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international - Page 442

  • Ingérence de Twitter dans la campagne présidentielle américaine

    Ingérence de Twitter dans la campagne présidentielle américaine

    Twitter a ajouté mardi une mention « vérifiez les faits » à deux tweets de Donald Trump qui mettait en garde contre les fraudes concernant les votes par correspondance.

    « Le gouverneur de la Californie est en train d’envoyer des bulletins de vote à des millions de personnes. Tous ceux qui vivent dans l’Etat, peu importe qui ils sont ni comment ils sont arrivés là, vont en recevoir. Ensuite des professionnels vont leur dire, à ces gens qui sont nombreux à n’avoir même jamais pensé à voter avant, comment et pour qui voter. Ce sera une élection truquée »

    Twitter a choisi pour son premier fact-check de Trump un tweet où ce dernier dit manifestement vrai.

    La riposte du président américain n’a pas tardé :

    Voir la fin et les twittes ici

  • [VIDÉO] « Je lutte contre l’état profond Et j’ai dit que je le faisais. » – Donald Trump

    « Je suis donc très déçu de certaines personnes. Et certaines personnes ont fait un travail phénoménal, mais que fais-je ? Je lutte contre l’état profond. Je combats le marais. Et j’ai dit que je le faisais. Et j’expose le marais. Je pense que si ça continue comme je le fais, et Ratcliffe est fantastique. Si ça continue comme ça, j’ai une chance de briser l’état profond. C’est un groupe vicieux de personnes. C’est très mauvais pour notre pays. Et cela ne s’est jamais produit auparavant. Il se trouve que vous êtes victime de l’état profond. Je déteste vous dire, que vous le sachiez ou non, mais ils vous ont horriblement traité au fil des ans. Et ils ont également traité de nombreuses autres personnes. Ils n’ont jamais pensé que j’allais gagner, puis j’ai gagné. Et puis ils ont essayé de me faire sortir. C’était la police d’assurance. Elle va gagner, mais juste au cas où elle ne gagnerait pas, nous avons une police d’assurance. Et maintenant, je les ai battus sur la police d’assurance, et maintenant ils sont exposés. Comey est un flic sale, McCabe, un méchant. Ce sont tous des méchants.

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  • Elliot Spitzer ou la chute programmée de l'un des hommes les plus puissants des USA

    Par Jim Reeves

    Dans son éditorial du 13 mars sur France Inter, Bernard Guetta volait au secours du gouverneur Démocrate de New York, Elliot Spitzer, forcé à la démission après avoir été convaincu de fréquenter assidûment un réseau de prostitution mondaine. Gardons-nous de prendre à la légère ce « fait divers » égrillard qui cache en fait une liquidation politique. Le journaliste incrimine en effet le puritanisme borné d'une Amérique bushienne, dont, bien que sioniste convaincu, il s'accommode mal de l'usage qu'elle fait de la torture. Il salue le combat que Spitzer mena comme Attorney General (procureur général) contre la corruption en col blanc et le gangstérisme de Wall Street. Et il aurait pu ajouter que selon la presse d'Outre-Atlantique il se serait agi, pour le Pouvoir Républicain, d'éliminer la nouvelle étoile montante Démocrate avant qu'elle ne brille trop.

    Pourtant, on n'est pas dans ce registre. Guetta, supporter de Hillary Clinton, sympathise avec Spitzer qui appartient à sa garde rapprochée. Né en 1951 à Paris dans une famille de commerçants sépharades prospères, Bernard G. est un proche parent du richissime Charles Guetta, distributeur BMW en Afrique du Nord et pétrolier au Texas, lequel, allié à la famille des milliardaires judéo-marocains Bénazéraf, s'empara en 1970 de 94 % des actions du Nouvel Observateur six mois avant que le tout jeune Bernard n'y entre comme pigiste. Sa trajectoire sera fracassante et pas seulement parce que l'amitié partagée par Charles et le tout-puissant Jean Daniel remontait aux bancs de la faculté d'Alger.

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  • Pourquoi les Bourses mondiales jouent aux montagnes russes, par Marc Rousset.

    3919228288.5.jpgLa Bourse de Paris a repris 5,16 %, lundi 18 mai, suite à un nouveau vaccin américain qui a soulevé des espoirs irréalistes et démesurés. La place new-yorkaise a terminé aussi chaque jour dans une direction différente, depuis le début de la semaine, signe d’une forte volatilité. En fait, les Bourses sont assises sur un volcan car elles se refusent à voir l’éléphant de la crise économique qui attend dans le couloir.

    C’est bien l’Union européenne qui empruntera 500 milliards d’euros avec la garantie de tous les États de l’UE, mais l’UE ne pourra rembourser ces emprunts qu’avec un nouvel impôt européen, ou en demandant aux États de rembourser en fonction de leurs pourcentages respectifs dans le PIB de l’UE. Des subventions seraient accordées à certains pays ou à des secteurs économiques en fonction de leurs besoins, et il y aurait donc bien mutualisation au niveau de l’UE avec un taux d’emprunt plus faible et redistribution des ressources vers les plus démunis. Mais la chancelière Merkel a seulement fait un geste politique : l’Allemagne, grande gagnante du système actuel, suite au laxisme des pays du Sud, leur a seulement proposé un os à ronger.

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  • L'Europe doit soutenir Taïwan

    6a00d8341c715453ef0263e94b1311200b-320wiL'observation du passé de l'humanité ne relève pas de la zoologie. Les événements ne s'y reproduisent jamais à l'identique. Le libre choix permanent des fragiles fils d'Adam déjoue l'instinct de l'animal. Et pourtant l'histoire, cette "science des faits qui ne se reproduisent pas" [Paul Valéry]  nous livre d'inépuisables enseignements, sous des masques à peine renouvelés.

