Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 486

  • La nouvelle révolution vient des élites

    La nouvelle révolution vient des élites .jpeg

    L'impossibilité de rendre la droite intéligente.jpegMichel Geoffroy vient d'écrire un gros ivre sur La super-classe mondiale contre les peuples. L’ancien haut fonctionnaire, pétri par la culture du secret, découvre, pour nous, les arcanes d'un nouvel ordre.

    Entretien avec l'abbé G. de Tanouarn

    Qu’appelez-vous « la superclasse mondiale » ?

    Fondamentalement, ce n'est rien d'autre que le Pouvoir économique et financier, dérégulé et mondialisé dans la seconde moitié du XXe siècle. Car en 1989, après la disparition de la menace communiste, la fonction marchande se met à tout diriger en Occident. C'est ce qui me différencie par exemple des travaux d'un Henry Coston, autrefois : je ne pointe pas telle ou telle minorité à l'œuvre dans l'histoire, même si cette méthode a eu son intérêt, mais je décris un système, que je caractérise ainsi : l'usurpation de la souveraineté politique par le pouvoir économique et financier mondialisé et dérégulé en Occident. Il faut bien se dire que les 100 premières entreprises mondialisées, qui sont américaines en grande majorité, représente un PIB supérieur à celui de l'Union européenne. Ajoutons qu'elles peuvent se localiser où elles veulent pour payer le moins possible d'impôts aux États. Eh bien ! La super-classe mondiale, c’est le milieu humain qui naît du nouveau rapport de force entre l'économie et la finance mondialisées d'une part, la souveraineté politique d'autre part.

    Lire la suite

  • Crise : après une simple correction, l’or va continuer de grimper

    gold-4957492_960_720-845x475.jpg

    Après une correction spectaculaire, ce mardi 11 août, la plus importante depuis 2013, les métaux précieux sont repartis à la hausse. Alors qu’il avait dépassé les 2.070 dollars l’once, l’or est très vite repassé sous les 2.000 dollars, et même sous la barre des 1.900 dollars, mais pour terminer à 1.936,20 dollars, ce vendredi 14 août. La correction a été initiée suite à une prise de profits, mais du côté des fondamentaux économiques, rien n’a changé car les dettes, les créations monétaires, les dépenses publiques et déficits publics, quelques conflits possibles sont toujours présents.

    L’endettement va empirer et la seule porte de sortie est l’inflation. La plupart des pays sont engagés dans des programmes de relance sans précédent. Simultanément, la pression de la  qui a permis de limiter l’inflation diminue. Même en cas de signes d’inflation, les  centrales ne relèveront pas les taux d’intérêt pour la maîtriser, de peur d’empêcher une éventuelle reprise économique et de diminuer l’inflation qui aide à résoudre le problème de la dette irremboursable.

    Lire la suite

  • Le chanteur de RNB Akon encourage les Afro-Américains à retourner en Afrique : « Vous ne serez plus une minorité et et vous contrôlerez votre destin, votre avenir, et votre terre » #BlackLivesMatter

    Akon a été pris de court cette semaine après avoir été interrogé sur la façon dont l’esclavage est perçu au Sénégal, où il a passé une partie de son enfance. L’artiste de 47 ans a affirmé que les Sénégalais ne pensent plus à l’esclavage parce qu’ils ont “surmonté” ses horreurs, contrairement aux Afro-Américains.

    “Au Sénégal, nous avons en quelque sorte surmonté la pensée de l’esclavage, nous n’y pensons même plus”, a-t-il déclaré lors d’une interview accordée à la chaîne à VladTV. “La seule fois où nous y pensons, honnêtement, c’est quand nous faisons des visites à l’île de Gorée. En dehors de cela, les gens ont vécu et se sont déplacés bien au-delà du concept d’esclavage …”

    Akon a ensuite déclaré que les Noirs américains tireraient profit d’un simple “lâcher prise” de l’esclavage.

    Lire la suite

  • Violence policière inouïe contre une femme qui ne porte pas de masque

    La scène se déroule à Melbourne, en Australie. Elle montre l’arrestation extrêmement violence d’une jeune femme. Son délit ? Ne pas avoir porté le masque en rue…

    La dictature sanitaire dans toute son horreur.

  • Une ex-« SJW » qui votera Trump : « J’ai été endoctrinée il y a 20 ans à l’université, mais aujourd’hui c’est dès la maternelle dans les écoles publiques »

    [* Le terme « liberal » a été laissé dans sa forme anglophone originale. Il peut être traduit par « libertaire », « libéral » ou « de gauche » selon les contextes]

    […]
    Un peu de contexte, j’étais un « guerrier de la justice sociale » [Social Justice Warrior]. Pendant 20 ans, j’étais une vraie croyante, qui prêchait cette idéologie malsaine, pleinement convaincue que c’était le moyen de mettre fin au racisme et au sexisme. Il m’a fallu deux décennies pour réaliser que c’EST du racisme. C’EST du sexisme.

    Avant l’élection de 2016, j’ai visionné des vidéos de supporters de Trump qui se faisaient agresser par des gens qui étaient censés être de mon côté, qui étaient censés être liberals* et progressistes. Ça m’a laissée en larmes, complètement choquée et dégoûtée parce que les médias de l’époque ne m’avaient pas dit que cela se produisait. En fait, ils m’avaient vendu un narratif inversé, et j’avais acheté sans preuves suffisantes.

    Lire la suite

  • Turquie : un jour ou l'autre il faudra bien faire face.

    macron-erdogan-2.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Le dictateur islamique Erdogan accuse Macron de néocolonialisme après son voyage au Liban.
    C'est entendu, avec ses déclarations de Tartarin du Touquet et ses postures de président-playmobil à la reconquête de l'Orient compliqué, Macron s'est ridiculisé lors de son déplacement à Beyrouth.
    Cela, nous avons, nous nationaux, le droit - et même le devoir - de le dire. Pas Erdogan !

