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insécurité - Page 862

  • "Non, le massacre de 148 jeunes étudiants chrétiens kenyans n’a pas entraîné la condamnation internationale que nous étions en droit d’attendre"

    Excellente tribune de Joseph Macé-Scaron dans Marianne : 

    "L'Afrique du XXIe siècle, devenue une nouvelle Babel, va-t-elle être le champ clos d'une guerre de religion opposant le christianisme à l'islamisme ? Tel est bien l'enjeu de ce qui s'est passé à Garissa. Pendant des décennies, l'islam noir s'est caractérisé par sa tolérance et son syncrétisme. C'est cet islam-là qui est en train de céder la place à une religion agressive, déculturée, mondialisée, tournée au mieux vers la conversion, au pis vers l'anéantissement de l'adversaire. Une religion de guerre et de mort. Au secours, l'Afrique est en passe de devenir petit à petit un nouveau Moyen-Orient ! Cherchez l'erreur, trouvez l'horreur.

    Depuis des temps immémoriaux, les chrétiens sont présents dans la Corne de l'Afrique et pas seulement dans l'Ethiopie, copte orthodoxe. Le christianisme n'est pas ici une marque d'occidentalisation, il a produit son art propre, sa liturgie propre, ses icônes sont reconnaissables entre mille avec les yeux immenses de leurs saints ouverts sur l'éternité. Bref, il ne s'agit pas seulement d'une religion, mais d'une civilisation. Pour les islamistes issus de ce chaudron de sorcière qu'est la Somalie, cette situation originale est proprement insupportable puisqu'ils comptent prospérer dans les têtes vides en récitant cette fausse évidence : le christianisme, c'est l'Occident. Peut-être, peut-être qu'un jour les médias délaisseront ce Moyen-Orient que Dieu, lassé, a délaissé depuis longtemps, pour se tourner enfin vers l'Afrique. Peut-être que l'on verra alors CNN ne plus se mélanger les pinceaux en présentant des cartes des pays de la région, comme un stagiaire de BFM. On verra, soyons fous, de grandes émissions à France Télévisions sur ce continent si proche et qui leur semble à tous si loin, si incroyablement loin. Alors oui, ce jour-là, on verra poindre une éclaircie au cœur même des ténèbres".

    Lahire

  • « Allah akhbar, on veut du fric pour nos frères musulmans »

    Lu sur L'Est Besançon ce fait divers qui s'est déroulé hier à Besançon :

    "Il est alors 8 h 50 hier matin lorsque les trois braqueurs arrivent à la jardinerie qui ouvre ses portes à la clientèle à 9 heures. Ils vont s’introduire dans les locaux par effraction d’une baie latérale. Le patron du magasin raconte : « Je m’étais levé à 4 heures du matin pour faire la route depuis la Saône-et-Loire. J’étais dans la serre pour ranger des plantes. J’ai d’abord entendu un coup de feu puis un autre et encore un autre. Maintenant, je le sais, la première balle a ricoché sur la baie en double vitrage, la deuxième l’a fissurée, la troisième l’a fait exploser. Là, je rangeais des plantes et je me suis retrouvé nez à nez avec eux. L’un a braqué son arme à 50 cm de mon ventre. Ils ont crié “Allah Akhbar, on va vous buter, on veut du fric pour nos frères musulmans partis au djihad”, ils ont aussi parlé de Charlie. Quand ils ont parlé de fric et de la caisse qu’ils voulaient, je me suis dit vulgairement que j’allais sauver ma peau parce que j’avais repensé aux événements de janvier. Je me suis obligé à rester froid et je suis entré en discussion avec eux. Je les ai pris au mot et je suis allé retrouver le directeur du magasin, on est allé dans le bureau où est le coffre, un autre salarié était là aussi. L’un s’excitait, un autre braquait l’arme, j’ai demandé au directeur d’ouvrir le coffre ».

