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insécurité - Page 851

  • Loi sur le renseignement : la surveillance de masse approuvée par les députés

    Non, il ne s’agit pas d’un poisson d’avril. Mercredi soir – soit un 1er avril -, le projet de loi sur le renseignement a été adopté à l’unanimité par la commission des lois de l’Assemblée nationale, dans un hémicycle quasiment vide.

    Sous prétexte de lutte contre le terrorisme, les députés ont ainsi validé la mise en place d’une surveillance de masse des citoyens français.

    Voici donc quelques dispositions qui font froid dans le dos :

    Avec ce projet de loi, les enquêteurs et agents pourront effectuer en toute légalité des “interceptions de sécurité” portant sur les contenus des courriels et des conversations téléphoniques, uniquement s’ils sont en lien direct avec l’enquête. Le texte prévoit aussi le recours à de nouvelles technologies permettant aux agents de poser micros, balises, caméras espions partout où ils l’estiment nécessaire. Ils pourront également capter en direct de ce qui est tapé sur un clavier en temps réel.

    La CNIL et de nombreuses associations ont fait part de leurs craintes. Sur les pouvoirs accordés aux services de renseignement, même le juge antiterroriste Marc Trevidic a jugé leur champ “extrêmement large”.

    http://fr.novopress.info/185069/loi-renseignement-surveillance-masse-approuvee-les-deputes/

  • Manuel Valls perd encore ses nerfs à l'Assemblée

    Suite à une question du député UMP Marie-Louise Fort sur la pédophilie d'un directeur d'école :


    La grosse colère de Manuel Valls contre la... par LCP

    Michel Janva

  • RATP : "Cette neutralité est une complicité avec celui qui massacre"

    Sur le Figarovox, l'abbé Grosjean dénonce la "neutralité" de la RATP :

    "[...] Annoncer que ce concert était offert au profit de ces chrétiens d'Orient est «une information se situant dans le contexte d'un conflit armé à l'étranger et (…) le principe de neutralité du service public qui régit les règles de fonctionnement de l'affichage par Métrobus, trouve en effet dans ce cas à s'appliquer

    Vous avez bien lu. Pour la RATP, les Chrétiens d'Orient sont juste un camp face à l'autre, un camp pour lequel on ne peut pas prendre parti.[...] Entre Daesh et ses victimes, elle veut rester «neutre». Cette neutralité-là est impossible.Cette neutralité est une complicité avec celui qui massacre, contre l'innocent qui est massacré. Cette neutralité rappelle celle de Pilate et de tous ceux qui l'ont suivi depuis 2000 ans, se lavant les mains des massacres commis, et fermant les yeux sur le sort des victimes, pour ne pas faire de vagues ni perdre leur poste.Cette neutralité est indigne d'un groupe comme la RATP, elle révolte sans aucun doute nombre de ses agents qui ont pleuré avec tous nos compatriotes les victimes de l'horreur terroriste. Cette neutralité-là est une insulte à la France, qui a toujours mis sa fierté à défendre les droits de l'homme, et particulièrement des minorités persécutées, partout dans le monde.Plutôt que de reconnaître humblement et simplement une erreur d'appréciation, la RATP s'enfonce et finit par justifier l'injustifiable.Quel aveuglement et quelle mépris a-t-il fallu à celui qui a donné l'ordre de rayer de l'affiche cette mention des Chrétiens d'Orient! Et à ceux qui ont rédigé ce communiqué? Pensaient-ils faire taire la voix des persécutés, réduire au silence la communauté chrétienne, et au delà des Chrétiens, tous ceux qui sont émus par le sort des minorités martyrisées en Orient, en invoquant le principe de «neutralité»? [...]

    Pierre Mongin, président de la RATP, se retrouve ce jour devant trois questionsauxquelles il doit répondre pour faire cesser le trouble:

    -valide-t-il ce communiqué ou reconnaît-il une erreur bien regrettable mais du coup pardonnable? 

    -pense-t-il qu'on puisse être «neutre» devant le massacre des chrétiens persécutés? Entre Daesh et ses victimes, la RATP peut-elle revendiquer un principe de neutralité?

