Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 850

  • Irak: l’opération de libération d’alAnabar a commencé..

    Baptisée «la grande opération de libération d’Al-Anbar», la libération d'al-Anbar a bel et bien commencé, enregistrant au cours de son premier jour, la libération de deux régions , a rapporté la chaine satellitaire iranienne alAlam.

    Le Président du Conseil provincial d’Al-Anbar, Sabah al-Karhout, a annoncé, que "les forces armées irakiennes et les tribus ont réussi à libérer deux régions, dans l’Est d’Al-Ramadi".

    Dans un entretien avec le site d'information irakien, Al-Sumariya News, il a souligné : «après le lancement de la grande opération militaire pour la libération d’Al-Anbar, les forces de sécurité, ont réussi à libérer des mains de Daesh, les régions d’Al-Sajjariya et d’Al-Falahat, situées dans l’Est d’Al-Ramadi».

    Et d'ajouter : "lors de cette opération, des dizaines de terroristes takfiristes ont été tués et blessés et les forces de sécurité poursuient leur opération, jusqu’à la libération entière de la province d’Al-Anbar".

    Cette opération, a débuté, ce mercredi, avec plus de dix mille forces tribales qui coopèrent avec les forces armées irakiennes.

    Selon alAlam, , citant un de chefs tribaux, Azhar almollah Khodr, " les forces irakiennes avançent sur deux axes pour la libération de la région alHamadiyah, à l'est d'al-Ramadi".

    Khodr a affirmé que "le premier axe est le pont alyabane et le second axe est Nazim altherthar."

    Pour sa part, le commandant de l’opération d’Al-Anbar , Qassem Al-Mohammadi, a confirmé que " cette opération a commencé de la région d’Al-Sajjariya et se poursuivra jusqu’à la libération complète de la province d’Al-Anbar, ajoutant que " les forces armées sont résolues à chasser les terroristes d’Al-Anbar et à la nettoyer de la présence des daechistes », a affirmé Qassem Al-Mohammadi.

    La chaîne d’information Al-Mayadeen a annoncé que "les forces de sécurité, les tribus en Irak avaient libéré deux régions dans l’Est d’Al-Ramadi, dans le cadre de la grande opération d’Al-Anbar".

    Azal al-Fahdawi, membre du Conseil provincial d’Al-Anbar a déclaré, que "la mise en condition de combat et l'armement de 10 mille forces nomades et tribales ont débuté et participeront dans la libération de la province d’Al-Anbar d du groupe terroriste de Daech, aux côtés des forces de sécurité irakiennes.

    "L’armée irakienne a commencé, aujourd’hui, dans la base d’Al-Habbaniyah à armer 10 mille combattants nomades, sous forme de forces volontaires populaires dans la province d’Al-Anbar » a indiqué ce membre du Conseil provincial d’Al-Anbar. L’armée irakienne fournit des armes légères et semi-lourdes, des munitions et d'autres équipements à la disposition des forces volontaires.

    Le Premier ministre irakien, Haïdar al-Abadi, s’est rendu dans cette province en vue d’examiner de près le processus de cette opération et de s’entretenir avec les commandants sur place .

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuklVuFuVAQzrRvEPz.shtml

  • Il y avait ceux qui triaient les juifs et maintenant ceux qui trient les chrétiens

    Lors de son déplacement à la Maison d'Izieu, mémorial d'enfants juifs, François Hollande a évoqué les massacres en cours sans prononcer une seule fois le terme "chrétien", comme le rapporte Minute :

