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international - Page 1133

  • Le dessous des ONG, une vérité cachée : Amnesty International

    Si au premier abord, les ONG poursuivent des objectifs louables s’orientant vers la défense des droits de l’Homme et de la dignité humaine, de plus en plus d’éléments démontrent que pour certaines de ces organisations ce constat est à relativiser. Infiltrées par des représentants des gouvernements, prenant part à certains conflits, passant sous silence d’autres ; en filigrane se dessinent les contours d’une stratégie qui est le reflet de la politique des départements des affaires étrangères.
    Par l’AEGE
    Certains gouvernements, comme les États-Unis, ne se cachent d’ailleurs pas de cette instrumentalisation des Organisations « non-gouvernementales ».
    Ainsi, l’ancien secrétaire d’État Colin Powell, dans un discours adressé aux ONG au début de l’Operation Enduring Freedom(l’invasion de l’Afghanistan), en octobre 2001, déclarait :
    «Les ONG sont un démultiplicateur de force pour nous, une partie tellement importante de notre équipe combattante.»1
     
    L’ONG Amnesty International a été créée par le britannique Peter Benenson. Avant d’exercer le métier d’avocat, il a travaillé au bureau du ministère de l’information et de la presse britannique lors de son service pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il a ensuite travaillé au Bletchley Park qui était le centre de décryptage anglais, où il était affecté à la «Testery». Peter Brenenson était chargé de déchiffrer les codes allemands.
    « En 1960, Benenson est choqué par un article de journal qui relate l’arrestation de deux étudiants condamnés à sept ans de prison pour avoir porté un toast à la liberté pendant la dictature de Salazar. Révolté, il lance dans le journal l’Observer (dont le rédacteur était David Astor) un appel en faveur « des prisonniers oubliés » dans lequel on a utilisé pour la première fois la notion de « prisonnier d’opinion ».
    L’avocat reçoit alors des milliers de lettres de soutien. L’appel, repris dans les journaux du monde entier, demandait aux lecteurs d’écrire des lettres pour protester contre l’arrestation des deux jeunes hommes. Pour coordonner cette campagne, Benenson fonde en juillet 1961 l’association Amnesty International avec l’aide, entre autres, de Sean MacBride et d’Eric Baker. » (2)
    Depuis, Amnesty s’est vu reconnaître le caractère d’organisme à voix consultative auprès de l’ONU,auprès, notamment, de son Conseil économique et social, de l’UNESCO, de l’Europe et de l’Organisation des États américains. Elle jouit également d’un statut d’observateur auprès de l’Union Africaine. Par plusieurs actions, l’organisation s’est illustrée par sa partialité.
    A ce titre, la critique de l’intervention de l’armée française au Mali, trois semaines après son commencement, reposant sur une étude « exhaustive » de dix jours, illustre bien l’attention que l’organisation accorde à ce sujet. Amnesty International est une ONG qui prône son indépendance financière grâce aux dons faits par une majorité d’anonymes. Cependant un doute plane quant à la nature des financements de l’organisme.
    C) Le financement.
    En premier lieu nous pouvons voir que l’ONG dispose de plusieurs strates. Amnesty International est la première façade mais derrière nous retrouvons Amnesty International Charity Limited qui est une association enregistrée comme charitable et c’est par celle-ci que passe les financements d’États et de groupes corporatistes. Georges Soros, milliardaire notamment accusé de délit d’initiés en France par la Société Générale est à la tête de la fondation Open Society Institute, qui promeut la démocratie, est l’un des plus gros donateurs d’Amnesty International Charity Limited.
    Il a déjà investi plus de 100 millions de dollars au sein de l’ONG. (Peut-être dans un souci de conscience et de transparence vis à vis des États) Il y a deux ans, un autre « scandale » financier éclaboussait l’ONG. L’ancienne directrice d’Amnesty, Irene Khan, s’est vue octroyer une indemnité de départ de plus de 600 000€, étrange venant de cette femme qui avait activement lutté contre la pauvreté dans le monde (3)
    .
    Amnesty international se prévaut de l’acte Transparency International, ce dernier est un indice de perception de la corruption. Mais il n’y a aucun détail des dons. Un don peut être un don d’Etat ou de particulier. Où sont ces détails ? Pourquoi ne sont-ils pas déclarés officiellement ? Peut-on se considérer comme transparent dans ces moments là ? Toutes ces questions laissent planer des doutes au-dessus de l’ONG.
    D) Amnesty, une indépendance relative.
    Après s’être penché sur l’indépendance financière douteuse, les financements opaques d’Amnesty International, il paraît primordial d’analyser la partie influence et collusions qu’entretient l’ONG avec certaines entités (pays, entreprises, autres ONG). De cette « indépendance », aussi bien politique que financière dont elle s’est fait le porte-parole, Amnesty International apparait, par certains égards, être le contraire de ce qu’elle prône. En effet, comment ne pas voir un conflit d’intérêts lorsque Suzanne Nossel, Directrice d’Amnesty International USA de 2012 à 2013 a été l’assistante personnelle d’Hillary Clinton aux affaires étrangères américaines ?