    -serait-ce le mot «chrétiens» qui gêne certains, comme pourrait le laisser penser, dans un premier temps, le recours à l'argument de la laïcité?

    Il faut espérer qu'il aura à cœur de nous rassurer et de réparer ce scandale, avant qu'il ternisse pour nous tous la joie de Pâques!"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentats de Tunis, une stratégie globale – Par Guillaume Faye

    Le massacre du musée Bardo de Tunis n’est que la continuation logique d’une guerre qui commence en Europe et à ses portes, menée par l’islam radical, et qui implique de plus en plus une partie des populations musulmanes immigrées. Cette attaque militaire au fusil d’assaut est la suite de celles de Bruxelles, Paris et Copenhague, selon une fréquence désormais soutenue. Comme je le prévoyais dans un récent article, la série noire continue et va s’amplifier.

    Un acte de guerre inscrit dans une stratégie globale

    Les moudjahidines visaient d’abord à tuer des Européens (20 touristes abattus, de nombreux blessés), mais aussi à déstabiliser la Tunisie (1), le seul pays musulman qui essaye d’instituer une fragile démocratie, où le ”printemps arabe” n’a pas complètement échoué, où une bonne partie de la population est révulsée par l’islamisme et où le parti Ennahda a échoué à monopoliser le pouvoir.

    Les islamistes de ce parti qui se présentent comme des ”modérés” méritent toutes les méfiances. La duplicité est leur loi, comme en Turquie, avec le parti d’Erdogan au pouvoir. Refusant la distinction entre islamistes modérés et radicaux, la militante laïque syrienne Randa Kassis, explique « Islamisme rime avec obscurantisme. Un islamiste modéré n’est guère moins dangereux qu’un islamiste radical. Le premier manie parfaitement l’art de la dissimulation afin d’instaurer, lui aussi, un État islamique, avec la même volonté d’asservir tous ceux qui refusent de se soumettre ».(2)

    L’attentat de Tunis, le plus meurtrier dans le pays et le premier au cœur de la capitale, dans l’enceinte même du Parlement, a été commis par des tueurs tunisiens formés au combat ; il a été revendiqué par l’ État islamique, Daech,  qui ronge la Syrie et l’Irak et qui, en compétition avec les groupes d’Al-Qaida, suit une stratégie sanglante et méthodique. Celle-ci vise à installer l’islam radical sunnite de type archéo-médiéval, totalitaire et seul jugé authentique (le ”Califat ”), dans le monde musulman d’abord, mais aussi dans une Europe en proie à une immigration de masse où les jeunes populations musulmanes allochtones se radicalisent.

    Outre la submersion démographique progressive, l’objectif est à terme (l’islam a le temps, pas comme la mentalité occidentale noyée dans le présentisme et l’immédiateté) la destruction de la civilisation européenne pour la remplacer par le Dar al-Islam . Complètement aveuglés, nos dirigeants parlent de ”terrorisme”, sans oser nommer ou comprendre ce qu’il y a derrière : une stratégie de conquête et d’instauration de la charia totalitaire islamique.

     

    3.000 combattants musulmans venus des rangs des immigrés en Europe sont partis rejoindre Daech. 600 sont déjà revenus (il y a un sinistre ”turn over”) et vivent comme des poissons dans l’eau ici même, dans un milieu qui épouse leur cause, les protège et leur sert de logistique et de base de recrutement.

    La nation française désignée comme ennemi

    Dans une note confidentielle, le Service central de renseignement territorial (SCRT) observe un « repli communautaire plus marqué depuis les attaques contre Charlie Hebdo et l’HyperCacher  » Le rapport de police, révélé par Le Parisien, précise  que les « communautarismes identitaires et religieux s’affichent de façon plus évidente »dans les ”zones sensibles” du territoire français.