    Au final, les trois braqueurs sont repartis, arme braquée sur les victimes, après avoir raflé la caisse contenant argent en espèces et chèques, et se trouvant dans le coffre-fort ; soit quelque 12000 à 15 000 € représentant une recette de trois jours que le directeur du magasin avait emportée la veille et rapportée ce samedi matin pour la mettre à l’abri dans le coffre avant un dépôt à la banque."

    Michel Janva

  • Irak : nouvelles de l’État Islamique


    Alors que Daesh a subi un sérieux revers avec la reprise de Tikrit par l’armée irakienne et les milices chiites, l’organisation islamique continue ses provocations.
    Une vidéo diffusée par l’organisation (voir ici) annonce l’envoi de renforts depuis Raqqa vers la province de Salâh ad-Dîn afin de bloquer la progression de l’armée régulière. Actuellement les armées s’affrontent à la raffinerie de Baiji entre Tikrit et Mossoul, images ci dessous :

    La raffinerie de Baiji
    CCYKPsuW0AABppc
    Toujours dans un souci de propagande, Daesh a diffusé une vidéo dans laquelle des barbus détruisent à coups de masse et de scie circulaire le site archéologique de Nimrod. La vidéo se termine par le plastiquage total du site. Vidéo à voir ici.

     

    Site archéologique de Nimroud

    Site archéologique de Nimroud

    http://www.contre-info.com/

  • Loi sur le renseignement : les opposants organisent une manifestation le 13 avril

    Alors que le projet de loi sur le Renseignement sera examiné à partir du 13 avril 2015 à l’Assemblée nationale, un certain nombre de structures lancent un appel à manifester ce jour-là, à 12h30 place Edouard Herriot à Paris.

    Parmi les principaux opposants au texte, on trouve notamment l’Observatoire des libertés et du numérique qui regroupe des acteurs comme la Quadrature du Net, Attac ou encore Amnesty International France. Cette manifestation doit permettre aux citoyens de montrer qu’ils refusent de céder à la logique de surveillance généralisée et sans garantie présentée comme indispensable par le gouvernement.

    Dans un communiqué de presse, la Quadrature du Net pointe du doigt ce projet de loi liberticide :

    Les méthodes de surveillance sont massives, le contrôle inconsistant. Le texte issu de la Commission des lois porte un déséquilibre liberticide : l’usage des techniques de surveillance est entre les mains de l’exécutif, sans contrôle solide. La Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement, soi-disant garante des libertés, ne disposera ni des pouvoirs ni des moyens nécessaires pour accomplir sa mission. Le Premier ministre pourra toujours passer outre son avis, et elle ne pourra rien interrompre par elle-même. Le gouvernement se refuse à assurer un contrôle systématique et indépendant a priori des demandes des services et organise un contrôle a posteriori illusoire. La saisine du juge administratif restera aléatoire et la procédure asymétrique, les principes processuels fondamentaux cédant devant le secret défense.

    Tous les citoyens sont concernés : non seulement parce que les méthodes relèvent de la surveillance de masse, mais aussi parce que le texte étend dangereusement le champ d’action des services spécialisés. La surveillance pourra s’abattre sur les mouvements sociaux et politiques, au titre de la « prévention des violences collectives » et sur tout citoyen ou mobilisation qui, dénonçant des pratiques industrielles néfastes, porterait atteinte aux « intérêts économiques ou industriels essentiels de la France ». Ce projet est une menace pour les libertés politiques et les mobilisations à venir.

    Pour rappel, le 3 avril dernier, les opposants au texte avaient adressé aux parlementaires une « lettre ouverte aux traîtres à la République ». Dans ce texte, Laurent Chemla s’adressait aux élus de la République qui vont tentés d’autoriser, sans contrôle, la surveillance de chaque citoyen :

    Mesdames, messieurs, vous qui, en théorie, représentez la voix du peuple, c’est ce même peuple que vous vous apprêtez à trahir. En mettant (quel que soit l’enrobage sur le pseudo-anonymat des données recueillies) la totalité de la population sur écoute, en traitant chaque citoyen de ce pays comme un terroriste en puissance, c’est le peuple que vous vous apprêtez à dénoncer comme votre ennemi.

