ils étaient en danger, condamnés à vivre dans ce pays maudit dont même les crétins commençaient à comprendre, mais trop tard, que c’est la mort qui l’attendait. Mais ce jour-là, quand je repris la route ce jour-là, je me rendis compte que rien d’autre ne m’habitait qu’une immense tristesse. 

    Dans des territoires de plus en plus étendus, c’est un couvre-feu en bonne et due forme qui est dorénavant instauré par la racaille allogène à travers tout le pays. L’immigration est comme une maladie, comme un cancer que les autorités locales ont traité comme une grippe. Maintenant que le mal a progressé à un point tel qu’on ne peut plus le cacher à la population, il est médiatiquement décrété que le temps est désormais venu de vivre avec, comme un fait accompli et irrémédiable, et cesser de regretter l’ancien monde. 

    Le terrorisme islamiste n’a pas fait son apparition en France avec les attentats du Bataclan et de Charlie-Hebdo, ni même lors des attentats des années quatre-vingt-dix menés par le FIS et le GIA algériens. Le terrorisme islamiste, dans le vrai sens du terme, est né dans les années soixante-dix, avec la mise en place d’une immigration de masse en provenance du Maghreb. Il est né avec la première voiture brûlée. Car la véritable définition du terrorisme n’a rien à voir avec la façon dont il se manifeste, bien qu’à ce mot on associe toujours l’utilisation de bombes explosant dans la foule, ou plus récemment de rafales d’arme automatique tirées à l’aveugle dans des salles de concert. 

    La véritable définition du terrorisme, telle que donnée par le Larousse, est celle-ci : « Ensemble d’actes de violence commis par une organisation pour créer un climat d’insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine à l’égard d’une communauté, d’un pays, d’un système. » 

    Quand quatre musulmans enlèvent une fille identifiée comme française, l’emmènent dans un parc ou ils la bâillonnent et l’attachent, la violent par tous les orifices pour finir par lui uriner dans la bouche et la frapper à coups de bâton, comme cela est arrivé en mars 2014 aux abords de la gare d’Évry, cette ville dans laquelle Manuel Valls avait exprimé le souhait de réinjecter quelques « Blancos » (juste pour le plaisir de voir violer leurs enfants dans les jardins publics ?), cela n’a absolument rien à voir avec ce mot tarte-à-la-crème : délinquance, dont l’utilisation systématique n’a d’autre fonction que celle, encore et toujours, de cacher la vraie nature des choses aux habitants de ce pays livré

    Cette agression, qui était « raciste » au dire même de leurs auteurs, n’est rien d’autre, quand on la dépouille des trois décennies de mensonge qui s’interposent entre elle et nous, qu’une attaque terroriste, sans bombes et sans fusil, commis par des gens qui, depuis déjà très longtemps, nous ont déclaré la guerre. 

    C’est ce terrorisme du quotidien que les Français qui habitaient autrefois ces villes ont fui. Plutôt que de voter pour le seul parti qui admettait cette réalité et se proposait de la combattre, ils ont pris la décision, fait unique dans l’histoire, de s’auto-expulser

    C’est à ce peuple châtré, aveugle, fanatique lui aussi, de ce fanatisme morbide des chrétiens de l’Antiquité qui préféraient mourir dans l’arène plutôt que de porter les armes, sacrifiant leur vie au nom de la non-violence, que les djihadistes, qui, eux, sacrifient leur vie au nom de la violence, ont affaire. Quand ces « valeurs chrétiennes devenues folles » (elles le sont bien, folles, mais elles ne le sont pas devenues, l’étant dès le départ) rencontrent les « valeurs » islamistes, elles aussi d’ailleurs devenues folles d’après nos médias, se déroule alors une sorte d’immonde et gigantesque orgie sado-masochiste qui pourrait être intitulée, si on en faisait un film, Décapite-moi, j’ai envie de pardonner. Les quelques Européens restés normaux, c’est-à-dire fidèles aux valeurs antiques selon lesquelles le seul destin de l’ennemi est d’être repoussé, soumis ou exterminé, assistent médusés à la destruction de leur pays, et au triomphe inéluctable de la barbarie sur la décadence. 

    Il fut un temps ou les Européens, tordant le cou à la non-violence inhérente au christianisme, jusqu’à quasiment l’asphyxier (processus analysé par l’historien Jean Flori), élaborèrent, face aux Turcs Seldjoukides , un contre-djihad : le Pape, prenant résolument la relève de l’Empereur romain, appelait le monde latin à délivrer le tombeau du Christ profané par l’infidèle musulman, et à secourir les Byzantins, refaisant ainsi, contre l’ennemi musulman, l’unité des anciens empires d’Orient et d’Occident. La récompense des cieux et l’absolution étaient promises aux chevaliers qui prendraient les armes. Trois ans plus tard, Jérusalem était prise, les Barbares passés au fil de l’épée, Byzance sauvée pour quatre siècles. 

    Aujourd’hui, les Croisades sont considérées, à travers toute l’Europe, comme la dernière des abominations. Comme l’avait vu Dominique Venner, le christianisme, en disparaissant comme religion constituée, redevient ce qu’il est, un venin qui s’infiltre au plus profond de l’âme des peuples pour leur ôter jusqu’au souvenir des notions les plus évidentes de survie collective et d’auto-défense. Le judaïsme, en s’attachant aux rites comme ciment de la communauté, laissait de côté la morale, de manière plus ou moins hypocrite. Jésus, lui, en rejetant les rites, instaura « la circoncision des cœurs », c’est-à-dire la mutilation de l’âme. 

    Le christianisme, qui a par là même disparu en tant que religion au sens strict, a vaincu dans les esprits en tant que morale, et d’abord chez les élites européennes. Personne, en effet, n’a obligé celles-ci à accepter les migrants. Les pétro-monarchies du Golfe, pourtant arabes et musulmanes, n’en ont pas accueilli un seul. Ils ne se sont pas imposés, ils ne sont pas venus avec des avions et des tanks. Ils ont été invités. 

    Car à cette lecture crypto-religieuse des événements, il faut en ajouter une autre qui la complète, celle d’une lutte des classes à l’intérieur même du monde blanc. 