    Cette même personne est à l’origine de la création du terme « Smart Power », soit la conjugaison entre une manière douce (soft) d’influencer, d’imposer sa puissance et une manière dure (hard) par la puissance militaire. Le « Smart Power » est dorénavant le cheval de bataille de l’administration Obama. Après son passage d’une année à la tête d’Amnesty International USA, Suzanne Nossel a pris la direction de l’association PEN American Center (4).
    Certains détracteurs internes d’Amnesty International lui ont reproché des orientations stratégiques trop proches de la politique étrangère américaine. Mais que ces détracteurs se rassurent Franck Jannuzi a été choisi pour assurer l’intérim de Suzanne Nossel. Le choix d’Amnesty International USA de M Jannuzi pour le poste de directeur exécutif adjoint à Washington DC est d’ailleurs étonnant, lorsque l’on s’intéresse à sa carrière.
    M Jannuzi a travaillé pour le bureau du renseignement et recherche en tant qu’analyste politico-militaire sur la région d’Asie de l’est. Ce dernier est maintenant chargé d’établir des orientations stratégiques adaptées à l’évolution de la politique étrangère américaine pour Amnesty International USA (5).
    Mais cette solution est-elle si récente entre le gouvernement américain et Amnesty International ? Deux cas prouvent que ce lien existe depuis plus d’une vingtaine d’années. Avant le début de la première guerre du Golfe, l’administration américaine relayait une information décrivant des soldats irakiens, arrivés dans un hôpital koweïti, vidant plus de 300 couveuses qui abritaient des enfants prématurés.
    Les enfants étaient jetés à même le sol, les couveuses rapatriées en Irak. Cet évènement a été prépondérant dans le retournement de l’opinion publique américaine, au départ non favorable à une intervention au Moyen-Orient. Amnesty International a joué un rôle clé en se faisant l’écho du gouvernement américain tout au long de l’opération.
    Plus récemment, Amnesty International a lancé une campagne publicitaire pour soutenir l’intervention de l’OTAN en Afghanistan « Enduring Freedom » avec un engagement majoritaire des forces américaines. Amnesty International a publié lors du sommet de l’Otan en mai 2012 des affiches stipulant :
    « Droits humains pour les femmes et les jeunes filles en Afghanistan : OTAN, continuez les progrès ! ».
    Les chiffres des pertes civiles durant le conflit en Afghanistan sont pourtant sans équivoque, à la fin du mois d’août 2009, le nombre de victimes civiles était estimé à 9 500 tués (6).
    A ce titre, il est étonnant que le conflit en Afghanistan n’ait pas suscité les mêmes critiques que l’intervention française au Mali.
    Ces interventions sont pourtant toutes les deux destinées à combattre le terrorisme et la répression de population par les islamistes.
    Où est passée la ferveur d’Amnesty International à rétablir la vérité, à dénoncer les auteurs de ces crimes, de ce non-respect des droits humains ?
    Ainsi lorsqu’Amnesty International part enquêter sur le bien-fondé de l’intervention française au Mali, à peine une semaine après le début de l’offensive : doit-on y voir une démarche louable soucieuse de défendre les droits de l’Homme ou une manœuvre subversive visant à nuire à l’image de l’armée française et malienne ?
    Au regard de la participation de personnes liées au gouvernement américain au sein de la direction d’Amnesty International, on peut légitimement se questionner quant à l’indépendance et l’impartialité de cette organisation.
    Au-delà de la défense des droits de l’Homme et de la dignité humaine comme objectif premier, ne faut-il pas un voir un objectif second qui vise à devenir le relais de l’influence culturelle américaine ?
    Ceci, afin d’installer sur le long terme un terreau qui serait favorable aux ambitions stratégiques américaines ?
    Notes
    (1) Michael Mann, Incoherent Empire, Verso, 2003
    (2) http://fr.inforapid.org/index.php?search=Peter%20Benenson
    (3) http://www.dailymail.co.uk/news/article-1358537/Revealed-Amnesty-Internationals-800-000-pay-offs-osses.html#ixzz1EdIXunkv
    (4) http://www.pen.org/press-release/2013/01/16/pen-american-center-names-suzanne-nossel-executive-director
    (4) http://www.amnestyusa.org/
    (6)http://archive.wikiwix.com/cache/?url=http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/8143196.stm&title=[41]

  • Syrie : les fanfaronnades du président Hollande

    Sur la Syrie, de récentes déclarations de François Hollande viennent rappeler crûment que la France n'a plus les moyens de ses ambitions."Nous étions en capacité de frapper la Syrie. Peu de pays peuvent avoir cette souveraineté, cette liberté, cette capacité." Cette déclaration de François Hollande sur la Syrie, passée presque inaperçue lors de sa conférence de presse du 14 janvier, est pourtant surprenante à plus d'un titre. D'abord parce qu'elle révèle l'amertume et la déception qu'éprouve encore le président français cinq mois après un épisode militaro-diplomatique dans lequel Paris a été carrément lâché par les États-Unis, quelques heures seulement avant une opération militaire soigneusement préparée.

