insécurité - Page 771
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Ghislaine Dumesnil et Christine Tasin sur radio Courtoisie
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Gilbert Collard : "Quand des Français sont menacés par l’État islamique, cela fait rire les socialistes !"
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L'état des principaux camps qualifiés de « jungle » montre que la France n'a pas les moyens d'accueillir les clandestins
Jacques Bompard attire l'attention du ministre de l'intérieur sur la dégradation de la situation des camps d'immigrés en France :
"Le mardi 26 janvier 2016 a éclaté une fusillade au sein du camp de Grande-Synthe, aux portes de Dunkerque. Le bilan de la rixe fait état de cinq blessés, trois par balles et deux autres à l'arme blanche. Ce camp d'immigrés regroupe 2 500 personnes, dont 95 % de Kurdes. Comment alors s'étonner de la situation lorsque l'on constate l'état de ce camp situé sur un terrain boisé et marécageux rendant difficile, voire impossible, l'action des forces de l'ordre : une équipe du Raid, une brigade de gendarmerie mobile, un escadron de CRS et deux équipes cynophiles : il n'en a pas fallu moins pour opérer une perquisition dans le camp de Grande-Synthe. Des armes ont été retrouvées, confirmant le problème sécuritaire que représentent les immigrés et qui inquiète les Français depuis des mois. La « jungle de Calais », « le camp de la honte » portent ces noms pour une raison. Ils reflètent l'inquiétude des Français. Le réalisme impose la solution à la question des clandestins illégaux qui doit bénéficier d'une réponse faisant appel au bon sens. L'état des principaux camps qualifiés de « jungle » démontre que la France n'a pas les moyens d'accueillir les clandestins tout en assurant la sécurité de sa population. L'état de ces camps représente un danger pour les immigrés eux-mêmes. Les minorités chrétiennes de ces camps subissent les majorités musulmanes. Au camp de Grande-Synthe l'objectif à peine dissimulé des populations musulmanes est l'expulsion des chrétiens iraniens du camp, en témoigne le responsable syndical sur place : « il existe un réel problème entre les musulmans et les non musulmans » (Le figaro, 27 janvier 2016). Le constat est indiscutable : le problème vient de l'Islam majoritaire et toujours grandissant pour qui la cohabitation n'est pas envisageable. Des réseaux d'extorsion sont mis en place par ces islamistes qui négocient les passages en Angleterre et font payer l'accès aux douches installées par la municipalité (le bon combat, l'horreur au camp de réfugiés de Grande-Synthe). Le Gouvernement tourne encore une fois le dos à ses responsabilités et les grands médias se gardent bien de relayer ce type d'exactions. Dans cette perspective il est demandé au ministre de l'intérieur si la politique migratoire du Gouvernement compte changer radicalement d'orientation afin de remédier aux problèmes sécuritaires que posent les immigrés pour eux-mêmes et pour les populations françaises. Il s'interroge également sur le fait de savoir jusqu'à quand les ressources de forces de l'ordre seront gaspillées dans des missions que le Gouvernement ne leur permet pas d'exercer efficacement."
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Syrie : les rebelles de l’opposition « modérée » sont en train de perdre la guerre
Les rebelles syriens de l’opposition « modérée » sont en train de perdre la guerre et ils le savent. D’où leur peu d’appétence pour les discussions de Genève, patronnées par les Nations Unies et censées déboucher sur une solution politique à un conflit, qui, le 15 mars prochain, entrera dans sa sixième année. Sauf coup de théâtre stratégique, le rapport de force militaire et le contexte international leur sont désormais défavorables. La coalition occidentale, États-Unis en tête, concentre son effort contre Daech en Irak, laissant le champ libre - au-delà des condamnations politiques - à la Russie du côté syrien.
