Donald Trump est parti en guerre contre le wokisme dans l’armée, l’enseignement et le sport. C’est ce qui se dessine d’après les rumeurs : finis les transgenres dans les rangs des combattants et fini l’endoctrinent arc-en-ciel des enfants.
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Donald Trump est parti en guerre contre le wokisme dans l’armée, l’enseignement et le sport. C’est ce qui se dessine d’après les rumeurs : finis les transgenres dans les rangs des combattants et fini l’endoctrinent arc-en-ciel des enfants.

Un déluge scandaleux de propagande exagérée sur la Troisième Guerre mondiale a envahi les réseaux. Tous les experts s’arrachent les cheveux devant une série de rapports bourrés de mensonges, sortis entièrement de leur contexte, délibérément mal interprétés ou gonflés dans des titres bidons pour les personnes qui ne lisent pas le contenu réel des articles.
Démystifions les trois principaux de la série :

Depuis des siècles, l’Occident a assuré sa puissance et son développement économique sur des guerres perpétuelles, qu’elles soient fratricides au sein de l’Europe, ou bien menées sur d’autres continents. Nos immenses réussites scientifiques et nos avancées sociales incontestables se sont malheureusement construites dans le sang et les larmes de nos ancêtres. Pendant des siècles, aucune génération n’a vécu en paix.

par Caitlin Johnstone
La sagesse conventionnelle au sujet des escalades imprudentes de l’administration Biden en Ukraine ces derniers jours est que les choses se calmeront une fois que Donald Trump prendra ses fonctions, mais les choix ministériels de Trump ne font pas vraiment valoir cette idée.


Michel Barnier promet « la tempête » s’il devait « tomber ». C’est le message qu’il a fait passer, mardi soir sur TF1, pour mettre en garde contre une motion de censure qui le pousserait à démissionner. Mais cette perspective est anecdotique à côté de la guerre mondiale contre la Russie et ses alliés qu’attise, dans son coin, Emmanuel Macron. Une politique démente se met en place par le président esseulé, apparemment fasciné par le chaos qu’il a créé depuis le 10 juin et sa dissolution irréfléchie de l’Assemblée nationale. Cette diabolique course à l’abîme, censée replacer le chef de l’Etat au centre de tout, s’auto-alimente à l’Elysée dans l’indifférence du « microcosme parisien », justement mis en cause par le Premier ministre. Mais lui-même fait partie de cette oligarchie, en dépit de son adresse, hier, au bon sens des Français.

par Gilbert Doctorow
Hier, la télévision d’État russe expliquait à son public national à quel point les dirigeants occidentaux avaient été impressionnés par la première utilisation du missile hypersonique russe à portée intermédiaire, l’Oreshnik (noisetier), qui est encore «expérimental». Ils ont montré à l’écran le désarroi total de Zelensky qui ne savait pas comment réagir, si ce n’est en suppliant publiquement Washington de lui envoyer de nouveaux systèmes antiaériens pour mieux protéger sa patrie. Bien entendu, toutes les défenses américaines et occidentales sont inutiles face à l’invincible missile russe.


par Christelle Néant
Des civils évacués de Selidovo, en RPD (République populaire de Donetsk), ont rapporté comment l’armée ukrainienne a commis un massacre lors du «mardi noir», alors qu’ils se retiraient de la ville face à l’avancée de l’armée russe, fin octobre 2024.
Je m’installe face à Alexandre dans une petite salle, pour qu’il puisse me raconter calmement ce qu’il a vu et vécu avant la libération de la ville par l’armée russe fin octobre 2024. Lorsqu’il commence à me raconter les événements du «mardi noir» comme l’ont surnommé les habitants de Selidovo qui ont survécu au massacre organisé par l’armée ukrainienne, je comprends que dans cette ville, les soldats ukrainiens se sont surpassés dans l’horreur.