Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 994

  • La guerre ethnique qui vient, par Yann Vallerie

    La guerre ethnique qui vient

    Les scènes d’émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler, à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France. 
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques, le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l’autruche. Par peur de l’amalgame, véritable crime contre l’humanité à en croire les tenants de la pensée unique, ils refusent de s’attaquer aux réelles causes de ces problèmes.

    Quel rapport y a-t-il en effet entre les hooligans du psg et les scènes d’émeute vécues hier ? Aucun. Il n’y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs « casseurs d’extrême droite » comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c’est surtout un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes.

    On a les supporteurs que l’on mérite : des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d’agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.

    Faudra-t-il attendre que leur nombre s’accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ? 
Faudra-t-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l’encontre de touristes, mais aussi à l’encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?

    Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi, que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, dans toute la France, pour défendre la famille.

    Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l’interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l’objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement.

    Que l’on pense aux 67 veilleurs mis en garde à vue pour avoir occupé l’esplanade des invalides, qui risquent jusque un an de prison, et comparez avec la vingtaine d’interpellés hier soir, pour des faits autrement plus graves.

    Oui, il s’agit bien là d’une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d’un an, bien aidée en cela par une droite peureuse, terrifiée à l’idée de s’élever contre l’idéologie bien-pensante, humaniste et libérale, de crainte de se voir qualifier de raciste, homophobe, réactionnaire… En ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans, la droite fait le lit des violences qui ont eu lieu hier soir.

    Car cette dictature socialiste, répressive à l’égard des défenseurs de la famille, mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l’égard de toute « la misère du monde » qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables « chercheurs d’excuses professionnels ».

    Une majorité de jeunes noirs et Arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ? 
« Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant brûlées », « Offrons-leur des vacances dans les rares régions de France préservée de ces bandes ethniques, histoire qu’ils leur apprennent le vivre ensemble façon “9-3”
Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ? 
“C’est le racisme de la société française blanche, mais aussi la traite des Noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison”

    Oui, il s’agit bien d’une dictature qui s’instaure petit à petit, dans un climat proche d’une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le Lumpenprolétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre peuple.
Une dictature qui chercher à restreindre le dernier espace de liberté d’expression qu’est aujourd’hui Internet.

    Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression féroce pour tous les contrevenants (automobilistes en tête). Mais une dictature si permissive avec “ceux qui sont majoritaires dans les prisons, mais qu’on ne peut pas nommer”, parce qu’effrayée par la violence dont font preuve les nouvelles “classes populaires” dès lors qu’on ne les “respecte pas”.
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du territoire soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens dont nous voyons aujourd’hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d’agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l’envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein cœur de la capitale.

    Les Français doivent désormais savoir que dans les années de troubles qui viennent, troubles sociaux, économiques ou ethniques, ils ne pourront plus compter sur leurs gouvernants, ses politiciens et tout ce microcosme médiatico-politique.

    Ils ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts ni leurs préoccupations.
À nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d’une société qui sache s’opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos peuples.

    « quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».

    Yann Vallerie http://www.reseau-identites.org

  • Emeutes au cœur de Paris : désinformation flagrante du système

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Nous revenons sur les émeutes qui ont vu des centaines de « jeunes » venus des banlieues de l’immigration investir le XVIe arrondissement pour « célébrer » à leur façon le titre de champion de France.

    Dès le dimanche soir, les magasins des Champs‑Elysées sont pillés, des voitures brûlées, l’avenue et les rues alentour transformées en champ de bataille. Cet épisode, très peu de médias l’ont évoqué. Lundi en fin de journée les premières vidéos commencent à paraître sur les réseaux Internet, mais toujours rien dans la grande presse. Il a fallu attendre le second soir, lundi, pour que les médias centraux du régime consentent à évoquer ces violences, mais pour se livrer à un véritable festival de désinformation !

