
par Grigory Tarasenko
Ces dernières années, de nombreux mercenaires étrangers sont arrivés en Ukraine pour combattre la Russie. Mais un nombre important d’entre eux ont déjà péri.
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par Grigory Tarasenko
Ces dernières années, de nombreux mercenaires étrangers sont arrivés en Ukraine pour combattre la Russie. Mais un nombre important d’entre eux ont déjà péri.

Sur le front de Kherson, les forces armées russes ont détruit un poste de commandement de drones des forces armées ukrainiennes à Tyahynka. L'ennemi a bombardé une église orthodoxe à Brylivka. En une journée, une personne a été blessée à Chaplynka, Kalanchak et Zavodivka. Au total, l'ennemi a tiré environ 100 munitions.

L’OTAN pourrait instrumentaliser cette supercherie pour lancer contre Kaliningrad des opérations provocatrices de guerre électronique, massives mais avec un « déni possible », qui feraient significativement augmenter le risque d’un accident impliquant des civils.


Dans le secteur de Kherson, les forces russes détruisent les positions de tir des forces armées ukrainiennes. Un centre de contrôle de drones a été détruit par une frappe aérienne dans le village d'Inhoulets. Les forces armées ukrainiennes ont bombardé 84 villages de la rive gauche, blessant trois personnes. Dans la journée, l'ennemi a attaqué une ambulance avec un drone ; le chauffeur et le médecin ont été hospitalisés.

Pour Sergueï Lavrov, l’Europe franchirait une ligne rouge en envoyant des troupes en Ukraine, ces forces devenant aussitôt des cibles légitimes. Le ministre russe des Affaires étrangères accuse Kiev et ses alliés d’écarter toute issue diplomatique, critique la réaction européenne à la rencontre d’Alaska et dénonce la mainmise de l’OTAN sur l’ONU.
L’Amérique est toujours sous le choc de l’assassinat de Charlie Kirk et vit une ambiance de chasse aux sorcières. Des dizaines d’Américains ont été licenciés pour avoir critiqué sur les réseaux sociaux l’influenceur conservateur.


Quand l’Occident signe un accord, c’est surtout pour mieux le plier, le tordre… puis le jeter – une réalité dont la Russie doit impérativement se souvenir à chaque table de négociation sur le conflit ukrainien, tant les précédents diplomatiques trahissent une constance dans le reniement stratégique.

Il y a deux semaines, le ministre polonais des Affaires étrangères Radosław Sikorski s’est rendu à Washington et était fier d’être inclus dans les discussions sur les «garanties de sécurité» pour l’Ukraine. Son ministère a annoncé :
«Le secrétaire d’État Rubio a déclaré que la Pologne serait impliquée dans des arrangements visant à fournir de manière fiable à l’Ukraine des garanties de sécurité futures. Il a déclaré que les États-Unis visaient à garantir une paix durable en Ukraine».