Le régime de Damas l’a également bien compris. Pour le représenter à ces pourparlers, il n’a dépêché à Genève qu’un simple diplomate professionnel, Bachar Djafari, son représentant permanent aux Nations Unies. Et celui-ci en est à plaisanter sur la situation créée par les incertitudes et le malaise de l’opposition : « Nous attendons Godot et Godot n’est pas encore arrivé ». Godot, c’est le HCN, le Haut comité pour les négociations, mis en place par l’Arabie saoudite et soutenu par la Turquie et la France. Le « coordinateur général » de l’opposition est Riad Hijab, brièvement Premier ministre de Bachar al-Assad en 2012. Il ne devrait participer directement aux discussions, le « négociateur en chef » désigné étant le salafiste Mohammed Allouche, qui, pour l’heure, préfère rester discret.
Que pèse cette opposition dite modérée ? Il n’est pas aisé de le savoir avec précision, tant sa définition elle-même pose problème. Si tout le monde s’accorde à en exclure le front al-Nosra, la branche syrienne d’al-Qaïda, la nature de groupe comme Ahrar ash-Sham ou Jaïsh al-Islam, très présents sur le terrain, pose problème du fait de leur idéologie salafiste ou extrémiste. « Il existe en Syrie une constellation de combattants très divers de l’ordre de 100 000 personnes, dont la France estime que 80 000 d’entre eux appartiennent soit à des groupes terroristes désignés comme tels par les Nations Unies, soit à des groupes salafistes extrémistes », indiquait récemment le général Didier Castres de l’état-major des armées, lors d’une audition au Sénat. Faites le calcul : 100 000 - 80 000 = 20 000 opposants qui ne sont donc ni « terroristes », si « salafistes extrémistes ».
Alors que ces groupes avaient militairement le vent en poupe jusqu’à l’été, l’intervention russe a changé la donne, à partir de septembre. Le Kremlin avait un objectif immédiat : empêcher la chute du régime. Cinq mois plus tard, il l’a atteint et plus personne n’estime aujourd’hui que Bachar tombera prochainement. Pour ce faire, l’armée russe a immédiatement concentré son action contre les forces qui menaçaient le plus directement le régime, c’est-à-dire celles de l’opposition non-Daech. [....]
La suite sur Secret Défense
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Interdiction de manifestations à géométrie variable : l’état d’urgence finira-t-il en quasi dictature ?
L’état d’urgence est une parfaite illustration de la façon dont les démocraties finissent : par glissements quotidiens, à coup de dénis et de protestations officielles de bonne foi et de forfaitures ahurissantes. La réaction des pouvoirs publics, aux abois sur un plan politique, face à des manifestations d’opposants, constitue une étape sur ce chemin de la dictature.
Là encore, il ne s’agit pas de défendre l’Action Française, mais de constater le glissement par lequel l’état d’urgence est désormais invoquer pour justifier de sévères entailles à la liberté de manifester.
Ce week-end, la préfète du département avait interdit la manifestation de Pegida qui a tout de même rassemblé quelques dizaines de personnes. Crédit Reuters
L’état d’urgence à Calais
Alors que les pouvoirs publics, obsédés par les problèmes parisiens et totalement indifférents aux difficultés des Français ordinaires, ont laissé s’installer une situation de non-droit à Calais, l’état d’urgence est désormais mobilisé pour mater les oppositions. Le 23 janvier, la préfecture autorisait une manifestation de migrants, qui a dégénéré. Voici ce qu’en disait la maire de Calais :
Le 23 janvier, lors d’une manifestation qui n’aurait jamais dû être autorisée, un groupe important de migrants a pu envahir le port et une partie d’entre eux ont même accédé à un ferry. Cet événement a montré la fragilité du dispositif de sécurisation du port, et démontré que la lande était hors de contrôle. Comme je ne peux accepter qu’une partie du territoire de ma ville ne soit pas sous contrôle, je demande au ministre de l’intérieur qu’on en sorte les gens qui n’ont rien à y faire et qui incitent les migrants à ce type d’action.