    Donc les attentats de janvier 2015 ont encore accru l’hostilité envers la France et l’attachement au djihad. On mesure la naïveté sidérante des manifestations ”Je suis Charlie”. Les jeunes musulmans y ont d’ailleurs très peu participé, beaucoup approuvant les attentats. Le SCRT a noté « une faible représentation de la communauté musulmane à Marseille » à ces manifestations. Ils ont moins manifesté que les musulmans à Tunis, après l’attaque du musée ! Preuve que la radicalisation des musulmans issus de l’immigration en France (notamment les jeunes), comme en Belgique, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni est plus forte que celle des musulmans de Tunisie ! Le SCRT note aussi « une poussée du courant salafiste dans le Var » depuis les attentats de janvier. Tout cela démontre que ces attentats ont bel et bien porté leurs fruits et rempli leur objectif  auprès d’une population  inassimilable : exalter, pousser à la guerre, radicaliser, fanatiser.

    Sans mâcher ses mots, Yves de Kerdrel écrit : « Notre démocratie, baignée d’angélisme et gangrénée par des élites qui préfèrent le multiculturalisme à la nation, a bien du mal à s’adapter à cette guerre de religion ». Puis il ose cette comparaison :«  Les jeunes filles qui vont à l’université coiffées d’un voile le font pour revendiquer une identité. Elles le font par soumission aux règles des cités où elles résident et aux lois des ”grands frères ” qui y sèment la terreur. Ce n’est pas seulement un refus d’intégration, c’est une forme de racisme anti-français. Et toutes proportions gardées, il n’y a pas de différence entre ce gamin de 12 ans qui part de son collège à Toulouse pour mener des exécutions de sang-froid et ces jeunes filles qui revendiquent le port du voile à l’université avec l’encouragement de professeurs aveuglés par le démon du multiculturalisme ». (Valeurs Actuelles, 19-25/03/2015)

    Propagande sanguinaire comme technique de communication

    Le 10 mars, une vidéo diffusée par EI/ Daech sur Internet montrait en effet un garçon de 12 ans en djellaba qui abattait puis achevait au pistolet un Arabe israélien soupçonné d’être un agent du Mossad, au cri de « Allah Akbar ! » Il s’agit de Rayan, un jeune maghrébin de nationalité française, scolarisé à Toulouse et parti en Syrie. Derrière lui se tenait pour l’encourager celui dont il est le beau-fils, un barbu au regard exalté, Sabri Essid, qui prononça la sentence de mort en français en faisant référence à l’HyperCacher où Coulibaly avait commis son massacre. C’est le demi-frère du tueur Mohamed Merah (auteur en 2012 de 7 meurtres de juifs et de militaires) dont il avait organisé l’enterrement. Il n’a jamais été  interrogé par la DGSI, le service de renseignement intérieur, débordé. Il fait partie du milieu salafiste de la région de Toulouse et a rejoint la Syrie sans problèmes avec sa femme et ses quatre enfants.

    Plusieurs vidéos comme celle-ci ont été visionnées près d’un million de fois dans le monde. Dans certaines d’entre elles, les moudjahidines font connaître leur programme : s’aguerrir en Irak et en Syrie et revenir en Europe pour semer la terreur et  « s’offrir le martyre ». Très inquiétant : des enfants et pré-adolescents fanatisés sont souvent filmés. L’un d’eux, Abdullah, menace en fixant la caméra : « je serai votre égorgeur, ô mécréants, je serai un moudjahid, si Dieu le veut ». Diffusée en janvier 2015, une vidéo de 7 minutes montre un enfant bourreau qui abat deux hommes entravés, présentés comme des ”espions russes ”. Sur une autre vidéo, on voit un jeune combattant de Daech accroupi, avec treillis et turban, kalachnikov posé sur les genoux, qui brandit un poignard et menace, en français, avec l’accent des banlieues. Il promet un carnage, utilisant un argumentaire djihadiste sommaire (c’est un pléonasme), éructant de haine. Une vindicte revient souvent, s’adressant à la fois aux ”mauvais musulmans ”, supposés collabos, et aux Occidentaux : « nous reviendront vous tuer, vous, tous les tarouts (impies) ». C’est une déclaration de guerre.

