
Depuis les élections européennes de 2024, un fossé béant s’élargit entre l’Europe institutionnelle, celle des commissaires, des juges et des technocrates bruxellois, et l’Europe réelle, celle des peuples qui travaillent, élèvent leurs enfants et peinent à reconnaître leur propre voix dans les décisions prises en leur nom.
L’une parle de “valeurs” et de “progrès”, l’autre réclame souveraineté, sécurité et respect de ses traditions. Entre les deux, la fracture devient un abîme.