La maire faisait évidemment allusion aux militants no-borders qui ont infiltré les camps de réfugiés et y incitent à l’agitation. L’Etat ne cherche manifestement pas à les contrôler.
Ce week-end, la préfète du département avait en revanche interdit la manifestation de Pegida qui a rassemblé quelques dizaines de manifestants. Le leader du groupe, le général de la Légion Etrangère Piquemal, y a été arrêté et sera jugé en urgence ce lundi.
Il ne s’agit pas ici de défendre Pegida France, mais de pointer du doigt la partialité de l’Etat dans cette affaire, dont il ne sortira rien de bon.
L’état d’urgence à Marseille
Vendredi, une autre manifestation était interdite. Il s’agissait du rassemblement de l’Action Française sur la tombe de Charles Maurras dans le village de Roquevaire. On le voit : on est loin, ici, des logiques de manifestation dans des zones sensibles. Malgré tout, la préfète locale a invoqué l’état d’urgence pour restreindre la liberté de manifester :
« Ce rassemblement a suscité un appel à la contre- manifestation lancé par plusieurs associations et fédérations locales », précise la préfecture de police dans un communiqué.
Elle souligne que la « proximité des deux rassemblements » et une « récente série de heurts et agressions » impliquant des individus se réclamant de l’Action française font courir un « risque avéré de confrontation ».
Éric Verhaeghe
La suite sur Atlantico
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Interdiction-de-manifestations-a
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Calais: Prison ferme pour les prévenus et deux interviews-vidéo du général Piquemal
En Photo le comité de soutien aux prévenus de la manifestation de Pégida devant le tribunal de Boulogne-sur-Mer lundi. Plusieurs peines fermes ont été prononcées contre les quatre prévenus:
– Trois mois de prison ferme, mais aménageable, pour «Arnaud»
– Deux mois de prison ferme pour «Cédric
– Deux mois de prison avec sursis pour «Romain». (Source)
Cela semble bien lourd au regard de la mansuétude dont bénéficie les gauchistes pour leurs exactions, alors qu’ici les prévenus n’avaient même pas eu le temps de rejoindre la manifestation et n’ont donc rien pu faire, hormis d’avoir subi une fouille préalable qui a révélé qu’ils détenaient des objets suspects. Ils étaient venus protester contre l’envahissement de Calais par des clandestins qui y font régner leur loi.
Le général passera au tribunal le 12 mai. Ainsi aura-t-il le temps de préparer sa défense. Un temps que les quatre prévenus qui ont été arrêtés en même temps que lui n’ont pas eu. L’avocat du général se plaignait de ne pas avoir eu accès au dossier, il serait étonnant que les avocats des autres prévenus aient été mieux lotis. Cette justice expéditive qui aboutit à des peines de prison ferme est très inquiétante.
Deux interviews du Général Piquemal
Par ailleurs le général Christian Piquemal a donné deux interviews aujourd’hui qui semblent contradictoires; l’une à BFMTV qui laisse perplexe. Peut-être le général qui sortait de l’hôpital était-il un peu déboussolé ? Et l’autre à TVLiberté: bien dans la ligne de son attitude avant et durant la manifestation.
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Une jeune militante antiraciste sauvagement assassinée par le « migrant » qu’elle hébergeait
Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.
L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchistes dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.L’Africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans l’enquête sur le meurtre de l’étudiante américaine.
La jeune femme, originaire du Colorado, avait donné l’abri au clandestin dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il a été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait sujet à expulsion.
Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’étranger était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».
Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.
Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».
C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’Africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.
Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée à ses activités de routine, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendu dans son appartement.
Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.
Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.
Bien qu’il ait fui, la police a été capable de le pister via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.
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On nous manipule ?