    Ces vidéos de propagande ne peuvent que se multiplier et inonder la Toile. Elles sont un puissant facteur de recrutement et de fanatisation, notamment en France. La technique psychologique utilisée contre les ennemis (dans le monde musulman et maintenant en France et en Europe) est celle de la sidération par la terreur, en vue d’obtenir la soumission, si possible sans combattre vraiment, par intimidation. Avec le binôme : attentats et grignotage démographique.

    Une nouvelle forme de guerre

    Chaque nouvel attentat crée du fanatisme, de l’enthousiasme, attise le besoin de passer à l’acte. Il mobilise, il exalte, il suscite des émules. Les exploits sanguinaires diffusés sur la Toile font chauffer un peu plus la bouilloire de ce fanatisme islamique, dont les ressorts – ce qu’on n’ose jamais dire – sont en grande partie ethniques. C’est une réalité sociologique qui s’impose d’autant plus qu’on la dissimule. Le peuple le sent parfaitement alors que l’oligarchie s’acharne à le nier. Le déni de réalité est le visage de la trahison des clercs.

    Dans deux ou trois ans, en France, en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas , en Espagne et dans d’autres pays de l’UE, on vivra peut-être au rythme d’un massacre par jour ou de plusieurs simultanés, alternant bombes, tueurs suicidaires, attaques au fusil d’assaut et à l’arme de guerre. Les forces de sécurité et de renseignement sont déjà débordées.

    De plus, on note un mélange explosif associant djihadisme et criminalité, impliquant notamment le trafic de drogues, les violences de délinquance, les émeutes, l’économie mafieuse souterraine, l’extension des zones de non-droit ”défrancisées”, la constitution de stocks d’armes. Les États européens sont totalement impuissants face à cette menace intérieure, avec leurs frontières passoires et leurs législations laxistes. Les avions français qui vont jeter quelques bombes au dessus de EI/Daech au Moyen-Orient, est-ce bien utile ? Les maigres troupes envoyées en Afrique, est-ce la solution ? C’est possible, mais en tout cas, c’est insuffisant.

    La guerre est chez nous et c’est là qu’il faut combattre et se défendre. Cette guerre larvée qui commence a déjà un coût, non seulement financier mais surtout psychologique. Cette stratégie de la tension plombe le moral de la nation, en diffusant un sentiment de méfiance, d’insécurité, de pessimisme.

    Nous sommes en proie à une invasion par le bas, à une guerre d’un type nouveau, à la fois démographique, criminogène, ethno-culturelle et religieuse, et terroriste. Nous ne la gagnerons qu’en changeant radicalement de méthodes et de paradigme, c’est-à-dire en prenant le problème à  bras-le-corps, en s’attaquant à la cause centrale : l’immigration.

     NOTES :
    1) La cible est le tourisme qui représente en Tunisie 7% du PIB et 400.000 emplois,  sans compter les emplois indirects. Les Frères musulmans avaient en Égypte le même objectif, en attaquant les sites touristiques : casser un secteur économique majeur pour engendrer le chaos, préalable à la prise du pouvoir.

    2) Entretien dans Valeurs Actuelles par Frédéric Pons. 19-25/3/2015. Randa Kassis cosigne avec Alexandre del Valle, Le Chaos syrien, Dhow Éditions.

    Guillaume Faye

    http://fr.novopress.info/184995/attentats-tunis-strategie-globale-guillaume-faye/

  • Sahel : les coups de râteau de l’armée française

    Après les grands « coups de marteau » sur la tête des djihadistes en 2013, l’armée française est passée à une stratégie des « coups de râteau », explique-t-on à l’état-major des armées.

     

    C’est beaucoup moins spectaculaire, mais, alors que la situation budgétaire se tend à Paris, les militaires ressentent le besoin d’expliquer ce qu’ils font désormais en plein milieu du désert. 3300 hommes y sont déployés dans le cadre de l’opération Barkhane, le nom du dispositif français au Sahel.

