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Romain Migus : Venezuela, un coup d'Etat à l'ombre de la pandémie. (EDLQ#10)
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Michel Drac « Les multinationales ont pris le pouvoir. »
En dix ans, Michel Drac est devenu une figure incontournable de la réflexion non-conformiste en France. Auteur de plusieurs essais (dont le dernier est Voir Macron), il réalise avec rigueur, modestie et honnêteté sur YouTube de substantielles notes de lecture, et offre un éclairage bienvenu sur les événements du monde.
propos recueillis par Georges Feltin-Tracol
Michel Drac, vous êtes désormais une vedette sur Internet. À quand la montée des marches à Cannes ? Plus sérieusement, que pensez-vous de cette notoriété ?
Simple illusion d'optique. 29000 personnes sont abonnées à ma chaîne, 8 millions suivent Cyril Hanouna. Médiatiquement, je n'existe pas.
Pas d'accord ! Vous vous fiez uniquement au nombre d'abonnés sans prendre en compte ceux qui vous regardent sans s'abonner. N'est-ce pas là le côté agaçant d'Internet et, plus largement, de l'emprise technicienne ?
Le nombre de vues et la courbe dans les deux jours qui suivent la mise en ligne confirment que l'audience est très fidélisée, mais restreinte à 30000 personnes environ.
Les internautes qui vous suivent ne se doutent pas du travail considérable que vous effectuez : lire les livres, les annoter, enregistrer, faire le montage, produire des tableaux... Où trouvez-vous le temps ? Seriez-vous un euro-député LREM ?
Je m'organise. On peut travailler à une vitesse étonnante aujourd'hui, grâce aux outils bureautiques.
Parvenez-vous à trouver une complémentarité entre l'édition, les conférences que vous prononcez et votre activisme sur Internet ?
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Le complot contre Donald Trump fait flop
La justice américaine a annulé les poursuites contre Michael Flynn, conseiller accusé d’espionnage pour la Russie, forcé de démissionner en 2017. Les charges contre lui étaient fausses, le FBI avait truqué le dossier pour nuire à Donald Trump. La déclassification des documents de l’enquête du FBI sur la collusion entre l’équipe de campagne de Donald Trump et la Russie montre qu’il n’y avait rien d’autre que des rumeurs et des coups montés…
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Démondialisation. Les États-Unis vont aider leurs entreprises manufacturières à quitter la Chine.
Avant hier je vous parlais de cette histoire où les Etats-Unis accusent Pékin d’avoir laissé échapper le virus du laboratoire de Wuhan.
D’autres en Chine murmurent que ce virus aurait été apporté à Wuhan en novembre 2019 lors des jeux olympiques militaires par les soldats américains eux-mêmes suite à la fermeture provisoire, l’été dernier, de Fort Detrick, un centre de recherche médicale militaire américain et la lie à la détection d’une série de cas de grippes et de pneumonies qui ont suivi cette fermeture.
Tout ceci est clair comme du jus de chique vous l’aurez compris, et la première victime de la confrontation de titans entre la Chine et les Etats-Unis, c’est évidemment la vérité.
L’histoire est écrite par les vainqueurs, et en attendant, les Etats-Unis poursuivent leur agenda de suprématie et de leadership.
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Marion Maréchal : “Peut-on continuer avec cet Etat inapte à remplir ses missions fondamentales, alors qu’il prélève 50 % de la richesse nationale ?”
Depuis mon lieu de confinement, j’observe avec attention et inquiétude ce que cette crise du coronavirus révèle de l’état de notre pays. Occultant totalement la pression migratoire aux portes de la Grèce ou le débat sur les retraites, cette pandémie ébranle nos certitudes et met en lumière nos multiples faiblesses. Au-delà des mesures immédiates qu’imposent l’extinction de cet incendie sanitaire, il sera aussi temps de nous pencher sur les solutions structurelles qui devront suivre ce drame.
La France, le jour d’après
J’assiste, heure après heure, au défilé des experts, politiciens, journalistes sur les plateaux de télévision.
Je les entends constater et déplorer la désindustrialisation de la France devenue incapable de produire des masques et des respirateurs sur son territoire. La menace de dizaines de milliers de morts leur ouvre enfin les yeux sur les vertus de l’indépendance nationale. Cet objectif politique, recherché par toute grande nation, n’est pas un simple slogan réactionnaire mais la liberté de ne pas être soumis au bon vouloir de pays étrangers pour sa survie. La France, sixième puissance mondiale, se voit contrainte de quémander l’aide de la Chine pour recevoir en urgence 1 million de masques. Que serait-il advenu de cette précieuse livraison si les chinois n’étaient pas parvenus à endiguer l’épidémie sur leur sol ?
Gouverner c’est prévoir. Exercer le pouvoir, c’est anticiper dans sa globalité et non se contenter d’appliquer à la lettre, et en dernière minute, les préconisations « des scientifiques », pour reprendre un élément de langage inlassablement déroulé par nos ministres depuis plusieurs jours. L’Elysée n’est pas l’académie des sciences, pas plus qu’il ne devrait être une chambre de commerce. Nos gouvernants apprennent, à leurs dépends, ce qu’est l’action politique, la vraie. Eux qui espéraient que l’économie, ouverte de préférence, puisse pacifiquement régenter le monde et organiser les sociétés redécouvrent que c’est la décision humaine et non les flux livrés à eux-mêmes qui font l’Histoire et le devenir d’une Nation.
