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insécurité - Page 933

  • Civitas s’indigne que Montreuil honore la pédophilie

    MPI – Vous êtes la seule personnalité politique à avoir pris contact avec notre rédaction afin de réagir à nos informations concernant l’inauguration, ce samedi 15 mars, à Montreuil, d’un square Jean Le Bitoux, fondateur du magazine homosexuel Gai Pied et défenseur de la pédophilie. M. Escada, en tant que président de Civitas, quel est votre commentaire à ce sujet ?

    Alain Escada – J’ai été écoeuré en découvrant cette information. Comment est-il possible, en 2014, d’honorer publiquement de la sorte un personnage aussi répugnant qui, durant des décennies, a pris la défense de la pédophilie ? Ce scandale doit être dénoncé avec force et pose plusieurs questions.

    1. Les élus du conseil municipal de Montreuil ont-ils bien conscience qu’ils honorent un défenseur de la pédophilie en donnant à ce nouveau square le nom de Jean Le Bitoux ?
    2. Comment se fait-il que pas un élu, ni dans la majorité, ni dans l’opposition, n’ait fait un minimum de travail de recherche au sujet du personnage honoré de la sorte ?

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  • Asia Bibi sera jugée en appel le 17 mars

    L’audience en appel du procès d’Asia Bibi devrait avoir lieu lundi prochain, 17 mars.

    Mère de cinq enfants, cette catholique pakistanaise avait été condamnée à mort par pendaison pour “blasphème” en 2009 et est maintenue en prison, dans des conditions déplorables, depuis plus de quatre ans. Son “crime” : alors qu’elle travaillait dans un champ appartenant à un musulman, elle avait osé boire à un puits avec le gobelet utilisé par d’autres travailleuses musulmanes et accusée par elles d’avoir “pollué” le gobelet et le puits, les chrétiens étant “impurs”… 

    Michel Janva

  • Répression policière devant le Grand Orient

     

    Les Sentinelles, postées la nuit dernière devant le Grand Orient de France, rue Cadet à Paris, disent avoir été expulsées avec une rare violence :

     

    "Alors que des Sentinelles étaient paisiblement alignées sur un trottoir, sans gêner l'ordre public, les forces de l'ordre sont intervenues violemment et sans sommation pour les expulser.

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    Une jeune fille raconte avoir parlé à un policier : «Monsieur nous sommes debout sur un trottoir face à un bâtiment privé, nous ne gênons personne, vous devez nous donner un motif !», le policier aurait alors sorti une très habituelle réponse : «Ce sont les ordres».

    Un autre témoin de la scène explique que les CRS, déjà présents sur place, sont intervenus au bout de 3 minutes, avec une rare violence. «Ils ont chargé pour repousser tout le monde, en attrapant certains et en les portant. Un homme a été poussé brutalement contre une terrasse de café, renversant une table et brisant des verres».

    Une autre Sentinelle, qui résistait en restant sur place aurait été étranglée et entrainée de force plus loin dans la rue. Une autre jeune fille, pourtant habituée à veiller debout, raconte avoir eu «vraiment peur» et n'avoir jamais vu une réaction aussi brutale contre les Sentinelles ; elle parle également de «quelques coups gratuits» donnés par les CRS.
    Une réaction des forces de l'ordre disproportionnée et étonnante, qui laissait pensait qu'une personnalité se trouvait à ce moment là à l'intérieur.

    Quelqu'un nous explique : « Nous veillons pour protester non pas contre l'existence de la franc-maçonnerie mais contre le fait qu'elle soit secrète tout en prétendant construire l'avenir de notre société, de notre collectif... Agir masqué est déloyal vis-à-vis de la collectivité. Nous demandons la transparence et le fait que l'on puisse accéder aux listes des membres de ce réseau. (...) Si la franc-maçonnerie fonctionne comme un lieu de pouvoir, alors elle doit rendre des comptes et notamment donner des noms. »"

    D'autres Sentinelles, qui veillaient Place Vendôme, ont également été expulsées.

