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insécurité - Page 931

  • La France en flamme espère un coup d’État militaire

     

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    Du 31 Décembre 2013 (18h) au 1er Janvier 2014 (6h) :

    - 3 personnes furent tuées à l’arme blanche ;

    - 1067 véhicules furent incendiés ;

    - 5 policiers et gendarmes furent blessés ;

    - 322 personnes furent arrêtées ;

    - le ministre Valls parle de "résultats positifs".

    Vivement le Putsch.

    http://la-dissidence.org/2014/01/02/la-france-en-flamme-espere-un-putsch/

  • Le triste sort des chrétiens dans le monde

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) - En ce début d’année 2014, le bilan de l’année 2013 est assez triste pour les chrétiens dans le monde. S’il faut saluer l’excellent travail réalisé par l’équipe de l’Observatoire de la christianophobie, c’est par quelques chiffres affligeants que nous commençons cette nouvelle année. En 2013, ce ne sont pas moins de vingt deux opérateurs pastoraux, dont dix neuf prêtres et deux religieuses qui ont été tués, soit près de deux fois plus qu’en 2012. L’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Inde, le Proche Orient, les Philippines et l’Italie sont concernés par ces meurtres.

    Le triste sort des chrétiens dans le mondeEn dehors des opérateurs pastoraux, la situation s’est considérablement détériorée pour les chrétiens en 2013

    En Syrie, en Irak (photo ci-contre), en Egypte (photo en Une) et plus généralement dans le monde musulman, les populations chrétiennes pâtissent de l’influence grandissante des organisations islamistes et de la barbarie des conflits locaux.

    C’est aussi le cas en Corée du Nord. Globalement, l’épiscopat estime à plus de 170.000 le nombre de personnes tuées en 2013 car chrétiennes ou assimilées. Pire encore, les fêtes de Noël ont à nouveau été l’occasion pour des terroristes hindouistes de brûler une église et des habitations de chrétiens au Népal, et pour les milices nigérienne, syrienne ou soudanaise d’assassiner des chrétiens.

    Ce terrible bilan épargne-t-il l’Europe ?

    Pour l’instant il est exact que le nombre d’assassinats de chrétiens est heureusement faible en Europe. Cependant, la violence se déchaîne de plus en plus contre la religion catholique, avec l’émergence de mouvements largement subventionnés comme les Femen, complaisamment décrites par les médias de l’oligarchie. De même, les profanations d’églises sont toujours plus fréquentes et rarement condamnées comme dernièrement à Malaga en Espagne, mais aussi à Paris où l’église de la Madeleine a été souillée en toute impunité. Des crèches ont aussi été saccagées en Hongrie et en Belgique.

    http://fr.novopress.info/151585/triste-sort-chretiens-monde/#more-151585

  • Lancer de grenade devant des députés, par le général Soubelet, n°3 de la gendarmerie

    Devant des députés, le général Soubelet, n°3 de la gendarmerie, a déploré que les délinquants «profitent du système» et a noté que «les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes».

    «Je vais livrer une analyse personnelle, peut-être un peu iconoclaste»: avec un courage certain, le général de corps d’armée Bertrand Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie nationale, s’est livré à une critique sans fard de la politique pénale actuellement menée. Ses propos, tenus le 18 décembre devant la commission parlementaire de «lutte contre l’insécurité» ouverte à la presse et qu’il savait enregistrés, sont ceux d’un grand technicien. Énoncés sur un ton posé, ils ont l’effet d’une bombe. Venant d’un gradé de tout premier plan et reprises par l’Agence France presse, ils traduisent, s’il en était encore besoin, le malaise des forces de l’ordre face un système judiciaire souvent taxé d’angélisme et dont le nombre de remises en liberté ne cesse de hérisser la base.

    Pendant plus d’une heure et 24 minutes d’audition, ce général 4 étoiles, grand patron des opérations et de l’emploi à la Direction générale de la gendarmerie nationale, nommé le 28 novembre 2012 en Conseil des ministres, a brossé un tableau sans concessions. Évoquant en préambule de son propos la lourdeur des procédures «sur le plan juridique», qui complique le travail des gendarmes, le général Bertrand Soubelet lâche que «les délinquants le savent et profitent du système».

    « L’insécurité et le sentiment d’insécurité ne cesseront d’augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée »

    « Les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes», prévient le militaire, précisant qu’en 2013 il y a eu une hausse de 4% de personnes mises en cause par ses services tandis que le nombre de placements sous écrou «a diminué de 33% ». « Évidemment, l’insécurité et le sentiment d’insécurité ne cesseront d’augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée», martèle-t-il. Le diagnostic de ce haut stratège est implacable: la réponse pénale est, selon lui, «en décalage». Sans détour, il enfonce le clou en assurant: «Les auteurs d’atteintes aux biens (cambriolages, vols…), les plus importantes numériquement, bénéficient d’un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer leurs activités. » Si le mot «impunité» n’a pas été lâché, l’auditoire a dû y penser très fort.

