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international - Page 518

  • Dette publique: comment les États sont devenus prisonniers des banques 2/4

    Les États-Unis : « parasites de l'économie mondiale »

    Première puissance économique mondiale, les États-Unis sont frappés de plein fouet. Durant toute la dernière décennie, ils n'avaient pu servir de moteur à la consommation mondiale qu'en dépensant beaucoup plus que leur revenu national ne les y autorisait, ce qui fut l'une des causes des déficits qu'ils enregistrèrent dans leur balance de paiements courants. Ils ont, autrement dit, consommé beaucoup plus qu'ils ne produisaient (la part de la consommation dans leur PIB, beaucoup plus élevée que dans la plupart des pays européens, se situe autour de 70 %). Résultats des déficits historiques et un endettement colossal. À l'heure actuelle, toute dépense publique faite aux États-Unis est financée à hauteur de 42 % par l’emprunt ! Le 16 mai 2011, la dette américaine a crevé le plafond des 14294 milliards de dollars, ce qui a placé les États-Unis au bord du défaut de paiement. L'accord politique intervenu in extremis le 1er août entre les républicains et les démocrates a permis de relever ce plafond, mais l'échéance est seulement repoussée. L'accord ne porte d'ailleurs que sur la dette de l'État fédéral et sur la capacité du Trésor à rembourser les emprunteurs en faisant fonctionner la planche à billets, alors que les finances locales sont également menacées. Le président Obama a dû s'engager à un plan de réduction drastique de la dépense publique, ce qui devrait se traduire par des coupes opérées, non dans le budget militaire avec des soldats engagés sur trois fronts (Irak, Afghanistan et Libye), il est plus gigantesque que jamais -, mais dans les services publics et les programmes sociaux. Ces décisions n'ont pas empêché les agences de notation d'abaisser, pour la première fois de l'histoire, la « note » des États-Unis, ce qui provoqué un nouveau mini-krach boursier.

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  • L’opération Great Reset voulue par les mondialistes et la réélection de Trump comme grain de sable ?

    L’avis de Jeff Wayne sur l’opération “Great Reset” planifiée par les mondialistes au Forum économique mondial de Davos et sur le rôle de Donald Trump comme grain de sable pour enrayer cette machine mondialiste.


    https://www.medias-presse.info/loperation-great-reset-voulue-par-les-mondialistes-et-la-reelection-de-trump-comme-grain-de-sable/124932/

     

     

  • Le traitement de la campagne présidentielle aux États-Unis par la presse française

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    Il y a vraiment de quoi se faire souci pour notre présidentielle de 2022

    À voir comment BFM TV, première chaîne info de France, s’immisce et traite de la campagne présidentielle aux États Unis, il y a vraiment de quoi se faire du souci pour notre présidentielle de BFM a diffusé, lundi soir, un reportage d’une heure sur la présidence Trump, un véritable brûlot contre le locataire actuel de la Maison-Blanche, en fait.

    Sur tout le temps qu’a duré ce reportage, pas la moindre action positive n’a été mise au crédit de Trump. Rien. Même pas les spectaculaires résultats économiques qu’il a engrangés avant la pandémie, jamais évoqués. Comme, d’ailleurs, ses succès entrepreneuriaux. Toute sa vie n’aurait été qu’une succession de mensonges (15.437 depuis qu’il est à la Maison-Blanche, paraît-il), de coups médiatiques, de vulgarités, de bravades, d’approximations. Trump serait stupide, vulgaire, inculte, despotique, mufle, jouisseur, inconvenant et même brutal avec les femmes. Et pour cause : toute l’émission repose sur des ragots, des on-dit et surtout une série de témoignages de gens qui lui sont hostiles, ou avec qui il a eu maille à partir – de nombreux conseillers qu’il a licenciés, entre autres ; on comprend qu’ils lui en veuillent et le critiquent vertement. Un témoin l’a même traité de « connard », sans plus d’explication, juste une diatribe sur sa façon de déstabiliser les gens qui l’entourent.