    Si on se penche sur la situation de la France, pays qui peut se prévaloir d’avoir été le premier à organiser sa propre invasion dès les années soixante-dix, et maintenant que l’on dispose de tout le recul nécessaire, une analyse doit maintenant s’imposer clairement : l’immigration extra-européenne, dès l’origine, est l’arme principale des élites pour se débarrasser du prolétariat et de la classe moyenne autochtone.

    Osons synthétiser crûment la vérité : l’immigration, musulmane ou non, est, en elle-même, un attentat, un gigantesque attentat qui dure depuis quarante années, et qui a été déclenché depuis le sommet de l’État, avec la complicité, jamais prise en défaut  depuis, de tout l’appareil médiatique, de toutes les grandes entreprises, de l’Église, des syndicats. 

    Se focaliser sur les exactions des arabo-musulmans ne doit jamais faire oublier qu’ils sont les hommes de main de ceux qui les ont envoyés. Ils  représentent, de très loin, le groupe immigré le plus haineux envers la population de souche, et sont, pour cela, ceux que les médias défendent le plus farouchement (ainsi les Chinois, qui ne se rendent jamais coupables d’un seul acte de violence, sont à peu près ignorés).

    Au fur et à mesure que les exactions susdites se sont étendues, le système pénal s’est effondré, les lois ont cessé d’être appliquées, les peines de prison, même pour de très graves délits, n’ont plus été exécutées. Carte blanche était donnée aux envahisseurs, jusqu’à la situation actuelle, où le ministère de la justice a été confiée à une descendante d’esclave dont tout le combat politique consiste à se venger de ceux qu’elle considère, selon une vision totalement raciale et génétique, comme les coupables éternels de la traite transatlantique (qui n’est, au regard de l’histoire de notre pays, qu’une anecdote).

    Le véritables ennemis des élites politico-économico-médiatiques, ce ne sont pas les islamistes, mais le peuple, le vrai, le de souche (et cela inclut tous ceux qui s’identifient à lui, sans en être techniquement parlant), celui qui ne veut pas que son pays disparaisse. Face à lui, toute la fange des idéologues de la haine, des dégénérés mondialistes, des « trans-genre », des immigrationnistes forcenés, de tous ceux, en définitive, qui haïssent de toutes leurs tripes la France et les Français, ce qu’ils appellent « l’antiracisme ».

    Si beaucoup d’entre nous se sont réjouis, ou en tout cas n’ont pas versé la « larmichette » réglementaire suite aux attentats de Charlie-Hebdo ou du Bataclan, c’est parce qu’ils avaient conscience, plus ou moins confusément, que ces événements ne les concernaient pas. Qu’il s’agissait là de chamailleries entre les islamistes et ceux qui les ont fait rentrer pour nous éjecter, donc entre nos deux ennemis mortels. Nous, nous n’allons pas au Bataclan. Nous ne manifestons pas pour le mariage gay. Nous ne militons pas pour l’ouverture des frontières, pour la dissolution de la France et de l’Europe dans le grand marché mondialisé et dans l’immigration. Nous ne prônons pas non plus la guerre contre les pays arabo-musulmans qui ne nous ont pas attaqués. Peu nous chaut qu’ils deviennent ou non fondamentalistes, qu’ils décident d’appliquer lacharia ou de se convertir au bouddhisme. Tout ceci ne nous regarde pas. Nous, nous voulons défendre notre pays et notre continent.

    Voilà le vrai, le seul padamalgam qui vaille. Celui qui dit la vérité de la guerre civile entre Français de souche, celle que les élites nous ont déclaré mais qu’elles ont préféré ne pas livrer elles-mêmes, en dressant contre leur propre peuple les pires ennemis de l’Europe.

    André Waroch

    http://www.europemaxima.com/?p=4705

  • Après le chômage, la délinquance et la démographie, voici les mauvais chiffres de l’immigration

    À la surprise de tous les observateurs, la France expulse de moins en moins de clandestins !
    Janvier est le mois des bilans de l’année écoulée et, après les mauvais chiffres du chômage, de la délinquance et de la démographie, ceux de l’immigration viennent de tomber. Mauvais, eux aussi. Certes, il n’y a rien d’étonnant, vu la crise migratoire que l’Union européenne, Mme Merkel et M. Hollande ont, par leur imprévoyance et leur inconséquence, amplifiée, créant les situations de chaos multiformes dont les symboles, désormais historiques, ont pour nom Calais et Cologne.
    On aurait pu espérer que notre gouvernement, contraint d’ouvrir les yeux sur l’ampleur du désastre et d’abandonner la politique des « frontières ouvertes », ait enfin pris le taureau par les cornes. Le grand aggiornamento idéologique des socialistes au pouvoir, qui piochent désormais sans retenue dans le langage et les préconisations de la droite ou du Front national, pouvait le laisser croire. Et M. Cazeneuve, nous dit la presse, comptait hier, lors d’une réunion à Amsterdam avec ses homologues, « taper du poing sur la table » pour exiger que l’Union en finisse avec l’Europe passoire de Schengen.

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  • Calais au bord de la guerre civile, les gauchistes attisent les tensions

    Les manifs pro — « migrants » ont dégénéré à Calais, au port, d’une part et dans le centre-ville d’autre part. À chaque fois, les gauchistes étaient là pour souffler sur les flammes.

    Calais est au bord de l’explosion. Les habitants sont de plus en plus excédés des dégradations et exactions permanentes des clandestins, lesquels sont de leur côté de plus en plus agressifs, y compris à l’encontre des forces de l’ordre.
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    Comme si cela ne suffisait pas, les gauchistes pro-migrants jettent de l’huile sur le feu. C’est à l’occasion d’une manif organisé par l’un de ces groupes, « no borders », rassemblant des activistes français et européens, qu’une cinquantaine de clandestins ont pris d’assaut un ferry. Tout laisse à penser que ce sont les gauchistes eux-mêmes qui ont initié le mouvement.
    150 personnes avaient pénétré de force dans l’enceinte du port, parmi lesquels une cinquantaine a pris à l’abordage le « Spirit of Britain ». Sur les 35 personnes interpellées pour embarquement frauduleux sur un navire, 26 étaient des clandestins, 9 des militants du collectif « No Borders » ; 15 d’entre eux ont été placés en garde à vue.

    Ailleurs à Calais, c’est une famille excédée qui s’est opposée aux manifestants gauchistes et clandestins. L’un d’eux à même brièvement sorti un fusil pour intimider la foule, avant de se raviser.