    "[...] Comme il sentait bien qu’on ne lui pardonnerait pas de ne pas faire d’allusion à ce qui venait de se passer au Kenya, il tentât sans aller jusqu’à la profanation, c’est-à-dire sans aller jusqu’à dire que les 44 d’Izieu s’étaient faits 148 en arrivant à Garissa, de prononcer le discours moral, celui du « vivre ensemble » comme on disait alors dans un pays tout entier engagé – du moins à son sommet – dans un combat sans merci contre l’« exclusion »: « La barbarie n’a pas d’âge, pas de couleur. » Ou encore: « Au Kenya, il y a quelques jours, 150 étudiants ont été massacrés par des fanatiques. » Puis, élargissant le propos car il était chef d’Etat et se devait d’avoir une vision globale: « En Syrie, en Irak, des hommes, des femmes, des enfants sont pourchassés pour leur religion, leurs traditions. » Ne jamais nommer l’ennemi, ne jamais désigner le bourreau, c’est ce à quoi il s’était efforcé et il y avait parfaitement réussi. Pas une seule fois il n’avait prononcé le mot chrétien, pas une seule fois non plus le mot musulman. On avait compris que des hommes en avaient maltraité d’autres mais c’est tout. Qu’il y avait des fanatiques, mais des fanatiques de rien, ce qui devait être quelque chose comme des nihilistes. Quelques jours plus tôt, le 2 avril, après que le monde entier avait appris que 148 étudiants chrétiens avaient été massacrés par des musulmans sur le campus de l’université de Garissa, au Kenya, il avait fait rédiger un communiqué qui était un modèle de nuance, on veut dire de lâcheté: « Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation. » Il y avait presque un mensonge par mot. Par omission délibérée. Le « terrorisme le plus abject » cachait le terrorisme islamique – puisqu’on ne pouvait plus parler de terrorisme musulman sans encourir les foudres judiciaires – et les cibles n’étaient ni la jeunesse, ni le savoir ni l’éducation mais les chrétiens. Islamistes 148 – Chrétiens 0. Dit comme ça, ça aurait eu un autre effet [...].

    Et de toute façon, l’ennemi, s’il fallait en désigner un durablement de génération en génération, c’était l’idéologie qui avait tué à Izieu, qui avait tué à Auschwitz où il s’était rendu un peu plus tôt pour le 70e anniversaire de la libération du camp – au moins là le compte était-il rond – et qui tuerait encore demain, jusqu’en France, si… suivez mon regard. « Dans notre civilisation de l’image et de l’information continue, poursuivit-il pour justifier un peu plus son déplacement, les lieux de mémoire et les outils qu’ils proposent sont aussi une indispensable école du discernement et du rappel aux faits historiques face à toutes les falsifications. » [...]

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • "100% des lieux de radicalisation sont des mosquées"

    Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Dalil Boubakeur, a appelé samedi à doubler le nombre de mosquées d'ici à deux ans. Il y a actuellement 2.200 mosquées en France. Le vice-président du FN Florian Philippot a réagi :

    «Je pense qu'il y en a suffisamment. J'ai entendu la demande de Dalil Boubakeur: ça veut dire trois mosquées par jour, une mosquée toutes les huit heures, ce serait le plus grand chantier de France.» «Je crois que ce n'est pas motivé par le besoin de mosquées, mais par les règles internes du CFCM, mis en place par Nicolas Sarkozy: plus vous avez de mètres carrés de mosquées, plus vous avez d'influence». «Toutes les mosquées ne sont pas des lieux de radicalisation, mais 100% des lieux de radicalisation sont des mosquées».

    Abderrahmane Ghoul, le vice-président du Conseil régional du culte musulman de PACA, déclare par ailleurs :

    "Il y a des ressources. La viande halal, par exemple. Les grandes boucheries paient une taxe. Avec elle, on peut avancer de grands projets".

    Vous êtes prévenus.

    Michel Janva

  • Déni de réalité par François Hollande sur les massacres anti-chrétiens au Kenya

    François Hollande, nouveau Ponce Pilate ? Est-ce pour éviter le sacro-saint « pas d’amalgame » ?

    Le président de la République dans son communiqué en date du 2 avril 2015 condamne le massacre de 148 Kenyans. Il omet de préciser deux réalités :

    ils ont été tués à cause de leur Foi chrétienne

    les coupables sont des musulmans qui ont agi au nom d’Allah en épargnant les étudiants musulmans.

    http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/attaque-terroriste-au-kenya/

    Attaque terroriste au Kenya

    Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan, qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation. 

    Il s’associe à la douleur des nombreuses victimes de l’attaque contre l’Université de Garissa et présente ses condoléances au Président du Kenya, Uhuru Kenyatta. 

    La France se tient aux côtés des autorités kenyanes et est prête à coopérer avec elles dans la lutte contre le terrorisme.