    La suite ici

  • Le libéralisme contre les Peuples

    La culture industrialisée formate les esprits 
    A la fin du XXe siècle, il était devenu impossible de poursuivre la réalisation de profits dans les pays civilisés sans attenter à la conscience des consommateurs solvables par l’industrie culturelle (cinéma, musique, art et ainsi de suite). On est passé à la consommation culturelle à cours forcé.

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    Chateau

    Qu’en « libéralisme », la crétinisation par la culture industrialisée soit désormais obligatoire ne heurte pas du tout les consciences. C’est dire ce qu’est réellement le « libéralisme » : une terrifiante aliénation généralisée par une économie de gros argent, une économie accaparée. On observe la généralisation de nouveaux types de mentalités. Mais ces mentalités donnent l’étrange impression d’être comme induites automatiquement, téléguidées.
    L’industrie culturelle peut-elle « fabriquer » et former à distance des types humains ? En tous cas, sont apparus en quelques années notamment le masochiste occidental ahuri d’une part et l’immigré rebelle crétin d’autre part. Ahuri et crétin qui ne savent précisément pas comment ils sont formés et à quels mécanismes politiques et économiques ils participent. Ces types humains totalement mécanisés sont bel et bien des fabrications.
    Explication. Les bourgeois de la « nouvelle gauche », les bourgeois du catholicisme social, les petits bourgeois convertis à l’activisme mondialiste, les artistes et cultureux participent tous du capitalisme culturel et de son prosélytisme. Populations ahuries, méchantes, hargneuses, ne comprenant pas leur triste état mental et développant une haine insensée vis-à-vis du petit peuple français.

    Les industries culturelles en France :

    Jacques-Yves Rossignol

    http://metamag.fr/

  • Une des photos du jour

     

    Ukren Ukraine, prêtres entre forces de l'ordre et manifestants.

    Lahire

  • Au Moyen-Orient, la terrible défaite de l'Occident

    Dominique Moïsi professeur au King'sCollege de Londres, est conseiller spécial à l'Ifri(Institut français des relations internationales).