    Un site dédié permet encore aux internautes contacter directement leur député pour l’inciter à ne pas voter cette loi.

    http://fr.novopress.info/

  • Jamel Debbouze accusé de meurtre depuis 25 ans…

    Ou comment le comédien aurait perdu sa main…

    Le 17 Janvier 1990, Jean Paul Admette (16 ans), fils de Michel et Marlène Admette, est poussé sur la voie ferrée en gare de Trappes.
    Un train qui arrivait à 150 km à l’heure le faucha et laissera aussi des séquelles à Jamel Debbouze, cette main qu’il cache obstinément dans ses poches.

    « J’affirme que Jamel Debbouze est l’assassin de mon fils, c’est lui qui a poussé mon fils sous le train » ne cessera de dire Marlène Admette. « Immédiatement après l’accident, plusieurs témoins du drame ont affirmé sans hésitation que c’est Jamel Debbouze qui avait poussé mon fils sur la voie ferrée.
    C’est à ce moment là que Jamel a lui-même été blessé à la main.

    Le seul problème est que les témoins ont tous retourné leurs vestes, quand ils sont arrivés au commissariat de St Cyr l’Ecole, tous sauf une jeune fille, Edwige Anzouana, qui persistera dans ses déclarations. »

    Jamel fut poursuivi pour homicide involontaire suite à la plainte déposée par la famille, cependant, il obtiendra un non-lieu.
    La mère ajoute que Jamel n’aurait jamais daigné présenter ses excuses à la famille Admette.

    « Jamel est venu chercher mon fils ce jour de 17 Janvier 1990 chez nous à Guyancourt. Il était 17 h. Jamel était accompagné de deux autres personnes ». « Ils ont obligé mon fils à monter dans le bus, puis dans le train. Et ensuite le drame est arrivé.
    Tout ça parce que Jamel, qui n’a jamais été le copain de mon fils contrairement à ce que certains ont prétendu, à piégé mon fils en lui cachant qu’ils était accompagné de voyous qui en voulaient , tout comme lui, à son blouson ; blouson que l’on a d’ailleurs jamais retrouvé. »

    « On ne nous a rendu que le corps. Oui, c’est bien Jamel qui a tué mon fils en organisant cette embuscade et en poussant mon fils sur la voie ferrée » dénonce Marlène.

    En 2004, Jamel Debbouze avait programmé une tournée à la Réunion. Il a dû l’annuler au dernier moment, évoquant un problème de santé. Pour les Admette, qui avaient manifesté en apprenant sa venue, il avait seulement eu peur de se retrouver face à eux.

    Source

    http://www.contre-info.com/jamel-debbouze-accuse-de-meurtre-depuis-20-ans#more-28981

  • Irak: l’opération de libération d’alAnabar a commencé..

    Baptisée «la grande opération de libération d’Al-Anbar», la libération d'al-Anbar a bel et bien commencé, enregistrant au cours de son premier jour, la libération de deux régions , a rapporté la chaine satellitaire iranienne alAlam.

    Le Président du Conseil provincial d’Al-Anbar, Sabah al-Karhout, a annoncé, que "les forces armées irakiennes et les tribus ont réussi à libérer deux régions, dans l’Est d’Al-Ramadi".

    Dans un entretien avec le site d'information irakien, Al-Sumariya News, il a souligné : «après le lancement de la grande opération militaire pour la libération d’Al-Anbar, les forces de sécurité, ont réussi à libérer des mains de Daesh, les régions d’Al-Sajjariya et d’Al-Falahat, situées dans l’Est d’Al-Ramadi».

    Et d'ajouter : "lors de cette opération, des dizaines de terroristes takfiristes ont été tués et blessés et les forces de sécurité poursuient leur opération, jusqu’à la libération entière de la province d’Al-Anbar".

