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insécurité - Page 858

  • Forsane Alizza : les cavaliers de la haine (Présent 8371)

    Appels au meurtre, listes noires, stocks d’armes, manuels terroristes… Alors que les éléments à charge s’accumulent contre lui, Mohammed Achamlane, jugé depuis lundi avec 13 autres membres du groupe islamiste Forsane Alizza (« Les cavaliers de la fierté »), se défend aujourd’hui de toute « inspiration terroriste » et affirme avoir juste voulu défendre un « islam décomplexé ». Un « islam décomplexé » façon État islamique…

    « Apprendre à être des moudjahidin »8371-P1

    Au centre de ce procès, Forsane Alizza, créé en 2010 par ce Franco-Tunisien aujourd’hui âgé de 37 ans. Un groupe qui a rapidement attiré l’attention de la DCRI, dont l’enquête allait établir qu’Achamlane recrutait des « lieutenants » régionaux afin de leur « apprendre à être des moudjahidin ». Accusé de faire « la promotion de la lutte armée », le groupe allait être dissous en janvier 2012. Ce qui ne l’a pas empêché de poursuivre ouvertement ses activités. En mars 2012, Achamlane s’est même félicité des carnages commis par Merah, en jurant que « par Allah tout-puissant, on va lui mettre des cicatrices à la France » ! Ce qui, tout de même, a conduit les enquêteurs à interpeller une vingtaine de membres du groupe, dont son chef.
    Lors des perquisitions menées chez celui-ci, ils ont mis la main sur un véritable arsenal, des guides de fabrication d’explosifs ainsi que plusieurs fichiers sur lesquels figuraient une dizaine de commerces juifs, ou encore les adresses et numéros de téléphone de nombreuses personnalités politiques et médiatiques. Certains mis en examen ont même affirmé qu’Achamlane, outre une attaque contre Libération, projetait d’éliminer deux magistrats lyonnais et le responsable du Bloc identitaire, Fabrice Robert.

    « On ne va pas laisser nos femmes et nos enfants se faire égorger ! »

    Bref, un fou d’Allah pur jus, qui n’a toutefois pas hésité à expliquer lundi que Forsane Alizza avait pour seul but « l’autodéfense » face à la multiplication des « attaques islamophobes ». En effet, a déclaré très sérieusement Achamlane, « on ne va pas laisser nos femmes et nos enfants se faire égorger ! » On croit rêver… Quant à sa pratique religieuse, il a expliqué – très justement – « qu’il n’y a pas d’islam radical ou modéré, il y a l’islam authentique, décomplexé ». Façon EI, quoi.
    D’ailleurs, l’un des sympathisants du groupe, Omar Diaby, s’est depuis illustré en devenant le principal recruteur de « Français » pour Al-Nosra. Quant au seul mineur de la structure, Reda Bekhaled, il a été, lui, mis en examen en juillet dernier pour avoir organisé le départ de jeunes filles vers la Syrie.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/page/2/

  • Émeutes de Tourcoing : La peur politique du rapport de forces

    Il aura fallu quelques jours pour avoir quelques images. Au Figaro, ce fut service minimum. Nous étions à quatre journées d'émeutes mais les chiens de garde du système, les journaleux n'en disent rien. Qui peut encore aujourd'hui lire les journaux ? Surement pas ceux qui habitent ces quartiers et qui voient le suprême mépris dans lequel on les laisse.

    Alors comment voulez-vous que l'on réagisse face à ces impuissances avouées? En adorant la police ! Surtout pas. Nous sommes en France dans un Etat de droit où depuis des années des zones entières sont sous le contrôle des trafiquants où les garants de la sécurité des citoyens n'ont, en fait, pas le droit d'entrer, pire même, ils ne veulent plus entrer (c'est le cas par exemple à Villeurbanne). 

    Mais au fait que craignent leurs donneurs d'ordre ?

    Journalistes, politiques et forces de l'ordre craignent le rapport de force et ce, même après le 7 janvier dont on vient d'apprendre que les proches des victimes n'ont toujours pas été indemnisés. Préfets et procureurs, le ministre de l'intérieur sont tous muets quand une ville comme Tourcoing est en émeute durant quatre jours obligeant à fermer quelque temps la frontière avec la Belgique. Vous l'avez su ? Non ! Parce qu'ils craignent que cela se sache, que cela se diffuse comme une traînée de poudre, que cela provoque l'étincelle qui embrasera les banlieues rebelles. Au Ministère de l'Intérieur, on souhaiterait plutôt un été pluvieux et on serait presque capable d'en appeler au projet Haarp, si c'était possible !

