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insécurité - Page 853

  • Salafistes, Pegida et antifas en viennent aux mains à Wuppertal

    La situation est de plus en plus tendue en Allemagne. Samedi dernier, dans la ville de Wuppertal, se tenaient simultanément un meeting salafiste en plein air, une manifestation de Pegida et une manifestation de l’extrême gauche et des antifas. La police a eu bien du mal à séparer les différents groupes.

    http://www.medias-presse.info/salafistes-pegida-et-antifas-en-viennent-aux-mains-a-wuppertal/27763

  • Attaque du RER D, surtout n’en parlons pas ! (Présent 8318)

    Plus de 48 heures et un afflux de plaintes : c’est ce qu’il aura fallu attendre pour que la véritable « attaque de diligence » perpétrée dimanche par une vingtaine de « jeunes » contre une rame du RER D à Juvisy-sur-Orge, dans l’Essonne, soit enfin révélée aux Français par les médias !

    Attaque du RER D, surtout n'en parlons pas ! (Présent 8318)Nouveau « Far West »

    C’est à une scène digne du Far West qu’ont assisté, bien malgré eux, les voyageurs. Mais sans Wyatt Earp ni Wild Bill Hickok, hélas ! pour « défourailler ». Dimanche matin, vers 5 heures, une vingtaine de « jeunes » embarquent en effet à bord d’une rame arrêtée en gare de Juvisy. Très organisés, une dizaine d’entre eux monte immédiatement à l’étage, tandis que le reste de l’équipe s’occupe du rez-de-chaussée. Insultant les passagers et distribuant quelques gifles, ils extorquent téléphones portables, portefeuilles et argent liquide aux voyageurs, avant de prendre la fuite en descendant à Vigneux-sur-Seine.

    Une attaque qui n’est pas sans rappeler celle commise en mars 2013 dans un train en gare de Grigny. Qui avait d’ailleurs de quoi inspirer les voyous puisque, après avoir dévalisé une rame entière du RER, les « jeunes » impliqués n’avaient été condamnés qu’à des peines de prison avec sursis, des « avertissements solennels », une mesure de protection judiciaire ou encore 70 heures de TIG…

    Omerta

     

    A l’époque cependant, l’affaire avait fait du bruit. Or, dans le cas de Juvisy, rien. Il aura fallu attendre mardi soir pour que Le Parisien révèle ce scandale au public. Alors même que Valls était lundi dans le département. Même le maire UMP de Juvisy, Robin Reda, s’est plaint d’avoir appris la nouvelle « par la presse (…) alors qu’il existe une cellule de veille ». Et de s’interroger : « Pourquoi cette omerta ? Ça ne m’étonnerait pas que Manuel Valls ait voulu cacher le côté obscur de l’Essonne. » Il est vrai qu’à la veille de départementales qui devraient être marquées par un raz de marée FN, ni Valls ni Cazeneuve n’ont intérêt à laisser passer ces nouvelles de nature à conforter les Français dans leur choix, voire à convaincre ceux qui hésitaient encore à glisser pour de bon un bulletin FN dans l’urne.

    FRANCK DELÉTRAZ

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    http://fr.novopress.info/184268/attaque-du-rer-d-surtout-nen-parlons-pas-present-8318/#more-184268

  • À force de taper sur le FN, on finit par taper sur ses candidats

    La montée du FN est actuellement une nécessité vitale pour le régime. C’est la seule porte de sortie dont il dispose.

    À force de taper sur le Front national, on finit par taper sur ses candidats. Preuve en est la courageuse agression perpétrée sur une femme de 83 ans à Sartrouville : alors qu’elle collait, seule, des affiches sur un panneau électoral, cette suppléante a été prise à partie par deux « jeunes » qui l’ont frappée au visage et lui ont déversé son seau de colle sur la tête. La vieille dame n’a dû son salut qu’à l’intervention d’une institutrice qui s’est portée à son secours.

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  • Loïc Liber, tétraplégique, victime de Mohammed Merah et oublié de la République

    Loïc Liber appartenait au 17e régiment de génie parachutiste ; aujourd’hui, il a tenu à rompre son silence. Il y a trois ans, ce Guadeloupéen était la cible de Mohammed Merah, à Montauban. Ils étaient trois devant le distributeur de billets de la Société générale, situé à proximité de la caserne Doumerc, ce 15 mars 2012. Ils n’ont pas vu venir l’homme à moto qui, écartant une vieille dame, les a pris pour cible simplement parce qu’ils portaient un béret rouge. Loïc a été grièvement blessé, ses deux camarades de régiment – Abel Chennouf et Mohamed Legouad -, eux, sont morts sur ce trottoir, dans une petite ville française, sans comprendre.