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L’accord de libre-échange UE-Mexique révolte les agriculteurs français.
(Un grand merci à nos amis du GAR d'avoir relayé cette information et d'y avoir apporté une réponse politique)
Pendant le confinement, l'Union Européenne continue ses mauvais coups contre la souveraineté alimentaire française et nos producteurs agricoles ! Alors que la mondialisation et le libre-échange sans limites ont prouvé qu'ils étaient dangereux pour les équilibres économiques et sociaux locaux, l'UE fait l'inverse de ce qu'il faudrait faire, au nom du "tout-marchand" et du "tout-échangeable"...
Notre riposte commence par le fait d'acheter français et le plus local possible, et bio, si cela se peut ! Aidons nos agriculteurs et faisons échouer le libre-échangisme qui n'est bon ni pour l'environnement ni pour nos producteurs !Sources : https://www.ouest-france.fr
Mardi 28 avril, l’Union européenne et le Mexique ont conclu les négociations d’un nouvel accord commercial de libre-échange, en discussion depuis 2016. « La lutte que nous menons mobilise toute notre énergie, mais nous avons aussi fait progresser notre programme en faveur d’un commerce ouvert et équitable, qui n’a rien perdu en importance », s’est réjoui le commissaire au Commerce, Phil Hogan, dans des propos relayés par le journal Ouest-France.
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Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire
C’est une analyse que l’on découvre dans le Washington Times du 28 avril. Extraits
Le nouveau coronavirus est réel.
La réponse au coronavirus est médiatisée. Et avec le temps, ce battage médiatique sera révélé comme un canular politique. En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des plus grandes exagération du monde politique, la plus honteusement exagérée, excessivement et irrationnellement gonflée avec des réponses faussement trompeuses à un problème de santé.
Les faits sont les suivants: COVID-19 est une véritable maladie qui rend malade certains, se révèle mortelle pour d’autres, surtout les personnes âgées – et ne fait rien à la grande majorité.
C’est ça.En un mot, c’est tout.
Ou, selon Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie: rouvrons le pays – et maintenant.
«Avons-nous encore besoin d’un abri sur place? Notre réponse est catégoriquement non. Faut-il fermer des entreprises? Non catégoriquement. … [L] es données montrent qu’il est temps de lever ».
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En attendant le Grand Soir ! La Chine peut dire merci au Covid 19
La chronique de Michel Malnuit
Même si depuis quelques semaines plusieurs critiques contestent l’attitude de Pékin face au Covid 19 – voire mêmes des attaques l’accusant d’en être à l’origine volontairement ou non –, l’empire du Milieu sort grandi sur le plan politique et économique.
Le pangolin n’aura pas la peau de Pékin. Alors que la plupart des pays touchés par le Covid 19 auraient pu accuser la Chine, aucun ne le fait (à l’exception notoire de Donald Trump) ou alors à demi-mots, usant du plus beau langage diplomatique.
Et si l’empire du Milieu a critiqué sans langue de bois toute critique de son action ou toute allusion à une responsabilité dans la création et/ou la diffusion du virus, il ne peut que se satisfaire de la situation en ce début mai. En effet, les allusions aux mensonges de Pékin sur le nombre de réel de morts sont passées par pertes et profits – idem pour le matériel plus que défectueux envoyé par la Chine –, le confinement à Wuhan érigé en modèle, sans parler des hôpitaux construits en peu de jours.
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Covid-19 et Chinoiseries ou comment se présenter en sauveur !
Bernard Plouvier
Nul ne l’ignore, la 3e épidémie de coronavirose, devenue pandémie (assez peu meurtrière pour l’instant : 7% de morts sur un peu moins de 3,4 millions de cas répertoriés et traités), nous vient de l’ex-Céleste Empire.
En bonne logique, la République communiste-capitaliste de Chine devrait être mise au ban de la politique internationale pour plusieurs excellentes raisons.
D’abord, par l’absence d’hygiène régnant dans ses campagnes et villes arriérées, d’où nous viennent des épidémies. C’est le devoir d’un État moderne que d’assurer l’hygiène partout dans le territoire du pays. Ce fut réalisé en Occident, de 1880 à 1960. Aux Chinois de démontrer qu’ils sont capables de faire entrer leurs recoins les plus attardés dans le XXe siècle, avant de prétendre diriger quoi que ce soit dans notre XXIe siècle.
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En Chine, un possible vaccin au Covid-19 se fabrique déjà à grande échelle
Sinovac Biotech, premier au monde à avoir mis sur le marché un vaccin contre la grippe H1N1, se dit prêt à produire 100 millions de doses par an pour combattre le virus.
Il tient peut-être le remède tant attendu. Dans un laboratoire du nord de Pékin, un homme en blouse blanche exhibe l’un des tout premiers vaccins expérimentaux contre le nouveau coronavirus.