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insécurité - Page 932

  • Violences contre les femmes : le poids insupportable de l’immigration

    C’est par un très bref coup de téléphone à l’AFP que François Hollande a « fait savoir » qu’ « à titre personnel » et donc unilatéralement, il avait « mis fin à la vie commune qu’il partageait avec Valérie Trierweiler ».
    Le chef de l’Etat se tient-il informé de l’ordre du jour des débats parlementaires ? Mauvaise farce de l’actualité : sonnant comme une répudiation, son communiqué aussi mufle que pléonastique date du 25 janvier. Autrement dit, cette répudiation – aux yeux de certains – est survenue alors que s’était s’achevé la veille à l’Assemblée nationale l’examen du projet de loi-cadre visant à « faire de l’égalité entre les femmes et les hommes l’exigence partagée et vécue de l’universalité républicaine » : un de ces textes « sociétaux » comme les aime tant la gauche qui y voit l’occasion de ressouder ses courants et surtout d’utiles diversions aux (vrais) problèmes qu’elle est incapable de résoudre.
    Aux termes de cette loi-cadre portée par la Franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, également porte-parole du gouvernement, l’IVG est reconnue officiellement pour ce qu’elle est depuis longtemps dans l’esprit de ses instigateurs, soit un avortement de confort puisque la notion de « détresse » est supprimée ; les sanctions financières sont lourdement aggravées pour les partis politiques ne respectant pas la sacro-sainte parité ; les conseils d’administration des grandes firmes devront à terme comporter plus de 40% de femmes, lesquelles doivent évidemment bénéficier de l’égalité salariale (cependant qu’une partie des congés parentaux devra obligatoirement être prise par les pères) et avoir accès à tous les métiers en principe réservés aux hommes, y compris les travaux de force – ce qui nous ramène aux beaux jours de la défunte URSS.
    Une (ré)islamisation fatale aux femmes
    Gros morceau de cette loi où même le Vert Denis Baupin, rejoignant ainsi Polémia, a décelé « quelques éléments de préjugés envers les pères » toujours soupçonnés des plus noirs desseins et menacés des pires sanctions en cas de non-paiement de la pension alimentaire après divorce, même s’ils ont perdu leur emploi : « Mieux protéger les femmes contre les violences, un drame d’autant plus douloureux qu’il est caché, en réalité, occulté par notre société qui ne veut pas regarder ces violences qui touchent tous les milieux sociaux, toutes les catégories », ainsi que l’avait déploré François Hollande, un orfèvre, le 7 mars 2013. En France, 148 femmes n’ont-elles pas péri en 2012 sous les coups d’un compagnon, actuel ou passé, tandis que 154.000 autres se sont déclarées victimes de viol entre 2010 et 2011 ?
    Mais il est aventuré de dire que les bourreaux appartiennent à tous les milieux sociaux, toutes les catégories. En ce domaine comme en bien d’autres, l’explosion de l’immigration, surtout musulmane, a conduit à l’explosion des violences conjugales et sexuelles.
    Puisque le président vient de se rendre en Turquie en voyage d’Etat, on pourra lui rappeler qu’une douzaine de femmes de la communauté turco-kurde ont été victimes l’an dernier de « crimes d’honneur », à Bordeaux, à Chambéry, à Reims… Chiffre énorme compte tenu de l’importance relative de cette population, évaluée par l’Insee à seulement 459.000 personnes en 2012, mais en corrélation directe avec la situation en Turquie où la mortalité des femmes par violences conjugales a augmenté de 1400% entre 2002 et 2009 (66 femmes assassinées en 2002 mais près de 2000 en 2009) avec l’arrivée au pouvoir du parti islamique AKP, ainsi que s’en inquiétait en février 2011 le Conseil de l’Europe.
    La Turquie n’est pas le seul pays musulman connaissant cette régression : on la constate aussi bien au Moyen-Orient qu’au Maghreb et en Afrique noire, gros pourvoyeurs d’immigrés. Après la disparition de l’Algérienne Fatima Bachiri le 2 juillet 2010 à Saint-Etienne, son mari Farouk avait feint par exemple le plus grand désespoir, prétendant qu’elle avait fugué et se disant prêt à « lui pardonner ». Cette comédie n’avait pas trompé les enquêteurs, qui écrouèrent le meurtrier après la découverte, plusieurs mois plus tard, du cadavre de Mme Bachiri, enterré dans un endroit isolé et portant la trace de coups mortels.
    Une occultation organisée et protégée par la loi
    Le site www.aimeles.net déplorait le 4 juillet 2013 le flou du système statistique concernant les viols, car « on ne sait pas qui est concerné par ces viols : hommes, femmes, enfants, petits garçons ; et qui commet ces crimes ».
    En mai 1993, sur plainte de la LICRA, et le RPR Jacques Toubon venant d’être nommé garde des Sceaux, l’hebdomadaire Rivarol, qui publiait chaque semaine une rubrique « Société plurielle » recensant les exploits de ceux qui « sont chez eux chez nous », fut inculpé d’ « incitation à la haine raciale contre la communauté immigrée ». Bien que le journal ait été acquitté en première instance par Martine Ract-Madoux, présidente de la XVIIe chambre correctionnelle qui, dans son jugement, avait qualifié de « monstre juridique » le « concept de communauté immigrée », il fut condamné en appel puis en Cassation, et contraint de renoncer à sa rubrique. La leçon fut entendue par ses confrères, qui cessèrent peu à peu de donner l’identité et la nationalité des délinquants allogènes. D’où nous vient ainsi le mineur de 16 ans, « très brun » et déjà recherché comme « très dangereux » car soupçonné d’un homicide qui, le 19 janvier, a violé à plusieurs reprises, sous la menace d’une arme et après l’avoir ligotée, une Marseillaise de 77 ans dont il venait de cambrioler son domicile avec deux complices et qui a dû être hospitalisée ?
    Les ravages de la prétendue petite délinquance
    Et il n’y a pas que les violences sexuelles car la criminalité « ordinaire » (en forte hausse, comme le terrible M. Valls lui-même a dû en convenir) s’attaque dans 65% des cas – et souvent avec une impunité quasi totale – aux victimes les plus vulnérables, c’est-à-dire les femmes. Le 18 janvier, près de la Promenade des Anglais à Nice, une passante était jetée par terre et rouée de coups par quatre adolescentes roms qui lui ont volé son sac. Si l’une a été écrouée, les trois autres ont été relâchées. A titre de comparaison, deux frères qui avaient injurié une femme voilée près de Versailles avaient aussitôt été placés en détention préventive avant d’être condamnés en décembre à six mois ferme.
    Encore la Niçoise a-t-elle eu de la chance. Pour cambrioler plus à leur aise leur appartement, quatre malfrats avaient sauvagement tué Maria-Cristina Prieto, 82 ans, et grièvement blessé sa sœur adoptive, une handicapée de 77 ans toujours hospitalisée pour les traumatismes subis. Mais il fallait lire jusqu’au bout l’article de Nice-Matin relatant le 30 mai dernier l’arrestation du quatuor pour apprendre que ces « suspects » étaient des clandestins tunisiens, le plus acharné ayant, selon le journal, « profité du Printemps arabe pour sortir d’une prison de son pays ».
    Et clandestin tunisien aussi le « petit voleur » qui, en décembre dernier à Nice, a arraché le lobe de sa victime pour s’emparer d’une boucle d’oreille.
    La preuve par le « 9-3 »
    Combien de violeurs et de tueurs potentiels les printemps arabes et leurs conséquences auront-ils poussés à l’exode vers l’Europe, pour le plus grand malheur des Européennes en général et des Françaises en particulier ? Il y a trente ans, un dessin de la caricaturiste Chard concluait à l’incompatibilité radicale entre immigrationnisme et féminisme. Ce que confirmait Libération le 6 mars 2007 en faisant écho à une « alarmante » enquête quantitative réalisée en 2006 par le conseil général de Seine-Saint-Denis sur « les comportements sexistes et les violences envers les filles ».
    Dans le 9-3, pouvait-on lire, « les jeunes femmes sont particulièrement victimes de violences », « l’espace public est sexiste et inégalitaire, les jeunes filles ne peuvent pas s’y déplacer librement » et « le cadre familial est particulièrement “dur“ pour les filles » dont « 23% affirmaient avoir subi des violences physiques (bousculades, empoignades, gifles, coups, menaces avec arme) au moins une fois dans leur vie, 30% au cours des douze derniers mois ». « Sur cette même période, seize filles ont déclaré avoir été l’objet d’une tentative de meurtre, seize filles se disant également victimes de tentatives de viol, dix d’un viol » et les deux tiers des jeunes filles interrogées ont déclaré avoir « subi du harcèlement sexuel – autre que verbal – alors qu’elles circulaient dans un lieu public ».
    Selon la sociologue féministe Maryse Jaspard s’inscrivant ainsi en faux contre la généralisation de François Hollande, « il n’y a pas de liens significatifs entre les niveaux de violence subie et l’appartenance sociale ». Difficile de nier, en revanche, le lien avec l’appartenance ethnique et/ou religieuse. Car, ce n’est un secret pour personne, la Seine-Saint-Denis est le département le plus « coloré » de France : non seulement il comptait en 2009 – officiellement du moins, les clandestins de tous horizons y étant en outre très nombreux – 27,4% d’allogènes mais cette population est surtout en pleine expansion puisque, en 2005 déjà, 57% des moins de 18 ans étaient d’origine extra-européenne, tout comme le sont 64,9% des enfants nés en 2011.
    Par voie de conséquence, le 9-3 est aussi le département comptant le plus de mosquées, 149 selon le site www.trouvetamosquee.fr/, des mosquées où certains prédicateurs glorifient les crimes dits d’honneur et désignent dans la femme, surtout étrangère, un être inférieur taillable et corvéable à merci.
    Cela, Mme Vallaud-Belkacem ‎le sait mieux que personne. Tant qu’on n’aura pas inversé radicalement les flux migratoires, sa prétention de « faire de l’égalité entre les femmes et les hommes l’exigence partagée et vécue de l’universalité républicaine » n’est donc qu’une sinistre plaisanterie.
    Camille Galic, 27/01/2014
    Camille Galic signera son ouvrage Agatha Christie (éd. Pardès, collection Qui suis-je ?) le samedi 1er février de 15 à 18h à la Librairie du Paillon, 2 rue Georges-Ville, 06300 Nice, tél. 04 93 56 19 59.
    Le même jour Claude Lorne signera Les Médias en servitude (éditions Polémia).
    http://www.polemia.com/violences-contre-les-femmes-le-poids-insupportable-de-limmigration/