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    Louise Tudy

  • A Montreuil, un square portera le nom du fondateur d'une revue homosexualiste et pédophile

    ... et des enfants y joueront. Dominique Voynet va inaugurer samedi à Montreuil, en présence de tout le gratin homosexualiste, un square Jean Le Bitoux, du nom du fondateur homosexuel de la revue Gai Pied. Média Presse Info fait à cette occasion un intéressant rappel historique :

    "Cette publication [dont le premier numéro a été imprimé par la LCR] s’inscrit dans une perspective révolutionnaire. La révolution sexuelle est perçue comme un moyen de subvertir entièrement la société. Il y est question d’homosexualité mais aussi de pédophilie. Selon les termes de l’historienne Anne-Claude Ambroise-Rendu, le discours selon lequel « les enfants ont aussi droit à la sexualité » trouve à l’époque une niche « à l’ombre des mouvement alternatifs, de l’antipsychiatrie et du militantisme homosexuel. Du Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR) créé en mars 1971, au magazine Le Gai Pied lancé en février 1979, tous réclament, avec Michel Foucault, la reconnaissance des « sexualités périphériques ». » En 1975, Daniel Cohn-Bendit publie Le Grand bazar dans lequel un chapitre, « Little big men », est consacré à la« sexualité des enfants ». En 1976, René Schérer et Guy Hocquenghem dirigent un numéro de la revue Recherches sur l’enfance et l’éducation, « soutenu notamment par Michel Foucault et François Châtelet [et qui] marque sans doute l’apogée de ce type de discours » intellectuel sur la pédophilie et l’hébéphilie. En avril 1978, invité avec Guy Hocquenghem de l’émission Dialogues sur France Culture, Michel Foucault dénonce le cadre juridique qui « vise à protéger les enfants en les confiant au savoir psychanalytique », à nier l’existence de leur désir sexuel et à postuler la sexualité avec les adultes comme dangereuse pour eux.

    Gai Pied publiera des annonces explicites qui relèvent de la pédophilie.

    En 1987, Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur de l’époque, décide d’interdire Gai Pied Hebdo. Mais le lobby homosexuel mobilise ses relais politiques et François Léotard, qui est à l’époque ministre de la Culture, intervient pour sauver cette publication qui disparaîtra finalement en 1992.

    C’est dans les locaux de Gai Pied que se trouve le siège d’Act Up Paris."

    Louise Tudy

  • « Scènes de guerre » à Behren-lès-Forbach : gendarmes blessés, pompiers attaqués, mairie prise d’assaut.

    5 gendarmes blessés. Aucune interpellation.

    « Une nuit de violences a laissé d’importants dégâts dans la cité de Behren-lès-Forbach (Moselle) près de Forbach. L’interpellation d’un jeune a provoqué un déchaînement de violences…

     D’après les premiers éléments rapportés par de nombreux témoins, de véritables scènes de guerre urbaine se sont jouées dans la nuit de lundi à mardi dans les secteurs de Forbach et de Behren-lès-Forbach. Les deux villes de Moselle-Est qui sont placées en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP) ont du faire face à un vrai déchainement de violence gratuite. Les habitants sont encore sous le choc. C’est avant tout la cité de Behren-lès-Forbach qui a été le théâtre de violences urbaines hallucinantes.(…) La mairie de Behren-lès-Forbach a été attaquée à coups de jets de pierres et cocktails Molotov.(…) Il n’y a eu aucune interpellation cette nuit suite aux violences. »

    Source et suite dans Lor’Actu

    Berhen-lés-Forbach, ville largement peuplée de musulmans, abrite au moins une mosquée radicale avérée, sur les trois mosquées qu’elle compte.

    http://www.contre-info.com/

  • Les gauchistes soutiennent les émeutiers de Forbach

    L'ultra-gauche qui sévit à Nantes comme à Sciences-po ne cache pas ses accointances avec les émeutiers affrontant la police. Sur ce site on trouve ainsi un appel à soutenir les émeutiers de Forbach, qui affrontent les forces de l'ordre :