    Cette opération, a débuté, ce mercredi, avec plus de dix mille forces tribales qui coopèrent avec les forces armées irakiennes.

    Selon alAlam, , citant un de chefs tribaux, Azhar almollah Khodr, " les forces irakiennes avançent sur deux axes pour la libération de la région alHamadiyah, à l'est d'al-Ramadi".

    Khodr a affirmé que "le premier axe est le pont alyabane et le second axe est Nazim altherthar."

    Pour sa part, le commandant de l’opération d’Al-Anbar , Qassem Al-Mohammadi, a confirmé que " cette opération a commencé de la région d’Al-Sajjariya et se poursuivra jusqu’à la libération complète de la province d’Al-Anbar, ajoutant que " les forces armées sont résolues à chasser les terroristes d’Al-Anbar et à la nettoyer de la présence des daechistes », a affirmé Qassem Al-Mohammadi.

    La chaîne d’information Al-Mayadeen a annoncé que "les forces de sécurité, les tribus en Irak avaient libéré deux régions dans l’Est d’Al-Ramadi, dans le cadre de la grande opération d’Al-Anbar".

    Azal al-Fahdawi, membre du Conseil provincial d’Al-Anbar a déclaré, que "la mise en condition de combat et l'armement de 10 mille forces nomades et tribales ont débuté et participeront dans la libération de la province d’Al-Anbar d du groupe terroriste de Daech, aux côtés des forces de sécurité irakiennes.

    "L’armée irakienne a commencé, aujourd’hui, dans la base d’Al-Habbaniyah à armer 10 mille combattants nomades, sous forme de forces volontaires populaires dans la province d’Al-Anbar » a indiqué ce membre du Conseil provincial d’Al-Anbar. L’armée irakienne fournit des armes légères et semi-lourdes, des munitions et d'autres équipements à la disposition des forces volontaires.

    Le Premier ministre irakien, Haïdar al-Abadi, s’est rendu dans cette province en vue d’examiner de près le processus de cette opération et de s’entretenir avec les commandants sur place .

    source : Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuklVuFuVAQzrRvEPz.shtml

  • Il y avait ceux qui triaient les juifs et maintenant ceux qui trient les chrétiens

    Lors de son déplacement à la Maison d'Izieu, mémorial d'enfants juifs, François Hollande a évoqué les massacres en cours sans prononcer une seule fois le terme "chrétien", comme le rapporte Minute :

    "[...] Comme il sentait bien qu’on ne lui pardonnerait pas de ne pas faire d’allusion à ce qui venait de se passer au Kenya, il tentât sans aller jusqu’à la profanation, c’est-à-dire sans aller jusqu’à dire que les 44 d’Izieu s’étaient faits 148 en arrivant à Garissa, de prononcer le discours moral, celui du « vivre ensemble » comme on disait alors dans un pays tout entier engagé – du moins à son sommet – dans un combat sans merci contre l’« exclusion »: « La barbarie n’a pas d’âge, pas de couleur. » Ou encore: « Au Kenya, il y a quelques jours, 150 étudiants ont été massacrés par des fanatiques. » Puis, élargissant le propos car il était chef d’Etat et se devait d’avoir une vision globale: « En Syrie, en Irak, des hommes, des femmes, des enfants sont pourchassés pour leur religion, leurs traditions. » Ne jamais nommer l’ennemi, ne jamais désigner le bourreau, c’est ce à quoi il s’était efforcé et il y avait parfaitement réussi. Pas une seule fois il n’avait prononcé le mot chrétien, pas une seule fois non plus le mot musulman. On avait compris que des hommes en avaient maltraité d’autres mais c’est tout. Qu’il y avait des fanatiques, mais des fanatiques de rien, ce qui devait être quelque chose comme des nihilistes. Quelques jours plus tôt, le 2 avril, après que le monde entier avait appris que 148 étudiants chrétiens avaient été massacrés par des musulmans sur le campus de l’université de Garissa, au Kenya, il avait fait rédiger un communiqué qui était un modèle de nuance, on veut dire de lâcheté: « Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation. » Il y avait presque un mensonge par mot. Par omission délibérée. Le « terrorisme le plus abject » cachait le terrorisme islamique – puisqu’on ne pouvait plus parler de terrorisme musulman sans encourir les foudres judiciaires – et les cibles n’étaient ni la jeunesse, ni le savoir ni l’éducation mais les chrétiens. Islamistes 148 – Chrétiens 0. Dit comme ça, ça aurait eu un autre effet [...].