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    La dégradation de la statue de Ch. De Gaulle revendiquée par les “No Borders”

     

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    Un militant NPA lors de la manif pro-clandestins.

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    Karima Delli, député EELV du Nord-Ouest, lors de la manif pro-clandestins.

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    Lors de la manif pro-clandestins flottaient de nombreux drapeaux NPA, ainsi que d’autres groupes d’extrême-gauche, comme la Coordination des Groupes Anarchistes.

    Enfin, dans le centre-ville, une statue du Général de Gaulle a été vandalisée, d’un tag « nik la France », un geste revendiqué par les « antifas » de « No Border » qui devaient ainsi espérer attiser encore les tensions entre clandestins et calaisiens.

    Même le très clandestinophile maire de Calais, Nathalie Bouchard a qualifié l’autorisation de cette manifestation « d’irresponsable ». Cet événement a poussé le président du port de Calais Jean-Marc Puissesseau à demander « une réunion de crise extrêmement rapidement (…) avec les responsables locaux, régionaux, parlementaires et du gouvernement » estimant « que ça ne pouvait plus durer », appel repris par l’opposition.

    Au delà de la question du traitement des clandestins et de la « jungle » de Calais, il faudra aussi aborder la question des agitateurs professionnels de « No Border », ce collectif rassemblant notamment des antifas français ou anglais, des militants écologistes (EELV…), du NPA, d’anarchistes et d’autres groupuscules gauchistes. Par leur attitude et leur action, ils mettent réellement en danger l’ordre public dans une région qu’une étincelle suffirait à embraser. Les calaisiens ont réagit aujourd’hui par une manifestation pacifique. qu’en sera-t-il le jour où l’un d’eux se fera tuer par un migrant?

    manif defense calais

    Dimanche, les calaisiens ont manifesté dans le calme pour le retour à l’ordre et en soutien au port attaqué et aux commerçants sinistrés par les clandestins de la jungle.

    Mais, tenants de l’idéologie immigrationniste officielle, ils bénéficient d’une certaine indulgence, plus en tout cas que les opposants à la COP21… Le gouvernement est-il vraiment conscient que son attitude à leur égard peut aboutir à des drames ?
    L’irresponsabilité dont font preuve les autorités – en plus de celle des « activistes », bien sûr — tient-elle de la bêtise crasse, du simple aveuglement idéologique ou d’un machiavélisme à la petite semaine, nos politiciens escomptant un rassemblement spontané des Français autour de leurs autorités en cas d’aggravation de la situation ?

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/197363/calais-au-bord-guerre-civile-les-gauchistes-attisent-les-tensions/#more-197363

     

  • D’Athènes à Calais c’est bien ce Système qu’il faut changer !

    Il y a un an tout juste, Alexis Tsipras,  héros de la gauche  anticapitaliste et/ou eurosceptique, arrivait au pouvoir à Athènes. Alors qu’un  sondage publié vendredi  indique que 85% des Grecs sont mécontents de l’action de leur  gouvernement,  la correspondante du quotidien  Libération, Maria Malagardis, constate «qu’il semble loin le temps ou (M. Tsipras) promettait de  renouer avec l’espoir!». Désormais «les agriculteurs qui ont sorti leurs tracteurs dans la rue et agressent les députés ou les permanences de Syriza ne sont pas les seuls à manifester leur colère. Avocats, médecins, artistes, commerçants, retraités et même handicapés sont tous descendus dans la rue depuis une semaine.» La parole est donnée à l’analyste politique Georges Seferzis : «Tsipras a échoué à mettre un terme à l’austérité, mais se présente toujours en Grèce comme le défenseur des plus faibles. Le problème, c’est que son dernier projet de loi écrase d’impôts et de hausses de cotisations sociales les petits entrepreneurs et les agriculteurs, qui forment le cœur de l’économie grecque. La réalité de la Grèce ce ne sont pas seulement les indigents, c’est surtout cette petite classe moyenne qui a l’impression de trinquer une fois de plus. »

    «Tsipras lui-même a-t-il changé ? Ou bien n’est-il que le général vaincu d’un pays à la souveraineté limitée ?». Ce qui est certain  c’est que lui même et son parti Syriza  étaient  portés par les espoirs d’un peuple grec très durement tabassé, paupérisé,  par les diktats financiers de latroïka BCE-FMI-Commission européenne. Hellènes qui payent aussi actuellement  au prix fort, souligne Bruno Gollnisch, car «l’Europe» n’est pas seule responsable de tous les  maux,  les conséquences  de décennies  de mauvaises  habitudes, de  gabegie, de tricherie, de corruption, de gestion fantasque des comptes publics qui caractérisèrent la société grecque, notamment lors des années de règne du  Pasok (parti socialiste)

    Le  référendum du 5 juillet de l’année dernière a vu  les électeurs  soutenir  M. Tsipras (qui avait mis son mandat en jeu)  en votant Non  (à 61 %)  à la proposition de réformes formulée par les créanciers du pays. Le  parti au pouvoir a aussi remporté les élections  législatives de septembre,  marquées cependant par une très sensible montée de l’abstention.

    Bref,  malgré  sa  capitulation  finale  devant les préteurs, la  trahison  des électeurs (8 jours après le référendum…), ses reniements, ses démissions,  son refus de se libérer de l’euro qui asphyxie inexorablement son pays,  M. Tsipras  gardait vaille que vaille la confiance du peuple grec…faute de mieux ?

    Sur le site du magazine Causeur, analysant les législatives de septembre, l’économiste Jacques Sapir notait néanmoins «qu’il n’y a pas d’avenir pour la Grèce tant qu’elle reste dans la zone Euro et tant qu’elle ne fait pas défaut sur une part importante de sa dette. Ceci commence à se dire tant aux FMI que dans les couloirs de l’Union européenne. Le dossier grec est donc toujours sur la table. Même si, aujourd’hui, d’autres problèmes sont en train de focaliser l’attention, comme la crise des réfugiés.»