  • La police barbouze a cherché l'incident

    Un témoin raconte la scène hier soir vers 18h :

     

    "Quittant difficilement la manif par l'avenue de Villars, à hauteur du 12, au travers d'un barrage filtrant de CRS et gendarmes, j'ai vu et entendu un commandant arriver vers ce barrage et dire à ses hommes :"allez maintenant on y va !". Incroyable, car a ce moment, les intervenants étaient toujours en train de témoigner au micro et la foule les écoutait calmement.

    Mais au même moment j'ai vu un groupe d'hommes en noir sans signes distinctifs, passer "amicalement"ce barrage policier, arriver au contact de la foule et se retourner pour attaquer fictivement les CRS..."

     

    Si Valls condamne les violences, il peut s'en prendre à sa propre police. A moins que ce soit lui-même qui ait donné ces instruction.

     

    Un autre lecteur me signale que ces provocations étaient bien programmées :

     

    "En effet, au début de la manif, place de la Bastille, il y a eu plusieurs fouilles de personnes qui arrivaient sur place, par des CRS. Sur quels critères pourquoi ceux-ci et non pas ceux-là, je ne sais pas. Comme je demandais au CRS, pourquoi ces fouilles, il m'a été répondu que cette manifestation était "très hétéroclite... et qu'il me conseillait de quitter rapidement la manif, une fois que celle-ci serait terminée. Je n'ai pas compris tout de suite ce que cela voulait dire mais, rétrospectivement, il m'apparait que les CRS savaient, à 14h30, qu'il se passerait quelque chose, à la fin de manif. Pourquoi m'avoir prévenu ? C'est une autre question."

    Michel Janva

  • [Communiqué] Le pouvoir passe de la répression à l’oppression.

    Tandis que le président « normal  » affiche ses démêlées « crypto conjugales » sur toutes les chaines et toutes les ondes, Valls lâche ses flics sur les Français qui manifestent leur colère et leur accablement devant tant de mensonges, tant d’abus de pouvoir et tant de haine contre la France.

    La manifestation s’étant déroulée de la Bastille aux Invalides sans le moindre incident, si ce n’est quelques provocations habituelles de la part des « femens » hystériques et autres « antifas » appointés par le ministère de l’intérieur, il fallait bien que le premier flic de France face du bilan. Ce gouvernement en effet ne supporte pas la contestation et il ne faut pas désespérer, non plus Billancourt, ça c’était avant le changement, mais le Marais…

    Une fois que l’ordre de dispersion a été annoncé, les forces du désordre ont attendu sept minutes seulement pour verrouiller la place et charger les retardataires pris dans la nasse.

    Résultat, 160 jeunes dont 15 de nos militants, parmi lesquels une jeune fille de 18 ans, ainsi que des journalistes indépendants, sans doute des témoins gênants, ont été raflés sans ménagements.

    L’imposture républicaine, sans nous surprendre, étale ainsi au grand jour sa duplicité perverse. Les Français sont là pour payer, subir les idéologies babéliennes les plus tordues et surtout fermer leur gueule qu’en bonnes victimes de la démocratie ils n’auraient jamais dû ouvrir.

    Les temps de résistance dure et acharnée sont arrivés et bien sûr l’Action française entend y prendre la plus belle part.

    Nous appelons à la solidarité avec la jeunesse de France, qui est l’avenir et l’honneur de notre nation.

    Nos avocats sont à la tâche pour aider ceux qui pourraient être poursuivis et nous appelons les patriotes , convaincus qu’il faut faire d’urgence cesser l’arbitraire de l’état policier, à envoyer leurs dons pour soutenir les nouvelles victimes du régime.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Le-pouvoir-passe-de-la

  • Jour de Colère - 160 000 manifestants !