    Et de toute façon, l’ennemi, s’il fallait en désigner un durablement de génération en génération, c’était l’idéologie qui avait tué à Izieu, qui avait tué à Auschwitz où il s’était rendu un peu plus tôt pour le 70e anniversaire de la libération du camp – au moins là le compte était-il rond – et qui tuerait encore demain, jusqu’en France, si… suivez mon regard. « Dans notre civilisation de l’image et de l’information continue, poursuivit-il pour justifier un peu plus son déplacement, les lieux de mémoire et les outils qu’ils proposent sont aussi une indispensable école du discernement et du rappel aux faits historiques face à toutes les falsifications. » [...]

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • "100% des lieux de radicalisation sont des mosquées"

    Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Dalil Boubakeur, a appelé samedi à doubler le nombre de mosquées d'ici à deux ans. Il y a actuellement 2.200 mosquées en France. Le vice-président du FN Florian Philippot a réagi :

    «Je pense qu'il y en a suffisamment. J'ai entendu la demande de Dalil Boubakeur: ça veut dire trois mosquées par jour, une mosquée toutes les huit heures, ce serait le plus grand chantier de France.» «Je crois que ce n'est pas motivé par le besoin de mosquées, mais par les règles internes du CFCM, mis en place par Nicolas Sarkozy: plus vous avez de mètres carrés de mosquées, plus vous avez d'influence». «Toutes les mosquées ne sont pas des lieux de radicalisation, mais 100% des lieux de radicalisation sont des mosquées».

    Abderrahmane Ghoul, le vice-président du Conseil régional du culte musulman de PACA, déclare par ailleurs :

    "Il y a des ressources. La viande halal, par exemple. Les grandes boucheries paient une taxe. Avec elle, on peut avancer de grands projets".

    Vous êtes prévenus.

    Michel Janva

  • Déni de réalité par François Hollande sur les massacres anti-chrétiens au Kenya

    François Hollande, nouveau Ponce Pilate ? Est-ce pour éviter le sacro-saint « pas d’amalgame » ?

    Le président de la République dans son communiqué en date du 2 avril 2015 condamne le massacre de 148 Kenyans. Il omet de préciser deux réalités :

    ils ont été tués à cause de leur Foi chrétienne

    les coupables sont des musulmans qui ont agi au nom d’Allah en épargnant les étudiants musulmans.

    http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/attaque-terroriste-au-kenya/

    Attaque terroriste au Kenya

    Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan, qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation. 

    Il s’associe à la douleur des nombreuses victimes de l’attaque contre l’Université de Garissa et présente ses condoléances au Président du Kenya, Uhuru Kenyatta. 

    La France se tient aux côtés des autorités kenyanes et est prête à coopérer avec elles dans la lutte contre le terrorisme.

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  • Taubira se demande en quoi elle est laxiste : 6 exemples qui le prouvent