    M. Sapir ne croyait pas si bien dire et la crise des migrants est plus actuelle que jamais, et s’expose de manière particulièrement emblématique à Calais. Cette fin de semaine, le maire (LR)  Natacha Bouchart manifestait avec des commerçants de la ville pour exiger un «  moratoire sur les taxes des commerçants du Calaisis » en raison d’ « une forte baisse de l’activité.» Celle-ci est due, comme chacun le sait, à l’explosion du nombre des clandestins traînant dans les rues  et créant un climat de peur, de violences et de tensions dans la commune. Samedi  toujours, desCollectifs de soutien aux migrants ont  organisé une autre manifestation qui a réuni  environ 2000 personnes, en présence  du  député écolo-gauchiste Karima Delli (EELV) et de Philippe Poutou, un des figures du   groupuscule trotskyste NPA.

    Occasion offerte  à l’extrême gauche (antifa et autres casseurs appartenant à la mouvance internationaliste  No Borders)  de se livrer à des déprédations.  26 immigrés clandestins et 9  militants  No Borders   ont été interpellés après s’être introduit à l’intérieur d’un ferry britannique  dans le port de Calais.  Située en centre-ville, la statue  du Général De Gaulle et d’Yvonne de Gaulle du a été ornée d’un tag «Nik la France» pendant la manifestation d’extrême gauche. Une dégradation qui a  suscité  les réactions forcément indignées du   président du Conseil régional  Xavier Bertrand et de Mme Bouchart… bien forcés cette fois  de sortir de leur silence.

    Le Figaro le rappelle  à ses  lecteurs, « le mouvement des No Borders est apparu en Allemagne dans les années 90. Depuis 2009, il apporte un soutien inconditionnel aux migrants de la Jungle qui souhaitent rejoindre la Grande-Bretagne. Les activistes aident ainsi les migrants de Calais à s’installer, à entreprendre des démarches administratives et ouvrent parfois des squats pour les accueillir. D’après le ministère de l’Intérieur, qui surveille de près le mouvement, ces anarchistes sont d’origine française, allemande et hollandaise. La presse outre-Manche évoque également la présence de nombreux militants britanniques dans leurs rangs.»

    Les propos du porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre Henry Brandet, sont rappelés pour l’occasion : «ll y a des militants No Borders qui ont été identifiés (…) qui profitent du désarroi, de la détresse de ces migrants, qui instrumentalisent cette détresse, et les poussent à faire n’importe quoi»,  «il y a derrière la détresse de ces migrants un certain nombre de personnes irresponsables qui instrumentalisent cette misère à d’autres fins qu’à des fins humanitaires.»

    La violence  des No Borders, petits pions qui instrumentalisent de pauvres immigrés mais qui sont tout autant instrumentalisés, répond en quelque sorte symétriquement à celle d’un capitalisme financier, apatride,  mondialisé. Lui aussi est sans foi ni loi,  lui aussi prône la disparition  des  souverainetés nationales, des frontières,  la libre circulation sans frein des personnes, des biens  et des capitaux. D’Athènes à Calais c’est bien ce Système là dont il convient de changer !  

    http://gollnisch.com/2016/01/25/dathenes-a-calais-cest-bien-ce-systeme-quil-faut-changer/

  • Migrants : après Cologne l’AFP continue à ne voir que des femmes et des enfants…

    Source : OJIM

    Fin septembre 2015, l’Ojim évoquait déjà la manipulation par l’image orchestrée par les médias au sujet de la crise migratoire.

    Alors qu’environ 80% des clandestins qui arrivent en Europe sont des hommes seuls, les agences de presse et les médias qui reprennent leur contenu n’ont de cesse de nous présenter sans arrêt des images de femmes, d’enfants voire de couples épris d’amour.

    Près de quatre mois plus tard, et alors que Cologne est passé par là, la situation n’a pas changé. Comme l’a fait remarquer le compte Twitter des « Bobards d’or », qui en a publié quelques unes et se réserve sans doute le sujet pour la prochaine cérémonie, l’AFP poursuit sa campagne de désinformation en mettant largement en avant les femmes et les enfants, en dépit de la réalité du terrain.

    Sur cette photo reprise par Jean-Yves Le Gallou, on voir par exemple un homme tenir la main à un enfant, suivi d’une femme et d’autres petits bambins.

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     Sur cet autre exemple, c’est bien une femme qui est mise au premier plan alors qu’à l’arrière, il n’y a que des hommes.

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     Enfin, rien de tel qu’une photographie chargée d’émotion comme celle de cet enfant en larmes emballé dans des couvertures…

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     Comme nous le disions déjà dans notre dossier, « l’image, dans cette campagne, joue un rôle fondamental. Il s’agit d’émouvoir, d’émouvoir et d’émouvoir encore, jusqu’à éradiquer l’esprit critique. Refuser, ou même simplement questionner ce qui est en train de se passer vous transforme alors immédiatement en salaud ». Nous sommes en plein dedans.

    http://fr.novopress.info/197325/migrants-apres-cologne-lafp-continue-voir-femmes-enfants/#more-197325

  • Les « migrants » et l’extrême-gauche attaquent une famille de patriotes calaisiens chez eux !

    Au cours de la manifestation pro-clandestins organisée samedi 23 janvier à Calais, des voyous immigrés et leurs complices d’extrême-gauche sont venus agresser des patriotes calaisiens, proches du Collectif Sauvons Calais, dans leur propre maison !

    Sur la vidéo, on ne voit aucun membre des forces de l’ordre, qui pourtant encadrent d’habitude en nombre les manifestations des opposants à l’invasion migratoire à Calais.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • La Lettre d’Allemagne – N°3

    Inlassablement, Mutti parcourait l’Allemagne, son bâton de pèlerin à la main, disant et répétant, à tous et en tout lieu, les deux mantras qui fondent sa politique, « Wir schaffen das » et « No limit ». Depuis l’été, elle en a fait, des kilomètres, elle en a tenu, des meetings politiques. Déjà, plusieurs fois, elle a dû remettre à leur place quelques députés ou fonctionnaires territoriaux de la CDU, qui montraient quelques crocs insuffisamment acérés contre sa politique.

    Plus difficile : elle a dû à plusieurs reprises faire entrer dans sa boîte son meilleur ennemi, Horst Seehofer. A chaque fois, l’opération était plus difficile, comme si le ressort se raidissait. Mais jusqu’à cette affreuse nuit de la Saint-Sylvestre, tout paraissait maîtrisable, contrôlable.