    Lire la suite

  • L’impasse libanaise.

    amin_maalouf_les-racines-du-present_rcf_792x366_0-768x355.jpg

    Amin Maalouf est un écrivain franco-libanais, prix Goncourt 1993 pour le Rocher de Tanios et membre de l’Académie française depuis 2011. Son regard sur le Liban est utile pour comprendre la situation dramatique que connaît son pays d’origine. La comparaison entre ses deux essais, « Les Identités meurtrières » de 1998 et « Le Dérèglement du monde » de 2009 jette une lumière sur l’évolution du Liban. Dans le premier essai, il écrit notamment : « Je continue et continuerai à dire que l’expérience libanaise, en dépit de ses échecs, demeure à mes yeux bien plus honorable que d’autres expériences du Proche-Orient, et d’ailleurs, qui n’ont pas débouché sur une guerre civile, ou pis encore, mais qui ont bâti leur relative stabilité sur la répression, l’oppression, la « purification » sournoise et la discrimination de fait. Dans le second, son jugement est devenu plus pessimiste : « Pour l’avoir observé au Liban … , je puis témoigner que le communautarisme ne favorise nullement l’épanouissement de la démocratie… Le communautarisme est une négation de l’idée de citoyenneté….

    Lire la suite

  • «Les pays occidentaux doivent tenir tête à l’impérialisme d’Erdogan»

    «Les pays occidentaux doivent tenir tête à l’impérialisme d’Erdogan»

    La décision du président turc de transformer l’ancienne basilique Sainte-Sophie en mosquée confirme sa fuite en avant et son agressivité envers les pays occidentaux. Ceux-ci doivent en tirer, enfin, les conséquences et s’opposer à Erdogan sans faiblesse, argumentent Charles de Meyer et Benjamin Blanchard, dirigeants de SOS Chrétiens d’Orient, dans Le Figarovox.

    Les provocations se multiplient envers la Grèce, désormais en alerte complète après que la Turquie a envoyé un bateau d’assaut près de l’île grecque de Kastellorizo. Les sous-marins patrouillent pour contrer toute attaque. La Turquie a déployé un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires, dans une zone riche en gaz et appartenant à la Grèce.

    Lire la suite

  • Erdogan rassemble des milliers de mercenaires djihadistes en Libye encadrés par des militaires turcs

    Les services de renseignements français – et bien d’autres – s’inquiètent du développement en Libye de l’armée de mercenaires encadrée par des militaires turcs.

    Sur base d’un accord signé le 22 novembre 2019 entre le gouvernement libyen et son homologue turc, Erdogan avait aussitôt commencé à déployer des militaires turcs en Libye avec un équipement important (blindés, avions de combat, hélicoptères).

    Aujourd’hui, ce sont environ 16.000 mercenaires qui se trouvent sur le sol libyen, encadrés par 3.000 militaires turcs. Et ces mercenaires qu’encadre l’armée turque sont des djihadistes. Beaucoup ont combattu précédemment parmi l’Etat Islamique. Il y a parmi eux des Syriens, des Algériens, des Tunisiens, des Soudanais,…

    Lire la suite

  • Les Femmes Iraniennes Défient les Mollahs ; les Féministes Occidentales Regardent Ailleurs

    4284.jpg

    De courageuses femmes iraniennes sont à la pointe du soulèvement contre le régime iranien. Elles nous remémorent l'avant de la révolution islamique de 1979, quand le voile n'était pas obligatoire. Elles en connaissent le prix : nombre de celles qui ont participé aux manifestations contre le régime ont été violées et torturées en prison. Photo : des femmes voilées apparaissent dans une émission de propagande à la télévision publique iranienne, le 12 juillet 2014. (Photo de Behrouz Mehri / AFP via Getty Images)

    • Avant 1979, les femmes iraniennes étaient libres. Elles veulent le redevenir.
    • Les féministes iraniennes qui refusent le hijab sont courageuses. Mais leurs homologues occidentales qui portent un chapeau rose et les abandonnent sont des misérables.
    • Pourquoi la barbarie iranienne est-elle si facilement tolérée en Occident ?
    • Il y a trente ans, le mur de Berlin tombait parce que des citoyens ordinaires voulaient recouvrer leur liberté de mouvement. Aujourd'hui, le mur du régime iranien pourrait être abattu par ces femmes ordinaires qui veulent retrouver la liberté de porter ce qu'elles aiment, qui refusent courageusement de marcher sur les drapeaux d'Israël et des États-Unis - et entendent jouir à nouveau du vent dans leurs cheveux.
    En octobre 1979, l'ayatollah Ruhollah Khomeiny a donné l'une de ses rares interviews à feu la journaliste italienne Oriana Fallaci. 
    A la question : le voile est-il le symbole de la ségrégation que la révolution islamique impose aux femmes, Khomeiny a répondu : « nos coutumes ne vous regardent pas. Si vous n'aimez pas le vêtement islamique, vous n'êtes pas obligé de le porter parce que le voile islamique est fait pour les jeunes femmes honnêtes et convenables. »
    « Merci de votre réponse, » a répondu Fallaci. « Et puisque vous m'en donnez la permission, j'enlève ce stupide chiffon médiéval à l'instant ».
    Fallaci retira son voile et quitta la pièce sans ajouter un mot.
    En retrouvant le geste de Fallaci, les femmes iraniennes sont à la pointe du combat contre le régime.

    Lire la suite