    Au-delà de l’occultation initiale de ce qu’il faut bien appeler des razzias, c’est en effet le traitement donné par les médias du système qui est proprement hallucinant

    Certains ont repris mot pour mot les déclarations des membres du gouvernement qui accusent les supporters « d’extrême droite », « hooligans » et autres « ultras ». Alors que les images démentent totalement ces accusations, à aucun moment le terme « racaille » n’est employé pour désigner les vrais coupables. Les médias centraux préfèrent imputer la faute à un « manque d’anticipation » de la préfecture, de la ville de Paris, voire du maire du XVIe.

    Cambadélis, vice‑président du Parti socialiste européen, par ailleurs multirécidiviste lourdement condamné dans les scandales Argos et Mnef, n’a pas hésité pour sa part à parler de « connexion » entre « Les manifestants contre le Mariage pour tous et les hooligans qui gravitent autour du PSG. Là, il y a eu la conjonction des deux et évidemment ils s’en sont donnés à cœur joie ». Une désinformation abyssale… Une vidéo de BFMTV, rapidement retirée mais encore visible sur l’hébergeur russe RuTube où FdeSouche l’a mise en sécurité (vidéo ci-dessous), donne la parole à un témoin direct, habitant du XVIe, pour lequel les émeutiers étaient « Des noirs et des Arabes ». De fait, aucun des casseurs arrêtés n’était supporter du PSG.

    Pour Marine Le Pen, la classe politique, Manuel Valls en tête, s’est totalement ridiculisée en se refusant de voir la réalité

    Pour la présidente du Front national, ces événements signent « L’échec absolu de la politique d’immigration ». Elle dénonce également « Les signaux de laxisme d’Etat donnés par Mme Taubira et avant elle par l’ensemble des ministres de l’intérieur de Nicolas Sarkozy », poursuivant « Idéologiquement, on n’a pas voulu déplaire au Qatar (…) un pays qui arme, aide et assiste tous les islamistes radicaux du monde, et dont l’argent a corrompu une classe politique lâche et impuissante ». Marine Le Pen a une nouvelle fois souligné ce que d’aucuns ne souhaitent voir : le lien consubstantiel entre immigrations de masse et violences urbaines. Selon Le Figaro, la facture des récentes émeutes se monterait à un million d’euros.

    http://fr.novopress.info

  • Trocadéro : Valls et Batho ont financé les casseurs du PSG

    Toujours partants pour promouvoir des bobards, les médias de l’oligarchie, et singulièrement Le Monde, ont mis en cause les « ultras » dans les violentes émeutes du Trocadéro. « Ultra », suivez mon regard et certaines photos, bon sang mais c’est bien sûr : c’est encore « l’extrême droite » !

    Il n’en est évidemment rien. Les émeutiers, principalement d’origine africaine et maghrébine, venaient des banlieues de l’immigration.

    Et ils n’étaient pas là par hasard mais par la politique conduite par le Parti socialiste. [...]

    Benjamin Blanchard - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net

  • Syrie : la livraison d’armes russes au cœur des négociations

    Syrie : la livraison d’armes russes au cœur des négociations

    DAMAS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Le Premier ministre israélien était mardi à Moscou pour rencontrer Vladimir Poutine au sujet de la Syrie. Benyamin Netanyahou est venu lui demander de renoncer à livrer des missiles sol-air S-300 à Bachar al‑Assad. Ces armes, développées par l’URSS, sont encore assez efficaces pour intercepter en vol des avions et des missiles balistiques. Elles ont fait l’objet d’un contrat entre la Russie et la Syrie en 2010. Ces missiles pourraient permettre à la Syrie d’intercepter les attaques aériennes israéliennes contre son territoire, comme celles effectuées début mai.

    Quel impact cette livraison de missiles a-t-elle dans la guerre civile en cours ?