  • Interpellations : Jour de Colère répond aux mensonges de Manuel Valls

    Mise au point du Jour De Colère après les propos de Manuel Valls :

    "Tandis que le ministre de l’intérieur Manuel Valls répand ses mensonges dans les médias, les organisateurs du Jour De Colère tiennent à apporter les mises au point suivantes. Jour De Colère condamne avec la plus grande fermeté les violences contre des manifestants pacifiques, commises par des provocateurs de la police, sans uniforme, agressant les forces de l’ordre elles-mêmes pour leur fournir un prétexte à la répression.

    Les unités de maintien de l’ordre ont fait preuve d’une attitude extrêmement agressive et ultra provocatrice, usant, sans sommation, de tirs de flashball et de gaz lacrymogènes sur la foule. Le ministère de l’Intérieur prétend que des interpellations ont eu lieu, en un nombre toutefois infime au regard des 120.000 manifestants pacifiques et déterminés qui ont défilé cet après-midi dans Paris.

    Selon les avocats du Jour De Colère, aucune de ces interpellations n’est actuellement confirmée, il s’agirait donc d’une provocation supplémentaire. Notre mode d’expression n’a jamais été celui de la violence, en témoigne la résolution annoncée lors de la manifestation d’exiger des parlementaires la mise en œuvre de la procédure de destitution du président de la République prévue par l’article 68 de la Constitution. Cet article confie aux parlementaires des deux assemblées réunis en Haute Cour de Justice la responsabilité de prononcer cette destitution en cas de manquement grave rendant impossible la poursuite du mandat. Toute la présidence de François Hollande depuis mai 2012 n’est qu’une suite de manquements, le Jour De Colère pose donc aujourd’hui un ultimatum à la représentation nationale.

    Jour de Colère ne fait que commencer."

    Michel Janva

  • Pédophilie : les démocraties aux ordres de Satan – par Laurent Glauzy (partie 1 sur 2)

    La pédophilie ou le pédo-satanisme est un dossier particulièrement sensible. Est-ce alors un hasard, si les bonnes consciences, les saltimbanques sans talent, les pseudo-philosophes arrivistes, les journaleux et les politicards lèche-bottes prétendument outrés par les prises de position de l’humoriste Dieudonné et de l’écrivain polémiste Alain Soral, se montrent bien moins courageux pour se lever et dénoncer les scandales d’enfants que l’on viole et que l’on assassine ?

    Chaque année, des milliers d’enfants sont violés et assassinés. En Italie, des pédophiles ont été découverts grâce à l’association anti-pédophile Telefono Arcobaleno, active depuis 1996. Cette affaire commence le 27 septembre 2000 quand le procureur de Torre Annunziata, commune de la province de Naples, envoie six ordres d’arrestation, pour achat de photographies à caractère pédopornographique et la vente du matériel pédophile. L’Italie apprend alors avec effroi que, pour quelques millions de lires, des détraqués s’offrent le plaisir de visionner le viol et l’exécution d’un bébé de six mois.

    Toujours en Italie, plus de deux mille mineurs sont déclarés disparus chaque année.

    Si certains d’entre eux ne sont que de simple fugueurs qui retournent ensuite à leur domicile, ou qui sont retrouvés par les forces de l’ordre, en revanche, plusieurs centaines ne sont jamais retrouvés. Selon les statistiques officielles du ministère de l’Intérieur de Rome, en 1996, sur 2 391 mineurs déclarés disparus. 479 n’ont jamais été retrouvés. Que sont-ils devenus ? En 1997, Il Giornale titre : « À partir de 1990, le nombre d’enfants [définitivement] disparus a quadruplé. Aujourd’hui, ce chiffre explose. Et un calcul même approximatif est impossible. »1 Nous pouvons malheureusement croire que les chiffres du ministère de l’Intérieur sont bien en deçà de la vérité. Pour les adolescents de quinze à dix-huit ans ayant disparu, le quotidien milanais de centre-droit privilégie la piste de la drogue et des sectes.

    La CIA et la secte pédosataniste des Finders

    Dans le monde, la situation est tout aussi alarmante. Aux États-Unis, cent mille enfants disparaissent chaque année pour finir dans les réseaux de prostitution, de pornographie ou de pédophilie, alors que d’autres sont assassinés dans le sous-bois criminel des adorateurs de Satan. La Stampa parle d’une secte satanique qui recrutait des enfants. Voici ce qu’écrit le quotidien : « La secte Finders (découvreurs), fondée [au début des années 1970] à Washington par un marabout de soixante-dix ans, Marion David Pettie, se sert des enfants pour des rites sacrificiels démoniaques et des pratiques sexuelles. »2 Tout commence quand, le 7 février 1982, le Washington Post évoque une affaire d’enlèvement et de viols d’enfants, ainsi que de matériel pédoporno retrouvé dans un lieu appartenant à un groupe appelé « The Finders ». Il s’agirait d’un culte pour « laver le cerveau » des enfants et les utiliser dans des rituels.

    Ted Gunderson, ancien membre du FBI à Los Angeles dans les années 1970, enquêteur privé et consultant pour la sécurité, indique dans son rapport, en 1992, que la secte des Finders était très liée avec la CIA et qu’elle servait de couverture dans le trafic international d’enfants. Il relève avec étonnement que, contrairement aux vols de voiture, qui sont scrupuleusement recensés, les disparitions d’enfants ne sont pas comptabilisées, ou à peine.

    Les Finders avaient des activités remontant aux années 1950, en Asie du Sud-est (Hong Kong, Malaisie, Vietnam, Corée du Nord), à Moscou, en Afrique, à Londres, en Allemagne, aux Pays-Bas, aux Bahamas… Le réseau faisait sortir des enfants de Hong Kong grâce à un contact à l’ambassade de Chine. Les enfants voyageaient ensuite dans plusieurs maisons appartenant au réseau, dans différentes juridictions. Certaines étaient équipées dantennes satellites, probablement pour diffuser les vidéos tournées par le réseau.

    Ted Gunderson remarque des pics de disparitions lors des fêtes sataniques importantes, en juin, octobre et décembre. Il constate que la CIA traite le dossier comme un « problème de sécurité intérieure » et le classe « secret ». Les charges contre les pervers ont été abandonnées et les enfants ont été renvoyés chez les bourreaux.

    Le groupe de Marion David Pettie, dans la mouvance beatnik, faisait la promotion des drogues vendues par la CIA. Il affirme que Timothy Leary, agent de la CIA et leader de la contre-culture, lui avait procuré du LSD.

    Le journaliste Uri Dowbenko relève que ces disparitions d’enfant, ainsi que les violences sexuelles et la pédophilie au niveau mondial, démontrent la convergence vers un réseau organisé de la criminalité de haut niveau, que contrôle dans l’ombre le système légal. Ted Gunderson et Uri Dowbenko soutiennent l’existence de plusieurs groupes de la mouvance satanique3 particulièrement puissants.

    Le témoignage dramatique d’une jeune victime

    Paul Bonacci fait l’objet d’une mesure d’isolement au centre correctionnel de Lincoln : il a accusé des hommes du pouvoir, dont George Bush, ou encore le député de Washington Barney Franks, qui siégea de 1981 à 2013 à la chambre des représentants des États-Unis, d’être des criminels pédophiles et d’avoir abusé de lui quand il avait six ans. Dans plusieurs de ses interventions, le pasteur Fritz Springmeier, accusera aussi l’ancien président américain d’être un pédocriminel et un sataniste4.