    « Nous menons des opérations en permanence ; ça ne s’arrête jamais » indique une source militaire. « Il s’agit d’entraver les flux logistiques des groupes armés terroristes (GAT) et de leur dénier la liberté d’action ». Le théâtre est immense : 2000 kilomètres entre la frontière Niger-Libye au nord-est et celle entre le Mali et la Mauritanie, au sud-ouest, où des actions ont conduites par l’armée française avec ses partenaires régionaux. Mais c’est toujours au nord du Mali, dans le massif des Iforas, entre les villes de Kidal et de Tessalit, que se concentrent les opérations les plus dures, conduites par la seule armée française. Depuis le début de l’année, pas moins de huit opérations ont ainsi été menées dans la bande sahélo-saharienne. Toutes s’inscrivent dans le cadre de l’opération Barkhane.

    La dernière, baptisée Tigharghar, vient de s’achever cette semaine dans ce massif des Iforas, où des combats très durs avaient eu lieu au printemps 2013. Deux ans plus tard, l’armée française a dû y retourner. En 2013, il s’agissait de déloger les combattants ennemis, au nombre de 1500 à 2000, qui s’y étaient retranchés ; Aujourd’hui, cette région de petite montagne, vaste comme la Haute-Savoie, est « une zone de passage et de stockage » logistique pour 100 à 200 « terroristes ». Fin février, 770 militaires français, appuyés par une quinzaine d’hélicoptères, y ont été engagés pour « reconnaître, contrôler et fouiller » la région. C’est ici que s’est déroulé, le 2 mars, le seul récent combat contre un groupe ennemi, au cours duquel quatre « terroristes » ont été tués, les autres prenant la fuite. « Ils fuient les combats » expliquent une source française, précisant qu’ils préférant le harcèlement des bases militaires avec des tirs de roquettes ou les attentats terroristes, comme à Bamako le 7 mars. La cinquantaine de sites fouillés a permis de découvrir des munitions stockées sur place, dont les explosifs servent à la fabrication de mines (IED). [....]

    La suite dans Secret Defense

    via http://www.actionfrancaise.net/craf/?Sahel-les-coups-de-rateau-de-l

  • POLICE PARTOUT : SECURITE NULLE PART !

    C’est le constat amer que l’on peut dresser quand on se souvient du cruel bilan des attentats de la gare Atocha à Madrid en mars 2004 et ceux de Londres en juillet 2005.  En Espagne effectivement, les forces de l’ordre connaissaient le terrorisme basque depuis plus de 30 ans, alors que dans la capitale anglaise, des dizaines de milliers de caméras observaient le moindre geste suspect.

    Il en va de même aujourd’hui avec les déploiements de l’armée aux abords des synagogues, des mosquées, des bâtiments publics ou de lieux à forte concentration populaire.

    Partout en Europe les gouvernements ont sorti leur panoplie hystérique et brandissent le bouclier « Padamalgam » afin d’empêcher le peuple de désigner l’ennemi, puisque selon eux, la guerre au terrorisme est déclarée. Car enfin, de Merah à Coulibaly en passant par Nemmouche et Kaouchi, ce ne sont pas des bouddhistes fanatiques, mais bien des musulmans (grands criminels multirécidivistes) qui sont les auteurs des récentes tueries au nom de « Allah Akbar ! » confirmant ainsi la relance d’une guerre de religion ancestrale. On remarque par ailleurs que le plan Vigipirate n’empêche en rien les bandes de racailles de dévaliser les passagers du RER et de poignarder les plus faibles pour quelques euros.

     

    « Je suis Charlie », « Je suis danois », « Je suis Bardo» : OUI. « Je suis Maaloula », « Je suis Maïduguri », « Je suis Sanaa » : combien de bougies, combien de manifs… ? ? ? 

    A croire que les lunettes roses des laquais du Nouvel Ordre Mondial occultent les persécutions et les assassinats que subissent les chrétiens -et d’autres- dans l’arc musulman depuis 50 ans. Au nom du « vivre ensemble », les pantins européens nous imposent leur vision frelatée d’une société multiculturelle et pluriethnique qui se désagrège au fil du temps.