    Bachar Al Assad est toujours au pouvoir en Syrie. Et Al Qaida reste puissante en Irak. Deux symboles de l'échec cuisant de l'Occident, incapable de bâtir une stratégie commune. Premier responsable, les Etats-Unis.
    Bachar Al Assad est toujours au pouvoir à Damas et le drapeau noir d'Al Qaida flotte sur les villes de Fallouja et Ramadi en Irak. Au-delà du fait que le processus de fragmentation en Syrie a désormais gagné l'Irak, il existe une cause commune entre ces deux réalités que l'on pourrait résumer d'une simple formule : l'échec de l'Occident. La prise, même temporaire, des villes de Fallouja et de Ramadi par des milices sunnites se réclamant d'Al Qaida est un symbole fort et humiliant même de l'échec de la politique menée par l'Amérique en Irak. Un peu plus de dix années après le renversement du régime de Saddam Hussein et après des centaines de milliers de morts du côté irakien et plus de 5.000 du côté américain, on ne peut arriver qu'à une bien triste conclusion : tout cela pour ça ! En Syrie, c'est le même constat d'échec qui s'impose. Bachar Al Assad et ses alliés et soutiens fidèles que sont la Russie et l'Iran sortent renforcés de leur confrontation avec l'Occident. Massacres de civils y compris par le biais des armes chimiques n'y ont rien fait. Le régime tient bon - même s'il ne contrôle plus des parties importantes de son territoire - fort du soutien de ses alliés et, plus encore, de la faiblesse de ses opposants et de ceux qui les soutiennent.
    En réalité, du Moyen-Orient à l'Afrique, c'est toute la question de l'intervention extérieure qui se voit ainsi reposée dans un univers largement post-américain. Quand et comment intervenir à bon escient ? Quand à l'inverse, la non-intervention, devient-elle, « plus qu'un crime, une faute », pour reprendre la célèbre formule de Talleyrand au lendemain de l'assassinat du duc d'Enghien en 1804 ?
    Quand faut-il intervenir ? L'urgence humanitaire est un concept d'une grande flexibilité. Le sort des civils syriens est-il moins tragique que celui des Libyens ? Pourquoi en 1992 intervenir en Somalie et non pas au Soudan alors que les souffrances des Soudanais sont au moins égales, sinon supérieures, à celles des Somaliens ? La décision d'intervention traduit pour partie des émotions sélectives, qui peuvent elles-mêmes correspondre à des sensibilités ou plus prosaïquement à des intérêts bien compris. L'intervention est d'autant plus probable qu'elle suit la réussite d'une première action ou, à l'inverse, si elle succède à une décision d'abstention qui a laissé derrière elle un mélange de massacres et de remords. La tragédie de l'Afrique des Grands Lacs en 1994 - sans parler du massacre de Srebrenica en Bosnie en 1995 - a certainement contribué à la décision occidentale d'intervenir au Kosovo en 1999. En réalité, l'intervention par un pays donné, à un moment donné, suppose la rencontre entre de multiples facteurs : l'existence d'une culture interventionniste, un sentiment d'urgence, un minimum d'empathie avec le pays ou la cause qui justifient l'intervention, enfin, bien sûr, l'existence de moyens perçus, à tort ou à raison, comme suffisants et adaptés.
    Au-delà de la question du « quand », se pose celle du « comment », les deux étant de fait souvent indissolublement liées. Intervenir seul présente de nombreux avantages : rapidité d'exécution, et donc souvent efficacité de mise en oeuvre. L'armée française n'était pas mécontente de se retrouver seule au Mali. A l'inverse, si elle ralentit le calendrier des opérations, la constitution de coalitions fournit un supplément de légitimité à l'intervention et un partage des coûts et des risques entre les différents acteurs. Il est probable que la France, qui, sur la lancée du Mali, s'est engagée en Centrafrique dans un conflit encore plus incertain, souhaiterait s'y trouver moins seule, tant pour des raisons de coûts et de moyens que pour des raisons politiques. On ne souhaite pas partager un succès, on veut par contre ne pas se retrouver seul dans une impasse éventuelle.
    En réalité, l'échec de l'Amérique, en Irak tout comme en Syrie, est celui de l'Occident dans son ensemble, même si la part de responsabilité de Washington est incontestablement plus grande.
    L'échec est généralement le produit de la rencontre entre trois facteurs principaux qui sont presque toujours les mêmes : l'arrogance, l'ignorance et l'indifférence. L'arrogance conduit à surestimer ses capacités et à sous-estimer les capacités de résistance de son adversaire. Il est tellement facile de gagner la guerre et de perdre la paix. La « démocratie à Bagdad allait conduire à la paix à Jérusalem ». Le slogan de certains néoconservateurs américains a viré à la catastrophe en Irak. L'arrogance est toujours, pour partie au moins, le produit de l'ignorance. Que sait-on des cultures et de l'histoire des populations que l'on veut sauver du chaos ou de ses dictateurs ? Les officiers coloniaux qui, hier, traçaient des lignes dans le sable pour créer les frontières de nouveaux empires ou de nouveaux Etats faisaient fi des complexités tribales et religieuses locales. Aujourd'hui, c'est sans doute pis encore. C'est l'ignorance pure et simple qui l'emporte.
    Enfin, il y a le péché d'indifférence. Certes, l'EIIL (l'Etat islamique en Irak et au Levant) inquiète légitimement Washington et conduit à un rapprochement entre les positions américaines et celles de Téhéran sur l'Irak. Mais le point de départ a été, en Syrie, la peur de l'Amérique de prendre ses responsabilités. Le résultat est clair. Une double défaite pour l'Occident stratégique et éthique. Washington a offert sur un plateau d'argent une victoire diplomatique éclatante à Moscou et permis le maintien au pouvoir de Bachar Al Assad.

    Source: http://www.lesechos.fr/

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFApVyyEEkhbbkHcne.shtml

  • Sexualité des enfants : les propositions délirantes de l’OMS – par Marie Vermande


    GENEVE (NOVOPress) -
    L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a rédigé en 2010 un rapport intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ». Le gouvernement socialiste en France, et Najat Belkacem en tête, s’est rué sur le document pour préparer la mise en application de ce vaste programme !

    Peillon, notre cher ministre de l’Education nationale nous a maintes fois parlé de la nouvelle religion républicaine. Une religion qui a déjà sa liturgie (le vote), ses ministres (les divers élus ou non élus d’ailleurs), il lui manquait encore quelques préceptes et commandements… Pour les trouver, on s’en va lire la Bible constituée des divers rapports de l’OMS et autres institutions aussi sombres, et on nous fait avaler le tout en nous affirmant que ce sont les scientifiques et pédagogues qui le disent, nouveaux docteurs de l’Eglise républicaine. Tandis qu’il y a quelques siècles l’enfant apprenait à l’école le catéchisme et les commandements, lui expliquant comment il devait vivre et se comporter, le jeune enfant du XXIème siècle sera désormais confronté à d’autres normes de comportements, et devra donc tout savoir sur le sexe… et ateliers pratiques à l’appui !