    "A Behren-les-Forbach en Moselle dans la nuit de lundi à mardi 11 mars, un groupe de personnes cagoulés a attaqué la mairie à coups de pierres et de cocktails molotov ainsi que plusieurs voitures garées sur le parking, défoncé plusieurs commerces dont une enseigne de La Poste, incendié des poubelles tout en s’affrontant sporadiquement avec les gendarmes. Un véhicule des pompiers a été caillassé lorsqu’ils sont arrivés pour éteindre les flammes de la révolte. Cinq gendarmes ont été blessés suite aux affrontements; aucune arrestation n’a eu lieu. L’Etat a dépêché les grands moyens en quadrillant la zone de bleus et en faisant tourné un hélico au-dessus du quartier à la recherche des assaillants. [...] Plus que jamais, solidarité avec les émeutiers !"

    Et que dit le sinistre Manuel Valls ? Que la République est en danger ? Qu'il ne tolèrera aucune violence ? Qu'il va dissoudre ces groupuscules ? Non. Il se tait.

    Michel Janva

  • Abus sexuels en série

    Un entrefilet dans la presse quotidienne régionale :

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    Et sa hiérarchie n'avait rien vu, rien su, rien entendu ?...

    Dans le même genre (mais ce n'est pas une rumeur), Nigel Evans, député et figure du parti conservateur britannique, est accusé d'avoir usé de son influence pour violer un homme et en agresser sexuellement plusieurs autres jusque dans les couloirs du Parlement. L'ancien vice-président de la Chambre des Communes, qui avait révélé son homosexualité en 2010 (mais surtout pas d'amalgame), fait face à 9 chefs d'accusation, un pour viol, deux pour attentat à la pudeur et six pour agression sexuelle.

    Michel Janva

  • Pauvreté ne coïncide pas avec délinquance

    A gauche : répartition géographique de la misère en France, à droite : répartition de la délinquance.

    Pour justifier l’extrême délinquance de la Seine-Saint-Denis ou de Marseille, on nous présente toujours la misère comme unique responsable.

    Il suffit de jeter un œil sur la carte ci dessous pour voir que la raison de la délinquance est à chercher ailleurs.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Ce qui est écrit dans les documents brandis par Christiane Taubira

    « Non, je n'ai pas d'informations concernant la date, la durée, le contenu des interceptions judiciaires », a assuré Christiane Taubira, juste après le conseil des ministres du mercredi 12 mars. Accusée de mensonge par la droite dans l'affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy, la ministre de la justice a brandi deux lettres. L'une du  procureur national financier, Eliane Houlette, adressée au procureur général de Paris, l'autre d'un représentant de ce dernier à la garde des sceaux. Sur les photos de ces documents, le contenu des lettres est facilement lisible, même si certains passages sont cachés par la main de Mme Taubira.