    Le militaire rescapé est resté un temps entre la vie et la mort mais, finalement, cette dernière n’a pas voulu de lui : « Heureusement, la balle a traversé mon corps de travers », explique-t-il à Radio Outre-Mer. « Je me rappelle très bien de la scène, on était trois. Malheureusement cet homme – il refuse de nommer Mohammed Merah – est venu par derrière… C’est un geste lâche, parce qu’il n’a pas eu le cran de nous affronter face à face. Tirer dans le dos de quelqu’un, c’est se montrer lâche… Ça fait beaucoup de peine de savoir qu’on est le seul rescapé de cette tragédie », confie avec tristesse ce soldat.

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  • UK : des policiers accusés d’avoir couvert un réseau pédophile impliquant des politiques

    La police des polices britannique a annoncé aujourd’hui avoir ouvert une enquête à la suite de plaintes accusant des policiers d’avoir couvert les agissements d’unréseau de pédophiles impliquant des responsables politiques et des institutions publiques dans les années 1970-2000.

    Ces fonctionnaires sont soupçonnés d’avoir « supprimé des preuves, (…) ralenti ou interrompu des investigations (et) couvert des délits du fait de l’implication de membres du parlement ou d’officiers de police », écrit la commission indépendante sur les plaintes à l’encontre de la police (IPCC) sur son site internet. « Ce sont des accusations des plus graves », a jugé l’IPCC, qui compte étudier 14 plaintes.

    Une enquête de la police est par ailleurs en cours sur les abus d’enfants qui auraient été commis au cours de ces années.
    En décembre, une victime présumée, identifiée sous le nom de Nick, avait raconté aux enquêteurs comment lui et plusieurs autres garçons étaient conduits à différentes adresses de Londres et de la périphérie de la capitale britannique, y compris sur des bases militaires, où ils étaient abusés sexuellement par des groupes d’hommes.

     

    Il avait aussi accusé des députés et d’autres personnalités de premier plan d’être liées au meurtre de trois enfants, âgés entre 7 et 16 ans. L’été dernier, des révélations de presse confirmées par les ministères concernés avaient montré que 114 dossiers relatifs à des accusations de sévices sexuels infligés à des enfants entre 1979 et 1999 avaient disparu. Un de ces dossiers portait, selon la presse, sur l’implication de députés et d’autres personnalités politiques.

    Le premier ministre britannique David Cameron avait promis en juillet « de faire toute la lumière » et d' »explorer toutes les pistes pour découvrir la vérité sur ce qui s’est passé ».

    Source

    http://www.contre-info.com/uk-des-policiers-accuses-davoir-couvert-un-reseau-pedophiles-impliquant-des-politiques

  • Peine de mort ou perpétuité réelle ?

    Cela pourrait être une question que Marine Le Pen poserait aux Français par référendum :

    "Moi, à titre personnel, comme avocate (...), je pense qu'un système pénal ne peut pas tenir sans la peine capitale. Je pense que la disparition de la peine de mort a eu comme effet, en réalité, d'effondrer l'ensemble de l'échelle des peines et qu'aujourd'hui on se retrouve avec des délits ou même des crimes que je considère comme très graves et qui sont condamnés à des peines indignes au regard de la souffrance qu'ils ont pu créer chez la victime.

    J'ai dit que je ferais sur ce sujet un référendum où je demanderais aux Français de choisir entre le rétablissement de la peine de mort et la mise en oeuvre de la perpétuité réelle. La perpétuité réelle, réelle, réelle, c'est-à-dire celle où, quand on est condamné, on ne sort plus jamais de prison.

    Nous recevions au Parlement européen il y a deux jours le roi de Jordanie, qui a été encensé par les députés européens, par M. Schulz le président. Je remarque que le roi de Jordanie a mis en oeuvre la peine de mort il y a quelques jours, le jour où un pilote jordanien a été brûlé, il a appliqué la peine de mort à quelques djihadistes qui étaient dans ses prisons. Je remarque que là, pour le coup, quelqu'un qui applique la peine de mort, ça n'empêche pas l'ensemble de l'élite de l'applaudir. Les convictions de ces élites sont peut-être moins assurées qu'ils ne le disent"

    Contrairement aux idées reçues, et même si d'autres solutions sont préférables, l'Eglise n'exclut pas la peine de mort (CEC 2267) :

    "L’enseignement traditionnel de l’Eglise n’exclut pas, quand l’identité et la responsabilité du coupable sont pleinement vérifiées, le recours à la peine de mort, si celle-ci est l’unique moyen praticable pour protéger efficacement de l’injuste agresseur la vie d’êtres humains.