A l’instar de Marine, Marion ou Florian, Bruno Gollnisch s’est ému de l’arrestation, samedi 6 février à Calais, du général Christian Piquemal, 75 ans, ancien dirigeant de la Légion étrangère de 1994 à 1999, ex président de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP). Il lui était reproché d’être présent à ce rassemblement pacifique, mais interdit, contre l’immigration sauvage, à l’appel notamment du mouvement allemand Pegida. En raison de son état de santé, l’audience du général Piquemal a été reportée au 12 mai. Le député européen FN a jugé également abusive cette interdiction de manifestation. Manifestations frontistes qui sont elles aussi dans le collimateur… de l’Etat islamique si l’on en croit le magazine francophone de cette entité, Dar al-islam, petite sœur de sa revue anglophone Dabiq. Dans son numéro 8 paru samedi, et succédant aux menaces habituelles contre la France, les Français, les enseignants mécréants, la communauté juive, les forces de l’ordre ou Alain Soral, Dar el islam dirige principalement ses attaques contre des associations et des personnalités musulmanes en France qui ne valident pas le djihadisme. Mais le FN est aussi évoqué parles fous d’allah
Dans l’éditorial de ce numéro de 114 pages, il est ainsi écrit : « la question n’est plus de savoir si la France sera de nouveau frappée par des attentats (…) Les seules questions pertinentes concernent les prochaines cibles et la date ». Les nationaux sont visés de façon directe à travers la publication d’une photo du défilé frontiste du 1er mai en l’honneur de Jeanne d’Arc , accompagnée de cette légende explicite : «Rassemblement d’idolâtres du FN. Des cibles de premier choix.»
De Renaud Dély au sénateur PS de de Côte d’Or François Patriat (« Voter FN, c’est voter Daech ! ») en passant par le Premier ministre, l’idée d’une collusion d’intérêts entre l’EI et une opposition nationale dont la victoire pourrait conduire «à la guerre civile » (dixit Manuel Valls) a été avancée à des fins de propagande. Pour faire peur dans les chaumières, un certain nombre de politiciens sont prêts à prononcer les formules les plus irresponsables ou imbéciles, à l’instar du très immigrationniste député PS Erwann Binet qui s’était interrogé sur l’absence de communiqué des égorgeurs de l’EI se félicitant des scores du FN au premier tour des régionales. Kolossale finesse…
Sur le site d’Europe 1, il est fait mention de la réaction du chercheur Romain Caillet qui relève que « c’est la première fois que les djihadistes visent spécifiquement des Français en fonction de leur opinion politique. (…). Pour Romain Caillet, il pourrait s’agir d’une réponse cinglante aux observateurs qui ont récemment assimilé montée du Front National et montée du terrorisme. (…). Ce slogan irresponsable a peut-être agacé les djihadistes, souligne le chercheur sur Twitter. Il s’agirait, donc, d’une forme de désolidarisation publique.»
Pour l’ancien du RPR et très controversé «spécialiste» Jean-Charles Brisard, actuel président du Centre d’analyse du terrorisme (CAT) « cette propagande s’inscrit dans la droite stratégie opportuniste de l’EI de créer des divisions au sein de la société française. En visant le parti le plus dur à l’égard des musulmans, l’organisation contribue à faire monter les communautés les unes contre les autres, à créer le chaos. Elle prouve aussi qu’elle suit les débats en France et veut montrer qu’elle connaît son ennemi .»
Autre invité récurrent des médias quand il s’agir de parler de terrorisme, l’universitaire islamologue franco-tunisien Moez Kouider, alias Mathieu Guidère, ancien précepteur du fils de l’émir du Qatar, Hamad Ben Khalifa al Thani, se demande pour sa part « s’il n’y a pas une volonté affichée de victimiser le parti d’extrême droite (sic) . Ceci, non sans arrière-pensées. Si une campagne se lance en France pour dire que le FN est menacé, qu’il faut le protéger et que le gouvernement approuve, le message pourrait être très mal interprété par les musulmans. Ce serait catastrophique car ils se sentiront stigmatisés par l’ensemble de la France. Le FN peut sortir renforcé », note l’universitaire, évoquant « une logique perverse » ».