    Invoquant sa «liberté de parole», le général Soubelet considère certes que «la délinquance n’augmente pas en valeur absolue» mais qu’il existe bel et bien «une réelle insécurité dans notre pays».

    Toujours selon la vidéo de cette audition, il cite un «élément déstabilisant» pour la gendarmerie: «La notion de sanctuaire rural et périurbain n’existe plus (…) la délinquance et l’insécurité frappent au cœur de nos territoires, dans la ruralité profonde.» Un phénomène lié à une «migration importante de la population française en dehors des 25 agglomérations les plus importantes, vers la zone gendarmerie».

    Une grenade dégoupillée

    Lors d’un échange avec les députés, le haut galonné dégoupille une autre grenade: citant une synthèse datée du jour même de l’audition et reprenant les conclusions de commandants de groupements de gendarmerie départementale, il révèle que 65% des cambrioleurs interpellés dans les Bouches-du-Rhône en novembre 2013 «sont à nouveau dans la nature». «Quand vous lâchez 65% de ceux qui se sont rendus coupables d’un certain nombre d’exactions, comment voulez-vous que les chiffres baissent?, s’interroge le général Soubelet, c’est tout à fait impossible. Vous pouvez multiplier par deux les effectifs de gendarmes dans les Bouches-du-Rhône, cela ne changerait rien. La réalité, c’est celle-là, je pense que c’est mon devoir de vous le dire, de manière peut-être un peu crue.»

    «Dans un département» qu’il ne cite pas, affirme-t-il encore, le parquet recommande de «mettre dehors» les présumés délinquants mineurs étrangers faute de «moyens» pour trouver un interprète. Par ailleurs, il estime aussi que le «critère de valeur» pour une garde à vue est qu’à «moins de 300 euros» de préjudice «on remet tout le monde dehors».

    Fin de l’article sur Le Figaro

    La vidéo de son intervention est disponible ici: Videos.assemblee-nationale.fr

    http://francelibre.tumblr.com/

  • La plus stupéfiante entreprise criminelle

    Une autre initiative prise par George Bush passa sur le moment beaucoup plus inaperçue, mais, avec le recul du temps, elle est semblable à un fil d'Ariane qui permet de remonter jusqu'aux secrets les plus inavouables.

         Pendant de longues années, la CIA avait possédé plusieurs flottes d'avions, la plus connue étant Air America qui fut utilisé tout au long de la guerre du Vietnam.
         En 1976, Bush vendit plusieurs appareils à un homme d'affaires de Houston, Tim Bath. Toutes les informations concordent, y compris le témoignage de Bath, pour affirmer qu'il avait été recruté par Bush lui-même pour travailler au sein de la CIA. Cet aveu a notamment été rapporté par son ancien associé, Charles W. White, qui précise d'autre part qu'en 1982 Bath et lui s'étaient trouvés au Ramada Club de Houston au moment où le vice-président Bush y séjournait. Selon White, il s'était approché de Bath en lui lançant "Hello Jim".
         L'homme, alors âgé de quarante ans, était aussi un ami de George W. Bush qu'il avait rencontré alors que ce dernier effectuait son service militaire dans l'aviation de la garde nationale du Texas, pour échapper au Vietnam...George W. Bush y traînait son ennui, "le plus souvent au bar, se rappelle un de ses collègues, vêtu d'un blouson d'aviateur et discutant avec les serveuses".
    Skyways Aircraft Leasing, la compagnie de charters domiciliée aux îles Caïmans et administrée par Bath, qui racheta les avions de la CIA, était contrôlée par des intérêts saoudiens. Le principal actionnaire était Khalid Bin Mahfouz, directeur exécutif et principal propriétaire de la National Commercial Bank, le plus important établissement bancaire d'Arabie Saoudite, étroitement lié à la famille royale. Il avait également pris le contrôle d'une des plus importantes banques de Houston, associé avec un autre financier saoudien, Ghaith Pharaon, le fils d'un médecin de l'ex-roi Fayçal. Dix ans plus tard, Khalid Bin Mahfouz allait acquérir une participation significative dans ce qui reste à ce jour la plus stupéfiante "entreprise criminelle" du 20ème siècle, selon les mots du procureur américain Robert Morgenthau : la BBCI (Banque de Crédit et de Commerce International). Son fondateur, le Pakistanais Agha Hasan Abedi, insistait sur la "mission morale" de sa banque, conçue comme le premier établissement financier d'envergure créé dans un pays en développement pour favoriser la croissance des pays du Sud.
         Opérant dans 73 pays, contrôlant 30 milliards de dollars de dépôts, elle allait en réalité accueillir l'argent de la drogue et du terrorisme, violer les lois, soutenir les pires dictateurs, faciliter les opérations clandestines de la CIA, et même, estime-t-on, d'Ousama Bin Laden. Le Panaméen Manuel Noriega y avait déposé une bonne partie de sa fortune, tout comme Saddam Hussein, les chefs du cartel de Medellin, le terroriste palestinien Abou Nidal, le roi de l'opium Khun Sa, le plus grand trafiquant d'héroïne du Triangle d'or, les services secrets saoudiens... De très proches collaborateurs de Bush, nous le verrons, entretenaient des liens avec cette banque. En 1988, Bin Mahfouz racheta 20% de la BCCI pour près d'un milliard de dollars, mais peu après l'établissement afficha 10 milliards de perte, ce qui précipita la chute du financier saoudien.
         Aujourd'hui, malade, Khalid Bin Mahfouz vit en résidence surveillée en Arabie Saoudite. En effet, le gouvernement saoudien a racheté sa participation au sein de la banque puis l'a forcé à démissionner. Plus grave encore, une information publiée par le quotidien USA Today, le 29 octobre 1999, puis par ABC News et obtenue à partir de sources provenant des services de renseignements américains, révélait que l'établissement de Khalid Bin Mahfouz avait été utilisé à de nombreuses reprises par plusieurs riches Saoudiens pour transférer des dizaines de millions de dollars sur des comptes liés à Ousama Bin Laden et Al Qaeda. Cinq hommes d'affaires du royaume avaient notamment transféré 3 millions de dollars à la Capitol Trust Bank de New York, d'où l'argent avait été acheminé jusqu'à deux organisations islamiques caritatives. Islamic Relief et Bless Relief, opérant comme façades pour Ousama Bin Laden. Un an après les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie.
         En 1998, une révélation de James Woosley, alors directeur de la CIA, fournit un éclairage supplémentaire : la sœur de Bin Mahfouz serait une des épouses d'Ousama Bin Laden.