    Christiane Taubira s'est exprimée sur la réforme pénale dans un entretien au Parisien, publié ce lundi 2 juin. "En quoi suis-je laxiste ? Depuis deux ans, c'est magique, j'entends ça tous les jours mais personne ne me donne un seul exemple", a rétorqué la garde des sceaux. En voici quelques uns.
    1 - Dès son arrivée, Christiane Taubira a fait le choix de vider les prisons plutôt que d’en construire 
    Xavier Bébin : La première décision prise par Christiane Taubira Garde des Sceaux a été de supprimer le programme de construction de 24 000 places de prison voté par la majorité précédente. Conséquence : en 2017, à la fin du programme de construction déjà engagé, la France comptera 62 000 places de prison, pour 68 000 détenus. Le message était sans ambiguïté : contre surpopulation carcérale, il s’agissait de baisser le nombre de détenus (donc en incarcérant moins et en libérant plus vite) plutôt que d’augmenter le nombre de places. 
    2 - Christiane Taubira a aggravé l’inexécution des peines de prison, facteur d’impunité 
    Non contente de ne prendre aucune mesure susceptible de résorber le stock de 100 000 peines de prison inexécutées (essentiellement faute de places de prison en nombre suffisant), Christiane Taubira a aggravé la situation par sa circulaire de politique de pénale de septembre 2012, demandant explicitement aux procureurs de retarder, voire d’éviter la mise à exécution des peines de prison ferme. On se souvient du scandale qu’avait suscité, à l’été 2013, la libération de trois voyous que la police venait juste d’interpeller à Dreux en vue de mettre leur peine de prison à exécution. Il s’agissait d’une application directe de sa directive. 
    3 - Christiane Taubira a annoncé la suppression des lois permettant de neutraliser les criminels les plus dangereux 
    Au fil de ses interventions publiques, la ministre n’a cessé de remettre en cause le concept de "dangerosité" dont elle pense que "personne n’est en mesure de la définir ni de la mesurer". Exit, donc, la dangerosité des Guy George, Patrice Evrard, Emile Louis et consorts. Cohérente avec elle-même, Christiane Taubira a demandé la suppression de la "rétention de sûreté", une mesure permettant précisément de protéger la société contre un très petit nombre (une centaine) de prédateurs extrêmement dangereux. Mais pour elle, "la rétention de sûreté, c’est juste pas concevable". Vous avez dit laxiste ? 
    4 - Christiane Taubira veut désarmer la Justice pénale des mineurs 
    Tant pis si les 14-18 ans (5 % de la population française) représentent 25 % des mis en cause pour viols, 34 % pour cambriolages et 46 % pour vols avec violence. Sa priorité – et l’une de ses premières déclarations publiques – a été d’annoncer la suppression des tribunaux correctionnels pour mineurs récidivistes, créés précisément pour que la Justice soit plus ferme à leur égard. Elle trouve donc déjà excessive la situation actuelle où, sur 50 000 condamnations prononcées chaque année, 15 000 sont des "admonestations", 13 000 des "sursis" et 5 000 des "remises aux parents". Des sanctions redoutables, assurément. 
    5 - Christiane Taubira va libérer un maximum de détenus à mi-peine 
    Sa réforme pénale, discutée ce jour en conseil des ministres prévoit, par le système de "libération sous contrainte", d’obliger les juge d’applications des peines à examiner le dossier de tous les détenus à la moitié de leur peine, en vue de les remettre en liberté (je dis bien à la moitié de leur peine, et non aux deux-tiers comme le prétend le gouvernement, car c’est ce qui se produira en pratique compte tenu des remises de peine automatiques dont bénéficient par ailleurs les détenus). Le projet de loi Taubira prépare donc la libération massive et rapide d’individus si peu motivés de se "réinsérer" qu’ils n’ont même pas pris la peine de préparer un dossier de libération conditionnelle. 
    6 - Christiane Taubira supprime les peines plancher visant les récidivistes 
    A la décharge de la ministre, il s’agissait d’un engagement du candidat François Hollande. Mais son projet de loi va encore plus loin : il prévoit explicitement de favoriser les aménagements de peine des récidivistes – oui, des récidivistes – et d’augmenter la durée de leurs remises de peine. Ceci, alors qu’une majorité des crimes et délits sont commis par une toute petite minorité (5%) d’individus suractifs et dangereux. Et que la société est d’autant mieux protégée que ce noyau dur est derrière les barreaux, plutôt qu’en liberté, même sous "contrainte" (laquelle sera de toute façon bien aléatoire).

    Source

    http://www.oragesdacier.info/