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insécurité - Page 853

  • L’horreur islamique n’a pas d’âge: Témoignage de Marie-Jeanne Busceddu qui a assisté au massacre d’El Halia

    Cazeneuve Djihad

    El-Halia est attaqué entre 11 h 30 et midi le 25 août 1955.

    C’est un petit village proche de Philippeville, sur le flanc du djebel El-Halia, à trois kilomètres environ de la mer. Là vivent 130 Européens et 2000 musulmans. Les hommes travaillent à la mine de pyrite, les musulmans sont payés au même taux que les Européens, ils jouissent des mêmes avantages sociaux. Ils poussent la bonne intelligence jusqu’à assurer leurs camarades Degand, Palou, Gonzalès et Hundsbilcher qu’ils n’ont rien à craindre, que si des rebelles attaquaient El-Halia, « on se défendrait » au coude à coude.

    A 11 h 30, le village est attaqué à ses deux extrémités par quatre bandes d’émeutiers, parfaitement encadrés, et qui opèrent avec un synchronisme remarquable. Ce sont, en majorité, des ouvriers ou d’anciens ouvriers de la mine et, la veille encore, certains sympathisaient avec leurs camarades européens… Devant cette foule hurlante, qui brandit des armes de fortune, selon le témoignage de certains rescapés, les Français ont le sentiment qu’ils ne pourront échapper au carnage. Ceux qui les attaquent connaissent chaque maison, chaque famille, depuis des années et, sous chaque toit, le nombre d’habitants. A cette heure-là, ils le savent, les femmes sont chez elles à préparer le repas, les enfants dans leur chambre, car, dehors, c’est la fournaise et les hommes vont rentrer de leur travail. Les Européens qui traînent dans le village sont massacrés au passage. Un premier camion rentrant de la carrière tombe dans une embuscade et son chauffeur est égorgé. Dans un second camion, qui apporte le courrier, trois ouvriers sont arrachés à leur siège et subissent le même sort. Les Français dont les maisons se trouvent aux deux extrémités du village, surpris par les émeutiers, sont pratiquement tous exterminés. Au centre d’EI- Halia, une dizaine d’Européens se retranchent, avec des armes, dans une seule maison et résistent à la horde. En tout, six familles sur cinquante survivront au massacre.

    Cazeneuve-racines-chrétiennes-de-France

    Dans le village, quand la foule déferlera, excitée par les « you you » hystériques des femmes et les cris des meneurs appelant à la djihad, la guerre sainte, certains ouvriers musulmans qui ne participaient pas au carnage regarderont d’abord sans mot dire et sans faire un geste. Puis les cris, l’odeur du sang, de la poudre, les plaintes, les appels des insurgés finiront par les pousser au crime à leur tour. Alors, la tuerie se généralise. On fait sauter les portes avec des pains de cheddite volés à la mine. Les rebelles pénètrent dans chaque maison, cherchent leur « gibier » parmi leurs anciens camarades de travail, dévalisent et saccagent, traînent les Français au milieu de la rue et les massacrent dans une ambiance d’épouvantable et sanglante kermesse. Des familles entières sont exterminées: les Atzei, les Brandy, les Hundsbilcher, les Rodriguez. Outre les 30 morts il y aura 13 laissés pour morts et deux hommes, Armand Puscédu et Claude Serra, un adolescent de dix-neuf ans qu’on ne retrouvera jamais. Quand les premiers secours arrivent, El-Halia est une immense flaque de sang.

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  • Entretien avec Ken O'Keefe, militant pour la Vérité, la Justice et la Paix

  • Djihadisme: un mur de 168 km à la frontière tuniso-libyenne

    La Tunisie a annoncé la construction d'un mur à la frontière avec la Libye afin d'empêcher l'entrée des djihadistes dans le pays.

    Le premier ministre tunisien, Habib Essid, a annoncé ce mardi, dans une interview accordée à plusieurs médias tunisiens, le début de la construction d'un mur sur la frontière tuniso-libyenne. Selon le chef du gouvernement, ce barrage sera également composé de tranchées afin de constituer un obstacle aux islamistes venus de Libye, où s'entrainent les djihadistes avant de traverser les frontières pour commettre leur forfait en Tunisie.

    "Nous avons commencé à construire un mur et à creuser un fossé sur la ligne de frontière avec la Libye. La longueur du mur sera de 168 kilomètres. Le projet sera réalisé fin 2015", a déclaré Habib Essid.

