Le 30 octobre Xi Jinping ne s'est pas déplacé à Rome, pour la réunion au sommet des dirigeants du G20. Deux jours plus tôt c'est un communiqué du ministère chinois des Affaires étrangères, en date du 28, qui avisait en effet que sa participation se réduirait à une vidéoconférence. Il en irait de même pour la rencontre de Glasgow sur le Climat. S'agissant de celle-ci, son désaccord l'oppose aux grands pays engagés dans les idées à la mode, destinées à la sauvegarde de la Planète. Et la contribution concrète considérable du pays à la pollution mondiale reflète à cet égard le désintérêt de son régime.
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Virus chinois
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Joe Biden : la baudruche économique se dégonfle.
En être réduit à ça à son âge…
Souvenez-vous des exclamations de nos médias après l’élection (dans les conditions que l’on sait) de Joe Biden, à la présidence des Etats-Unis et contre leur ennemi de toujours, Donald Trump : ON ALLAIT VOIR CE QU’ON ALLAIT VOIR !
On a déjà vu… l’échec des projets d’accueil des migrants sud-américains par le nouveau président, rapidement confronté à des hordes de miséreux, appâtés par ses promesses électorales et contraint d’en revenir aussitôt… aux dispositions prudentes de son prédécesseur (https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/03/27/joe-biden-le-desastre-national-commence/ mais aussi https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2021/05/07/les-mineurs-non-accompagnes-de-joe-biden/ ).
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La France transforme 1,14 milliard d’euros de dette ivoirienne en subventions au bénéfice de la Côte d’Ivoire
La France a signé mercredi avec la Côte d’Ivoire un «contrat de désendettement et de développement», un accord visant à transformer une partie des dettes ivoiriennes en subventions à son propre bénéfice, pour 1,14 milliard d’euros. Cette mesure, entérinée mercredi par le ministre de l’Économie Bruno Le Maire et son homologue ivoirien Adama Coulibaly, vise «à mobiliser, tant au niveau bilatéral que multilatéral, les financements nécessaires aux besoins des pays en développement, en particulier en Afrique», indique le ministère français dans un communiqué.
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Emmanuel Macron humilié par Joe Biden : les Français ont mal pour la France
Vu sur BVoltaire par Georges Michel
Vous voulez que je vous dise ? J’ai eu mal pour la France et, d’une certaine manière, pour Emmanuel Macron, qui, comme on dit aujourd’hui, nous représente « à l’international ». La séquence de la rencontre romaine Biden-Macron à la Villa Bonaparte, siège de l’ambassade de France près le Saint-Siège, restera sans doute un grand moment d’humiliation pour notre pays. Il paraît qu’il faut beaucoup d’humiliations pour faire un peu d’humilité, comme aimait à le répéter Bernadette Soubirous. Avouons que nous aurons été servis avec Emmanuel Macron, sans que, semble-t-il, son humilité personnelle n’ait fait des progrès considérables.
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TRUTH Social : la revanche de Donald Trump sur les réseaux sociaux
Certains milliardaires se paient une île déserte, d’autres envahissent le champ philanthropique, d’autres, encore, préparent leur expatriation dans l’espace. Donald Trump, lui, se paie un réseau social. Et pas n’importe lequel : TRUTH Social, ou « Vérité », en français. Ses détracteurs y voient déjà la Pravda soviétique quand lui explique travailler à restaurer la liberté d’expression pour tous et, au passage, faire un pied de nez aux colporteurs de « fake news ». En effet, depuis son impeachment numérique – son bannissement de Twitter, en janvier dernier -, Donald Trump n’a plus accès à l’agora virtuelle, plus de scène où faire porter sa voix pour la course à la Maison-Blanche de 2024.
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États-Unis : le vent de la défaite souffle dans le camp démocrate
Les démocrates sur la sellette attendent pétrifiés les midterms de novembre 2022, avec la perspective de perdre la majorité dans les deux chambres (Sénat, Chambre des représentants) : voilà ce que véhicule la rumeur publique aux États-Unis. Les élus démocrates se tiennent à distance de Joe Biden et ne veulent surtout pas s’afficher avec son soutien, relèvent certains observateurs.
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Ronald DeSantis, le gouverneur de Floride, est-il le prochain Donald Trump ?
« Make America Florida » : tel est le slogan concocté par le groupe de soutien du gouverneur de Floride, Ronald DeSantis, en prévision des présidentielles américaines de 2024. Un slogan efficace, car ce républicain a le vent en poupe. En avril dernier, Tucker Carlson, tête d’affiche de la chaîne conservatrice Fox News, le qualifiait de « meilleur gouverneur du pays ». Pour quelles raisons ? « Parce que tout le monde part vivre en Floride ! » Et d’ajouter que les Américains voulant vivre libres et indépendants trouvent désormais refuge dans l’« État ensoleillé ».
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MACRON OU LE DÉSASTRE D’UNE POLITIQUE ÉTRANGÈRE.
Qui se souvient encore de Jupiter recevant fastueusement les présidents américain et russe, l’un aux Invalides, l’autre à Versailles, ces hauts lieux de la monarchie qu’il prétendait ainsi restaurer comme monarque républicain concentrant tous les pouvoirs ? On pressentait que le jeune Chef d’Etat “brillant” allait faire un malheur sur la scène internationale. La cour et le choeur médiatiques chantaient des dithyrambes en son honneur. Les rangs des adorateurs se sont depuis éclaircis mais il en reste suffisamment dans les mains de ses amis milliardaires pour maintenir cet homme désastreux à 24 % de votes dans les sondages actuels.
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Joe Biden est-il encore capable d’assurer ses fonctions présidentielles ?
La question se pose aux Etats-Unis, comme l’explique Christian Daisug dans Présent :
[…] Dès qu’il se trouve devant un micro, ses yeux suivent fiévreusement le téléprompteur, mais lorsqu’il doit affronter sans filet la presse, c’est la panique parmi ses conseillers. A 78 ans, le plus âgé des locataires de la Maison-Blanche semble vouloir devenir le spécialiste de la lourde gaffe et du trou de mémoire. En visite en Californie, il salua dans une allocution le gouverneur de l’Orégon et lorsqu’il eut l’occasion d’évoquer le souvenir de son fils aîné mort à 46 ans, il rappela qu’il servit sous les drapeaux en Afghanistan, alors que c’était en Irak.
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La pagaille d’Alger – La tension monte entre l’Algérie et la France
Rien ne va plus dans les relations franco-algériennes ! Les tensions, sous-jacentes depuis de longs mois, éclatent aujourd’hui au grand jour. Un échec diplomatique cinglant pour Emmanuel Macron qui avait fait de la « réconciliation » avec l’autre rive de la Méditerranée l’une de ses priorités.
En effet, depuis le début de son quinquennat, le président français a voulu œuvrer à une fumeuse « réconciliation mémorielle avec l’Algérie » mais ses reptations lexicales et ses diverses repentances n’ont pas suffi à lui attirer les sympathies algériennes, bien au contraire. Et désormais le torchon brûle entre les deux capitales à la suite des propos présidentiels, tenus jeudi 30 septembre, dénonçant un « système politico-militaire » algérien « fatigué ».