    Aujourd’hui, elle ne peut que constater la vanité de ses efforts. Elle refuse toujours – est-ce de l’entêtement, de l’aveuglement idéologique, la crainte de montrer à nouveau une face déplaisante de l’Allemagne, ou la conviction sincère que le flot ne pourra de toute façon être endigué ? – de prononcer les mots que même ses vassaux les plus fidèles et les plus loyaux attendent d’elle désormais, guettent en vain sur ses lèvres. Une chose est sûre : la classe politique allemande est en plein désarroi. Les déclarations inopportunes, les propositions irréalistes fusent, on s’entredéchire au sein des partis, on vocifère contre la droite populiste, on s’en prend au « mauvais » migrant, on fustige le « mâle », prédateur sexuel universel. Mais rien n’y fait : du terrain montent toujours plus clairs, chaque jour plus difficile à ignorer, les signaux d’un peuple qui balance entre incompréhension apeurée et colère inquiète. Les « Bürgerwehr » fleurissent, les marchands d’armes sont dévalisés, les autorités enregistrent une hausse spectaculaire des demandes d’autorisation de détention d’armes. Pas un média qui soit en mesure de distinguer entre le vrai réfugié et le migrant : confusion des mots, confusion des esprits. Les yeux du « deutscher Michel », en bas de l’échelle, commencent à se dessiller : ce qu’il voit ne le réjouit pas. La chancelière a ouvert les frontières : certains pensent – et pas des moindres – qu’elle a violé la loi. Le flot s’est engouffré, qui aurait dû se briser sur la digue des frontières extérieures de l’Union. Il ne tarira pas. Ni Frau Merkel, ni aucun dirigeant européen, n’a de solution à court terme pour le juguler ou le détourner. La Turquie, rempart de l’Europe : qui peut croire à cette fable ? La chancelière est allée à Ankara comme l’empereur à Canossa. Aujourd’hui, le Grand Turc est à Berlin, vient réclamer son tribut. Ni solution, ni volonté : désarroi. La dispersion ou répartition des migrants sur tout le territoire de l’Union ? Cette idée est déjà morte, plantée dans le mur de la réalité : des dizaines de milliers qui devaient quitter la Grèce et l’Italie, seule une poignée a pris la route du Nord. A Athènes et à Rome, on tremble en regardant vers Vienne, qui vient d’annoncer son intention de limiter l’accueil des migrants. Les Autrichiens vont-ils donner le signal, redouté et attendu ? La Macédoine, déjà, a réagi, fermant brièvement sa frontière. La Slovénie balance encore. Le château de cartes est prêt à s’effondrer.

    Sur les radios allemandes, on évoquait ce matin le plan « A » de Berlin, consistant à limiter les flux tout en accélérant les expulsions et en diluant les admis. Des pans entiers de ce plan dépendent de la capacité politique de l’Union : nous savons ce qu’il en est. Le plan « B », évoqué avec angoisse par les journalistes et commentateurs, n’est rien de plus terrifiant que le retour des frontières nationales…

    Le piège dans lequel l’Allemagne est engagée, et l’Europe avec elle, est en train de se refermer.

    François Stecher 22/01/2016

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    Revue de presse

    • Violences dans la nuit de la Saint-Sylvestre

    FAZ – 18.01.16 – Masculinité en crise
    Mais pourquoi ils ne leur cassent pas tout simplement la gueule ?
    Deux femmes russes écrivains prennent la parole à propos des incidents de Cologne. Selon elles, en Russie, les choses se seraient passées différemment. La faute en revient aux hommes européens.

    http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/maskulinitaet-in-der-krise-ja-warum-pruegeln-sie-sich-denn-nicht-14016271.html

    Die Welt – 17.01.16 – Migrants
    La fin de la culture du non-dit vis-à-vis des Nord-Africains criminels
    Jusqu’à la Saint-Sylvestre, en Rhénanie du Nord-Westphalie, il était souvent difficile à la classe politique et à la police de s’exprimer de manière offensive sur les crimes commis par des immigrés. On ne voulait en aucun cas apporter de l’eau au moulin de l’extrême droite. Il semble que cela soit en train de changer.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151089556/Kriminelle-Nordafrikaner-ein-lang-gehuetetes-Staatsgeheimnis.html

     FAZ – 18.01.16 – Critique TV : Anne Will
    « Cela peut se reproduire à tout moment »
    Au cours de l’émission d’Anne Will, on parle des agressions sexuelles sur les femmes à Cologne, de la politique des réfugiés et d’Angela Merkel. On y tourne beaucoup autour du pot. Pourtant, à un certain moment une phrase tombe, pleine de vérité, comme nous en entendons rarement dans un talkshow.

    http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/medien/tv-kritik/tv-kritik-anne-will-das-kann-jederzeit-wieder-passieren-14019912.html

    Huffington Post – 18.01.16
    Le Bundeskriminalamt (BKA) est d’avis que les agressions sexuelles de Cologne étaient organisées
    « Les jeunes hommes devaient être en communication les uns avec les autres », déclare le président du BKA, dans une interview au Bild am Sonntag. L’enquête pour savoir qui a organisé ce rassemblement et comment est toujours en cours.

    http://www.huffingtonpost.de/2016/01/17/bka-geht-davon-aus-dass-d_n_9005392.html?icid=maing-grid7%7Cgermany%7Cdl1%7Csec3_lnk5%26pLid%3D421281

    • Crise des réfugiés

    Die Welt – 17.01.16 – Une humanitaire aidant les réfugiés s’exprime
    « Extrêmement exigeants, peu fiables et importuns »
    Elle avait commencé son travail dans un centre d’accueil initial avec beaucoup d’idéalisme. Cependant, ce qu’elle a vécu avec les réfugiés lui a retiré toutes ses illusions. Une employée humanitaire s’exprime sur son quotidien.

    http://www.welt.de/regionales/hamburg/article151097419/Extrem-fordernd-unzuverlaessig-und-aufdringlich.html