    En 1990, Paul Bonacci, âgé de vingt-deux ans, a été examiné par un psychiatre, Beverly Mead, qui l’a soumis à une expertise. Il a déclaré que le jeune homme était sain d’esprit et ne présentait pas le profil d’un affabulateur. Bonacci raconte : « J’étais entre les mains d’un groupe [de défense de la pédophilie] dénommé Namba (North American man – Boy Love Association) qui m’invitait à des réunions à New York et à Boston. À l’âge de neuf ans, j’ai été conduit dans un hôtel avec cinq autres garçons et on nous a contraint d’avoir des rapports sexuels pendant que l’on nous filmait. Ensuite, ils m’ont obligé à avoir des rapports avec un bébé. À l’été 1985, Larry King [le célèbre présentateur politique de la chaîne américaine CNN de 1985 à 2010] m’a obligé à tourner un film avec un autre garçon, Nicholas, qui était dans une cage. (…) On nous déguisait en Tarzan et l’on nous contraignait à avoir des rapports. Ensuite, on me commandait de le frapper. (…) Il est arrivé un homme qui m’a ordonné de taper le garçon comme s’il s’agissait d’une poupée. Ensuite, il m’a obligé à prendre un pistolet, je l’ai pointé sur sa tête et j’ai tiré. En 1984, on m’a emmené au ranch South Fork [Dallas]. Dans le cadre de la convention républicaine, Larry King organisait des parties pédophiles, toujours en compagnie de la fine fleur de la politique. »5

    Paul Bonacci poursuit son récit avec des révélations choquantes : « J’ai été témoin de sacrifices humains effectués sur un bébé de quelques mois, afin de blasphémer sur la naissance du Christ. Dans ce rituel annuel, tous chantaient pour pervertir le sang du Christ. À l’aide d’un poignard ils assassinèrent le bébé et le démembrèrent, puis ils remplirent une coupe de son sang mélangé à de l’urine qu’ils nous ont fait boire, pendant qu’ils entonnaient « Satan est le Seigneur »6.

    Les investigations de la Commission Franklin

    Le vrai nom de Larry King est Lawrence Harvey Zeiger. Ses parents étaient des Juifs de Biélorussie émigrés aux États-Unis. Dans les années 1980 et 1990, il dirigeait le projet républicain d’aide à la communauté noire, par le biais du National Black Republican Council, cercle de réflexion et d’influence afro-américain interne au Parti républicain. L’enquête a révélé que des personnes liées à Larry King effectuaient des rapts d’enfants pour la prostitution, la production de snuff movies (film avec mise à mort) et des parties de pédophilie.

    Au début des enquêtes lancées par la Commission Franklin, de nombreux incidents ont repoussé la date du procès contre le présentateur de CNN !

    Comme si on avait voulu garder le silence sur cette affaire liée à la pédophilie et au satanisme, plusieurs personnes de son entourage sont assassinées ou « suicidées ». Dan Ryan, associé de King, a été trouvé étranglé dans sa voiture. Bill Baker, partenaire du vice-président du National Black Republican Council, a été abattu d’un coup de révolver dans la nuque. Curtis Tucker s’est défenestré à Holiday Inn. Charlie Rogers, amant de King, s’est tiré une balle dans la tête. Bill Skaleske, représentant officiel du département de police d’Omaha (la plus grande ville du Nebraska) qui a dirigé l’enquête sur King, a été trouvé mort. Joe Malek, autre membre des marchands de bébés et propriétaire du Peony Park, où se produisaient les parties de pédophilie, a été tué d’un coup de pistolet : la police a conclu à un suicide. Mike Lewis, trente-deux ans, chargé de protéger les victimes-témoins, est mort d’une crise de diabète.

    La Commission Franklin a été définitivement levée quand l’enquêteur, Gary Caradori, est mort dans un mystérieux accident d’avion, après l’enregistrement, par son service, d’informations sensationnelles7.

    L’Afrique du Sud n’est pas non plus épargnée. Corriere della Sera mentionne : « Satan a pris pied aussi en Afrique du Sud, avec tous les aspects effroyable de son culte, le sacrifice de bébés égorgés sur l’autel du prince des Ténèbres, lors de réunions où les plus jeunes sont contraints d’avoir des rapports sexuels avec des chiens ou des boucs, animaux symboles de Lucifer. »8

    Enquête enterrée

    Entourées d’un épais silence, les enquêtes sont presque toujours enterrées. Pourtant, les cas de satanisme mettant en scène de pauvres innocents sont nombreux. Pour les États-Unis, Ted Gunderson constate : « J’ai quatre témoignages détaillés de trois détenus impliqués dans des rituels sataniques et un d’un prêtre de l’Utah. Tous m’ont confirmé l’existence de 50 000 à 60 000 cas annuels de sacrifices humains. Il a été retrouvé de nombreux cimetière dans tout le pays avec des dizaines de cadavres non identifiés, et aucune enquête poussée ne fut diligentée… »9.

    Les crimes sataniques sont en augmentation dans le monde entier. Le Dr Dianne Core, responsable de l’Institut Childwatch (Association d’assistance et de protection des mineurs), a dénoncé que, en Grande-Bretagne, les cercles satanistes, plus puissants que les groupes mafieux, sont protégés par le lobby politique. Le Dr Dianne Core remarque : « Malheureusement nous n’avons pas encore identifié le sommet de la pyramide qui dirige le satanisme en Grande-Bretagne. Ils jouissent de protections au plus haut niveau. Les pédophiles satanistes sont très présents à Londres. »10 Les cortèges et les sourires couronnent une réalité plus ténébreuse.

    Corriere della Sera du 18 mars 1990 dénonce qu’à « Londres, des bébés torturés au cours de rites sataniques, des fœtus extraits de force du ventre de mères mineures sont immolés. Aux confins de la réalité, des témoignages parlent de bébés et d’adolescents offerts aux grands prêtres d’une secte satanique et à leurs adeptes pour être violentés. Une fois enceintes, des adolescentes doivent avorter : le fœtus de quatre mois est sacrifié pour la purification des satanistes qui en boivent le sang. Une enquête conduite par 66 groupes de recherche de la National Society for the Prevention of cruelty against children (Société nationale pour la prévention de la cruauté contre les enfants) confirme l’existence de telles pratiques au Royaume-Uni. »11

    Consommation de fœtus lors d’une scène satanique

    Le 19 janvier 1998, lors de la cérémonie de fondation du Tribunal international Martin Luther King, le Dr Dianne Core annonçait qu’en Angleterre, en avril 1998, débuterait le procès pour viol d’une adolescente violentée dès l’âge de quinze ans. Une fois pubère, elle a été mise enceinte huit fois, et a dû avorter chaque à quatre mois de grossesse. Les fœtus étaient ensuite conservés dans un congélateur pour être ensuite consommés lors de scènes sataniques, avec la participation des mères avortées. »12

    Le rapport entre la pédophilie et le satanisme est maintes fois établi. Le père sicilien Don Fortunato Di Noto, fondateur en 1996 de l’association Meter contre la pédophilie, a révélé l’existence d’un site Internet satanique mettant en ligne des photographies terribles de sacrifices de jeunes victimes offertes à Satan. Le père Di Noto a déclaré : « On soupçonnait le lien entre satanisme, pédophilie et sacrifices humains. Mais nous n’avions jamais trouvé de sites aussi cruels affichant les photographies de sacrifices sur des sujets mineurs. Les images n’étaient pas le résultat de photomontages. 13 » Le courage de ce prêtre italien a été récompensé en 2001, par sa nomination à l’Ordre national du mérite de la République italienne. Il semble que ce pays peut encore récompenser des personnalités honorables.