    Cà et là, quelques courageux polémistes, intellectuels et criminologues tentent d’établir une analyse accablante sur les conséquences néfastes de l’envahissement de l’Europe par des individus qui ne cherchent ni à s’intégrer ni à s’assimiler à nos sociétés fondées sur des traditions, des us, des coutumes et des règlements hérités d’une culture et d’une civilisation européenne multiséculaire. Il en va de même pour une grande partie d’immigrés nés sur notre sol, qui revendiquent des comportements et des usages incompatibles avec nos lois.

    Plus grave : les marionnettes pseudo-humanistes interdisent toute forme de contestations et refusent le débat des idées, au motif que seules leurs valeurs « citoyennes » seraient acceptables. Ils vivent dans une sphère aseptisée, hors des réalités du quotidien, entre initiés, seuls détenteurs de la vérité. Ils ignorent le mécontentement populaire, l’exaspération des citoyens et le désespoir de ceux « d’en-bas ».

    Et cela ne date pas d’hier. En désignant les volontaires partis faire le djihad en Irak, en Syrie (après avoir désigné Bachar Al-Assad comme « l’homme à abattre »), en Lybie, au Mali ou ailleurs, comme étant des terroristes, ils oublient que lors de précédents conflits en Afghanistan en 1980, en Irak en 1991, en Tchétchénie en 1991, en Bosnie en 1992, au Kosovo en 1998, à nouveau en Afghanistan en 2002 et encore en Irak en 2003, des milliers d’européens étaient partis combattre aux côtés des islamistes au nom « d’Allah le Tout Puissant ! ». Certains de ces djihadistes sont restés sur place, mais la grande majorité est rentrée en Europe. Combien de tueries ont-ils commis chez nous ces 30 dernières années ? Combien d’attentats à la bombe ou à la voiture piégée comme au Proche-Orient ?

    La 5ème colonne n’est pas à Damas, à Mossoul ou à Tunis, elle s’est déjà formée dans nos banlieues avec la complicité de nos politicards. Ces collabos de l’immigration/invasion, ceux-là mêmes qui depuis des décennies ont vidé les églises pour remplir les mosquées (qui forment et informent les futurs « terroristes ») et nous imposent la nourriture hallal dans les cantines, afin de complaire à de futurs électeurs ; ces clowns tristes responsables du déclin et de la décadence de nos pays ont imaginé maintenant des quartiers d’isolement pour islamistes dans nos prisons et une nouvelle restriction pour tous de la liberté d’expression.

    Mais à ceux qui pensent que le problème commence en prison, je dis NON, il commence, pour certains, en classe primaire. Touche pas à mon pote ?

    Pieter KERSTENS.

    NB : ce fut un véritable régal de voir les contorsions verbales de tous les ténors de la secte politico-médiatique le soir du 22 mars face aux nets progrès du F.N…quelle réjouissance !

  • Bombardement de la Serbie : un triste anniversaire que les Européens oublient de fêter…

    C’était, il y a 16 ans, c’était en mars 1999… l’Otan sous les ordres des Etats‑Unis et la complicité effective des gouvernements européens déclenchait le bombardement de la Serbie.

    80 jours, 80 nuits de bombardement pour imposer la partition du Kosovo, berceau de la nation serbe, et son transfert à l’organisation mafieuse UCK.

    Cette opération “humanitaro‑militaire” violait plusieurs lois et conventions internationales, et pour quel résultat ?

    La moitié de la population kosovare est au chômage, un tiers de ses habitants vit avec 1,5 $ par jour, plusieurs des leaders politiques kosovars issus de l’UCK sont suspectés de crimes de guerre ou d’avoir participé à des trafics d’organes, la région est devenue une plate-forme des trafics d’armes, de drogue (40 % de l’héroïne consommée en Europe vient du Kosovo), d’êtres humains, etc. Et la population musulmane kosovare fuit en masse le Kosovo pour coloniser le reste de l’Europe.

