André Posokhow
Depuis le début de l’opération spéciale nous avons été accoutumés à l’agressivité pathologique des médias subventionnés, presse écrite comme télévision, à l’égard de la Russie du très méchant Vladimir Poutine. Pour eux l’agresseur de l’Ukraine, et ennemi de ce qu’ils appellent l’Occident, est bel et bien Moscou.
Que cette prise de position de fond soit également celle de la presse alternative écrite comme électronique, quoi de plus normal dans un contexte de liberté de parole ? Cependant la hargne intolérante, méprisante et parfois insultante que certains manifestent à l’égard d’autres membres de ce type de presse qualifiés facilement de « poutinolâtres » et stigmatisés pour leur « anti-américanisme » n’est pas sans évoquer les procédés du wokisme.







