
Depuis trois décennies, le rituel est immuable : des milliers de responsables politiques, diplomates, militants et influenceurs « verts » traversent la planète pour venir expliquer aux peuples ce qu’ils doivent consommer, produire, manger ou penser.
La COP30, organisée cette année à Belém, en Amazonie, s’inscrit dans cette tradition — mais elle en révèle surtout les contradictions les plus criantes.