    Eric Laurent, La guerre des Bush

    http://www.oragesdacier.info/2014/01/la-plus-stupefiante-entreprise.html

  • Et maintenant, la justice sans juge !

    Entretien avec Philippe Bilger

    Christiane Taubira prévoit de réformer les procédures de divorce : les divorces par consentement mutuel ne passeront plus par un juge, mais seront confiés au greffier. Etes-vous favorable à cette réforme ?

    Non. C’est une fausse bonne idée. Tout cela s’inscrit dans le cadre des « enceintes de travail » (le nom, déjà…), qu’elle a mises en place : cette manière de faire est une façon de fuir le présent pour rêver à un futur qui est un pur songe. Cela n’a aucun sens : après la peine sans sanction, voici une justice sans juge, celle-ci étant confiée aux greffiers. Pourtant, le rôle du juge est essentiel. Il pacifie les conflits et équilibre le rapport de force, parfois subtil, entre les deux parties afin que « l’inférieur » ne se trouve pas lésé. Comme le dit Pierre-Olivier Sur, bâtonnier de l’ordre des avocats de Paris, pour dénoncer cette proposition : « Dans une société sans juge, tous les coups sont permis. »

    Mais je pense que ce ne sera jamais mis en œuvre, cela fait partie de ces coups d’épée dans l’imaginaire pour consoler du présent, une zone grise entre l’action verbale et l’action politique qui fait de l’effet, mais c’est tout. Depuis quelques semaines, en dehors des indignations éthiques, il n’y a rien eu, sinon une circulaire visant à lutter contre les cambriolages en forte hausse – qui ne sert à rien –, et une attaque contre Le Figaro, qui s’est contenté, pourtant, d’évoquer l’étude de l’allégement des sanctions concernant le cannabis, proposé de fait dans le rapport Nadal. Je crois d’ailleurs que ce silence s’explique, quoi que veuille bien en dire Christiane Taubira, par le report de l’examen de sa réforme finale après les municipales, qui la blesse beaucoup.

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  • Valls n’a pas condamné la profanation de l’église Sainte Odile de Paris (XVIIe)

    Les dégradations commises dans l’église parisienne Sainte-Odile suscitent une vive émotion Après l’intrusion violente des Femen dans l’église de la Madeleine (Paris, 8e) le 20 décembre, les dégradations commises samedi après-midi par un homme dans l’église Sainte-Odile (Paris 17e) ont suscité de très vives réactions des catholiques sur les réseaux sociaux.