    Die Welt – 17.01.16 – Immigrés
    C’est la dernière chance de Merkel dans la crise des réfugiés
    Après Cologne, la chancelière est elle-même convaincue que le nombre des réfugiés doit chuter rapidement. Pourtant, il est à peine encore temps pour une solution au sein de l’Union européenne. Officieusement, l’Allemagne est déjà sous la menace d’un scénario d’horreur.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151097242/Das-ist-Merkels-letzte-Chance-in-der-Fluechtlingskrise.html
    FAZ – 18.01.16 – « Sinon, pas d’aide au développement »
    Gabriel : Les pays d’origine doivent accepter de reprendre les demandeurs d’asile refoulés
    L’Algérie et le Maroc doivent reprendre leurs citoyens dont la demande d’asile a été refusée, exige le ministre de l’Economie Gabriel. Selon lui, c’est une condition pour continuer à bénéficier de l’aide au développement allemande.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/sonst-keine-entwicklungshilfe-gabriel-herkunftslaender-muessen-asylbewerber-zuruecknehmen-14020036.html

    FAZ – 18.01.16 – La politique des réfugiés de Merkel
    Une violation du droit ou bien rien que de très normal ?
    Les juristes s’affrontent sur la conformité à la constitution de la politique des réfugiés d’Angela Merkel. La tentative pour établir la clarté nécessaire est malheureusement rendue difficile par le politique, à force d’obscurité et d’imprécision.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/ist-angela-merkels-fluechtlingspolitik-verfassungsgemaess-14019329.html

    FAZ – 17.01.16 – Crise des réfugiés
    Pour Merkel, le compte à rebours a commencé
    La patience vis-à-vis de la situation en Allemagne décline. Cela met la chancelière dans le pétrin. Le problème de Merkel est le suivant : ses succès ne sont plus d’aucun effet dans l’opinion publique. Et les options qui s’offrent à elle s’envolent. Un commentaire.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/fluechtlingskrise-merkel-laeuft-die-zeit-davon-14017998.html

    Spiegel Online – 18.01.16 – Crise des réfugiés
    L’Autriche veut renforcer le contrôle aux frontières
    L’UE se dispute depuis des mois pour adopter une attitude commune dans la crise des réfugiés. Aujourd’hui, l’Autriche prépare son cavalier seul. Le ministre des Affaires étrangères Kurz a annoncé un décret pour la sécurisation des frontières.

    http://www.spiegel.de/politik/ausland/fluechtlinge-oesterreich-will-grenzkontrollen-verschaerfen-a-1072557.html

    Spiegel Online – 18.01.16 – La tête de la CDU s’en prend aux critiques de Merkel« Fermez-la ! »
    Règlement de compte à la direction de la CDU : les leaders des chrétiens-démocrates ont violemment attaqué, à huis clos, les critiques internes de la politique des réfugiés d’Angela Merkel. Certains ont même parlé d’un « petit tribunal ».

    http://www.spiegel.de/politik/deutschland/fluechtlinge-cdu-spitze-nimmt-sich-angela-merkels-kritiker-vor-a-1072589.html

    FAZ – 19.01.16 – Controverse sur la politique d’asile
    Dobrindt met en garde contre un pacte contre l’Allemagne
    La pression sur la chancelière est grande. Aujourd’hui, c’est même au sein du gouvernement que le soutien s’amenuise : le ministre des Transports Dobrindt demande un changement de cours très rapide de la politique d’asile. L’Autriche voit dans la fixation de limites supérieures la solution à la crise. L’UE veut que les « Hotspots » soient opérationnels dans quatre semaines.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/dobrindt-fordert-von-merkel-kurswechsel-in-asylpolitik-14021904.html

    Die Welt – 21.01.16 – Sondages sur les réfugiés
    Neuf électeurs de l’Union sur dix rejettent le cap choisi par Merkel pour la politique d’asile
    Ils sont moins d’un cinquième à croire encore au « Wir schaffen das » de Merkel. Parmi les électeurs de l’Union, le rejet est encore plus massif. Le nombre de ceux qui ont peur qu’il y ait trop de réfugiés a doublé.

    http://www.welt.de/politik/deutschland/article151292400/Neun-von-zehn-Unions-Waehlern-lehnen-Merkels-Asylkurs-ab.html

    Die Welt – 21.01.16 – Crise des réfugiés
    Dans les Balkans, on aime la politique allemande des frontières ouvertes
    Si l’Autriche et l’Allemagne changent leur politique des réfugiés, cela se répercute sur les Etats des Balkans. La Macédoine a réagi immédiatement, la Slovénie débat encore. Est-ce qu’à la fin toutes les frontières seront fermées ?

    http://www.welt.de/politik/ausland/article151289244/Auf-dem-Balkan-lieben-sie-Deutschlands-offene-Grenze.html

    Politique intérieure, liberté d’expression, AfD, PEGIDA, sondages, etc.

     FAZ – 17.01.16 – Sécurité intérieure
    Maas invite à un sommet des ministres de la Justice contre la violence d’extrême droite
    Le ministre fédéral de la Justice, Heiko Maas, écrit que l’Allemagne connaît « une vague de violence xénophobe et d’extrême droite » qui menace la sécurité intérieure – et il invite ses collègues des Länder à un sommet.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/innere-sicherheit-maas-laedt-zum-justizgipfel-gegen-rechte-gewalt-14017963.html

    FAZ – 16.01.16 – Incitation à la haine sur le net
    « Prenez une licence de détention d’arme et armez-vous »
    Contre les demandeurs d’asile et « ceux d’en haut » : après la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne, le ton se radicalise sur les réseaux sociaux – avant tout chez PEGIDA. Les appels à interdire le mouvement se renforcent, mais est-ce seulement possible ?

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/hetze-im-netz-macht-den-waffenschein-und-bewaffnet-euch-14009745.html

    FAZ – 18.01.16 – Parti de gauche (Die Linke) Sahra Wagenknecht est-elle encore de gauche ?
    Sahra Wagenknecht, leader de la gauche, veut expulser les réfugiés coupables d’infraction, refuse l’euro et loue Ludwig Erhard. Cela excite ami et ennemi.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/linkspartei-ist-sahra-wagenknecht-noch-links-14018254.html

    Spiegel Online – 18.01.16 – Déclaration controversée sur un compte rendu de la WDR
    « Un tissu d’inepties »
    « Nous sommes incités à rendre compte de manière plutôt positive de l’action du gouvernement » : avec cette déclaration faite au cours d’un talkshow, une employée de la WDR [Westdeutscher Rundfunk] a provoqué une irritation certaine. L’émetteur a démenti avec véhémence, la journaliste elle-même a depuis déclaré « regretter amèrement » ses propos.