    Ainsi, tous les week-ends, un jeune poursuivi qui chute de son scooter ou envoie sa voiture dans un arbre et c'est l'émeute qu'il faut cacher. Alors, tous les soirs, les rondes de police évitent les malfrats mais rackettent les citoyens solvables. On craint l'explosion au point de faire, comme chez les "Ripoublicains" des colloques à huis clos sur l'Islam ou de fermer les yeux sur les gros dealers.

    Et puis, il y a les armes. D'après le Ministère de l'Intérieur, 30 000 armes dont 15 000 kalachnikovs se trouveraient dans les banlieues. Un chiffre qui est forcément minimisé quand on sait que 3 à 7 millions d'armes circulent illégalement en France. Or, après les attentats de janvier, aucune opération d'ampleur nationale - une opération qui pourtant s'impose - n'a été engagée sur le trafic d'armes. A l'inverse, les trafiquants d'armes se sont réorganisés et structurés dans de nouvelles filières libyennes et syriennes.

    En fait, le rapport de force fait trembler en coulisses les autorités. Selon les derniers chiffres, la Police nationale compte plus de 120 000 actifs quand la gendarmerie en dénombre près de 100 000. En cas de pépin, cela ne sera pas suffisant. Faudra-t-il alors en appeler à la Légion comme le préfet de Mayotte l'a fait ce week-end ? Elle est ailleurs et ce serait alors un autre État.

    La peur du rapport de force auquel, tôt ou tard, nos gouvernants n'échapperont pas malgré leurs conceptions antiracistes forcenées, explique qu'il n'y a pas de sécurité territoriale dans certains quartiers et aussi plus de presse. La peur du conflit ou la volonté cynique d'entretenir des tensions, voilà la raison de la lâcheté politique, mais aussi du vide sidéral de la presse française.

    Que disent les élus de Tourcoing, qu'ont-ils rappelé aux journalistes lors de leur dernier conseil municipal ? Que les auteurs des émeutes ne sont « pas des jeunes mais des délinquants » mais...la police poursuit-elle encore les délinquants?

    source : Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuFupAyulysXnbvmeK.shtml

  • Djihadistes : la submersion (Présent 8366)

    Les magistrats français spécialisés dans le terrorisme ne sont pas assez nombreux pour faire face aux dossiers djihadistes. C’est un problème concret que l’on n’aurait même pas imaginé il y a quelques années, c’est désormais une grave carence. Va-t-il falloir délocaliser des juges ordinairement occupés à remettre les criminels sexuels en liberté, à surveiller les conversations de Sarko ou à clouer les déviants de la pensée unique sur le mur des cons pour leur donner une formation anti-islamiste accélérée ? Taubira vivante, jamais !8366-P1
    Face à l’explosion du djihadisme en France, qui implique plus de 1 700 Français et résidents (connus) engagés dans les réseaux syrio-irakiens, le rapport parlementaire d’Éric Ciotti et de Patrick Mennucci sur les filières djihadistes précise que « la France a perdu plusieurs années » et que la justice française n’est plus adaptée.
    Il préconise en urgence le « renforcement des effectifs de magistrats spécialisés, qu’il s’agisse du parquet, de l’instruction ou de l’application des peines ».
    La section antiterroriste du parquet de Paris ne compte actuellement que neuf magistrats et encore ce neuvième poste vient-il à peine d’être créé. 157 enquêtes ont été recensées au 18 mai 2015, dont 94 concernant l’islamisme radical, parmi lesquelles 53 se rapportent aux filières irako-syriennes. Dans le même temps, le rapport pointe les « moyens insuffisants » du juge d’application des peines (JAP) de Paris qui suit « seul avec un greffier » un grand nombre de dossiers qui ne font que se multiplier depuis un an.
    Les deux députés suggèrent que « certaines infractions terroristes puissent être décentralisées et traitées localement, notamment à Lyon et à Marseille. “Il existe des lacunes dans la continuité territoriale du suivi des individus dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Ces difficultés ont conduit à l’interruption de l’écoute de Saïd Kouachi par la Direction du renseignement de la préfecture de police en juin 2014.”
    Les policiers, les CRS et l’armée sont déjà mobilisés on le sait, au-delà de leurs forces, par la lutte contre l’islamoterrorisme. Et maintenant les juges. Il n’y a guère que nos gouvernants finalement qui n’ont rien changé à leur train-train : festival de Cannes, panthéonisation, amours, carrière… Cela fait maintenant cinq mois que l’on attend des actes et une volonté politique à la hauteur de la guerre qui a été déclarée à la France.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • 18 170 interceptions de clandestins à Calais en moins de 5 mois

    Statistiques tenus secrètes :

    "Selon des chiffres provenant de la police aux frontières du Pas-de-Calais, que francetv info a pu consulter en exclusivité, les policiers déployés à Calais ont procédé, rien qu'entre le 1er janvier et le 21 mai 2015, à 18 170 interceptions de clandestins cachés dans des camions pour tenter de rejoindre l'Angleterre.

