Si beaucoup pensaient Emmanuel Macron arrivé en bout de course, les enjeux internationaux lui ont indéniablement redonné un second souffle. Avec le même accent grave et martial qu’il a eu au temps du Covid-19 (le fameux « Nous sommes en guerre »), le président français, devant plus de quinze millions de téléspectateurs, a acté « la fin de l’innocence » face à la « menace russe ». Honni dans son pays mais applaudi par les chancelleries continentales, Macron prépare le terrain de ses futures ambitions européennes sur fond de conflit entre libéraux et nationalistes.
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Drame russo-ukrainien : la dure confrontation entre libéraux et nationalistes
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L'armée ukrainienne a tenté de pénétrer dans la région russe de Belgorod
La Défense russe a signalé plusieurs tentatives de l'armée ukrainienne de pénétrer dans la région russe de Belgorod. Ces attaques ont commencé quelques heures avant l'entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump consacré notamment au conflit en Ukraine. -
L'entretien « historique » entre Poutine et Trump est juste un petit pas, mais pas un grand pas pour l'humanité. Par Simplicius
L'entretien tant attendu entre Poutine et Trump a enfin eu lieu, ayant duré deux heures et demie, un temps historique, selon certaines sources, ce qui serait le plus long appel entre un président américain et un président russe depuis au moins la Guerre froide.
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Crise franco-algérienne : Bernard Lugan prédit l’effondrement du régime d’Alger
La relation entre Paris et Alger connaît depuis de nombreux mois un nouveau cycle de tensions, exacerbé par la reconnaissance par la France de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. L’historien Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, décrypte cette crise et estime que le régime algérien est condamné à la fuite en avant avant de s’effondrer.
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L'entretien Poutine-Trump montre qui décidera de l'issue du conflit ukrainien, selon un analyste
Les États-Unis et la Russie décideront de l'issue du conflit ukrainien, a déclaré à Sputnik Dmitri Evstafiev, analyste politique et professeur à l'Université du Haut Collège d'économie russe, commentant l'entretien téléphonique entre les Présidents Trump et Poutine. -
Quand Macron s’en va en guerre… mironton, mironton, mirontaine
La chronique de Philippe Randa
« Si vis pacem, para bellum » : préparer la guerre si on veut la paix ! Cette maxime est vieille comme le monde et parfaitement exacte, qui dirait le contraire ? Personne, bien sûr, mais – car il y a souvent un « mais » dans toute vérité – certains esprits grincheux pourraient ajouter qu’il faudrait encore en avoir les moyens ! Ou à défaut de les avoir, se les donner. Au mieux et au plus vite !
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Pour Yakovleff : «Ce qu’a vécu la France de 40 à 44 avec les Allemands, c’est peace and love, c’est l’Eurovision, comparé à Poutine aujourd’hui»
par Jean Chapoutier
Alors comme ça, les nazis en France en 40-44, c’est peace and love, c’est l’Eurovision.
Oui, vous ne rêvez pas, nous en sommes là.
J’ai entendu cette ignominie pour la première fois le 15 mars, rapportée par Arno Klarsfeld sur Omerta avec Régis Le Sommier, au sujet d’une émission sur LCI pendant laquelle le général Michel Yakovleff s’est lâché comme à son habitude. J’ai vainement cherché l’émission de LCI en question et, à défaut, j’ai trouvé les mêmes propos sur une émission de Radio Classique du mardi 11 mars, où Yakovleff, ancien vice-chef d’état-major de l’OTAN, était l’invité vedette.
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Alors que le globalisme se brise, les nations doivent produire leurs propres moyens de survie
Le terme « protectionnisme » est généralement considéré comme péjoratif dans le monde économique, au même titre que « isolationnisme » et « populisme ». À une époque où le globalisme est considéré comme la panacée de l’évolution sociale et géopolitique, l’idée de prendre du recul et de reconsidérer la notion d’indépendance et d’autonomie est odieuse. Les globalistes et les progressistes soutiennent qu’il n’y a pas de retour en arrière possible et qu’eux seuls connaissent la voie à suivre.
Il est plutôt commode qu’ils soient devenus les prophètes autoproclamés de la bonne politique économique, n’est-ce pas ?
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Canon polonais, blindés américains et plus de 1.000 hommes: les pertes de Kiev en 24 heures
Les forces russes ont détruit plusieurs blindés occidentaux, dont des M113 américains, tout en améliorant leurs positions sur le front, annonce la Défense dans son bilan quotidien de l'opération spéciale pour le 18 mars.Points clés du bilan quotidien de la Défense russe: -
Si le gouvernement Zelensky renonce à sa souveraineté au nom de la paix, un profond sentiment de trahison envahira l’Ukraine.
Si le gouvernement Zelensky renonce à sa souveraineté au nom de la paix, un profond sentiment de trahison envahira l’Ukraine.
Après avoir formellement accepté une trêve et un cessez-le-feu temporaire, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, pourrait se retrouver sous le feu des éléments extrémistes en Ukraine, avertit The Times.