    Lire la suite

  • Taubira se demande en quoi elle est laxiste : 6 exemples qui le prouvent

    Christiane Taubira s'est exprimée sur la réforme pénale dans un entretien au Parisien, publié ce lundi 2 juin. "En quoi suis-je laxiste ? Depuis deux ans, c'est magique, j'entends ça tous les jours mais personne ne me donne un seul exemple", a rétorqué la garde des sceaux. En voici quelques uns.
    1 - Dès son arrivée, Christiane Taubira a fait le choix de vider les prisons plutôt que d’en construire 
    Xavier Bébin : La première décision prise par Christiane Taubira Garde des Sceaux a été de supprimer le programme de construction de 24 000 places de prison voté par la majorité précédente. Conséquence : en 2017, à la fin du programme de construction déjà engagé, la France comptera 62 000 places de prison, pour 68 000 détenus. Le message était sans ambiguïté : contre surpopulation carcérale, il s’agissait de baisser le nombre de détenus (donc en incarcérant moins et en libérant plus vite) plutôt que d’augmenter le nombre de places. 
    2 - Christiane Taubira a aggravé l’inexécution des peines de prison, facteur d’impunité 
    Non contente de ne prendre aucune mesure susceptible de résorber le stock de 100 000 peines de prison inexécutées (essentiellement faute de places de prison en nombre suffisant), Christiane Taubira a aggravé la situation par sa circulaire de politique de pénale de septembre 2012, demandant explicitement aux procureurs de retarder, voire d’éviter la mise à exécution des peines de prison ferme. On se souvient du scandale qu’avait suscité, à l’été 2013, la libération de trois voyous que la police venait juste d’interpeller à Dreux en vue de mettre leur peine de prison à exécution. Il s’agissait d’une application directe de sa directive. 
    3 - Christiane Taubira a annoncé la suppression des lois permettant de neutraliser les criminels les plus dangereux 
    Au fil de ses interventions publiques, la ministre n’a cessé de remettre en cause le concept de "dangerosité" dont elle pense que "personne n’est en mesure de la définir ni de la mesurer". Exit, donc, la dangerosité des Guy George, Patrice Evrard, Emile Louis et consorts. Cohérente avec elle-même, Christiane Taubira a demandé la suppression de la "rétention de sûreté", une mesure permettant précisément de protéger la société contre un très petit nombre (une centaine) de prédateurs extrêmement dangereux. Mais pour elle, "la rétention de sûreté, c’est juste pas concevable". Vous avez dit laxiste ? 
    4 - Christiane Taubira veut désarmer la Justice pénale des mineurs 
    Tant pis si les 14-18 ans (5 % de la population française) représentent 25 % des mis en cause pour viols, 34 % pour cambriolages et 46 % pour vols avec violence. Sa priorité – et l’une de ses premières déclarations publiques – a été d’annoncer la suppression des tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes, créés précisément pour que la Justice soit plus ferme à leur égard. Elle trouve donc déjà excessive la situation actuelle où, sur 50 000 condamnations prononcées chaque année, 15 000 sont des "admonestations", 13 000 des "sursis" et 5 000 des "remises aux parents". Des sanctions redoutables, assurément. 
    5 - Christiane Taubira va libérer un maximum de détenus à mi-peine 
    Sa réforme pénale, discutée ce jour en conseil des ministres prévoit, par le système de "libération sous contrainte", d’obliger les juge d’applications des peines à examiner le dossier de tous les détenus à la moitié de leur peine, en vue de les remettre en liberté (je dis bien à la moitié de leur peine, et non aux deux-tiers comme le prétend le gouvernement, car c’est ce qui se produira en pratique compte tenu des remises de peine automatiques dont bénéficient par ailleurs les détenus). Le projet de loi Taubira prépare donc la libération massive et rapide d’individus si peu motivés de se "réinsérer" qu’ils n’ont même pas pris la peine de préparer un dossier de libération conditionnelle. 
    6 - Christiane Taubira supprime les peines plancher visant les récidivistes 
    A la décharge de la ministre, il s’agissait d’un engagement du candidat François Hollande. Mais son projet de loi va encore plus loin : il prévoit explicitement de favoriser les aménagements de peine des récidivistes – oui, des récidivistes – et d’augmenter la durée de leurs remises de peine. Ceci, alors qu’une majorité des crimes et délits sont commis par une toute petite minorité (5%) d’individus suractifs et dangereux. Et que la société est d’autant mieux protégée que ce noyau dur est derrière les barreaux, plutôt qu’en liberté, même sous "contrainte" (laquelle sera de toute façon bien aléatoire).