    http://www.spiegel.de/kultur/tv/koeln-wdr-mitarbeiterin-bereut-pro-regierung-aeusserung-a-1072581.html

    FAZ – 19.01.16 – Critique TV : « Dur mais juste »
    Journalisme critique ou bien « Lügenpresse »
    [presse du mensonge] ?
    Le journalisme contribue-t-il encore à la formation d’une opinion politique ? Ou bien est-ce que les médias publics veulent seulement former une opinion unique dans la crise des réfugiés ? Les déclarations d’une journaliste de la WDR l’indiquent. On ne peut faire ce reproche à Frank Plasberg.

    http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/medien/tv-kritik/tv-kritik-hart-aber-fair-dient-der-journalismus-der-politischen-meinungsbildung-14021972.html

    FAZ – 19.01.16 – Festerling, l’activiste de PEGIDA
    On ne peut être plus radicale qu’elle
    Avec ses attaques permanentes contre les demandeurs d’asile, contre la « Lügenpresse » et contre « les traîtres à la nation », l’oratrice de PEGIDA,Tatjana Festerling, perd toute mesure. Il n’y a pas à cela que des raisons idéologiques. Pourquoi ?

    http://www.faz.net/aktuell/politik/inland/pegida-aktivistin-festerling-radikaler-geht-s-nicht-14021313.html

    mopo.de – 21.01.16 – Sondage-choc à Hambourg
    Le SPD s’effondre, l’AfD double son pronostic
    C’est un vrai coup de tonnerre : s’il y avait des élections communales à Hambourg dimanche prochain, l’AfD en serait le grand bénéficiaire. C’est ce que montre un sondage représentatif de Trend Research.

    http://www.mopo.de/hamburg/politik/umfrage-schock-in-hamburg-spd-schmiert-ab–afd-verdoppelt-sich-23421952

    FAZ – 21.01.16 – L’AfD avant les élections aux Landtage-
    Le parti des fanatisés
    Le parti eurosceptique de Lucke, avec son fondement libéral, est devenu l’AfD de droite populiste de Petry. La nuit de terreur de Cologne revêt une importance particulière pour le possible succès durable de l’AfD. Un commentaire

    http://www.faz.net/aktuell/politik/inland/afd-vor-landtagswahlen-frauke-petrys-partei-der-fanatisierten-14025328.html

    FAZ – 19.01.16 – Télévision et campagne électorale
    La ministre-présidente se tait et sourit
    L’AfD ne pouvait rêver mieux : le gouvernement de Malu Dreyers [Bade-Würtemberg], lui aussi, veut boycotter un débat télévisé entre les candidats si la SWR invite un candidat de la droite populiste. Que doit faire l’émetteur ?

    http://www.faz.net/aktuell/feuilleton/medien/wieso-zwei-landesregierungen-im-fernsehen-nicht-gegen-die-afd-antreten-wollen-und-den-swr-unter-druck-setzen-14021042.html

    • Politique extérieure, défense, étranger proche, divers

    FAZ – 18.01.16 – Les réflexions de von der Leyens
    La Bundeswehr en Libye ?
    On ne peut pas augmenter à volonté le nombre des engagements de la Bundeswehr. Mais si l’on veut endiguer à la source les flots de réfugiés, il faut à tout le moins les envisager – en Libye aussi.

    http://www.faz.net/aktuell/politik/von-der-leyens-ueberlegungen-bundeswehr-nach-libyen-14021134.html

    Die Welt – 21.01.16 – Danemark
    Obligation de consommer de la viande de porc contre l’islamisation
    « Guerre de la fricadelle » au Danemark : il y a peu de pays où l’on mange autant de cochon. A cause de l’immigration de musulmans, avec leurs règles alimentaires, certains Danois considèrent que leur culture culinaire est menacée. Et ils réagissent.

    http://www.welt.de/vermischtes/article151276448/Mit-Schweinefleisch-Pflicht-gegen-die-Islamisierung.html

  • « Agressions de Cologne » ou le politiquement correct devenu fou

    Le silence médiatique et politique qui a d’abord succédé aux violences de Cologne le soir du 31 décembre, n’a pas fini de faire polémique. Et si l’une des causes était la dérive du politiquement correct ?

    Tartuffe n’était pas à Cologne la nuit du 31 décembre, mais, pendant quelques jours, policiers, journalistes, politiques ont tiré de leur poche son célèbre mouchoir pour se voiler la face. Comme si une consigne dictée par l’inconscient : « Couvrez ces viols que je ne saurais voir » avait eu raison quelques jours de la réalité. Rappelons rapidement les faits. Le soir du 31 décembre, à Cologne entre la gare et la cathédrale, la foule des fêtards découvre un phénomène crapuleux qui, dans les pays arabes, porte le nom de taharrush gamea, sorte de « harcèlement sexuel collectif ». Des centaines de femmes prises au cœur d’une terrifiante mêlée subissent attouchements, violences, viols. Le premier janvier au matin pourtant, nul, sinon les victimes, ne peut imaginer cette agression de masse. Sur l’air de « Tout va très bien, Mme la Merkel » la police de Cologne établit le bilan positif de la soirée. Silence radio chez les politiques et les journalistes. Les réseaux sociaux vibrionnent mais nul ne sait quel crédit leur apporter.

    Les plaintes cependant affluent et, en quelques jours, prennent des proportions impressionnantes (plus de 750 à ce jour dont 40 % pour agression à caractère sexuelle). « L’insécurité culturelle » (Laurent Bouvet) éclate au grand jour et emporte tout avec elle : la télévision publique fait son mea culpa, la chancelière est l’objet d’attaques venant de toute part, Henriette Reker, maire de Cologne, ajoute l’absurde au tragique en recommandant aux femmes de sa ville de se tenir à un bras tendu des réfugiés. Cette irruption du réel ébranle les plus grandes certitudes. Les réseaux sociaux charrient le désarroi des manichéens qui avaient tracé à jamais la ligne qui sépare le Bien du Mal. On se raccroche désespérément à la branche de l’analogie historique : « Entre avril et septembre 1945, deux millions d’Allemandes violées par des soldats. La faute à l’islam ? » tweete l’élue communiste Clémentine Autain. Ou à celle des causes sociales : « Les jeunes migrants ont connu chômage et misère culturelle » explique Thierry Pech, le patron de Terra Nova à l’émission « Esprit public ». [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Agressions-de-Cologne-ou-le