     

     

     

    Voici donc comment l’apprentissage du sexe sera institutionnalisé et édifié en commandement de la République : 1ère étape, de 0 à 4 ans, l’enfant apprend la « masturbation enfantine », il apprend ainsi à exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites », et pour la pratique on nous propose le jeu du docteur ! 2ème étape, entre 4 et 6 ans, l’enfant peut étudier les « l’amitié et l’amour envers les personnes de même sexe » et « consolider l’identité de genre » 3ème étape, à 6 ans, l’enfant peut connaître et défendre les « droits sexuels des garçons et des filles », et bien sûr le mettre en garde contre les stéréotypes du genre. On lui explique également « l’éjaculation et les menstruations », accompagnés illico presto des « méthodes de contraception » ! 4ème étape : entre 9 et 12 ans, il ne reste plus qu’à le mettre en garde contre les grossesses imprévues, les maladies sexuellement transmissibles, on en remet une couche sur la contraception et le préservatif, et on lui parle de l’avortement et du planning familial. Au cas où ce n’était pas compris on réexplique encore les différentes orientations sexuelles, après tout l’apprentissage n’est-il pas fait de répétition ? Bien entendu on met en garde contre le nouveau Satan de la religion républicaine : l’Eglise catholique et toute autre religion aux idées arriérées et rétrogrades n’y comprenant rien. Enfin dernière étape : de 12 à 15 ans il n’y a plus qu’à étudier la PMA, la GPA, les dons de sperme, la prostitution, après quoi l’enfant de 15 ans arrivé à sa majorité sexuelle est prêt pour se lancer dans le vaste monde et tenter sa propre expérience en appliquant à la lettre ce beau programme.

     

    Qu’ajouter à cela ? Pourquoi ne pas finir par une petite citation ? « A mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation » in Le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley

     

    Marie Vermand

    http://fr.novopress.info/153742/sexualite-des-enfants-les-propositions-delirantes-de-oms/#more-153742

  • Et pendant ce temps, la trahison finale se prépare

    Pendant que la face PS de l'oligarchie de trahison tente de terroriser les opposants à ses ultimes transgressions, en coulisse les tractations vont bon train pour livrer définitivement les ultimes restes de nos patries à la finance apatride, en levant les dernières régulations qui s'opposent à la toute puissance de Mamon. Dans ce domaine aussi, on assiste à la réalisation finale d'intentions échaffaudées de longue date. Le Monde Diplomatique fait sur les négociations de l'accord de partenariat transatlantique un point de situation très intéressant et précis, repris par Fortune de souche. Extraits.

    "Parce qu’elles visent à brader des pans entiers du secteur non marchand, les négociations autour de l’APT et du TPP se déroulent derrière des portes closes. Les délégations américaines comptent plus de six cents consultants mandatés par les multinationales, qui disposent d’un accès illimité aux documents préparatoires et aux représentants de l’administration. Rien ne doit filtrer. Instruction a été donnée de laisser journalistes et citoyens à l’écart des discussions : ils seront informés en temps utile, à la signature du traité, lorsqu’il sera trop tard pour réagir."

    "Officiellement, ce régime devait servir au départ à consolider la position des investisseurs dans les pays en développement dépourvus de système juridique fiable ; il leur permettait de faire valoir leurs droits en cas d’expropriation. Mais l’Union européenne et les Etats-Unis ne passent pas précisément pour des zones de non-droit ; ils disposent au contraire d’une justice fonctionnelle et pleinement respectueuse du droit à la propriété. En les plaçant malgré tout sous la tutelle de tribunaux spéciaux, l’APT démontre que son objectif n’est pas de protéger les investisseurs, mais bien d’accroître le pouvoir des multinationales."

    Exemple

    "Les normes de qualité dans l’alimentation sont elles aussi prises pour cible. L’industrie américaine de la viande entend obtenir la suppression de la règle européenne qui interdit les poulets désinfectés au chlore. A l’avant-garde de ce combat, le groupe Yum !, propriétaire de la chaîne de restauration rapide Kentucky Fried Chicken (KFC), peut compter sur la force de frappe des organisations patronales. « L’Union autorise seulement l’usage de l’eau et de la vapeur sur les carcasses », proteste l’Association nord-américaine de la viande, tandis qu’un autre groupe de pression, l’Institut américain de la viande, déplore le « rejet injustifié [par Bruxelles] des viandes additionnées de bêta-agonistes, comme le chlorhydrate de ractopamine ».

    La ractopamine est un médicament utilisé pour gonfler la teneur en viande maigre chez les porcs et les bovins. Du fait de ses risques pour la santé des bêtes et des consommateurs, elle est bannie dans cent soixante pays, parmi lesquels les Etats membres de l’Union, la Russie et la Chine. Pour la filière porcine américaine, cette mesure de protection constitue une distorsion de la libre concurrence à laquelle l’APT doit mettre fin d’urgence."