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Yemen: L'alliance contre nature d'israel avec Ryad : L'échec de la guerre des drones US

    Alors que les négociations sur le nucléaire iranien sont en cours à Lausanne avec une date limite établie, John McCain, républicainet président du Comité des forces armées du Sénat des États-Unis, a déclaré le 24 Mars dernier qu’Israël devait bombarder l'Iran si elle voulait survivre aux 22 derniers mois de la présidence d'Obama. Quoi de plus normal en effet que d’appeler à la guerre, avant des négociations censées garantir la paix ?
    L'Arabie saoudite est en première ligne au Yémen. Nous avons déjà défini ce qui l'y avait poussé . On cherche à nous cacher le contraire. Jérusalem compte les points mais surtout l'erreur. Les Russes ne la commettront pas malgré les provocations de la coalition arabe qui semblent bien orchestrées.
    L'Iran se retient. Les armes se vendront, les populations civiles souffriront. Il n'est pas certain cette fois-ci que l'Arabie saoudite prenne sa raclée car depuis, elle s'est considérablement armée grâce aux ventes d'armes de la France mais l'Arabie saoudite joue gros et surtout risque l'enlisement ou la bavure sur place. Dans le même temps, on veut nous faire croire au réveil d'un conflit millénaire et Le Monde publie des cartes criminelles prêtes à activer le conflit de civilisation qu'on nous promet et tente de préparer depuis vingt ans. Mais l'Arabie Saoudite, protectrice des lieux saints de l'Islam et pouvoir apostat depuis les critiques d'Oussama Ben Laden tiendra-t-il longtemps ? Le vieux roi est mort, les jeunes princes semblent vouloir reprendre la main. Le Prince Bandar est jusqu'au boutiste. Ne reste-t-il plus à l'Arabie saoudite qu'une alliance de bric et de broc ou Israël dans l'ombre comme seul « allié » sur qui finalement, on peut compter ?
    Les Saoudiens croient faire le bon pari mais certains les soupçonnent de courir au suicide ? En réalité, l'Arabie saoudite joue sa survie tout en se croyant invincible, ce qui est toujours dangereux dans l'art de la guerre. Israël le sait et c'est pour cela qu'elle utilise l'Arabie saoudite au Yémen mais elle l'utilise depuis quelques mois aussi pour bien d'autres choses : pour obtenir plus de territoires en Cisjordanie, étendre les colonies de peuplement, judaïser Jérusalem et lutter contre la Syrie de Bachar el Assad. Les Saoudiens sont maintenant à la tête d'une coalition mais elle est fragile. Déjà le Pakistan a fait remarquer qu'il ne saurait aller jusqu'au bout : des Chiites sont aussi présents sur son territoire. L'Egypte sert de couverture aux Américains mais à l'intérieur, les Frères Musulmans veillent aussi à ne pas déchirer l'Islam. Pour eux, l'Arabie Saoudite demeure l'Etat apostat qui a souillé les lieux saints de l'Islam. Alors l'Arabie saoudite n'est-elle pas en roue libre ?
    L'alliance contre-nature et quasi secrète entre Israël et Ryad s'est construite sur des intérêts communs : ceux de contrer le rapprochement prévisible entre l'Iran et les Américains, d'interdire la bombe aux Iraniens, de lutter contre le Hezbollah libanais et de renverser l'Etat syrien. On aura noté que dès la chute de Abd Rabo Mansour Hadi, les Etats-Unis se sont retirés. Ils ne veulent pas d'un deuxième Afghanistan et surtout, les Américains ne sont plus tout à fait les mêmes. Ils ont la tentation de partir, de se détacher des doubles jeux mortels du Proche-Orient même s'ils y seront, quoiqu'il arrive, engagés à fond. Comment frapper maintenant les protégés djihadistes de l'Arabie Saoudite en Syrie et en Irak tout en ne lâchant pas Ryad ? Comment aussi vanter et réaliser l'accord avec l'Iran sans mettre au premier plan la Chine et la Russie qui en seront sans doute les plus grands vainqueurs?
    Israël avait cru, il y a deux ans, à l'alliance avec Bandar et elle a immédiatement saisi l'opportunité historique d'une alliance avec Ryad dès que ce fut possible. Les ''ennemis communs'', les intérêts économiques et les services secrets ont fait le reste mais chacun doit bien garder en mémoire les « condamnations » hypocrites des abominations de l’Etat islamique par les responsables qatari ou encore saoudiens. Des « condamnations » dont personne n’aura été dupe. Les Occidentaux ont donc choisi de fermer les yeux sur le soutien apporté par les deux tyrannies wahhabites, Arabie Saoudite et Qatar au terrorisme musulman et indirectement à Daesh pour ne penser qu’aux juteux contrats qu’ils pourront signer avec elles. 
    Voilà des années que Qatar et Arabie saoudite se livrent à un véritable concours de financement des groupes djihadistes partout dans le monde pour renforcer leurs influences respectives mais aussi encourager la propagation du salafisme dans le Dar al-Harb, Al-Qaïda, Aqmi, Ansar, Dine, Mujao, Frères musulmans, Hamas, Front Al-Nosra, Daesh… Chacun de ces groupes a reçu ou reçoit, de l’un ou de l’autre, voire des deux en même temps, des fonds considérables pour mener à bien leurs actions criminelles. Selon l’historien britannique Charles Allen, les autorités saoudiennes, tout en se présentant comme des « alliées fidèles » des Etats-Unis et de l’Occident, auraient ainsi dépensé à elles seules quelque 70 milliards de dollars depuis 1979 pour répandre le wahhabisme parmi les communautés musulmanes européennes.
    Soutien dans la formation d'une coalition arabe contre les chiites, financement et armement des pires islamo-terroristes en Irak, les Occidentaux, et notamment la France, sont aujourd'hui dans de beaux draps au Proche-Orient. On notera que sur le Yémen, la France s'est abstenu cette fois-ci de déclarations trop tonitruantes mais quelle marge de manœuvre dispose-t-elle vraiment ? 
    Mais il y a plus fondamental. Le Yémen a été depuis des années le terrain privilégié d'une guerre nouvelle, d'une guerre dite chirurgicale et hypermoderne, propre mais dévastatrice en particulier sur les civils, la « guerre des drones ». Le retrait américain, l'intervention pour ne pas dire l'invasion saoudienne marque aussi l'échec d'une stratégie de guerre moderne contre la terreur qui était depuis quelques années pourtant la marque de fabrique américaine, son ultime fierté. Finalement, le Yémen est peut-être une énième tragédie pour les Etats-Unis, celle de ne pas avoir su ou voulu confronter la réalité au virtuel, une tragédie bien plus grave qu'on ne saurait le dire. C'est l'échec de la guerre hypermoderne, la guerre des ingénieurs avec ses victoires spectaculaires qui, au bout du compte, n'existait peut-être que dans la tête de ceux qui la concevaient à Washington ou la mettaient en scène au cinéma !