    En Angleterre, en mars 1990, un enfant s’est livré à des révélations ahurissantes. Le quotidien Il Giorno rapporte : « Dans ses récits confus émergent des scénarios d’assassinats sur des nouveau-nés, de tombes ouvertes la nuit, de cannibalisme, des rites mystérieux avec des démons et des enfants contraints de boire de mystérieuses potions avant d’être violés et enfermés dans des cages. » 14 Le quotidien italien affirmait que les criminels profitaient de protections de haut niveau.

    Lobby politique et pédophilie

    Le célèbre journaliste milanais Maurizio Blondet, également connu pour ses positions catholiques traditionnelles, au cours d’une enquête publiée dans le périodique Teologica, relate : « Des personnalités appartenant à l’élite se réunissent les nuits de pleine lune pour pratiquer d’étranges rites, sur une île située à proximité de Washington. Naturellement, personne ne veut aborder un pareil sujet, car ce sont des gens très puissants. Dans certains entourages politiques de haut niveau, il se dit à demi-mot que des enfants y sont violés. Le tout se déroule dans un rituel de magie noire. Ce ne sont pas des personnes communes qui s’adonnent à de tels rites, mais il s’agit d’individus dotés de hautes charges, des fonctionnaires du Pentagone, etc. »15

    Horreurs après horreurs, les preuves d’adorateurs de Satan sacrifiant des enfants ne cessent de se recouper. La presse italienne ne manque pas de plumes courageuses pour dénoncer ces abominations. Corriere della Sera informe : « Horreur à Londres après la découverte d’un marché de films pour pédophiles. (…) Scotland Yard a enquêté sur au moins vingt enfants disparus les six dernières années et ayant connu une fin horrible. Une équipe a été formée pour enquêter dans le marché crasseux des vidéos pornographiques, les snuff movies destinés à des pédophiles sataniques. En argot, snuff signifie mourir ; dans ces vidéos, les petites victimes sont filmées alors qu’elles sont torturées, violées et assassinées. La police est convaincue qu’au moins six enfants sont morts de cette manière à Londres et dans le comté du Kent. L’Angleterre a appris avec stupéfaction qu’au sein de la société, circulent des monstres prêts à filmer les tourments, l’agonie et la mort des enfants pour satisfaire la perversité de beaucoup d’autres monstres [richissimes], qui déboursent des dizaines de millions pour une copie de film. »16 Sommes qui ne sont pas à la portée de la majorité des Britanniques.

    Les mystères de la Belgique

    250 millions de snuff movies sont commercialisés dans le monde entier. Aux États-Unis, pas moins de 20 millions de vidéos auraient été vendues dans les années 1990. Ce sont des scènes toujours plus cruelles montrant toujours la torture et la mort d’enfants. Chaque année, dans le monde, un million de bébés et d’adolescents sont victimes de la prostitution, du tourisme sexuel, de la pédophilie, de la pornographie, du sadisme de détraqués et de satanistes. De telles horreurs ont été révélées dans le cadre de l’affaire du pédocriminel Marc Dutroux, surnommé le « monstre de Marcinelle [section de la ville wallonne de Charleroi] ».

    Les vidéos de Dutroux montrent des enfants violés et mis à mort. La dénonciation a été faite par Sophie Wirtz, juriste et responsable de la section belge du Mouvement du Nid, association d’aide aux personnes prostituées. « Dans cette tragédie, le fond de l’horreur n’a pas encore été touché. », a-t-elle déclaré17.

    Dans l’entretien publié par un quotidien italien, la juriste affirme qu’au début de l’affaire Dutroux, six cents vidéos-cassettes de pornographie de mineurs séquestrés étaient en circulation. La présidente du Nid explique que « la pédophilie n’est pas un rapport affectif, mais l’expression de domination sur l’enfant dont le stade extrême est la mort »18.

    L’affaire Dutroux concentre des faits de pédophilie, d’homicide, de nécrophilie, de snuff movies et implique des personnes de la haute société belge, du monde de la haute finance et de la politique.

    En 1989, Dutroux avait déjà été condamné à treize années de prison pour avoir séquestré et violé à plusieurs reprises deux mineures en 1985, en compagnie de Michelle Martin, condamnée à six années pour des faits analogues. Cependant, le couple pédo-criminel n’a pas purgé la totalité de sa peine : Michelle Martin et Marc Dutroux sont libérés en août 1991 et avril 1992 par une grâce du roi, malgré l’opposition du procureur et des psychiatres. Il ne faudra pas attendre bien longtemps pour que Marc Dutroux récidive. En novembre 1992, il est accusé d’attouchements sexuels sur des jeunes filles à la patinoire de Charleroi. Interrogé par la Police communale, il est aussitôt relâché sans être inquiété. [Il se murmure alors que les petites victimes sont bien plus nombreuses qu’il n’a été rapporté : le 17 août 1996, dans la propriété de Marc Dutroux sont les corps de deux fillettes de neuf ans Julie Lejeune et Mélissa Russo, enlevées le 24 juin 1995.

    Selon les autopsies, les deux fillettes avaient l’anus largement dilaté. Mélissa avait les mains attachées quand on l’a retrouvée morte. Les liens aient été placés post mortem pour déplacer le corps, qui ne pesait que seize kilogrammes. Les jambes de l’enfant auraient aussi été fracturées post mortem aussi. Elle n’avait plus d’hymen et le vagin était dilaté d’environ quinze centimètres de diamètre. Ces preuves démentent alors la version officielle voulant exposant que les fillettes seraient mortes de faim et de soif dans la cave de Marc Dutroux.

    Pendant qu’en Belgique 350 000 personnes manifestaient contre le « monstre de Marcinelle », le silence le plus épais entourait l’arrestation survenue au Sri Lanka, en octobre 1996, de Victor Baumann. Cet industriel helvétique qui, à la tête de plusieurs sociétés au Sri Lanka, employait mille deux cent personnes et finançait une école, ainsi qu’un dispensaire, a été accusé du viol de mille cinq cents enfants !

    Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/pedophilie-les-democraties-aux-ordres-de-satan-par-laurent-glauzy-partie-1-sur-2#more-31131

    [LA SUITE CES JOURS-CI]

    1 Il Giornale du 15/3/1997.

    2 La Stampa du 8/2/1987.

    3 Nexus n° 23, juin 1999, (édition italienne).

    4 Laurent Glauzy, Illuminati : de l’industrie Rock à Walt Disney, les arcanes du satanisme, La Maison du Salat, 2012, p. 14.