    Préparer ce genre de chose, en trahissant les principes démocratiques que l'on proclame par ailleurs, c'est de la trahison. Contribuer à ces projets fondamentalement contraires au Bien Commun, autre expression de la culture de mort, c'est de la collaboration de la pire espèce, pire que celle des "heures les plus sombres", car aucun pistolet n'est posé sur la tempe des Collabos d'aujourd'hui.

    Et la collaboration, un jour ou l'autre, ça se paie.

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/et-pendant-ce-temps-la-trahison-finale-se-pr%C3%A9pare.html

  • Soft power russe : Relire d’abord Tchakhotine…

    Rien n’est plus fluide, plus insaisissable et plus puissant que cette influence diffuse que l’on nomme Soft power. Sans bruit, sans démonstration de force, elle pénètre les esprits, vainc par la conviction, d’autant plus redoutable qu’elle joue sur les registres de l’empathie, du débat d’idées, de la culture...
    Il est de bon ton, depuis un an, d’évoquer sans cesse en France et ailleurs le Soft power russe.
    Bien entendu ce dernier est présenté en « Occident » comme la nouvelle stratégie du Kremlin pour imposer sa supposée politique de puissance sur la scène internationale, dans la lignée du « bourrage de crâne » pratiqué autrefois par l’URSS vis-à-vis des opinions publiques européennes. Suscitant critiques et méfiance, le Soft power russe n’en est pourtant qu’aux prémices de son déploiement. De ce constat nous pouvons tirer une leçon : La Russie doit concevoir sa stratégie d’influence avec beaucoup de doigté et de professionnalisme afin de ne pas prêter le flanc aux attaques des agents d’influence adverses.

    Il convient en premier lieu de définir quels seront les meilleurs agents de ce Soft power. Il est évident selon certains que le Soft power russe est déjà une réalité. Tant du point de vue culturel que scientifique, la Russie n’a plus à faire la preuve de son attractivité. Pourtant est-ce une forme efficace d’influence ? Il est permis d’en douter. Il suffit d’observer le cas français pour s’en convaincre. Le Français est une des langues les plus pratiquées au monde. La culture française, notre modèle de civilisation, de Voltaire à Chanel en passant par Versailles ou notre gastronomie constitue toujours un vrai potentiel de séduction et d’attractivité. Mais celui-ci s’adresse essentiellement aux élites étrangères, qui ont les moyens d’accéder à sa connaissance. Combien d’Américains du Middle West ou de Chinois du Shaanxi sont-ils capables de placer correctement la France sur une carte ou connaissent-ils Camus ? Bien peu. Il en va de même pour l’écrasante majorité de la population française et européenne vis-à-vis de Pouchkine, de Rachmaninov ou de Mendeleïev… Aux côtés de milliers d’amoureux de la culture russe, les masses ignorent tout de la Russie. Seule la culture américaine qui base son rayonnement sur le plaisir du plus grand nombre, les joies simples, le divertissement, est par essence populaire, voire populiste et conquiert les populations dans le monde entier.

    Si la culture ne suffit pas, il faut lui adjoindre d’autres éléments civilisationnels et politiques afin de former un outil de Soft power efficient, efficience dont la pérennité nécessite un constant perfectionnement par l’agrégation de nouveaux arguments, de nouveaux idéaux...Nous connaissons ceux affichés par les Etats-Unis : Individualisme, liberté d’entreprendre, liberté de conscience, foi en l’avenir…le rêve américain. De quoi, sur le papier, séduire bien des esprits. Mais cela ne suffit pas nécessairement non plus. Le cas français le démontre une fois encore. Depuis deux siècles nous nous érigeons en champions des Droits de l’Homme et de certaines valeurs « universelles. » Or, indépendamment du fait qu’il n’a jamais pu être démontré, du point de vue du raisonnement philosophique, que de telles valeurs existent, force est de constater que les idéaux vantés par la France sont de plus en plus vécus dans le monde comme un néo-colonialisme moral. Il faut donc se méfier des valeurs qu’on met en avant. Celles-ci peuvent séduire comme provoquer un effet boomerang.

    A cette aune la Russie, qui par la voix de Vladimir Poutine vient de se proclamer comme le défenseur des valeurs traditionnelles ou conservatrices, Dieu, la famille, la patrie…vise-t-elle juste ? Oui, dans la mesure où on assiste en Europe à une montée des partis aux discours identitaires, patriotiques, exaltant des idéaux identiques. Non, dans la mesure où elle va susciter le raidissement des « progressistes ». Immanquablement, l’offensive conservatrice de Moscou provoquera une contre-attaque virulente des médias « occidentaux » qui, pour la plupart, ne se reconnaissent nullement dans le modèle de société vanté par les autorités russes mais cultivent d’autres idéaux : Individualisme, matérialisme, hédonisme, insoumission aux autorités, quelle que soit leur nature. Promis au pilori le modèle russe, qu’on ne manquera pas de rapprocher du fameux « Orthodoxie, autocratie, génie national » d’Ouvarov, sera d’autant plus contesté qu’il est, aux yeux des leaders d’opinion « occidentaux » aussi contestable sur le fond qu’approximatif sur la forme.