  • La mèche est allumée

    TP_66_couverture.jpgLes hommes du Système ont eu chaud aux fesses. Gauche et droite ont révélé, de façon particulièrement spectaculaire en Nord-Pas de Calais-Picardie et en PACA, leur connivence profonde, avec le seul souci de sauver leurs prébendes (c’est ce qu’ils appellent « sauver la République »…).
    Leur victoire est une victoire à la Pyrrhus : le quotidien La Provence (14 décembre) est obligé, la mort dans l’âme, de reconnaître que « le paysage politique ressemble bien à un champ de ruines ». Mais nous, nous sommes les hommes au milieu des ruines…
    Les chiffres sont là : le Front National, en rassemblant 6,82 millions de voix, passe de 118 à 358 conseillers régionaux. Et, quand on regarde de près les résultats, on voit se dessiner des réalités de terrain. Ainsi, dans le département des Alpes de Haute-Provence, Marion Le Pen est en tête dans 54 communes. Cela signifie que le secret des futures réussites est dans l’ancrage territorial, local. Avec la perspective de prendre des mairies et de tisser des réseaux efficaces.
    Mais le plus important n’est sans doute pas là. Il est dans les perspectives qui s’ouvrent pour ceux qui, comme nous, considèrent les enjeux électoraux comme de simples leviers destinés à contribuer – mais seulement à contribuer – à faire s’écrouler le Système. Cet écroulement deviendra possible quand, dans les têtes, aura progressé la mentalité révolutionnaire (on ne discute pas avec le Système, on le détruit).
    L’essentiel est la conquête culturelle des esprits, qui prépare, comme l’enseigne Gramsci, la conquête politique. De ce point de vue là, nous sommes sur la bonne voie et les moins stupides des gens d’en face le savent fort bien (c’est même ce qui les inquiète le plus). A nous d’enfoncer le clou.
    En clair, le sentiment de frustration né de la déception d’une victoire volée doit déboucher, chez les électeurs du FN, sur une prise de conscience allant dans le sens d’une radicalisation, totale et irrémédiable. Radicalisation des convictions, radicalisation des projets. Qui permette d’en finir, enfin, avec l’illusion que la droite peut sauver quoi que ce soit dans le naufrage d’une société que nous sommes en train de vivre. Marion Le Pen, cette frêle jeune femme qui a révélé qu’elle était en acier trempé, a bien résumé la situation en déclarant : « Ils ont gagné une élection mais ils ont perdu leur âme (…) Il y a des victoires qui font honte au vainqueur (…) Ces régions que la gauche a fait gagner à la droite est un cadeau empoisonné (..) S’ils pensent nous effrayer, nous décourager, ils se trompent… Nous allons redoubler d’efforts et de combativité ».
    Alors que le chômage, la misère, l’insécurité, l’immigration-invasion vont continuer, immanquablement, à répandre toujours plus leurs ravages, il n’est plus temps de faire la fine bouche sur l’impératif de l’engagement car il existe, clairement, désormais en France, deux camps et seulement deux : les agents (et les victimes consentantes, bêlantes) du Système et les Patriotes. Quand l’ennemi est là, dans nos murs, nous ne sommes pas du genre à couper les cheveux en quatre et à discuter du sexe des anges. C’est pourquoi nous marchons au son du canon.

    Pierre Vial 

    http://www.terreetpeuple.com/terre-et-peuple-magazine-communaute-6/571-terre-et-peuple-magazine-n-66-hiver-2015/1371-editorial-tp-mag-n-66.html

  • Persécution anti-chrétienne et assassinat dans le camp de Grande-Synthe

    Daniel Hamiche relaie cette information (source), que les grands médias se garderont bien de diffuser. Ce n'est malheureusement une surprise pour personne ici car on pouvait s'attendre à ce que des réfugiés chrétiens se fassent assassiner dans les camps de migrants en France, étant donné ce qu'on sait qu'ils subissent en Allemagne :

    "Notre frère Daniel O. nous rapporte de terribles nouvelles de la situation des migrants dans nord de la France. Les chrétiens iraniens subissent des persécutions de la part des réfugiés musulmans. Deux pasteurs nous font part des conditions suivantes, au travers de deux courriels récents. Voici le premier courriel, d’un premier pasteur : « Nous avons  fait, à la demande des migrants iraniens, une réunion spéciale cet après midi à l’Église. Ils étaient une vingtaine de jeunes hommes. Attentifs et ouverts, plusieurs ont répondu à l’appel et 3 d’entre eux souhaitent être baptisés en nous expliquant que ça n’était pas possible en Iran. Nous confirmons que les chrétiens sont malmenés sur le site de Grande-Synthe où la majorité des migrants est musulmane. Un jeune chrétien  a eu le nez cassé, un autre a reçu 2 coups de couteau, et un autre encore après avoir été maltraité est introuvable. On a juste retrouvé quelques unes de ses affaires. Qu’est il devenu ?  [Il a été retrouvé mort après l’envoi de ce mail ; il a été assassiné] […]

    Voici le deuxième mail : « La situation des migrants chrétiens de Grande-Synthe est préoccupante et devient particulièrement critique. Nous avons dû prendre la décision, hier soir de loger une quinzaine d’entre eux, dans les locaux de l’Église. Car ils ont étés malmenés la nuit de lundi à mardi et plusieurs ont reçus des coups de couteaux… L’un d’eux a été tué la semaine passée aux abords du camp… Durant ces quinze derniers jours, plusieurs chrétiens de l’Église ont puisé sur leurs propres fonds pour les loger à l’hôtel ; mais cette solution ne peut être reconduite, (près de 800 € en moins de quinze jours ». C’est dans ce camp de Grande-Synthe (Dunkerque) que notre frère iranien a été assassiné pour sa foi. Je n’ai rien trouvé à ce sujet dans les médias. Ce sont des islamistes mafieux qui ont pris en otage le camp, négocient les passages en Angleterre et font même payer pour l’accès aux douches installées par la municipalité. Et dans ce camp on assassine en toute impunité les musulmans qui veulent bénéficier de la liberté de conscience et devenir chrétiens parce que, soi disant, le Coran l’interdit."

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html