    Elle intervient alors que les forces du régime de Damas progressent sur tous les fronts : les banlieues de Homs (Hims en arabe) et Alep sont sous contrôle (carte en Une), et la ville de Qousseir, qui relie Homs au littoral, est en train d’être reconquise. La stratégie de Bachar al‑Assad est en effet d’assurer un accès à la mer depuis la capitale, à travers un corridor sécurisé. Ses victoires sur le terrain sont cependant menacées par les velléités des Américains et des Israéliens de mener des frappes aériennes contre les troupes gouvernementales. L’installation des missiles russes S-300 rendrait donc ces bombardements beaucoup plus risqués, et Vladimir Poutine agite leur livraison comme outil de négociation, pour pousser Israël et les Etats-Unis à ménager le régime syrien.

    Moscou semble donc le rempart de l’Etat syrien…

    L’influence de la Russie sur Damas demeure toutefois limitée. La livraison d’armes constitue le principal levier d’action sur la Syrie que la Russie peut faire valoir dans les négociations internationales. En outre, les véritables bailleurs de fonds et d’armes de Bachar al-Assad sont les dirigeants iraniens. La Syrie est en effet un maillon essentiel de la chaîne qui unit l’Iran au Hezbollah libanais. Cet arc chiite, anti‑américain et anti‑israélien, est un obstacle aux influences des puissances occidentales, mais aussi des pétromonarchies sunnites du Golfe persique. Celles-ci, bien que portant à bout de bras l’islamisme, se retrouvent donc unies à l’Etat d’Israël et à la Turquie dans une alliance discrète, qui vise à mettre à terre le régime syrien.

    La conférence internationale que les Russes appellent de leurs vœux depuis des mois est-elle en vue ?

    Les Américains en ont accepté le principe, malgré les réserves de la France. Mais les négociations pourraient encore se poursuivre plusieurs semaines sur les détails de l’organisation de la conférence internationale. Le point de savoir qui sera à la table des négociations est particulièrement litigieux.

    Crédit image : The World Factbook, domaine public.  http://fr.novopress.info

  • Français en colère à la Sorbonne

    Des flics en civil tentent d'attraper un manifestant et sont repoussés par la foule

  • Interpellations : selon que vous manifesterez contre le mariage gay ou que vous serez casseur

    Interpellations : selon que vous manifesterez contre le mariage gay ou que vous serez casseur

    PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – Avant-hier soir, les manifestants opposés à la destruction du mariage n’ont une fois de plus, rien lâché. Un premier rendez-vous était donné près de l’Hôtel Matignon pour débuter la soirée. Déjà sur place, les forces de l’ordre ont rapidement appelé les CRS et gendarmes mobiles en renfort.

    Avant même d’avoir pu déployer une banderole, les manifestants étaient traqués

    La centaine de manifestants s’est rapidement déplacée vers les Invalides. Une dizaine d’interpellations ont eu lieu. Puis des groupes se sont constitués dans différents lieux parisiens. Un premier est parti de la gare de Lyon pour rejoindre la place de la Bastille en bloquant la rue de Lyon. Sept personnes ont été alors interpellées. Puis un deuxième groupe s’est formé devant le Lutetia, manifestant bruyamment sur le carrefour Sèvres-Raspail. Environ quinze personnes ont encore été interpellées. Les deux groupes ont ensuite convergé vers la rue de Rivoli où une quinzaine de manifestants ont à nouveau été raflés par les forces de l’ordre.

    Au total dix camions de gendarmes mobiles et cinq à sept cars de CRS traquaient ces manifestants pacifiques.

    Une cinquantaine d’interpellations pour avoir déployé une banderole et marché sur les rues parisiennes. Par comparaison, lors des émeutes de lundi (image en Une) suite à la victoire du PSG, seuls trente-six casseurs ont été interpellés.

    Crédit photo : DR.http://fr.novopress.info/

  • La violence ne devient intolérable que quand elle est d’extrême droite

    Les supporters du PSG ont été dernièrement les auteurs de « bousculades » finalement bien innocentes à côté de la violence d’extrême droite qui s’exerce au sein de la Manif pour tous. Bousculades, en effet, vous avez bien lu, c’est le mot choisi par le ministre de l’intérieur et rapporté par Le Point pour qualifier les débordements provoqués par les bandes aux champs Elysées puis au Trocadéro pour fêter la victoire du PSG.