    Car il n’y a pas de secrets : Un Soft power efficace passe par une bonne communication. Or les autorités russes accusent de graves lacunes en la matière vis-à-vis de nos sociétés de l’image et des faux-semblants. On peut penser ce que l’on veut de Nadejda Tolokonnikova. On peut juger scandaleuse son action dans la cathédrale du Christ Sauveur. Mais il y a une chose qu’on ne saurait lui dénier : un incontestable talent en matière de communication vis-à-vis de sa vraie cible , les médias, notamment « occidentaux ». Sexy, souriante, « guerrière » au poing levé ou affichant sa moue boudeuse dans son Tee-Shirt « No pasaran », clin d’œil à tous les éléments de la gauche européenne, elle a tout compris des règles du marketing politique et de ce ton entre insolence et  indignation qui fait les stars à Paris ou à Londres. C’est à ce type de talent, celui de cette « classe créative », de ces « fils de pub » maîtrisant parfaitement les codes de notre société post-moderne, vide de réflexion mais avide de slogans, que l’on doit confier « l’habillage » politique du Soft power conservateur. A défaut celui-ci ne sera pas « vendeur ». Il sera « ringard » et inaudible. Pour convaincre « l’Occident », il faut d’abord relire Tchakhotine.

    Philippe Migault

    Source: Ria Novosti

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2014/01/22/soft-power-russe-relire-d-abord-tchakhotine-5277812.html

  • Pas très catholique…

    Le site de Francetv info ne manque pas de le relever, «hasard du calendrier, les deux François vont se rencontrer pour la première fois le jour de la Saint-François. Le chef de l’Etat est reçu par le pape, (ce) vendredi 24 janvier, alors qu’il est à la recherche d’une réconciliation avec l’électorat catholique français, en majorité hostile à sa politique.» «Ce dialogue avec le pape est un message fort d’attention aux catholiques français » est-il expliqué par l’Elysée. Une réconciliation qui a peu de chance d’aboutir tant l’arrivée du candidat du PS et de sa majorité  au pouvoir s’est caractérisée par des gestes, des actions, des réalisations profondément anticatholiques et foncièrement contraires aux valeurs helléno-chrétiennes qui ont forgé notre civilisation. En ce sens, les mauvaises  orientations du sarkozysme ont non seulement été poursuivies mais aussi  amplifiées. Là aussi, le  changement ce n’est pas maintenant.

     Samuel Pruvot, auteur de François Hollande, Dieu et la République, interrogé sur le site de Francetv info,  rapporte que François Hollande est « aujourd’hui agnostique.» «Il ne tranche pas, un peu comme en politique, où ses opposants lui ont souvent reproché son manque de décision.». Certes, il  constate aussi que «(les) trois amis parmi les plus proches (de M. Hollande), Bernard Poignant, Jean-Pierre Mignard ou encore Jean-Pierre Jouyet, sont considérés comme des catholiques de gauche». Pour autant, l’influence de ces derniers semble en tout cas de peu d’effets sur le chef de l’Etat car  «(sa) laïcité revendiquée a été d’autant plus mal perçue par la communauté catholique que le chef de l’Etat a multiplié les maladresses à l’égard de l’Eglise.»

     Dans l’article du Monde consacré à cette voyage officiel au Vatican, il est expliqué que « le président sait (…) que sur le dossier (du mariage pour tous), il a péché par là où il s’était justement engagé: sa promesse de campagne d’une France apaisée, abîmée par l’ampleur de la mobilisation et la radicalisation d’une partie des opposants. »

     Mais ce grief n’est pas le seul. Plus largement, et la parole est donnée ici à « un responsable de l’Eglise catholique en France »,  les représentants de la Conférence des évêques de France (CEF) ont alerté le pape sur «(les)  débats actuels en France sur l’avortement ou la fin de vie », lequel  «pourrait rappeler au président les valeurs chrétiennes sur la dignité de la personne humaine

      Bernard Podvin porte-parole des évêques de France s’interroge : « Fallait-il rouvrir le débat sur l’avortement ? Fallait-il évincer brutalement les responsables religieux du Comité consultatif national d’éthique ? Fallait-il ignorer la pétition envoyée au Conseil économique, social et environnemental sur le mariage pour tous ?. Il « déplore aussi la réaction tardive des autorités face aux provocations survenues dans des églises.»