    Mais si des moyens non sanglants suffisent à défendre et à protéger la sécurité des personnes contre l’agresseur, l’autorité s’en tiendra à ces moyens, parce que ceux-ci correspondent mieux aux conditions concrètes du bien commun et sont plus conformes à la dignité de la personne humaine.

    Aujourd’hui, en effet, étant données les possibilités dont l’Etat dispose pour réprimer efficacement le crime en rendant incapable de nuire celui qui l’a commis, sans lui enlever définitivement la possibilité de se repentir, les cas d’absolue nécessité de supprimer le coupable " sont désormais assez rares, sinon même pratiquement inexistants " (Evangelium vitae, n. 56)."

    Philippe Carhon

  • L’an dernier, la police a moins patrouillé et a élucidé moins d’affaires

    La police a été moins efficace en 2014.

    Les attentats de janvier en France avaient un peu occulté le traditionnel bilan du ministère de l’Intérieur pour l’année 2014. Le Figaroa eu accès aux chiffres qui ne sont plus diffusés. Des statistiques qui nourrissent le «tableau de bord» personnel du premier flic de France, Bernard Cazeneuve, pour piloter ses services. On y découvre une situation pour le moins contrastée.

    Première surprise: alors que le gouvernement assène depuis des mois que la situation s’améliore sur le front de la délinquance, pour l’ensemble des forces de l’ordre, le taux d’élucidation – c’est-à-dire la capacité à mettre un nom sur un fait – diminue pour l’essentiel des indicateurs retenus dans la propre grille d’analyse de l’hôte de Beauvau, de l’homicide au vol (voir nos graphiques). L’Intérieur a pourtant soigneusement sélectionné ces indicateurs, qui recouvrent plus de 2 millions de crimes et délits au total, en raison de leur pertinence.

    La suite

    http://fr.novopress.info/184085/an-police-moins-patrouille-elucide-moins-daffaires/

  • En 2010, le coût du crime et de la délinquance a été estimé à 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB

    Le crime et la délinquance en France ont coûté 150 milliards d’euros.
    Cette estimation de l’Institut pour la justice prend notamment en compte les “conséquences de la criminalité”, les coûts “visant à l’anticiper” et le coût pour la collectivité de la lutte contre la délinquance.

    Le coût annuel du crime et de la délinquance est estimé sur 2010-2011 à 150 milliards d’euros, soit 7,5% du PIB, selon une étude publiée lundi par une association de défense des victimes. Avec cette étude, diffusée sur le site du Figaro, l’Institut pour la justice (IPJ) dit vouloir alerter les candidats à la présidentielle sur la nécessaire augmentation des dépenses publiques liées à la lutte contre la criminalité.

    “C’est tout particulièrement le cas du budget de la justice pénale, qui représente 5 milliards d’euros seulement alors que le coût économique et social du noyau dur de la criminalité (violences, crime organisé, vols, vandalisme et escroqueries) s’élève à 78,3 milliards”, estime l’association dans un communiqué. Cette étude a été réalisée par un économiste, Jacques Bichot, professeur émérite à l’Université de Lyon III et porte sur la période octobre 2010-septembre 2011.

    Elle prend en compte les conséquences de la criminalité (préjudice matériel, physique et psychologique des victimes), les coûts “visant à l’anticiper” (assurances, frais de protection privés) et le coût pour la collectivité de la lutte contre la délinquance (police, gendarmerie, justice), précise l’Institut.

    Selon lui, la méthodologie est la même que celle adoptée par les gouvernements britannique et canadien, qui ont publié des rapports sur ces questions et parviennent à des résultats comparables. L’IPJ avait déjà publié en mai 2010 une estimation du coût annuel du crime et de la délinquance, qui s’élevait alors à 115 milliards en 2008. Selon l’IPJ, la méthodologie a été affinée depuis et prend en compte notamment les infractions routières, écartées de la précédente étude.

    http://fr.novopress.info/184014/crime-et-delinquance/