    L'intention de construire un mur a été provoquée par l'attentat commis à Sousse le 26 juin, qui a bouleversé tout le pays. Les autorités tunisiennes ont déjà décrété l'état d'urgence sur l'ensemble du territoire pour 30 jours afin d'endiguer la menace terroriste. La mesure renforce les pouvoirs de l'armée et des forces de sécurité, en attribuant aux autorités le droit de restreindre le droit d'organiser des rassemblements et des mouvements de grève.

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  • USA : « 40 noirs lynchent un blanc » parce qu’il est blanc

    Une vidéo et un fait divers que l’on ne verra pas dans les médias français aux ordres. Par contre lorsqu’il s’agit de faire pleurer la ménagère sur le sort de gangsters noirs tués par la police américaine (tout comme les gangsters blancs), il y des candidats.

    Trouvé sur FDS :

    Une vidéo choquante, diffusée sur les réseaux sociaux, montre un homme inconscient entouré d’une foule de badauds qui ricane et se moque de lui.

    Cette vidéo a été filmée tard samedi soir dans Cincinnati juste après les célébrations du 4 juillet. L’homme a été attaqué par une bande de jeunes Noirs a rapporté un officier de police présent au moment des faits sur les lieux de l’agression.

    « J’ai été témoin d’une attaque sournoise à 40 contre 1, c’était 40 jeunes noirs qui se sont déchainés sur ce pauvre homme, Blanc. Il n’a rien fait de mal mis à part le fait d’être Blanc…« 

    Traduction résumée par Fdesouche, d’après l’article du New York Post

     

    Le rapport de police indique clairement qu’il s’agit d’une agression Anti-Blanc

    http://www.contre-info.com/

  • Christiane Taubira s'est opposée à la mise sur écoute des prisons

    Il existe un aspect peu connu de la construction  de la loi liberticide sur le renseignement adoptée le 24 juin dernier, qui permet au premier ministre de place sur écoute quiconque sur simple décision administrative. C'est que ces possibilités d'écoutes ne s'appliqueront pas dans les prisons françaises là où l'islamisme radical se développe si facilement...

    Et on doit cette exception à ...Christiane Taubira :

    "Guillaume Larrivé a vu rouge. Alors que côté opposition, il a été, avec Eric Ciotti, l'un des plus grands défenseurs du texte sur le renseignement voulu par le gouvernement, le député Les Républicains de l'Yonne a décidé de s'abstenir mardi matin et de ne pas voter le texte dont il est co-rapporteur, pour son application. Il s'insurge en effet que le renseignement pénitentiaire ait été sacrifié sur l'autel de la commission mixte paritaire et que «le statu quo demandé par Christiane Taubira sur le sujet l'ait emporté" (source)

    "Paradoxe suprême de la loi sur le renseignement adoptée le 24 juin : un usage potentiellement généralisé des interceptions pour traquer et prévenir le terrorisme, mais pas dans les prisons, là même où Chérif Kouachi achève de se radicaliser... Christiane Taubira, la garde des Sceaux, s'est opposée à ce que le service du renseignement pénitentiaire puisse procéder à la sonorisation des parloirs et des cellules" (source)

    Les violeurs, assassins et terroristes n'ont jamais connu un ministre de la justice aussi attentionné à leur égard.

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • France : vol de 150 détonateurs et d’explosifs sur un site militaire

    Terroristes ou bandits ? Les gendarmes enquêtent… Il est très inquiétant que l’armée française se fasse voler du matériel aussi sensible. Le manque d’effectifs lié à Vigipirate est-il pour quelque chose dans cette affaire ?