     « On sent une difficulté à appréhender le phénomène religieux et un raidissement des deux côtés , note aussi le secrétaire général de la CEF, Olivier Ribadeau-Dumas. Même le message du gouvernement  publié in extremis le 25 décembre à 16 heures  pour souhaiter un bon Noël aux chrétiens leur laisse un goût amer, alors que « des ministres fêtent l’Aïd ou Kippour avec les autres croyants ».

     Signe de cette « défiance » et du sentiment de « deux poids, deux mesures », une lettre au pape, rédigée par trois fidèles à la veille du voyage, a recueilli en une semaine quelque 100 000 signatures.» Cette lettre ouverte approche aujourd’hui allègrement les 120 000 signatures. Ses auteurs, de jeunes catholiques français, ont été reçus par la Nonciature apostolique et la missive  sera  remise au Pape.

     Une lettre  qui demande au pape François de se faire « l’interprète », auprès du président  de la république, « du profond malaise et de l’inquiétude grandissante de nombreux catholiques de France ». Président autiste qui n’a pas écouté l’opposition des Français «  à la loi dite du mariage pour tous , loi injuste qui prive délibérément l’enfant de son droit élémentaire à avoir un père et une mère, et qui ouvre la voie à la marchandisation du corps humain.»

     Un gouvernement et sa majorité qui ont multiplié « la promotion (…) de régressions majeures de droits fondamentaux de la personne humaine, sous les coups de boutoirs de la culture de mort ».  Et  de citer l’assouplissement, des « conditions de recherche sur les embryons humains » ; l’extension du « délit d’entrave à l’avortement » « à la simple expression d’une parole critique de l’avortement et de ses conséquences », « au mépris de la liberté d’expression qui était jusqu’à présent le fondement de notre démocratie ».

     En outre « le gouvernement pose des jalons pour faire voter une loi autorisant l’euthanasie », tandis que le ministre de l’Education nationale (Vincent Peillon, NDLR) qui est le promoteur actif de la théorie du Gender à l’école, a affirmé clairement sa volonté d’« arracher l’élève à tous les déterminismes », et donc aux « déterminismes familiaux ». « C’est ainsi le droit des parents à élever leur enfant conformément à leurs convictions qui est menacé.»

     Enfin, alors que « les moqueries et les attaques de la part des plus hautes instances pleuvent (…)», les profanations d’églises se sont multipliées récemment à l’initiative (…) des Femen (…). Les suites judiciaires ont toutes été étouffées. Beaucoup de catholiques de France ne peuvent s’empêcher de faire le rapprochement avec la sévérité unanime et justifiée des réactions lorsque ce sont d’autres communautés religieuses qui sont attaquées en France ».  « Les catholiques de France sont las d’être un groupe religieux de qui l’on puisse se moquer en toute impunité ».

     «  Face à ce flot de reproches notait l’article du Monde évoqué plus haut, un sujet au moins semble laisser les catholiques de marbre : la vie sentimentale du président ». Est-ce si certain ? Car  affirme Bruno Gollnisch, l’absence basique de morale  est au cœur de la pitoyable affaire Hollande-Gayet-Trierweiler.

     Comment ne pas adhérer au constat de Christine Boutin qui note que «la façon dont est traitée (Valérie Trierweiler) est un véritable scandale. La façon (de François Hollande, NDLR) de traiter ce problème n’est pas acceptable, c’est inhumain (…). Il prend les femmes les unes après les autres, il traite sa concubine, que l’on appelait Première dame, comme un Kleenex. (…). M. Hollande a révélé par cette affaire privée son véritable caractère. »

     Un « homme méchant» selon certains témoignages recueillis dans son entourage  par une  journaliste politique du JDD, Cécile Amar, dans son livre «Jusqu’ici tout va mal», consacré à M. Hollande et  fruit de dix années passées dans son sillage. Or, le seul capital qui restait a ce dernier auprès des Français, si l’on en croit les sondages, était justement  celui de la «sympathie» qu’il semblait dégager, à défaut de la compétence et du courage…

     « Adepte du mariage pour tous mais pas pour lui » comme le relevait dernièrement Jean-Marie Le Pen, M. Hollande, autoproclamé «président normal » ( ?) s’est refusé, comme il aurait pu le faire  une fois élu à a présidence, de légaliser son union par le biais du mariage avec Mme Trierweiler. Cela aurait donné un semblant de légitimité au coûteux cabinet de cette dernière installé au palais de l’Elysée et financé indûment  par les contribuables.

     Cela aurait évité également à Valérie Trierweiler de connaître le sort décrit  par Mme Boutin, tant il est vrai que le mariage traditionnel, est une institution qui a aussi pour objet de protéger la femme en tant qu’épouse.

     Une évidence niée par  les féministes de gôche, toujours promptes à hurler au machisme, toujours présentes quand il s’agit de donner de la voix pour défendre  le mariage pour tous ou les Femen, mais bien silencieuses ici

    http://gollnisch.com/2014/01/24/pas-tres-catholique/