    Ainsi l'expérience du XXe siècle, avec sa chaîne d'horreurs brutalement totalitaires, et après les condamnations plus ou moins sincères, du Procès de Nuremberg clos en 1946 au rapport Khrouchtchev de 1956, pourrait nous permettre de mieux comprendre la mise en place rampante des dictatures cybernétiques actuelles.

    Désormais en effet, ceux qui ont aimé Hitler et Staline adoreront, en Xi Jinping, le stalinien assumé, et le national-socialiste d'un genre nouveau. On peut regretter qu'à Paris au moins, cet enchaînement, objectivement évident, ne s'impose guère dans les esprits qui formatent l'opinion.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Charles Gave sur l'Obamagate "C'est l'Etat profond des Etats-Unis qui pourrait tomber".

    Charles Gave, essayiste, réagit sur l'ObamaGate. Trump est-il un bouc émissaire ? On en parle avec André Bercoff sur Sud Radio.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/05/22/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-charles-gave-sur-l-obamagat-6240395.html

  • Irak 2003-2008 : un déni d'holocauste

    Le bilan « excède même le million de victimes, un chiffre bien supérieur aux 800 000 victimes du Ruanda voici treize ans et cinq fois celui du Darfour. Un autre déni d'holocauste a lieu sans qu'on y prête attention : l'holocauste de l'Irak » (Docteur Mark Weisbrot, de l'université du Michigan).

    Certains l'apprennent à leur dépens nier l'Holocauste ou simplement douter est source d'interminables et pénibles poursuites. En revanche d'autres génocides ne semblent incommoder personne. Conditionné par le silence des média et une politique gouvernementale des plus opaques, l'Américain moyen estime que 10 000 Irakiens seulement auraient été tués depuis mars 2003, date de l'invasion états-unienne. Pourtant, comme l'indique une étude réalisée il y a plus d'un an par des médecins irakiens et des épidémiologistes américains de la John Hopkins University of Public Health, la réalité est tout autre. Publiée dans le prestigieux journal médical anglais The Lancet, cette étude faisait mention de 655 000 victimes (certificats de décès à l'appui) en date de juillet 2006 601 000 de mort violente, le reste en raison d'épidémies, pénurie de médicaments, coupures d'électricité, etc. Les enfants en particulier paient un lourd tribut plus de 260 000 décès.

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  • Mise au pas des plateformes aux Etats-unis, loi Avia en France, Trump versus Macron

    Alors que la France, via la néfaste loi Avia, sombre dans l’obscurantisme de la censure arbitraire et privée, que les propos des Français vont ainsi être soumis au contrôle subjectif des plateformes Facebook, Twitter, Google and Co, collaborateurs serviles du régime Macron et gardiens fidèles de la pensée unique imposée par la conscience morale universelle qui ne supporte, la pauvrette, aucune contestation ni résistance à son désir de monopole idéologique sur les esprits, aux Etats-Unis, c’est tout le contraire qui se dessine.

    Le président Donald Trump a décidé de mettre au pas les plateformes avant tout parce que leur politique de modération, c’est-à-dire la censure qu’elles appliquent aux propos des Américains, est conditionnée par la gauche radicale. Une gauche radicale qui dicte tout autant en France la bonne pensée à tenir sur les réseaux sociaux.

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  • Que faire pour sauver la planète ? Il faut tourner la page du mondialisme criminel !

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    Nous reprenons notre enquête sur les suites de la crise que nous venons de subir. Aujourd'hui la parole est à l'écrivain et essayiste Franck Abed, qui fut un précurseur dans la réalisation, au début des années 2010, d'entretiens filmés de qualité et qui est aussi animateur de plusieurs sites consacrés en particulier à la littérature non-conformiste.

    S.N.

    Franck Abed

    Avant toute chose, il convient de ne pas contribuer à la confusion généralisée qui existe quant à l’utilisation des termes mondialisation et mondialisme (1).

    La mondialisation est un phénomène naturel de brassage des civilisations, résultant du développement des moyens de communication, des transports et des médias au sens large du terme. Elle est plus vieille que le concept de mondialisme. Effectivement, dans l’histoire antique, les Phéniciens, avant la fondation de Carthage, établissaient déjà des comptoirs pour le commerce en Afrique du Nord. Les Grecs voyageaient également dans toute la Méditerranée et les Vikings allèrent encore plus loin que les mondes connus. Personne ou presque ne peut vivre en autarcie. De plus, je rappellerai que l’échange entre les hommes est un don de Dieu, car l’Homme se construit, entre autres, avec l’altérité.

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  • L’arrestation de Félicien Kabuga, ou quand les médias rajoutent un chapitre à la fausse histoire du génocide du Rwanda

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    Félicien Kabuga qui vient d’être arrêté en France est présenté comme étant à la fois le financier de l’Akazu, une cellule familiale qui aurait préparé le génocide, et le fondateur des Interahamwe, milice associée au génocide des Tutsi et des Hutu alliés au FPR du général Kagamé, les « Hutu modérés » des médias. Or, l’Akazu n’a jamais existé et Félicien Kabuga n’a pas fondé les Interahamwe.

    1) L’Akazu n’a jamais existé

    Devant le TPIR, le Procureur a échoué à convaincre les juges « au-delà de tout doute possible », que :

    - le génocide du Rwanda avait été planifié au sein de l’Akazu, une prétendue cellule familiale postulée avoir été financée par Félicien Kabuga et dirigée par Protais Zigiranyirazo, beau-frère du président Habyarimana,

    - que le maître-d’œuvre de cette opération criminelle était le colonel Théoneste Bagosora, qu’il présentait comme le« cerveau du génocide ».

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