    5 Avvenimenti du 17/7/1991

    6 John DeCamp, The Franklin Cover-up, AWT, Inc. Lincoln, Nebraska, 1992.

    7 Giovanni Caporaso et Massimiliano Cocozza Lubisco, Bambini. Il mercato degli orrori (Enfants. Le marché des horreurs) dans Avvenimenti du 17/7/1991.

    8 Corriere della Sera du 20/5/1990.

    9 G. Caporaso et M. Cocozza Lubisco, op.cit.

    10 Executive Intelligence Review, vol. 16, n° 8 du 17/2/1989 : Pedophiles arrestedmore powerful thanthe Mafia in Britain.

    11 Corriere della Sera du 18/3/1990.

    12 Executive Intelligence Review, op.cit.

    13 Gazzetta del Sud du 1/7/2000.

    14 Il Giorno du 15/9/1990.

    15 Teologica,septembre/octobre 1996.

    16 Corriere della Sera du 28/7/1990.

    17 Gazzetta del Sud du 23/11/1996.

    18 Idem.

  • La guerre civile froide ?...

    Ex: http://metapoinfos.hautetfort.com
    Les dernières péripéties, pour ne pas dire les galipettes, de François Hollande ont eu tendance à masquer un instant le sérieux de la situation dans le pays en ce début d’année. Il est vrai que notre Président casqué se rendant à la nuit dans le lit de sa blonde rejoue, mais sur le mode dérisoire et un peu ridicule, les grands mythes de l’Antiquité. Le fait que ce lit soit dans un appartement d’une personne liée au gang de la Brise de Mer ajoute ici ce qu’il faut de sordide à la parodie. L’important n’est cependant pas là ; mais l’important existe bien.
    On peut se demander si, en France, nous ne vivons pas actuellement les prémices d’une guerre civile. Cette question, en apparence absurde, mérite cependant d’être posée à la vue des événements que l’on a connus ces dernières années. Dans une note datant de l’automne 2012, j’évoquais la possibilité de la crise de légitimité du pouvoir. Nous y sommes désormais. L’année 2014 risque fort d’être marquée par une accumulation de mouvement sociaux dont la convergence mettrait directement en cause le pouvoir. Or, la crise de légitimité a ceci de particulier qu’elle pose directement la question non pas de la politique suivie, que l’on peut en fonction de ces opinions considérer comme bonne ou mauvaise, mais du fait que le pouvoir soit habilité à mener une politique. C’est pourquoi il faut s’attendre à ce que la contestation du pouvoir puisse prendre un tour violent dans le cours de cette année.
    En fait, l’exercice du pouvoir, la Potestas, dépend de sa légitimité que lui confère l’Auctoritas. Ces notions, habituelles sous la plume des juristes d’inspiration chrétienne, ne sont pourtant nullement liées obligatoirement à cette sphère. On comprend bien, même intuitivement, la nécessité de séparer la capacité à exercer un pouvoir politique de la légitimité, ou de la justesse, qu’il y a à le faire. Il n’est donc pas nécessaire d’être chrétien, ni même de croire en Dieu, pour remarquer la pertinence de la distinction entre Auctoritas et Potestas.
    Cette question est d’habitude passée sous silence, parce que nul ne conteste la légitimité du pouvoir, surtout d’un pouvoir issu d’institutions qui sont en théorie démocratiques. Mais, force et de constater que l’opposition au pouvoir, qu’elle vienne de la droite ou de la gauche, est désormais moins une opposition à ce que fait ce pouvoir qu’un opposition à sa capacité même à faire.
    La violence politique, fille de l’illégitimité
    La vie politique française est en effet marquée depuis quelques années par une incontestable montée du niveau des affrontements, qu’ils soient verbaux, symboliques, et parfois même physiques. Nous vivons, en réalité, l’équivalent des prémices d’une guerre civile « froide », qui menace à chaque instant de se réchauffer. L’ex-Président, Nicolas Sarkozy, en a fait l’expérience durant son mandat, et en particulier à partir de 2009-2010. Il fut l’objet d’attaques dont le caractère haineux ne fait aucun doute, et qui provenaient – ce fait est à noter – tant de la gauche, ce qui peut être compréhensible, que de la droite. On a mis ces attaques sur le compte du « style » imposé par ce Président, dont les dérapages verbaux et les outrances étaient légions, et qui tendait à ramener toute action, et donc tout mécontentement, à lui seul. Ce n’était pas pour rien que l’on parlait d’un « hyper-président », rejetant – au mépris de la constitution – son Premier ministre dans l’ombre. Cependant, l’élection de son successeur, François Hollande, se présentant comme un Président « normal », n’a rien changé à cette situation. On peut, par ailleurs, s’interroger sur le qualificatif de « normal » accolé à Président. La fonction présidentielle est tout sauf « normale ». Que le style de l’homme puisse se vouloir « modeste » est plausible, surtout après les outrances, et les Fouquet’s et Rolex de son prédécesseur. Mais il faut bien constater que rien n’y fit. L’opinion, jamais charmée par l’homme qui dès son élection n’a pas eu « d’état de grâce » comme les autres Présidents, s’en est rapidement détournée. Le voici au plus bas des sondages, voué aux gémonies sans avoir jamais été encensé. Tout est prétexte, à tort ou à raison, à reproches et critiques. Il se voit désormais contester par certains la possibilité même de gouverner. Comme son prédécesseur, il fait l’objet de critiques dévastatrices parfois même dans son propre camp politique qui vont bien au-delà de sa simple personne. Les mouvements sociaux, qui sont naturels dans un pays et dans une société qui sont naturellement divisés, prennent désormais des dimensions de plus en plus violentes et radicales. Après la « manif pour tous », voici les « bonnets rouges ».
    On a dit, et ce n’est point faux, que la présence de la crise, la plus significative que le capitalisme ait connu depuis les années 1930, expliquait cette tension. Mais, même si cette crise est exemplaire, le pays en a connu d’autres depuis les années 1980. Il faudrait, pour retrouver ce même état de tension, revenir à la fin des années 1950 et à la guerre d’Algérie. Mais l’on sait, aussi, que la IVème République était devenue largement illégitime. De même, on explique souvent, et pas à tort, qu’Internet est devenu un lieu ambigu, entre espace privé et espace publique, qui est particulièrement propice à la libération d’une parole autrement et autrefois réprimée. Cette explication, même si elle contient sa part de vérité, ne tient pourtant pas face à la spécificité de la crise française. En effet, les effets d’Internet sont les mêmes dans tous les pays développés. Or, du point de vue de la violence politique, pour l’instant essentiellement symbolique, mais dont on pressent qu’elle pourrait se développer en une violence réelle, il y a bien une différence entre la France et ses voisins. Il faut donc aller chercher plus en amont les sources de cette radicalisation et surtout voir qu’au-delà de l’homme (ou des hommes) – aussi ridicule voire haïssable qu’il puisse être – elle touche à la fonction et au système politique dans son entier. Nous vivons, en réalité, une crise de légitimité.
    Cette crise se manifeste dans le fait que l’on conteste non plus la politique menée, ce qui est normal en démocratie, mais l’exercice même de la politique tant par l’UMP que par le PS. Désormais la distinction, largement factice la plupart du temps, entre le pouvoir et le pays réel, devient une réalité. Cette opposition n’est pas sans rappeler celle entre « eux » et « nous » (Oni et Nachi) qui était de mise dans les régimes soviétiques lorsque le système a commencé à se bloquer. Toute personne qui a travaillé sur les dernières années du système soviétique, tant en URSS que dans les pays européens, ne peut qu’être sensible à cette comparaison. La perte de légitimité était, là, liée à la combinaison de problèmes économiques (la « stagnation ») et politiques, dont l’origine vient de l’écrasement du réformisme soviétique à Prague en août 1968.
    En France, cette perte de légitimité du système politique et du pouvoir, dont nous voyons les effets se déployer de manière toujours plus désastreuse devant nos yeux, a une cause et un nom : le référendum de 2005 sur le projet de constitution européenne. Les référendums sur l’Europe ont toujours été des moments forts. Contrairement à celui sur le traité de Maastricht, où le « oui » ne l’avait emporté que d’une courte tête, le « non » fut largement majoritaire en 2005 avec 55% des suffrages. Pourtant, ce vote fut immédiatement bafoué lors du Traité de Lisbonne, signé en décembre 2007 et ratifié par le Congrès (l’union de l’Assemblée nationale et du Sénat) en février 2008. De ce déni de démocratie, qui ouvre symboliquement la Présidence de Nicolas Sarkozy, date le début de la dérive politique dont nous constatons maintenant la plénitude des effets. La démocratie dite « apaisée », dont Jacques Chirac et Lionel Jospin se voulaient être les hérauts, est morte. Nous sommes entrés, que nous en ayons conscience ou pas, dans une guerre civile « froide ».