    En comparaison, les policiers totalisaient 8 336 interceptions entre le 1er janvier et la mi-mai 2014, et 4 117 interceptions entre le 1er janvier et la mi-mai 2013. Dit autrement, cela signifie que le nombre de ces interceptions d'étrangers en situation irrégulière, toujours sur cette période, est multiplié par 2,2 par rapport à l'an dernier, et par 4,4 par rapport à 2013. [...]

    Les policiers ont pour consigne de ne procéder à des interpellations qu'en cas de violences. La plupart du temps, leur mission consiste donc simplement à repousser les clandestins des abords du tunnel sous la Manche et du port. [...] . Le 21 mai, un triste record a ainsi été atteint : en vingt-quatre heures, les policiers ont découvert près de 1 200 clandestins, cachés dans 300 poids lourds."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bagarre entre clandestins, Calais sur le fil du rasoir

    Nouvelles violences entre clandestins à Calais,dans le camp poétiquement nommé New Jungle : 24 blessés, dont 14 ont été hospitalisés, rassurez-vous, « La situation a été maîtrisée à tout moment », a annoncé sans rire la préfecture.

     

    Alors que la police est au bord de l’explosion, que les habitants n’en peuvent plus etne reconnaissent plus leur ville, que les chauffeurs routiers Anglais veulent boycotter le port, c’est aussi au sein même des groupes de clandestins que la violence fait rage. Une situation habituelle, qui ne fait les honneurs de la presse que par soninhabituelle ampleur.

    La bagarre entre plusieurs centaines de clandestins, qui aurait opposé Soudanais et Erythréens, n’est que le dernier épisode d’une longue litanie de violences entre migrants (voir ici et  pour deux exemples récents) et surtout à l’encontre de la population.

     

    Certes, Calais n’est qu’un abcès de fixation, mais il est révélateur du cancer de l’immigration qui ronge la société française. Un cancer qui répand ses métastases un peu partout, avec bien sûr la bénédiction du gouvernement et de l’Europe.

  • Triple homicide à Paris : la piste des services secrets turcs confortée



    Le 9 janvier 2013, trois militantes kurdes étaient abattues au centre d’information du Kurdistan, en plein Paris. Aujourd’hui, le juge a bouclé son enquête. Une possible implication des services secrets turcs avait déjà été évoquée, mais dans Secrets d’Info ce vendredi soir sur France Inter, Jacques Monin apporte de nouveaux éléments.

    Ce qui vient accréditer cette thèse, c’est un curieux dialogue qui a eu lieu en prison entre Ömer Güney, un Turc de 32 ans actuellement en détention provisoire, et un ami allemand qui est venu le voir en fin d’année dernière. Les propos tenus par le suspect ont retenu l’attention du juge explique Antoine Comte, l’un des avocats des familles de victimes : « Le juge d’instruction a compris à travers des écoutes au parloir que la façon très particulière dont ils parlaient, la mère dont il était question était les services secrets turcs. »

    A ce nouvel élément s’ajoute un enregistrement dont disposait déjà la justice. Un homme qui serait Güney, y explique à un agent des services secrets turcs comment il compte assassiner un autre militant kurde, à Paris. Voici un extrait de la traduction écrite de cet enregistrement.
    –  « L’endroit le plus propice pour un assassinat c’est les alentours de l’association »
    –  « Quels sont les moyens de fuite? Tu as vérifié? »
    –  « J’ai vérifié »

    Reste la question du mobile. Un processus de négociation venait de démarrer entre le pouvoir turc et les Kurdes. L’hypothèse d’une dissidence au sein des services secrets, qui aurait voulu torpiller ces discussions, reste donc la plus probable.