    Dans cette histoire, la France a trahi son fidèle allié serbe, et quittant une diplomatie gaullienne a adopté un interventionnisme pseudo humanitaire plus que contestable…

    Comme le chante In Memoriam, l’histoire est un éternel recommencement, le Kosovo a ainsi ouvert la voie à la Libye, l’Ukraine… et demain ? La Seine‑Saint-Denis ?

    http://fr.novopress.info/184834/bombardement-serbie-triste-anniversaire-les-europeens-oublient-feter/

  • Guerre en Syrie : les commandos féminins de Bachar al-Assad en première ligne

    Le conflit en Syrie, qui dure depuis plus de quatre ans, voit de nombreuses femmes en première ligne. Que ce soit dans les rangs des rebelles, des Kurdes - comme les unités de femmes peshmergas - ou dans les rangs de l'armée syrienne de Bachar al-Assad. Plongée dans le quotidien des commandos féminins de la garde républicaine. 
     
    Assises sur un plancher surélevé en tôle, un fusil de précision russe à la main, les deux meilleures tireuses embusquées de l'armée syrienne guettent leur «proie» dans le quartier de Jobar à Damas. 
     
    La sergente Rim, 20 ans, et la sergente chef Samar, 21 ans, appartiennent à la 1re brigade des commandos féminins de la garde républicaine du régime de Bachar al-Assad.
     
    Cette unité d'élite, rencontrée par les journalistes de l'AFP, est en charge du front le plus difficile, face à des rebelles déterminés dans le triangle Jobar-Zamalka-Aïn Tarma, trois zones de l'est de la capitale. 
     
    Devant elles, un trou d'où dépasse seulement leur arme, un fusil de précision SV-98. En face, des immeubles en ruines, des maisonnettes démembrées, des carcasses de voitures. Il semble qu'il n'y ait pas âme qui vive sur ce champ de bataille. Mais l'apparence est trompeuse : le sol est traversé de tunnels et la mort rôde derrière chaque bâtisse. 
     
    Leur commandant les présente comme les plus fines gâchettes de la brigade.«C'est vrai que nous avons beaucoup de patience, première qualité d'un tireur embusqué», affirme timidement Rim. 
     
    Derrière un visage rond, un sourire enfantin et des yeux légèrement maquillés se cache une redoutable guerrière. «J'atteins généralement trois ou quatre cibles par jour et honnêtement quand je rate un homme armé d'en face, il m'arrive d'en pleurer de rage», confie-telle. 
     
    «Pas une question de sexe» 
    Son record : 11 rebelles abattus en une journée. «Mon chef m'a remis une sorte de diplôme, comme à l'école», rit-elle. Sa coéquipière se targue d'un record de sept victimes. L'immeuble stratégique où elles opèrent se trouve à moins de 200 mètres de la première ligne de front. Il est entièrement tenu par des femmes militaires. 
     
    Derrière une autre façade, est postée Zeinab avec son B-10, un canon sans recul russe de 82 mm. Équipée d'un casque anti-bruit, elle vient de tirer dans un fracas épouvantable sur une maison située à 500 mètres et «l'objectif a été touché», explique-t-elle fièrement. Cette femme de 21 ans, cheveux long et regard clair, a choisi la carrière militaire après son baccalauréat. Ses amis et sa famille l'ont encouragée et après trois mois d'entraînement, elle a rejoint les commandos. 
     
    Pourquoi manier un canon aussi impressionnant ? La réponse est radicale : «Le tireur embusqué tue une personne à la fois, mais avec le B-10, quand j'ai tiré sur la maison, je suis sûre que tous les gens s'y trouvant sont morts».
    Le capitaine Ziad, en charge de l'immeuble, est satisfait de l'attitude au feu des femmes sous ses ordres. «Il n'y a pas de différence entre hommes et femmes. Certains ont le cœur solide et un courage chevillé au corps, d'autres pas. Ce n'est pas une question de sexe». 
     
    Des femmes combattantes, une décision de Bachar al-Assad 
    La brigade des commandos féminins, la seule unité de femmes combattantes, a été créé il y a près de deux ans et compte 800 soldates reparties sur tout le front est et sud-est de Damas, face aux bastions rebelles. Quand on demande à leur chef, le commandant Ali, si cette unité a été créé pour pallier aux pertes importantes subies par l'armée depuis le début de la révolte -- une ONG a décompté plus de 46.000 soldats tués en quatre ans - il nie catégoriquement. 
     