Logique perverse qui est de notre point de vue surtout ici dans l’exégèse de M. Guidère, perversité mensongère qui caractérise aussi, trop souvent, les grands canaux d’information , ce dont les Français ne sont pas dupes . Le baromètre annuel La Croix-TNS Sofres, rendu public mercredi dernier, vient ainsi confirmer que les gros médias, relais principaux de l’idéologie progressiste, européiste commune, à quelques nuances prés aux Etats-Majors de LRPS, suscitent toujours une grande défiance. Selon cette enquête 64% des sondés (+6 points par rapport à l’année dernière) jugent que les journalistes ne résistent pas aux pressions des partis politiques et du pouvoir, ni aux pressions de l’argent (58%, +5 points).
Cette enquête pointe aussi la méfiance, très souvent légitime et justifiée, vis-à-vis des informations relayées sur la «toile». A peine un Français sur trois (31%) 31% pensent que les choses «se sont passées vraiment comme internet les montre». 71% affirment ne pas avoir confiance dans les informations qui circulent sur les réseaux sociaux.
A ce sujet le site du gouvernement accueille une page formellement assez réussie pour mettre en garde les jeunes contre les théories du complot et autres folles rumeurs. S’y trouve également une vidéo humoristique, relayée sur les réseaux sociaux (#OnTeManipule), qui indique assez clairement le segment spécifiquement visé par cette contre-propagande de l’Etat.
Le site du quotidien 20 minutes s’en est d’ailleurs offusquée : «La vidéo met en scène deux personnages, joués par le seul et même Kevin Razy, humoriste et youtubeur. L’un croit aux théories du complot, l’autre au contraire tente de lui ouvrir les yeux sur ces théories souvent fumeuses et infondées. Problème : les deux personnages sont pour le moins caricaturaux. Le premier, qui croit à l’omniprésence du complot, parle avec un accent caricatural (de « jeune de banlieue », NDLR) tandis que le second s’exprime dans un Français impeccable… »
C’est une évidence, des lémuriens aux petits gris, en passant par les rumeurs débiles et autres vidéos haineuses des djihadistes, la Toile abrite et véhicule bien des simplismes, des bêtises, des immondices constate Bruno Gollnisch. Mais elle permet aussi de diffuser des analyses, des informations que les médias, pour les raisons bien perçues par nos compatriotes dans le sondage précité, gardaient sous le boisseau.
Oui sur internet le pire côtoie le meilleur. Oui, internet donne aussi accès à une pensée non formatée, intelligente et étayée. Mais il s’agit de ne pas tout confondre, sciemment, dans la même opprobre, comme le font parfois les bien-pensants. Toutes les critiques contre les menées économiques, commerciales militaires, géopolitiques, atlantistes Etats-uniennes; tous les avertissements sur les offensives conceptuelles, idéologiques des cénacles mondialistes, ce qui est dénommé «nouvel ordre mondial » notamment sur le site du gouvernement, ne sont pas ridicules, paranoïaques et infondés. Ne dit-on pas d’ailleurs que la plus grande ruse du diable, qu’on nous pardonne cette référence religieuse, est de faire croire qu’il n’existe pas ? Peu ou prou ce que les grands médias nous rabâchent à longueur de journée… tout en diabolisant très souvent tous ceux qui ne pensent pas dans les clous.
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Le FN, cible de choix de Daech ?
Dans le dernier numéro de son magazine de propagande en français «Dar-al-islam», Daech évoque sur plus d'une centaine de pages les attentats de Paris, et les menaces à venir. Et l'Etat islamique s'en prend directement au Front national. Une photo du cortège annuel du 1er mai est accompagnée de cette légende: «Rassemblement d'idolâtres du FN. Des cibles de choix».