    Source

    http://www.contre-info.com/triple-homicide-a-paris-la-piste-des-services-secrets-turcs-confortee#more-38112

  • D'origine maghrébine, une collégienne est menacée pour son athéisme

    Bienvenue en France : parce qu'elle était "visuellement musulmane" (ses grands-parents sont maghrébins mais ses parents se revendiquent français), une collégienne s'est fait harceler toute l'année par une camarade de classe musulmane, dont le père a même menacé de la brûler vive, lui reprochant son "athéisme".

    "Il arborait fièrement une barbe d’islamiste, son épouse était vêtue d’un niqab", se souvient Nourredine [le père de la collégienne harcelée]. "Il est venu et m’a dit que si je ne retenais pas mon enfant, il allait la brûler vive et qu’après on allait s’occuper de moi."

    "Le fait qu’elle se soit teint les cheveux en blond cuivré déplaisait à cette camarade qui l’insultait de sale française. Si elle laissait sa chemise ouverte elle lui disait c’est pour plaire aux garçons, et la traitait de tous les noms (sale pute, sale française)".

     

    Marie Bethanie

  • Laurent Ozon : « Ces gens sont violents et nous l’avons prouvé ! »

    Le 26 mai dernier à Bruxelles, Laurent Ozon, président du Mouvement pour la Remigration (que nous avions interrogé il y a peu), faisait face aux clandestins qui manifestaient à Bruxelles pour réclamer des droits. Leur réaction (violente) ne s’est pas faite attendre, comme en témoigne la vidéo visible ci-dessous. Pour le Bréviaire des patriotes, M. Ozon revient sur son action.

    ► LBDP : Pouvez-vous nous livrer le récit des événements et nous parler du discours que vous avez tenu ce jour-là ?

    L.O. : L’objectif de cette petite opération était de montrer à chacun que nous n’étions pas obligé de rester coi devant l’ahurissante campagne de justification des médias et des pouvoirs publics pour nous imposer les clandestins. Nous avons d’abord repoussé ceux qui étaient sur le monument, puis, en équilibre, je suis monté pour me faire entendre de cette petite foule de 200 personnes. À la fin de mon intervention, nous avions ce que nous voulions : une attaque violente en règle de clandestins et une véritable petite émeute en plein centre-ville qui a nécessité l’intervention des brigades anti-émeute.

    Quelques échanges de coups ont été nécessaires pour nous protéger, même si je tiens à le préciser, je n’étais pas venu pour cela. Il nous a seulement fallu répliquer lorsqu’ils sont passés des projectiles et des ruades aux coup de poings. Bref… Mon discours consistait en synthèse à rappeler qu’ils n’étaient pas les bienvenus, que nous étions chez nous et que nous les ferions repartir.

    ► Vous attendiez-vous à une telle réaction ?

    Oui. Nous ne nous faisons aucune illusion sur l’état d’esprit de personnes capables de noyer leurs congénères en mer parce qu’ils sont chrétiens ni de la nature agressive de leur démarche en arrivant chez nous. Ces gens sont violents et nous l’avons prouvé. C’est parce qu’ils ne rencontrent pas les réactions de la population qu’ils peuvent jouer aux misérables devant les journalistes.

    ► Vous dites (à Breizh-Info) que de nombreux policiers vous ont soutenu, bien qu’ils aient dû obéir aux ordres…

    C’est plus tard, en essayant de revenir sur la place qu’un cordon de gardes m’a bloqué et que durant ces minutes, nous avons reçus les aveux et sympathie des policiers. Si un jour quelqu’un donne l’ordre à ces hommes et ces femmes de nettoyer la place et de rembarquer ces intrus, croyez-moi, ce sera fait et avec le sourire. Voilà pourquoi la politique reste un objectif incontournable.

    ► Bien que certains vous accuseront de provocation gratuite, cet affrontement casse-t-il l’image des « gentils clandestins » que l’on tend à nous montrer dans les médias ?

    Oui c’est bien le but de cette opération, démasquer ces gens. Pour ce qui est de la « provocation », je crois bien que c’est la présence massive de clandestins dans nos villes, hébergés et nourris avec nos impôts qui constitue une provocation.

    ► La remigration se veut un plan pacifique et réfléchi. Ce genre de débordements ne fait-il pas mentir votre analyse, selon laquelle il existe une solution « douce » au problème migratoire ?