    La souveraineté, la légitimité et la légalité
    Ce déni a réactivé un débat fondamental : celui qui porte sur les empiètements constants à la souveraineté de la Nation et par là à la réalité de l’État. Ces empiètements ne datent pas de 2005 ou de 2007 ; ils ont commencé dès le traité de Maastricht. Mais, le déni de démocratie qui a suivi le referendum de 2005 a rendu la population française plus réceptive à ces questions. Ceci est aussi dû à l’histoire politique particulière de notre pays. La construction de la France en État-Nation est un processus qui remonte en fait au tout début du XIIIème siècle, voire plus loin. On peut prendre comme événement fondateur la bataille de Bouvines (27 juillet 1214), qui a marqué le triomphe d’un roi « empereur en son royaume » face à ces ennemis, les  trois plus puissants princes d’Europe (Othon IV de Brunswick, Jean Sans Terre et Ferrand de Portugal). La culture politique française a intégré ce fait, et identifie le peuple et son État. Plus précisément, le processus historique de construction de la souveraineté de la Nation française n’a été que l’autre face du processus de construction de la communauté politique (et non ethnique ou religieuse) qu’est le peuple français1 . À cet égard, il faut comprendre à la fois la nécessité d’une Histoire Nationale, fondatrice de légitimité pour tous les pays, et le glissement, voire la « trahison » de cette histoire en un roman national. Suivant les cas, et les auteurs, ce « roman », qui toujours trahit peu ou prou l’histoire, peut prendre la forme d’un mensonge (du fait des libertés prises par ignorance ou en connaissance de cause avec la réalité historique). Mais ce mensonge est nécessaire et parfois il est même salvateur en ceci qu’il construit des mythes qui sont eux-mêmes nécessaires au fonctionnement de la communauté politique. Toute communauté politique a besoin de mythes, mais la nature de ces derniers nous renseigne sur celle de cette communauté.
    La souveraineté est indispensable à la constitution de la légitimité, et cette dernière nécessaire pour que la légalité ne soit pas le voile du droit sur l’oppression. De ce point de vue il y a un désaccord fondamental entre la vision engendrée par les institutions européennes d’une légalité se définissant par elle-même, sans référence avec la légitimité, et la vision traditionnelle qui fait de la légalité la fille de la légitimité. Cette vision des institutions européennes aboutit à la neutralisation de la question de la souveraineté. On comprend le mécanisme. Si le légal peut se dire juste par lui-même, sans qu’il y ait besoin d’une instance capable de produire le juste avant le légal, alors on peut se débarrasser de la souveraineté2. Mais, sauf à proclamer que le législateur est omniscient et parfaitement informé, comment prétendre que la loi sera toujours « juste » et adaptée ? Ceci est, par ailleurs le strict symétrique de la pensée néoclassique en économie qui a besoin, pour fonctionner et produire le néo-libéralisme, de la double hypothèse de l’omniscience et de la parfaite information3. La tentative de négation si ce n’est de la souveraineté du moins de sa possibilité d’exercice est un point constant des juristes de l’Union Européenne. Mais ceci produit des effets ravageurs dans le cas français.
    La question de l’identité
    Dès lors, une remise en cause de la souveraineté française prend la dimension d’une crise identitaire profonde mais largement implicite, pour une majorité de français. Dans cette crise, les agissements des groupuscules « identitaires » ne sont que l’écume des flots. Les radicalisations, qu’elles soient religieuses ou racistes, qui peuvent être le fait de certains de ces groupuscules, restent largement minoritaires. Les Français ne sont pas plus racistes (et plutôt moins en fait…) que leurs voisins, et nous restons un peuple très éloigné des dérives sectaires religieuses que l’on connaît, par exemple aux États-Unis.
    Mais, le sentiment d’être attaqué dans l’identité politique de ce qui fait de nous des « Français » est un sentiment désormais largement partagé. La perte de légitimité de ceux qui exercent le pouvoir, qu’ils soient de droite ou de gauche, peut se lire comme un effet direct de l’affaiblissement de l’État qui découle de la perte d’une partie de sa souveraineté. On mesure alors très bien ce que la légitimité doit à la souveraineté. Non que l’illégitimité soit toujours liée à la perte de souveraineté. Des pouvoirs souverains peuvent s’avérer illégitimes. Mais parce qu’un pouvoir ayant perdu sa souveraineté est toujours illégitime. Or, la légitimité commande la légalité. On voit ici précisément l’impasse du légalisme comme doctrine. Pour que toute mesure prise, dans le cadre des lois et des décrets, puisse être considérée comme « juste » à priori, il faudrait supposer que les législateurs sont à la fois parfaits (ils ne commettent pas d’erreurs) et omniscients (ils ont une connaissance qui est parfaite du futur). On mesure immédiatement l’impossibilité de ces hypothèses.
    Pourtant, considérer que le « juste » fonde le « légal » impose que ce « légal » ne puisse se définir de manière autoréférentielle. Tel a d’ailleurs été le jugement de la cour constitutionnelle allemande, qui a été très clair dans son arrêt du 30 juin 2009. Dans ce dernier, constatant l’inexistence d’un « peuple européen », la cour arrêtait que le droit national primait, en dernière instance, sur le droit communautaire sur les questions budgétaires. Il est important de comprendre que, pour la cour de Karlsruhe, l’UE reste une organisation internationale dont l’ordre est dérivé, car les États demeurent les maîtres des traités4, étant les seuls à avoir un réel fondement démocratique. Or, les États sont aujourd’hui, et pour longtemps encore, des États-Nations. C’est la souveraineté qu’ils ont acquise qui leur donne ce pouvoir de « dire le juste ». Bien sûr, un État souverain peut être « injuste », ou en d’autres termes illégitime. Mais un État qui ne serait plus pleinement souverain ne peut produire le « juste ». De ce point de vue, la souveraineté fonde la légitimité même si cette dernière ne s’y réduit pas.
    Ceci permet de comprendre pourquoi il faudra revenir sur ces trois notions, Souveraineté, Légitimité et Légalité, à la fois du point de vue de leurs conséquences sur la société mais aussi de leur hiérarchisation. Ces trois notions permettent de penser un Ordre Démocratique, qui s’oppose à la fois à l’ordre centralisé des sociétés autoritaires et à l’ordre spontané de la société de marché. Il peut d’ailleurs y avoir une hybridation entre des deux ordres, quand l’ordre planifié vient organiser de manière coercitive et non démocratique le cadre dans lequel l’ordre spontané va ensuite jouer. C’est d’ailleurs très souvent le cas dans la construction de l’Union européenne dont la légalité est de plus en plus autoréférentielle. La notion d’Ordre Démocratique assise sur la hiérarchisation des Souveraineté, Légitimité et Légalité aboutit à une critique profonde et radicale des institutions européennes. Mais le problème ne s’arrête pas là. En effet, il nous faut aussi penser ces trois notions hors de toute transcendance et de toute aporie religieuse, car la société française, comme toutes les sociétés modernes, est une société hétérogène du point de vue des croyances religieuses et des valeurs. C’est pourquoi, d’ailleurs, la « chose commune », la Res Publica, est profondément liée à l’idée de laïcité, comprise non comme persécution du fait religieux mais comme cantonnement de ce dernier à la sphère privée. Voici qui permet de remettre à sa juste place le débat sur la laïcité. Cela veut aussi dire que la séparation entre sphère privée et sphère publique doit être perçue comme constitutive de la démocratie, et indique tous les dangers qu’il y a à vouloir faire disparaître cette séparation. Mais, parce qu’il a renié les principes de cette dernière, parce qu’il vit en réalité dans l’idéologie du post-démocratique, notre Président est bien le dernier qui ait le droit de s’en offusquer.
    Jacques Sapir (RussEurope, 12 janvier 2014)