    Michel Lhomme Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EuklkkuFVpBRmvGrAn.shtml

  • Persécutions : le pape dénonce notre silence complice

    Hier, au terme du chemin de croix :

    "Ô Christ crucifié et victorieux, ton Chemin de Croix est la synthèse de ta vie, il est l’icône de ton obéissance à la volonté du Père; il est la réalisation de ton amour infini pour nous, pécheurs ; il est la preuve de ta mission ; il est l’accomplissement définitif de la révélation et de l’histoire du salut. Le poids de ta croix nous libère de tous nos fardeaux.

    Dans ton obéissance à la volonté du Père, nous prenons conscience de notre rébellion et de notre désobéissance.

    En toi, vendu, trahi et crucifié par ton peuple et par ceux qui t’étaient chers, nous voyons  nos trahisons quotidiennes et notre infidélité habituelle.

    Dans ton innocence, Agneau immaculé, nous voyons notre culpabilité.

    Dans ton visage giflé, couvert de crachats, et défiguré, nous voyons toute la brutalité de nos péchés.

    Dans la cruauté de ta Passion, nous voyons la cruauté de notre cœur et de nos actions.

    Dans ton sentiment d’ « abandon », nous voyons tous ceux qui sont abandonnés de leurs familles, de la société, de l’attention et de la solidarité.

    Dans ton corps écorché, écartelé et déchiré, nous voyons les corps de nos frères abandonnés au long des routes, défigurés par notre négligence et notre indifférence.

    Dans ta soif, Seigneur, nous voyons la soif de Ton Père miséricordieux qui, en Toi, a voulu embrasser, pardonner et sauver l’humanité.

    En toi, amour divin, nous voyons encore aujourd’hui nos frères persécutés, décapités et crucifiés pour leur foi en Toi, sous nos yeux, et souvent avec notre silence complice.

    Imprime, Seigneur, en nos coeurs, des sentiments de foi, d’espérance, de charité, de douleur pour nos péchés et conduis-nous au repentir de nos péchés qui t’ont crucifiés.

    Conduis-nous à transformer notre conversion en paroles en conversion de vie et en actes.

    Conduis-nous à conserver en nous un souvenir vivant de ton visage défiguré, pour ne jamais oublier le prix immense que tu as payé pour nous libérer.