    Plus de vingt policiers blessés, monsieur Valls, des vitrines brisées, des véhicules fracassés, des cars de touristes pillés.

    Belle image de nos institutions suprêmes qui envoient par ailleurs la police contre des femmes, des enfants et des vieillards, seulement coupables de ne pas partager les idées du pouvoir idéologique et sectaire.

    Belle image de la République qui n’est pas capable de contenir une manifestation de trente mille personnes, parmi lesquelles un certain nombre transforme des quartiers entiers de Paris en champ de bataille.

    Belle image d’un pouvoir qui en revanche ne distille que haine pour la France réelle, laquelle à plus d’un million de manifestants ne détruit rien mais se voit agressée sans ménagement par des policiers, subit des centaines de gardes à vue ainsi que des poursuites pour « rébellion » (sic).

    Dimanche dernier un journaliste de France Info me demandait si je cautionnais les violences de l’extrême droite pendant la manif pour tous. Je le questionnais à mon tour : Quelles violences, combien de blessés parmi les forces de l’ordre, combien de voitures incendiées ? Et j’attends, côté PSG, les professionnels de l’excuse, dépêchés par les oligarques du consensus obligatoire, qui vont monter à l’assaut de nos médias pour justifier ces « incidents » par la crise économique et sociale, par le chômage et le désarroi d’une jeunesse privée de repères. Aucune allusion au grand remplacement en cours, rien à propos de la surenchère consumériste, matérialiste et individualiste. Nous connaissons tous ces discours « tarte à la crème » (et question repères, je ne suis pas certain que le mariage homosexuel apporte plus de clarté).

    Le pouvoir « autruche », la tête dans son trou idéologique incapable de voir le réel, espérait refaire le coup de la coupe du monde « black blanc beur », pour redonner le moral aux Parisiens déprimés et par là-même se refaire un peu la cerise dans les sondages. C’est manqué…

    Je m’interroge sur la crédibilité de la République après les brillantes démonstrations des derniers gouvernements qui se succèdent tout les cinq ans. Continuez comme ça messieurs et l’alternative monarchique s’imposera d’elle-même.

    Pour une dernière mobilisation après cette année très militante , rendez-vous est pris avec tous nos amis de l’Action française le 26 mai pour peut-être enfin donner le coup de grâce à ce régime vermoulu.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française http://www.actionfrancaise.net

  • « Dissimuler » les racailles du PSG qui ont créé une émeute hier : le lapsus BFM-TV