    «C'est une décision du président Bachar al-Assad qui veut promouvoir le rôle de la femme syrienne et montrer qu'elle est capable de réussir dans tous les domaines» assure-t-il. Une efficace propagande en quelque sorte. 
     
    Les troupes armées syriennes comptaient près de 200.000 hommes et plusieurs milliers de réservistes. Le recrutement des soldates s'est fait par le biais d'affiches. Ainsi, Angham, 21 ans, a vu une annonce dans un magasin à Hama (centre). Recrutée, elle a été formée cinq mois à l'Académie de la marine de guerre à Jbelé (nord-ouest) avant d'être transférée à Damas. 
     
    «Mes trois frères sont soldats et j'ai une sœur qui veut me rejoindre», déclare cette spécialiste de la Doushka, une mitrailleuse lourde. Selon le commandant Ali, les recrues ont signé un contrat de dix ans. 

    A l'extérieur du bâtiment, une jeune femme de 19 ans manœuvre un tank avec deux coéquipières, soulevant un épais nuage de poussière. «Nous sommes plusieurs femmes à avoir appris à conduire un tel engin. Il fait 43 tonnes», dit-elle.«C'était très difficile, mais nous avons réussi», s'enorgueillit la tankiste sous son casque. Un casque qui ne la distingue pas d'un autre soldat. 
     

  • Départementals : deux militants FN agressés par des élus de la Commune de Commercy (Meuse)

     

    Dans la nuit de vendredi dernier vers 23h, alors que la campagne électorale pour le second tour des départementales touche à sa fin, des militants du Front National ont encore été victimes d’une énième agression.

    Voici les faits : A Commercy (Meuse), sur l’avenue des forges, un jeune militant et sa petite amie finissent de coller les affiches du binôme Front National pour ce canton.

    C’est alors qu’un 4×4 de couleur blanche arrive à vive allure en faisant des appels de phares. En descendent 5 hommes, dont les adversaires Divers Droite de dimanche, des élus de la commune.

    Ils frappent alors, sans sommation, le jeune militant et saisissent sa petite amie à la gorge. La jeune femme se retrouve projetée au sol tout en entendant des menaces : « tu ne sais pas qui je suis, je peux te mettre en prison ! »

    Après avoir consulté un médecin, les victimes, soutenus moralement par leurs candidats, ont déposé une plainte dans la soirée du 28 mars.

    Deux des suspects ont été formellement identifiés par les victimes et plusieurs témoins, notamment grâce à leurs affiches électorales, mais aussi à la plaque d’immatriculation de leur véhicule.

    Des agresseurs – qui prônent, sur leurs tracts, des valeurs humanistes et de tolérance – n’ont donc pas hésité à violenter deux jeunes personnes dont une fille.

    cette campagne pour les élections départementale aura été marquée par de nombreuses agressions à l’encontre des militants du Front National dans un inquiétant silence tant des médias que des adversaires politiques.

    http://fr.novopress.info/184840/agression-militants-fn-les-elus-commune-commercy-meuse/

  • Le nouvel exode

    Dans un long article (en anglais) agrémenté de belles photos, Newsweek passe en revue la situation des chrétiens dans tout le Moyen-Orient et revient sur les événements marquants - printemps arabe, bataille de Maaloula, enlèvements d'Hassaké, prise de Mossoul... D'après le magazine, la part des chrétiens dans la population régionale serait passée de 20% au début du XXe siècle, à 5% aujourd'hui.

    • 700 000 chrétiens ont fui la Syrie - ils étaient 1,1 million à y vivre avant 2011
    • En Irak, ils seraient entre 260 000 et 350 000, contre 1,4 million avant la guerre déclenchée en 2003
    • 100 000 Coptes ont émigré d'Egypte, qui compte plus de 4 millions de chrétiens
    • Il n'y aurait plus que 32 000 chrétiens dans le district de Jérusalem...

    Louise Tudy