Le secrétaire national du FN, Nicolas Bay, a interpellé le premier ministre sur Twitter:
«Manifestations du FN dans la ligne de mire de l'État islamique... Satisfait Manuel Valls?»
Et Florian Philippot, il a tweeté:
«À travers le Front national, Daech s'en prend à la France».
On se souvient que des personnalités politiques avaient rapproché le FN et l'État islamique. «Voter FN, c'est voter Daech» avait déclaré l'ancien président de la région Bourgogne François Patriat. Le journaliste Jean-Jacques Bourdin avait établi sur RMC un parallèle entre l'organisation terroriste et le FN.
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90 terroristes seraient arrivés en France avec Abaaoud : crédible ?
Sonia qui a rencontré Abdelhamid Abaaoud affirme que le terroriste lui aurait déclaré être rentré en France avec 90 autres terroristes dans le but de perpétrer des attentats. Fanfaronnade ou vraie menace ?
90 terroristes infiltrés parmi les migrants, dans le sillage d’Abdelhamid Abaaoud ? Le témoignage de Sonia, fait froid dans le dos. Le coordinateur des attentats de novembre lui a ainsi laissé entendre qu’il était accompagné de 90 autres djihadistes, répartis « un peu partout en Ile-de-France ». Des Français, des Syriens, des Irakiens, mais aussi des Allemands et des Anglais, lui aurait-il confié.
Attentats de Paris : 90 terroristes seraient arrivés en France avec AbaaoudLa réaction des officiels de la DGSI a été de rapidement minimiser, voire démentir ces propos.
Les policiers n’y croient pas. Pour eux, Abaaoud a voulu impressionner sa jeune cousine ainsi que cette jeune femme.
explique Frédéric Crotta, en duplex depuis le siège de la DGSI. “Tout remonte à la Belgique. C’est là-bas qu’ont été conçus et préparer les attentats, dans une certaine improvisation puisque le terroriste n’avait aucune planque, aucun point de chute”, poursuit le journaliste, oubliant au passage que les terroristes avaient prévu de mourir « en martyr », rendant par là inutile les points de chute.
Pour autant, de nombreux policiers trouvent crédibles, sous couvert d’anonymat, les déclarations du djihadiste.
La cellule d’Abaaoud, une vingtaine d’individus, n’est qu’une infime partie de ceux qui sont entrés en Europe avec comme projet de commettre des attentats. Il y a d’autres cellules dormantes. Ce chiffre de 90 voudrait dire qu’il y aurait trois autres groupes dans la région. Le renseignement est malheureusement crédible.
explique, auprès de Metronews, un policier en poste dans un service antiterroriste.
Mais qu’il s’agisse en réalité de 25 ou 120 terroristes, le problème reste entier pour les forces de l’ordre : quand, par qui et où se produiront les prochaines attaques en France, s’interrogent les spécialistes. « On travaille à l’aveugle », commente une autre source policière. « La principale faute a été de ne pas imposer un protocole au niveau européen permettant de mieux suivre les mouvements d’entrée et de sortie. Aujourd’hui, on le paye », conclut-il, profitant de son anonymat pour tacler les manques flagrants de l’espace Schengen en termes de sécurité.
La priorité est aujourd’hui de protéger les frontières des pays européens, comme le réclame notamment Victor Orban et de développer une vraie coopération entre forces de l’ordre afin d’identifier les possibles fauteurs de trouble :
Ainsi, les directeurs des services de police de cinq pays (l’Autriche, la Croatie, la Slovénie, la Macédoine et la Serbie) ont-ils décidé d’un formulaire d’enregistrement commun. Un premier pas, mais ni l’Allemagne, principal pays de destination, ni la Grèce, principal point d’entrée des demandeurs d’asile n‘étaient à la table des discussions.http://fr.novopress.info/197922/90-terroristes-seraient-arrives-en-france-abaaoud-credible/