    Il existe une solution douce mais elle sera politique et diplomatique. Ce n’est pas une raison pour que les citoyens ne manifestent pas leur mécontentetement d’ici-là. Après, si ces clandestins ne gardent pas leur calme, on verra bien. Nous avons le droit et même le devoir de nous faire entendre. Nos institutions politiques tiennent leur légitimité de leur mandat d’assurer nos droits, de faire respecter nos lois et de protéger les citoyens contre l’abus, la violence, l’anarchie. Si elles n’agissent pas, elles perdent leur légitimité à assurer le monopole de la violence légitime. Nous devrons alors agir pour faire respecter nos droits, nos familles, nos terres et nos biens. Qu’elles prennent garde.

    ► Pour finir, comment voyez-vous l’issue du drame qui se joue actuellement en Méditerranée ?

    Tout cette affaire est fabriquée pour mettre le feu aux poudres. Le problème c’est que si nous ne réagissons pas, nous disparaitrons. C’est bien dans cette impasse que l’Oligarchie nous conduit. Il faut agir vite tant que cela peut encore être possible. Dans deux ans, ce pourrait bien être trop tard et nous pourrions assister à la deuxième partie de leur opération : un État aux prérogatives totalitaires gérant une guerre civile endémique en nous imposant une mixité forcée et la fin de nos libertés comme peuple.

    La souveraineté est aux peuples ce que la liberté est à l’individu. Le droit de pouvoir décider chez nous de ce qui est bon pour nous. Ils sont faibles. Ne nous laissons pas tétaniser par la crainte, les campagnes de désinformation qui veulent ridiculiser ou démoraliser nos réactions. C’est le moment de se lever !

    Propos recueillis par Christopher Lings

    NB : Laurent Ozon souhaite organiser une autre action à Bruxelles dans les prochains jours. Pour y participer, manifestez-vous rapidement à cette adresse : laurent.ozon@gmail.com

    source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Etat islamique : "L’adversaire n’est plus seulement aux portes de l’Europe, il en a franchi le seuil"

    Paroles du chef d'état-major de l'armée de terre à propos de l'Etat islamique qui témoignent que la situation est grave :

    "Selon le général Jean-Pierre Bosser, « plus de 1.000 combattants européens enrôlés dans ses rangs sont revenus dans l’espace Schengen ». Une menace pour la France et les pays européens. Car « l’adversaire n’est plus seulement aux portes de l’Europe, il en a franchi le seuil », a souligné le chef d’état-major de l’armée de terre. Il est donc persuadé « de la nécessité d’intégrer encore plus dans notre réflexion le retour de l’armée de terre sur son milieu naturel, celui du sol nationalpour pourvoir y faire face, avec les forces de sécurité, à tous types de menaces dont celles que ces vingt dernières années avaient confinées à l’extérieur ».

    Cette problématique est là « pour rappeler le lien très fort, le continuum, qui existe entre sécurité extérieure et sécurité intérieure. Ces combattants étrangers sont un vrai défi pour notre sécurité, celles des Français et plus généralement celle des Européens », a de son côté expliqué le général Pierre de Villiers. Et selon le chef d’état-major de l’armée de terre, « il ne faut d’ailleurs pas exclure que cette menace agisse en utilisant des modes d’actions de nature militaire, et se concrétise par des actions armées contre des militaires. Ne perdons pas de vue qu’il s’agissait d’un des objectifs poursuivis par Mohammed Merah. Outre-Atlantique, des attaques isolées ont déjà été perpétrées. Nous avons hélas vécu à deux reprises en France et une fois en Belgique des attaques assez similaires ».

    L’armée de terre peut-elle être en première ligne face à Daech sur le sol national ? Le général Bosser en est convaincu : « il me semble raisonnable de considérer que la nature des opérations et l’envergure des défis sécuritaires inscrivent l’action militaire, hors et désormais à l’intérieur de nos frontières, durablement. Ils confortent ainsi le contrat opérationnel de l’armée de terre qui est réaliste et structurant ».

    Lahire http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Alain Escada appelle à sanctionner l’Arabie Saoudite, complice de l’Etat Islamique, et à manifester le 20 juin à Paris

    Alain Escada, président de Civitas, rappelle la duplicité de l’Arabie Saoudite, complice de l’Etat Islamique, et « alliée » des puissances occidentales. Il faut sanctionner l’Arabie Saoudite, insiste le président de Civitas qui appelle à une manifestation le 20 juin à Paris.

    Des cars partiront de différentes villes de France (Lyon, Strasbourg, Nancy, Rennes, Nantes, La Roche/Yon, Angers, Lille, Bordeaux, Limoges, Châteauroux, Bergerac, Périgueux). Civitas propose l’aller-retour pour la modique somme de 5 euros.