    Samedi 4 janvier en milieu de journée, « un homme a cassé des chandeliers, une statue, ouvert le baptistère et endommagé l’autel » de cette église située dans le 17e arrondissement, dans le nord-ouest de la capitale, a déclaré à l’AFP le diocèse de Paris. Cet homme avait d’abord assisté à une messe et s’était fait remarquer en « s’esclaffant en pleine célébration », a précisé l’adjoint au maire de l’arrondissement chargé de la sécurité, Geoffroy Boulard, qui s’est rendu sur place.

    Des paroissiens l’ont surpris pendant ces dégradations et l’ont pris en chasse mais l’homme, qui n’a rien dit de ses motivations, a réussi à s’enfuir. Après la plainte déposée par le curé, le P. Christian Malcor, et l’ouverture d’une enquête, la police a arrêté un suspect le lendemain. [...]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Valls-n-a-pas-condamne-la

  • Hommage à Antoine : une centaine de participants à Paris

    PARIS (NOVOpress) - Une centaine de personnes ont participé ce jour à l’hommage rendu à Antoine, jeune Français de 20 ans poignardé le soir du réveillon à Paris par un groupe de racailles. Wallerand de Saint-Just, candidat FN-RBM à Paris, a déposé une gerbe à sa mémoire. De nombreux policiers étaient présents. S’il y en avait eu autant le soir du 31 décembre, peut-être que ce drame ne serait pas arrivé…

    Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris, a pour sa part refusé de venir. Selon son directeur de campagne, Jean-Didier Berthault, « on a commencé à voir des choses du Bloc identitaire sur ce rassemblement. On a vu que c’était de la récupération, et il était du coup hors de question de s’y rendre. »

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  • 1 067 voitures brûlées. C’est bien, on est content !

    Mais un homme poignardé, cela vaut combien de bagnoles brûlées, au change de la délinquance ?

    Manuel Valls s’est félicité mercredi soir de la baisse « significative » de 10,6 % du nombre de véhicules brûlés la nuit de la Saint-Sylvestre. Non, c’est bien, on est content. Comme les 1067 propriétaires malheureux qui, en même temps, n’avaient qu’à louer un garage pour leur chignole et qui se réjouissent sûrement, dans leur grandeur d’âme, pour la centaine de compatriotes épargnés grâce aux 53.000 policiers et gendarmes déployés avec leurs impôts.

    Bien sûr, quelques pisse-froid sarcastiques, n’aimant rien tant que gâcher la joie des autres, vont se demander si le comptage a été fait façon Manif pour Tous. Ou bien encore façon journal Ouest-France, dont le numéro de mercredi titre « Saint-Sylvestre à Cholet. Une voiture brûlée », mais, par un scrupule qui honore le journal, précise en fin d’article que la « propagation du feu a par ailleurs endommagé trois autres véhicules stationnées à proximité ». Comme si, pour un feu de forêt, on ne comptait que le premier pin sous lequel le pyromane a fait craquer l’allumette. Sûr qu’avec un tel niveau d’alerte, le Canadair n’est pas près de mettre les gaz.

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  • David Cameron veut préserver les peines de perpétuité réelle

    LONDRES (NOVOpress) - Le ministre de la Justice du Royaume-Uni Damian Green étudie actuellement différentes options qui permettraient de contourner un jugement de la Cour européenne des droits de l’homme rendu en juillet dernier, stipulant que la prison à vie sans aucune perspective de libération constitue un traitement inhumain et dégradant.

    Cette décision de Strasbourg a ouvert une brèche qui incite des condamnés britanniques à faire appel. Une des pistes envisagées par David Cameron serait de mettre en place des peines de cent ans, à l’image de la loi américaine : « Il y a des gens qui commettent des crimes si atroces qu’ils doivent être envoyés en prison et pour lesquels perpétuité doit signifier perpétuité réelle. Quoi qu’en dise la Cour européenne, nous devons prévoir des aménagements pour nous assurer qu’il en soit toujours ainsi », a-t-il prévenu.

    Parallèlement, Damian Green travaille à l’élaboration du manifeste pré-électoral du Parti conservateur, qui prévoit de réformer les relations entre le Royaume-Uni et la Cour européenne. Les ministres les plus influents s’accordent sur la nécessité de conférer à la Cour suprême britannique l’autorité ultime d’interpréter la législation des Droits de l’homme, afin d’empêcher Strasbourg d’étendre son pouvoir dans sa juridiction. « Les lois britanniques doivent être faites en Grande-Bretagne. Je veux restaurer la respectabilité des Droits de l’homme. Je pense qu’il est absurde et préjudiciable que ce terme soit désormais agité comme un épouvantail », a expliqué Damian Green, qui voit dans cette dérive « un signe que le système se détraque horriblement ».

    http://fr.novopress.info/