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  • Trump dans le Nevada : «Nous protégeons les victimes, dont la plupart sont des femmes.»

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    Malgré toutes les magouilles des démocrates pour faire voter par la poste pour truquer les élections de millions d'Américains malgré toutes leurs fourberies malgré tout leur machiavélisme leurs peurs leur diabolisme .... Trump reste le seul et l'unique sauveur des USA ! Ce qui va arriver est incroyable ! C'est le choc des titans ! Du jamais jamais vu !


    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/09/15/trump-dans-le-nevada-nous-protegeons-les-victimes-dont-la-plupart-sont-des.html

  • US : Chaos politique - Hillary et les Démocrates obtiendront-ils la guerre civile qu’ils essaient de provoquer ?

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    Source Unz Review via The Saker

    Si vous ne l’avez pas déjà vue, regardez cette vidéo d’Hillary Clinton déclarant : « Joe Biden ne doit en aucun cas concéder » 

    «Aucun» signifie «aucun». Cela inclurait le cas, certes hypothétique, de Trump gagnant clairement, et haut la main. Encore une fois, «aucun» signifie «aucun».

    L’implication directe de cela est que les Démocrates devraient reprendre la Maison Blanche par tous les moyens et en toutes circonstances.

    C’est aussi un appel direct à saboter la démocratie américaine qui, aussi imparfaite soit-elle, est la seule option fondée sur l’état de droit actuellement disponible pour le peuple américain.

    Cela entraînera-t-il une guerre civile ?

    C’est plutôt improbable, car pour une guerre civile, il faut au moins deux parties crédibles, capables de coordonner les opérations, offensives et défensives, au moins à l’échelle régionale. Je ne vois pas cela aux États-Unis.

    Mais je ne vois pas comment la violence locale régionale – parfois sévère – et le chaos politique peuvent être évités.

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  • Repentance pour le colonialisme ?

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    Repentance pour le colonialisme ? 1 1.jpegLorsque Macron évoque le « crime contre l'humanité » qu'aurait constitué la colonisation française en Algérie et demande pardon pour cela, son discours s'inscrit dans une réflexion idéologique de fond, véhiculée depuis quelques décennies par les marxistes culturels : la repentance pour le colonialisme et ses « crimes ».

    Marquée par une sorte de ballet de flux et de reflux historiques, la guerre des races moderne entre les Blancs et les non-Blancs à l'échelle mondiale a connu deux rounds successifs, tout d'abord la colonisation et européenne outre-mer (expansion blanche), puis la décolonisation sur les sols asiatique et africain (reflux blanc). Nous sommes en train de vivre actuellement le troisième round de cette guerre des races moderne la guerre raciale sur le sol européen même, entre indigènes blancs repliés sur leur terre sacrée européenne d'un côté, collabos immigrationnistes de tout poil (lobbies gauchistes, capitalistes négriers, féministes xénophiles, sionistes anti-européens) et populations de couleur utilisées comme colons au service de la classe dominante mondialiste (un vrai schéma colonial, comme dans une colonie de peuplement en Afrique jadis, Algérie ou Rhodésie, mais à l'envers) de l'autre.

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  • Ô rage! Obono! Pourquoi TRUMP va gagner! & autres considérations

  • La Fondation Bill et Melinda Gates arrose les médias

    Selon un rapport de la Columbia Journalism Review, de nombreux médias et organisations de journalistes de premier plan soutenant la fondation Bill et Melinda Gates en tant qu’autorité de santé publique sont en fait partiellement financés par cette fondation. 

    Tim Schwab, du CJR, a écrit qu’il «a examiné près de 20 000 subventions caritatives que la Fondation Gates avait accordées à la fin du mois de juin et a trouvé plus de 250 millions de dollars destinés au journalisme», avec des destinataires tels que National Public Radio, la BBC, NBC, le National Journal, le Guardian, Gannett (qui possède USA Today et divers grands journaux régionaux), la National Press Foundation et d’autres publications, sociétés de médias, fondations de journalisme et organisations caritatives liées aux médias.

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