  • PSG : Émeutes de la racaille à Paris

    Affrontements entre « racailles » et CRS, véhicules et vitrines vandalisés à quelques encablures de la tour Eiffel: des émeutes ont gâché lundi soir les cérémonies au Trocadéro pour le troisième titre de champion de France du PSG, provoquant une polémique sur le dispositif de sécurité mis en place.
    Après les innombrables manifestations contre le mariage homosexuel qui ont mobilisé des millions de Français à travers le Pays sans qu’il y ait eu la moindre casse, la différence n’aura échappé à personne concernant les émeutes d’une certaine racaille, immigrée pour la plupart, venue « supporter » un club devenu étranger. Mais naturellement, il ne se trouvera personne –et surtout pas au « gouvernement »- pour dénoncer cette évidence pourtant montrée en images par les médias eux-mêmes (voir la vidéo en fin d’article).
    Après les premières émeutes de dimanche, celles d’hier soir étaient clairement prévisibles. Alors pourquoi le « gouvernement » n’a-t-il pas pris les dispositions nécessaires pour les empêcher en interdisant tout simplement la manifestation ?
    Les « veilleurs » opposés à la loi Taubira ne bénéficient pas, eux, d’une telle mansuétude !
    Devant l'ampleur des incidents, le club et son parraineur Nike ont préféré annulé la mini-croisière que devaient faire les joueurs sur la Seine pour saluer leurs supporteurs et exhiber leur trophée.
    « Le club et l'équipementier ont décidé d'annuler l'opération pour des raisons de sécurité », a indiqué une porte-parole de Nike.
    À 21h00, le calme était revenu sur la place du Trocadéro, rouverte à la circulation, mais en contrebas, des supporteurs continuaient à faire face aux forces de l'ordre sur le pont menant à la Tour Eiffel, où certains ont même pillé un autobus de touristes, selon des images de télévision.
    Un photographe de l'AFP a également assisté à des incidents sur les Champs-Élysées, où des émeutes avaient déjà éclaté la nuit précédente. Elles avaient entraîné 21 interpellations, le placement en garde à vue de trois personnes et 16 blessés parmi les forces de l'ordre, selon une source policière.
    DES RACAILLES AVIDES DE PILLAGE ET DE DESTRUCTION
    Des journalistes ont vu du mobilier urbain vandalisé, au moins trois cafés aux vitrines brisées, des magasins pillés, des abribus cassés, de nombreux véhicules (voitures et deux roues) endommagés aux abords de la place du Trocadéro, investie par de nombreux véhicules de secours d'urgence.
    Après la remise du trophée, plusieurs centaines de supporteurs, répartis en différents groupes, y avaient affronté pendant des dizaines de minutes les CRS, leur lançant des barrières de sécurité ou du verre pilé, a constaté un journaliste sur place. Les forces de l'ordre ont répliqué en jetant des grenades assourdissantes.
    Les premiers incidents avaient éclaté vers 18h20, peu après l'heure prévue pour la remise du trophée aux joueurs. Certains émeutiers avaient d'abord jeté des fumigènes sur les stewards du club, puis des supporteurs avaient escaladé un échafaudage installé le long du palais de Chaillot, retardant les festivités.
    Les joueurs n'ont pas pris le temps de s'adresser à la foule comme cela était prévu et ne sont finalement restés que cinq minutes sur le podium, encadré par un nombre visiblement insuffisant de stewards du club.
    La foule a également envahi la tribune réservée à la presse, poussant les journalistes à l'évacuer dans le chaos.

  • UMPS: moins de sécurité, plus d’immigration

    Trente blessés, des magasins vandalisés, des voitures incendiées,  du mobilier urbain détruit, des touristes agressés par des racailles du type de celles qui sifflent la Marseillaise, une cérémonie très rapidement écourtée : le rassemblement « festif » pour célébrer la victoire du PSG en coupe de France hier au Trocadéro a vite dégénéré. Le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, a expliqué que des milliers de casseurs étaient présents sur place. Bandes de jeunes qui ont démontré une nouvelle fois  l’amateurisme de Manuel Valls qui, à l’instar d’un Bertrand Delanoë, a été bien incapable d’estimer à sa juste valeur l’ampleur et surtout les dangers d’une telle manifestation. Même la candidate bis des  bobo à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet,  de retour de Londres où elle a été obligée d’écouter son maire Boris Johnson lui expliquer que  l’UE ne renouera pas avec la croissance « tant qu’elle gardera l’euro », y a été de sa critique vaguement  sécuritaire…c’est dire !

     Chacun a pu remarquer que les consignes données aux forces de l’ordre  par l’Etat PS contre les opposants au mariage pour tous  dans les manifestations se traduisent par  une répression souvent très dure et disproportionnée  à leur endroit après la dispersion des cortèges. Or   CRS et policiers  en sous-effectif et sans ordres clairs n’ont procédé  hier aux abords du Trocadéro qu’à  21 interpellations…

     Comme à son  habitude et comme  ses prédécesseurs, M. Valls a promis d’identifier les casseurs, comme il avait promis de surveiller le militant  algérien d’Al-Qaïda  Saïd Arif qui s’est fait la belle en Haute-Loire, comme il avait promis de juguler l’insécurité et l’immigration avec  l’insuccès dramatique que l’on sait.

     En matière de flux migratoires justement,  Manuel Valls multiplie les démonstrations de laxisme derrière les poses de matamore, comme le rappelait Bruno Gollnisch dans un communiqué hier.

