L’audiovisuel public est une officine de propagande. On y entre par cooptation. On y reste par compromissions. Ses soi-disant journalistes sont des histrions, qu’on confond avec les bouffons de service. Ils font le même travail. Le bourrage de crâne. Attaques ciblées, information orientée, débats truqués.
Entre cour des miracles et magasin de farces et attrapes, cette boutique grassement subventionnée à hauteur de 4 milliards d’euros par an conchie son cahier des charges qui lui impose une triple obligation de neutralité, de pluralisme et d’équilibre. Mais pourquoi se gêner ? Ils sont du « bon côté ». Donc au-dessus des lois. Assurés de l’impunité.