    Jésus Crucifié, fortifie en nous la foi, pour qu’elle ne s’écroule pas devant les tentations ; ravive en nous l’espérance, pour qu’elle ne se perde pas en suivant les séductions du monde ; garde en nous la charité, pour que nous ne nous laissions pas tromper par la corruption et par la mondanité. Enseigne-nous que la Croix est le chemin de la Résurrection.

    Enseigne-nous que le Vendredi Saint est la route de la Pâque de lumière : enseigne-nous que Dieu n’oublie jamais aucun de ses enfants et ne se lasse jamais de nous pardonner et de nous embrasser dans sa miséricorde infinie.

    Mais enseigne-nous aussi à ne jamais nous lasser de demander pardon et de croire dans la miséricorde – sans limites - du Père.

    Âme du Christ, sanctifie-nous,

    Corps du Christ, sauve-nous,

    Sang du Christ, enivre-nous,

    Eau du côté du Christ, lave-nous,

    Passion du Christ, fortifie-nous.

    Ô bon Jésus, exauce-nous.

    Dans tes blessures, cache-nous.

    Ne permets pas que nous soyons séparés de toi.

    De l’ennemi défends-nous.

    À notre mort appelle-nous.

    Ordonne-nous de venir à toi,

    Pour qu’avec tes saints nous te louions,

    Dans les siècles des siècles, Amen.

    Michel Janva

  • Ça dysfonctionne tous les jours à l'Education nationale

    Jeudi, à l'ouverture du procès d'un ex-instituteur de Perpignan, âgé de 60 ans, appelé à comparaître pour "agressions sexuelles sur mineurs par personne ayant autorité" (pour des attouchements sur trois élèves, alors âgés de 6 et 7 ans), le président a déclaré :

    "On n'est pas là pour juger l'Éducation nationale, même si les rapports montrent depuis 1996 que tout le monde savait qu'il avait des soucis d'alcoolisation et de comportement avec les enfants.

    L'enseignant avait été mis en examen en 2011 après les révélations de deux élèves de CP sur les méthodes de leur maître.

    Si son casier judiciaire ne porte trace d'aucune condamnation, il avait déjà fait l'objet de nombreuses alertes et rapports de l'inspection académique.Pourtant, l'instituteur avait été honoré d'un 18/20 et avait été maintenu "à titre exceptionnel" à son poste. Deux ans plus tard, il écopait d'une mise à pied après un signalement du procureur relatif à une plainte pour attouchements. Il serait entré dans le dortoir de jeunes filles d'un établissement où il était veilleur de nuit. L'affaire a été classée sans suite et il a continué son cursus. En 2009, une nouvelle inspection s'avère "catastrophique". Qu'importe. A quelques années de la retraite, "névrotique" "addict à l'alcool", il est nommé à l'école Boussiron pour y couler tranquillement sa vie d'instituteur en fin de carrière.

    L'avocat d'une victime a dénoncé :

    "Il manque de responsables à la barre de ce tribunal. L'Éducation nationale était au courant et n'a rien fait. Elle aurait pu l'empêcher".

    Michel Janva

  • Chrétiens d'Orient : la RATP devra s'expliquer devant le Sénat

    Lu ici :

    "Le président du Sénat Gérard Larcher (UMP) a annoncé aujourd'hui que le Sénat allait auditionner des responsables de la RATP, qui a demandé que des affiches annonçant l'organisation d'un concert organisé en faveur des chrétiens d'Orient ne fassent pas référence à ceux-ci.

    Larcher demande à la RATP de revenir sur sa décision et de rétablir l'affiche telle qu'elle se présentait initialement. Il demande aussi à l'État, "au titre de sa tutelle sur la RATP, de mener l'enquête sur les circonstances ayant conduit à une telle décision absurde et sans fondement".

    Administrateur du Syndicat des transports d'Ile-de-France (STIF) et présidente du groupe d'études sur les chrétiens d'Orient de l'Assemblée Nationale, Valérie Pécresse a de son côté interpellé "solennellement" vendredi Ségolène Royal pour qu'elle intervienne comme ministre des Transports auprès de la RATP, afin qu'elle revienne sur sa décision."

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 147 morts au Kenya : "ils ont fait sortir les musulmans des classes et abattu les chrétiens"

    Le Figaro ne fait aucune référence à la religion des 147 morts. Le Time, lui ne se prive pas.

     

    Une intention de prière dans cette nuit eucharistique.

    Qu'ils reposent en Paix.

    Lahire