     Au nombre des flux officiels composant le torrent migratoire -avec les vrais ou faux étudiants non Européens qui ne rentrent pas chez eux après leurs études, les détenteurs de visas de tourisme qui restent chez eux chez nous et  le rapatriement sur notre sol  des femmes et enfants restés dans le  pays d’origine au nom du regroupement familial-, nous trouvons aussi les demandeurs d’asile.

     Le ministre de l’Intérieur, pour répondre à une promesse électorale du candidat Hollande,  vient ainsi d’annoncer une réforme  pour   « améliorer l’accueil des demandeurs d’asile »,avec notamment la création de 9.000 places d’hébergement.

      Surtout, M. Valls précise  que « toutes les démarches seront simplifiées, de la domiciliation jusqu’à l’accueil en préfecture ».Dans les faits le délai de réponse  de l’administration  au demandeur d’asile  serait  réduit de  seize à neuf mois…ce qui laisse le temps de faire un enfant rendant le demandeur inexpulsable…Sera également mis en place  « une procédure d’appel pour les candidats déboutés. »

     D’ores et déjà la France,  connue pour la qualité de son accueil et la gratuité de  ses prestations sociales et médicales,  a  gagné une place…puisqu’elle est désormais   le deuxième pays européen le plus sollicité par les réfugiés politiques, le plus souvent en  réalité des réfugiés économiques fuyant la misère dans leur pays d’origine.  Depuis 2007 les demandes d’asile politique ont augmenté de 70% dans notre pays!

     Dans les faits sur les 62.000 demandes d’asiles annuelles, seulement  environ 10.000 d’entre elles satisfont aux critères légaux. Mais  les déboutés ont droit de résider en France, reçoivent une aide pécuniaire et leurs enfants sont scolarisés.

     Quant aux  52.000 candidats qui dans notre Etat en faillite et ses 8 millions de pauvres,  sont déboutés après de longs mois d’attente constate Bruno Gollnisch,  ils ne sont bien  sûr  jamais expulsés. Ils restent  dans l’attente d’une prochaine régularisation, d’un futur mariage  ou d’une future grossesse qui leur ouvriront tous les droits….

      La démographe spécialiste de l’immigration,  Michèle Tribalat , le rappelait plus largement sur la site Atlantico en avril dernier,  contrairement à  ce qu’affirme un récent rapport du ministère de l’Intérieur,  «il est faux de dire qu’il y a eu une stabilisation de la proportion d’immigrés en France depuis 1975 », «  que la France  n’est plus à proprement parler aujourd’hui un très grand pays d’immigration »..

     « Le Monde avait déjà chanté cette chanson-là dans un article du 4 décembre 2009 dans lequel il annonçait une stabilisation de l’immigration. Il y annonçait que l’évolution de la population immigrée entre 1982 et 2006 reflétait une  stabilisation. C’est évidemment faux. La population immigrée (personnes nées à l’étranger, de nationalité étrangère ou française par acquisition) a augmenté à un rythme voisin de celui de l’ensemble de la population française entre 1975 et 1999. Ce qui revient effectivement à une stabilisation de la proportion d’immigrés sur cette période. Mais la France a, depuis, entamé un nouveau cycle migratoire qui a porté la proportion d’immigrés à son plus haut niveau (8,4 % en 2009). L’accroissement relatif de celle-ci sur la période 1999-2009 est d’intensité voisine à celui connu au cours des Trente Glorieuses »

    Mme Tribalat a bien évidemment raison de le souligner.C’est d’ailleurs de  ce laxisme criminel là dont ne veulent plus non plus les Français qui loin d’être sans cœur, savent aussi qu’ils ne peuvent accueillir toute la misère du monde affirme Bruno Gollnisch .Il faudra bien  un jour que l’UMPS explique franchement aux Français les raisons de la poursuite d’une immigration de peuplement qui ne se justifie en rien.

    http://www.gollnisch.com