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2014/01/21/temp-80fb9ff37826bdc6279da3715c5f49b4-5277343.html
    Notes :
     1   On se reportera ici au livre de Claude Gauvart, Histoire Personnelle de la France – Volume 2 Le temps des Capétiens, PUF, Paris, 2013.
     2   Maccormick, Neil, Questioning Sovereignty, Oxford, Oxford University Press, 1999
      3  Sapir, Jacques, Les trous noirs de la science économique, Paris, Albin Michel, 2000.
      4  M-L Basilien-Gainche, L’Allemagne et l’Europe. Remarques sur la décision de la Cour Constitutionnelle fédérale relative au Traité de Lisbonne, CERI-CNRS, novembre 2009, http://www.sciencespo.fr/ceri/sites/sciencespo.fr.ceri/fi...

  • Le ministre de l'Intérieur complice de la violence des milices antifas

    Question n° 38866 : du :01/10/13 du député Yannick Moreau :

    "M. Yannick Moreau alerte vivement M. le ministre de l'intérieur sur la question des groupuscules d'extrême-gauche, surnommés "antifas", qui se sont encore manifestés violemment cette semaine. "Les fascistes de demain se feront appeler anti-fascistes" disait Winston Churchill. Effectivement, les méthodes de ces bandes qui parcourent nos rues encagoulées, parfois armées de battes de baseball, de couteaux ou de barres de fer, hurlant des slogans haineux et terrorisant les habitants ne sont pas différentes de celles de certains autres groupuscules. Le 14 septembre 2013, une dizaine de ces activistes antifascistes, cagoulés, s'en sont pris violemment à des jeunes gens attablés à la terrasse d'un café du XVe arrondissement qui fut complètement saccagée. Plusieurs plaintes ont été déposées. Jeudi 19 septembre 2013, un attroupement massif de ces extrémistes tentait de récidiver vers ce même café, autour duquel d'importants moyens policiers avaient été déployés. Trente-huit individus ont été interpellés et conduits au poste de police. Les Français ne comprennent pas pourquoi ces groupuscules, qu'il est quasiment impossible de distinguer de prime abord de ceux qui ont été à ce jour dissous, peuvent encore troubler l'ordre public et se livrer à de tels actes de violence dans nos rues. Ces groupes sont un terreau de haine et de violence inadmissible, dont les conséquences peuvent se révéler tragiques comme l'a tristement rappelé une rixe mortelle en juin 2013. C'est pourquoi il réclame avec insistance que ce deux poids deux mesures cesse et que la dissolution de ces groupuscules dangereux soit étudiée dès le prochain conseil des ministres."

    Réponse récente du ministre :

    "Le Conseil constitutionnel a érigé la liberté d'association au rang des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République (décision n° 71-44 DC du 16 juillet 1971) ; de même, la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales protège les libertés d'expression et de réunion (articles 10 et 11), auxquelles la Cour européenne des droits de l'homme porte une grande attention (CEDH, 24 juillet 2012, Farber c. Hongrie). Ce n'est donc qu'à titre exceptionnel, en cas de risque grave de trouble à l'ordre public, que le Président de la République peut procéder, par décret en conseil des ministres, à la dissolution administrative d'une association sur le fondement de l'article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure, issu de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et les milices privées. Une telle atteinte aux libertés de réunion et d'expression doit être strictement proportionnée à la menace importante pour l'ordre public que représente l'association ou le groupement en cause. C'est ainsi au vu de graves troubles à l'ordre public, notamment liés à leur propagation de la haine raciale et de l'antisémitisme, que le Président de la République a prononcé, par décrets en conseil des ministres des 12 et 25 juillet 2013, la dissolution administrative des groupements de fait « Jeunesses nationalistes révolutionnaires », « Troisième Voie » et des associations « Envie de rêver », « Jeunesses Nationalistes », « OEuvre française ». Les conditions de déroulement des manifestations des 14 et 19 septembre 2013 ne permettent pas de satisfaire aux conditions juridiques exigées pour envisager une dissolution administrative. D'une manière générale, le ministre de l'intérieur condamne fermement toute atteinte aux valeurs et aux lois de la République et attache une grande importance à la lutte contre l'extrémisme sous toutes ses formes, qu'elle soit le fait d'un individu ou d'une organisation."

    Un poids deux mesures.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/le-ministre-de-lint%C3%A9rieur-complice-de-la-violence-des-milices-antifas.html

  • L’Europe du côté des criminels : la justice britannique réexamine la perpétuité

    La Cour d’appel britannique a commencé aujourd’hui à examiner le cas de deux détenus condamnés à perpétuité, après un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qualifiant de "traitement inhumain" les peines incompressibles de prison à vie.

    Dans un arrêt définitif, la Grande Chambre de la CEDH avait donné raison en juillet à trois détenus britanniques condamnés à la réclusion à perpétuité pour meurtre. Elle avait souligné que toute condamnation à la prison à vie devait être assortie d’un mécanisme permettant au détenu de demander sa libération ou au moins un réexamen de son cas au bout d’un certain temps, par exemple 25 ans. [...]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Europe-du-cote-des-criminels-la