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  • Croissance incestueuse

    Dans son nouveau livre Les couleurs de l’inceste, Jean-Pierre Lebrun sonne l’alarme : pour le psychanalyste, l’interdit essentiel de l’inceste s’efface de plus en plus, toutes les figures d’autorité – dont celle du père – étant délégitimées dans notre société libérale. Comment envisager une politique de décroissance dès lors que toutes les limitations à la jouissance sont abolies ?
    La Décroissance : dites-vous qu’au bout de la société de croissance, du libéralisme, du capitalisme, il y a la levée de l’interdit fondamental de l’inceste ?
    Jean-Pierre Lebrun : L’interdit de l’inceste est au fondement des sociétés humaines, les anthropologues en conviennent. Mais l’interdit de l’inceste, pour le psychanalyste, désigne d’abord le lien de chaque enfant à la mère, ou à son substitut – l’inceste avec le père est déjà un inceste deuxième si l’on veut, sauf si celui-ci a tenu lieu de mère – et il faut rappeler que cet interdit qui vient faire séparation dans le lien mère-enfant va de pair avec la mise en place de la capacité de langage elle-même qui caractérise précisément notre humanité. Nous sommes en effet les seuls animaux qui parlons, même si chez certains animaux cette capacité de langage est ébauchée. Et parler suppose et permet cette séparation dans le lien. L’interdit de l’inceste au sens strict de la psychanalyse que je viens ici de tracer à gros traits est à ce titre et en quelque sorte comme la limite elle-même à laquelle l’humain ne peut jamais échapper à moins de risquer l’inhumain et la barbarie. Les anciens le savaient bien parlaient de l’Hubris – l’excès – lorsqu’il n’était pas tenu de la limite inhérente à l’humanité. Or, suite aux mutations sociales que nous connaissons, au développement de la technologie mais aussi des profits que l’on peut en tirer, bref du capitalisme, il y a de plus en plus d’extension des possibles, tout cela laissant croire à la fin de l’impossible, au point même de méconnaître ce qui est pourtant notre fin à tous : la mort. Le poète Valère Novarina dit quelque part : « La parole est surtout le signe que nous sommes formés autour d’un vide, [...] que nous sommes non pas ceux qui ont le néant pour avenir mais ceux qui portent leur néant à l’intérieur. »
    L’interdit de l’inceste met en place ce vide, ce néant à l’intérieur de nous ; il inscrit une limite interne mais notre société actuelle contourne cette mise en place, escamote cette limite qui fait pourtant notre humanité.
    Vous expliquez dans votre livre que ce que vous nommez « égalitariat » s’est substitué au patriarcat. Renoncer à tendre vers l’égalité, n’est-ce pas renoncer à l’égalité elle-même ?
    Si vous voulez, c’est à nouveau un indice de ce que cette limite est prise en compte ou pas ! J’essaye de montrer dans mon livre que pour le vœu d’égalité, il faut consentir à ce qu’il ait sa limite, et sa limite, c’est la reconnaissance de la différence des places. Celle-ci n’est nullement une opposition à l’égalité, au contraire !
    En fait le social n’est plus comme hier organisé comme une pyramide, vertical, avec une légitimité spontanément reconnue de la place du sommet ; il est désormais conçu comme un ensemble de réseaux, donc plutôt horizontal, et la place différente qui permettait une orientation est aujourd’hui malvenue : elle suscite aussitôt la défiance et donne à penser que l’on veut rester dans le modèle ancien.
    On voit pourtant bien l’intérêt de ce changement : en finir avec un modèle où tout se décide en haut et donner place aux gens eux-mêmes, leur permettre de s’organiser selon leurs vœux propres. Ceci entraîne aussi que chacun puisse y aller de sa propre inventivité et ne soit pas sous la tutelle d’un autre qui décide pour lui ; cela va donc bien dans le sens de l’égalité. [...]
    « Autant par le passé nous avions des gens extrêmement névrotiques qui étaient dans la culpabilité, le malaise interne, le doute, et qui intégraient autrui, autant aujourd’hui nous avons une pathologie de l’altérité et une pathologie de ce que j’appellerais rapidement le : ‘Je ne peux pas m’arrêter, c’est plus fort que moi’ », explique votre confrère Dominique Barbier. Le philosophe Dany-Robert Dufour parle d’une société passant de la surrépression à la levée de toutes les inhibitions débouchant sur une anthropologie de la perversité. Le constat de cette révolution souterraine est-il général chez les psys ?
    Les psys ne sont nullement prémunis contre cette mutation qui nous emporte : eux-mêmes revendiquent leur inventivité propre et nous pouvons dès lors entendre des prises de position de toutes natures. Certains en revanche se retrouvent en accord avec le diagnostic de substitution à la névrose d’hier, d’une perversion ordinaire ou généralisée qui n’est pas pour autant la stricte perversion.
    Mais il s’ensuit un amoindrissement de la tolérance à l’altérité que pour ma part, je constate comme de plus en plus fréquent. C’est d’ailleurs apparemment un paradoxe, parce qu’on prône la tolérance de plus en plus massivement, on revendique que chacun puisse dire sa position et on constate dans les faits que l’altérité est de moins en moins tolérée ! [...]
    La Décroissance N°106
    http://www.oragesdacier.info/2014/03/croissance-incestueuse.html