    Trouvé sur Valeurs Actuelles : Selon des sources concordantes, près de 150 détonateurs, une dizaine de pains de plastic ainsi que des grenades ont été volés dans la caserne du Bouches-du-Rhône, à Miramas. C’est hier lundi que des militaires s’en sont aperçus, mais la date de l’infraction n’est pas connue. Selon Europe 1, neuf bâtiments ont été forcés. La radio précise que cette caserne n’est pas entourée de mur et se présente davantage comme une plateforme logistique. Les individus seraient repartis « en perçant et en soulevant le grillage ». Frédéric Vigouroux, le maire de la ville a confié à France Bleu Provence : « Je n’ai eu que très peu d’informations mais c’est très inquiétant. Tous les services de l’Etat sont focalisés sur le dossier ».

    http://www.contre-info.com/

  • 12 millions de réfugiés syriens

    Mgr Samir Nassar, archevêque maronite de Damas, décrit la situation alarmante en Syrie :

    Chemin du Calvaire

    Il semble que la crise syrienne soit le drame humain le plus cruel depuis la deuxième guerre mondiale…Voici des chiffres dramatiques:

    • 4/5 des syriens vivent sous le seuil de pauvreté.
    • le nombre des réfugiés à l’intérieur et à l’extérieur de Syrie s’élève  à 12 millions.
    • 5,6 millions d’enfants ont été affectés par cette guerre dont trois millions sans école.
    • Plus de deux millions de logements démolis ou endommagés.
    • 6,2 millions de syriens auront du mal à se nourrir.
    • 300 000 blessés de guerre sont mortsdans les jours suivants  par manque de soins médicaux, l’exode des médecins et la pénurie de médicaments. Ce nombre dépasse le nombre des victimes ( 220 000 )
    • 91 églises et 1400 mosquées démolies.

    Ces chiffres sont  provisoires, car la guerre continue  et reste toujours sans issue. Sur le plan pastoral: baisse de la pratique religieuse jusqu’à 60% : 35 baptêmes en 2011..six en 2014. La peur, la violence et l’intolérance accélèrent l’exode même par voie clandestine, quitte à mourir noyés en quête d’un refuge quelconque loin de cet enfer.

    Chemin d’espérance

    Devant l’impasse et l’angoisse il fallait proposer un autre chemin…C’est ainsi que l’Eglise de Damas décide de passer à l’action en proposant deux chantiers:

    1) Au plan humanitaire:

    Mise en place de sept comités d’aide sociale qui couvrent l’ensemble des secteurs de  la ville et les proches banlieues. Ces équipes recensent les besoins et veillent sur la distribution des aides  à domicile dans la discrétion pour éviter les queues devant le bureau social et respecter l’anonymat des pauvres. Une belle initiative de solidarité menée par des pauvres  réfugiés qui veillent sur d’autres plus  pauvres. Deux équipes veillent sur le soutien scolaire et les malades chroniques et les personnes âgées…

    2) Au niveau ecclésial:

    Grâce à des prêtres héroïques, dans deux quartiers nous avons lancé l’aménagement d’un sous-sol et un appartement en lieux de culte. La cathédrale étant loin des fidèles, il fallait s’implanter à proximité des gens. Au moment où on détruit des églises et où on chasse les chrétiens, voici des chrétiens démunis  et en danger qui s’organisent pour construire deux petites chapelles.. Chacun donne ce qu’il peut ou offre son travail..D’autres prient un chapelet aux intentions de ces deux nouvelles églises…Un mouvement de joie et d’espérance envahissent les cœurs et les esprits. L’une des chapelles sera dédiée aux Martyrs de Damas. Il est vrai que ces chantiers n’avanceraient pas  beaucoup sans soutien financier de l’extérieur, mais le fait de réunir les fidèles autour de ces initiatives en ces jours douloureux, est en soi générateur d’Espérance Chrétienne et de Renouveau Spirituel.

    Devant la  guerre et la violence, Jésus nous dit  » Je suis la Porte » (Jn 10,9) et « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jn 14,6)"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’art de la guerre au nouveau Moyen Age

    La mondialisation comme nouveau Moyen Age : 
     
    • L’allégeance stato-nationale unique fait place à une pluralité d’allégeances tribales (mafias, diasporas, gangs, etc.). 
    • Il y a dissociation des rapports de droit et des rapports de fait : des institutions ayant pignon sur rue se vident de leur substance, des organisations informelles montent en puissance. 
    • On assiste à un retour d’une forme de darwinisme politique (en raison de la diversité et de la pluralité des formes d’organisation qui émergent) : ceux qui survivent ne sont pas les plus forts, mais ceux qui s’adaptent. 
    Conséquence : on ne se bat plus pour défendre des institutions (État, armée),mais une civilisation (Kultur), une communauté, des valeurs – la substance remplace l’instance. 
     
