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La vérité sur Q officiellement annoncée et la stratégie de Donald Trump expliquée par Real News
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Médias sociaux sur le grill
Les trois patrons de Facebook, Twitter et Google (et donc YouTube) étaient convoqués à une audition en distanciel par le Sénat américain. L’enjeu est de taille : faut-il remettre en cause le statut d’hébergeur dont ils bénéficient et qui leur confère une immunité quant aux contenus qu’ils publient, hébergent et distribuent ? S’ils perdent ce statut, ils deviendraient de facto des éditeurs, coresponsables des mensonges, diffamations et appels aux meurtre qu’ils hébergent.
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Le numérique, outil rêvé du contrôle social (texte de 2015) 1/2
Big Data is watching you
L'ubiquité est la faculté par. excellence des dieux être partout à tout instant. Cette faculté est le propre du numérique. Tout encoder Pour tout contrôler. En transformant les utilisateurs d'Internet en cobayes d'algorithmes savants, des supercalculateurs qui paramètrent le flux des données au profit des géants du Web. Dans La vie algorithmique. Critique de la raison numérique, Éric Sadin rattache cette révolution au grand mouvement de rationalisation. Il atteint aujourd'hui un seuil critique, celui des systèmes intelligents autonomes. Demain, de l'intelligence artificielle. Après quoi, la science-fiction (Blade Runner, Terminator, Matrix) menace de devenir notre quotidien.
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Le libéralisme oui - mais pas les libertés (texte de 2014)
Abasourdi par le climat des affaires et les interdits citoyens qui se multiplient, le citoyen lambda - qui en démocratie (mais y sommes-nous encore ?) est la base de la société - se demande désormais au quotidien si le libéralisme, qu'il tient pour une des valeurs républicaines, a aujourd'hui un soupçon de réalité. En opérant certaines distinctions, par exemple, entre libertés et libéralisme. Les libertés ont dorénavant la portion congrue. Mais le libéralisme est plus florissant que jamais…
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Élections US, analyse et perspectives.
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Censure : le patron de Twitter recadré par un sénateur républicain
Depuis que les médias ont proclamé la victoire de Joe Biden, les tweets de Donald Trump sont affublés d’un commentaire de Twitter. Voici un exemple :
Lors d’une audition, le sénateur Ted Cruz a mis le patron de Twitter Jack Dorsey face à ses contradictions sur la censure des tweets sur la fraude électorale.
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La folle course aux vaccins se poursuit – JT du mardi 17 novembre 2020
Passons à présent à l’actualité avec la valse des vaccins contre le covid. Après l’annonce de Pfizer la semaine dernière, c’est désormais la société de biotechnologie Moderna qui déclare élaborer un vaccin efficace à 94%… Que faut-il en penser ? Réponses dans quelques instants.
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Tour d'un monde en feu
Cette semaine encore, votre chroniqueur, à la veille d'une intervention chirugicale en principe sans gravité, se contentera, si l'on ose dire, et vous lui pardonnerez, d'un bref tour du monde qui, depuis plusieurs années, se réfère à Phileas Fogg qui l'avait accompli en 80 jours. Ce périple évoque en général des pays dont on parle très peu, trop peu.
Arménie-Azerbaïdjan : le prix terrible de la paix
L'indulgent lecteur pardonnera aussi à l'auteur de cette chronique de délaisser, cette quinzaine, les regards distanciés sur les rivages les plus lointains, pour retrouver quelques situations plus passionnelles, car elles interpellent nos consciences et nos solidarités chrétiennes. -
Progressistes et populistes face-à-face
Chronique de Paysan Savoyard (n°238 – novembre 2020)
Que Trump soit définitivement battu ou qu’il réussisse à renverser la situation sur le plan judiciaire, que sa défaite soit intervenue au terme d’un processus électoral régulier ou qu’elle soit le résultat d’une fraude massive, tout cela ne change rien à la situation qui est aujourd’hui celle des Etats-Unis : il y a deux Amérique, probablement irréconciliables. L’Amérique des Américains blancs de la classe moyenne et de la classe populaire, opposés à l’immigration et au libre-échange mondial qui ont bouleversé et dégradé leurs conditions de vie et détruit leurs emplois. Et l’Amérique de la classe supérieure, alliée aux minorités raciales, toutes deux favorables à l’immigration et à la mondialisation, par idéologie et parce qu’elles en tirent profit. Ces deux Amérique, l’Amérique populiste et l’Amérique progressiste, n’ont plus rien en commun. Elles pèsent le même poids démographique. Et elles sont face à face.
La situation est peu ou prou la même en France et en Angleterre. Elle est en train de devenir identique dans presque tous les pays d’Europe.
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Joe Biden, pantin des banquiers et des voyous de Black Lives Matter
De Christian Daisug dans Présent :
[…] Depuis le 3, on s’est aperçu à la lecture de certains jugements que peu de juges de districts ou de cours d’appel osent avouer leur certitude qu’une fraude sournoise et efficace a transféré la victoire de Trump à Biden. Tout est là. Les avocats du président auront beau étaler devant la justice des preuves irréfutables que les urnes ont été bourrées, que des morts ont voté par milliers, que des non-inscrits sont parvenus à glisser un bulletin dans l’urne, s’ils ne déclenchent pas dans les esprits le ferment du doute, leurs efforts seront anéantis. Ce qui a manqué à Trump, en raison de la complicité unanime des gros médias et de la censure inouïe des réseaux sociaux, c’est la psychose d’une fraude massive. On est resté dans le pointillisme, l’occasionnel, l’accessoire. Oui, on a peut-être fraudé en Pennsylvanie, au Michigan et en Arizona, mais pas plus que les autres années. Les vociférations de Trump ne sont que les sanglots d’un perdant.
Car il y a eu un double piège. Le premier a enfermé Trump dans une spirale d’irrégularités qui l’ont empêché de riposter efficacement. Le second l’a condamné à l’attitude du mauvais perdant en ne réclamant qu’une chose : le compte des votes légaux. Ce simple bon sens a été perverti par la propagande ennemie. Biden, pantin jusqu’au bout de ses ficelles, en a profité le premier. Il poursuit, sous couvert de son prétendument officiel « bureau du président élu » (une invention d’Obama en 2008), le ficelage de sa transition vers une ère gaucho-globaliste. Mais déjà frappent à sa porte deux de ses anciens complices qui exigent des rôles actifs dans l’éventuelle perspective d’un nouveau régime : les banquiers de Wall Street – ils s’empressent de se réserver des places de choix dans les ministères clés de l’Economie, du Commerce et du Trésor –, et les dirigeants déchaînés de Black Lives Matter. Eux n’hésitent pas à clamer que « l’éviction de Trump n’aurait jamais eu lieu » sans leur concours et qu’une bonne dose de leur programme devra être injectée dans l’administration démocrate. Biden flanqué du capitalisme vagabond et du radicalisme révolutionnaire : le spectre d’une 46e présidence.
https://www.lesalonbeige.fr/joe-biden-pantin-des-banquiers-et-des-voyous-de-black-lives-matter/
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