    On se bat comme on produit les richesses : 
     
    • Non plus de manière industrielle, massive et centralisée mais, selon les nouveaux paradigmes de la société de l’information, de façon décentralisée, en réseaux. 
    • La loi des petits nombres remplace la loi des grands nombres : c’est le retour de l’initiative individuelle. 
    Conséquence : du point de vue de la conduite de la guerre, le système d’arme dominant n’est plus lié à la haute technologie ou à la puissance de feu : ce sont les idées qui dominent d’après le leitmotiv – créer la culture, donner les moyens, laisser faire le travail. 
     
    La théorie du chaos : 
     
    • La vue globale n’est pas donnée a priori. 
    • Avec la complexité du monde actuel, le schéma d’ensemble découle a posteriori de l’accumulation de phénomènes apparemment sans lien avec les autres. 
    • Dans ces circonstances, le seuil critique une fois atteint, une simple perturbation – à première vue anodine – peut provoquer un véritable « raz de marée » (effet papillon) : fragilité des sociétés (pauvreté, no future) + fragilité des infrastructures (panne générale, catastrophe naturelle) + fragilité de l’Etat (dette publique, déficit budgétaire) = rupture de l’ordre social (Katrina, émeutes diverses). 
    Conséquence : une réponse étatique et centralisée est contre-productive, seul un système décentralisé, bottom-up, redondant et autonome peut faire face. 
     
    L’affrontement des volontés : 
     
    • Aujourd’hui, cet équilibre change d’échelle : l’affrontement dialectique des volontés (cœur de la stratégie) n’a plus lieu entre États ni entre armées, mais entre les individus eux-mêmes (terroristes, gangs, bandes criminelles). 
    Conséquence : l’individu remplace l’État en matière de défense et de sécurité(d’où l’importance de ce qu’on appelle les forces morales : motivation, fraternité d’armes, slogan). 
     
    La destruction de l’intérieur : 
     
    • A la menace d’un anéantissement de l’extérieur (invasion, occupation militaire étrangère, etc.) succède dorénavant celle d’une destruction de l’intérieur (prise en main des populations par le crime organisé ou les narco-trafiquants, insécurité et émeutes dégénérant en une situation de chaos généralisé). 
    Conséquence : du point de vue tactique, le schéma de raisonnement n’est plus celui de la concentration – fixation – anéantissement (schéma classique de la bataille réglée), mais bel et bien celui de dilution – imbrication – destruction. 
     
    • Objectif (Zweck politique) : c’est la civilisation qui est visée plutôt que l’État (choc des cultures, djihad) 
    • But (Ziel militaire) : vider l’État de sa substance (clans, gangs et bandes remplacent le peuple et la nation) 
    • Ennemi : ce n’est plus un autre État, mais un adversaire structuré en groupes et réseaux open source 
    • L’individu remplace l’État en matière de défense et de sécurité 
    • Les forces morales dominent 

    Bernard Wicht, Europe Mad Max demain ? Retour à la defense citoyenne

    http://www.oragesdacier.info/

  • Panique au ministère de l’Intérieur

    C’est la panique au ministère de l’Intérieur et personne ne peut s’en réjouir car cela n’est pas rassurant du tout. Jusqu’à maintenant, les attentats terroristes islamistes portaient la marque de djihadistes ayant séjourné en Syrie, en Iraq, au Yémen ou en Afghanistan. Or, voilà que Yassin Salhi, l’auteur de l’attentat de Saint-Quentin-Fallavier en Isère, fait voler en éclats un tabou. Oui, les salafistes présents sur notre sol et dont l’influence grandit dans les mosquées peuvent aussi passer au terrorisme par décapitation, type Daech. On les pensait radicalisés religieusement mais inoffensifs. On avait « oublié » qu’il s’agit d’un mouvement sunnite revendiquant un retour à l’islam des origines fondé essentiellement sur le Coran et la Sunna (charia). Et patatras, nous voilà dans la mouise. Il ne manque plus que la survenance d’un attentat dont l’auteur sera un « migrant » envoyé par Daech, inconnu des services de renseignement – événement fort probable – et la panoplie sera complète.

    Notre inquiétude est légitimement accrue par le manque total d’indignation collective, claire et forte des musulmans de France, genre manifestation du 11 janvier, concernant la décapitation de Saint-Quentin-Fallavier. Aucun communiqué, non plus, sur le site du CFCM. Même les Français semblent résignés et faire preuve d’une résilience coupable.

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