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international - Page 916

  • Irak : nouvelles de l’État Islamique


    Alors que Daesh a subi un sérieux revers avec la reprise de Tikrit par l’armée irakienne et les milices chiites, l’organisation islamique continue ses provocations.
    Une vidéo diffusée par l’organisation (voir ici) annonce l’envoi de renforts depuis Raqqa vers la province de Salâh ad-Dîn afin de bloquer la progression de l’armée régulière. Actuellement les armées s’affrontent à la raffinerie de Baiji entre Tikrit et Mossoul, images ci dessous :

    La raffinerie de Baiji
    CCYKPsuW0AABppc
    Toujours dans un souci de propagande, Daesh a diffusé une vidéo dans laquelle des barbus détruisent à coups de masse et de scie circulaire le site archéologique de Nimrod. La vidéo se termine par le plastiquage total du site. Vidéo à voir ici.

     

    Site archéologique de Nimroud

    Site archéologique de Nimroud

    http://www.contre-info.com/

  • La fronde contre les sanctions antirusses

    De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les mesures de rétorsions antirusses décidées par Bruxelles. Selon le Daily Telegraph, cette opposition pourrait même déboucher à terme sur la création d’un groupe de pays fédérés autour de la Grèce (1) : Hongrie, Slovaquie, Italie, Autriche, Espagne et Chypre, lesquels pourraient user de leur droit de véto. Pour le quotidien britannique « il est évident que si l’UE ne prolonge pas les sanctions contre la Russie, cela sèmera la discorde entre Bruxelles et Washington. Ce conflit ne cessera d’affaiblir l’Alliance atlantique [OTAN] ».

    (1) Le premier ministre grec, Alexis Tsipras (photo), a affirmé que les « sanctions contre la Russie ne mènent nulle part. »

    http://fr.novopress.info/

  • Non, la Russie n'a pas essayé d'envahir militairement l'Ukraine

    C'est le Général Gomart, Directeur du Renseignement Militaire (DRM) français qui l'a affirmé lors de son audition devant la commission de la défense de l'Assemblée nationale, le 25 mars dernier. Extraits.

    La vraie difficulté avec l’OTAN, c’est que le renseignement américain y est prépondérant, tandis que le renseignement français y est plus ou moins pris en compte – d’où l’importance pour nous d’alimenter suffisamment les commanders de l’OTAN en renseignements d’origine française. L’OTAN avait annoncé que les Russes allaient envahir l’Ukraine alors que, selon les renseignements de la DRM, rien ne venait étayer cette hypothèse – nous avions en effet constaté que les Russes n’avaient pas déployé de commandement ni de moyens logistiques, notamment d’hôpitaux de campagne, permettant d’envisager une invasion militaire et les unités de deuxième échelon n’avaient effectué aucun mouvement. La suite a montré que nous avions raison car, si des soldats russes ont effectivement été vus en Ukraine, il s’agissait plus d’une manœuvre destinée à faire pression sur le président ukrainien Porochenko que d’une tentative d’invasion. ( ...)

    La coopération avec les pays d’Europe occidentale est bonne. La DRM participe à deux forums, dont l’un réunissant régulièrement les pays de l’OTAN autour de divers sujets. Je me souviens quelors de l’un de ces forums, on a cherché à nous forcer la main au sujet de l’Ukraine.Cela montre bien l’importance de disposer de renseignements concrets et factuels : de ce point de vue, la France dispose des moyens lui permettant d’apprécier les situations et de faire valoir son point de vue. (...)

    Pour ce qui est du partage de renseignements avec nos alliés, j’insiste sur le fait qu’une telle pratique est toujours compliquée à mettre en œuvre.Pour moi,le renseignement est avant tout national, dans la mesure où il permet à notre pays de disposer de son indépendance en matière de politique étrangère,et à nos dirigeants de prendre des décisions importantes. Pour le directeur d’un service de renseignement, toute la difficulté consiste à déterminer ce qu’il peut communiquer en toute sécurité à ses alliés et partenaires, notamment au vu de leur possible utilisation pour une action militaire.

    Pour ce qui est de la coopération avec nos amis américains, la problématique est davantage liée à leur organisation. Lors de mes voyages aux États-Unis, j’ai eu l’occasion de rencontrer le directeur national du renseignement américain, à qui j’ai clairement dit qu’il devait ouvrir les robinets plus largement s’il voulait obtenir plus de renseignements de la part de la France Pour le moment, les Américains se réfèrent à l’accord dit Five Eyes, conclu entre les services de renseignement des États-Unis, de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande et du Royaume-Uni, et dans le cadre duquel ils partagent beaucoup. Je verrais comme une contrainte le fait d’intégrer ce Five Eyes, dans la mesure où cela nous obligerait à partager systématiquement l’intégralité de notre renseignement brut : en l’état actuel des choses, nous n’échangeons avec ces alliés que du renseignement élaboré. Fournir du renseignement brut impliquerait de dévoiler nos capacités – que les Américains connaissent déjà en grande partie, il est vrai.

    Paula Corbulon

  • Des milliers de combattants de l’Etat islamique infectés par la leishmaniose

    Vont-ils eux aussi venir en France se faire soigner à nos frais ?!

    « Faute d’hygiène et parce qu’elles ne peuvent ou – dans le cas des combattants de Daesh – ne veulent accéder aux soins, des milliers de personnes dans les zones contrôlées par l’Etat islamique sont, selon des sources britanniques, actuellement infectées par la leishmaniose, une maladie de peau parasitaire transmise par des moucherons. La maladie est potentiellement mortelle si elle n’est pas soignée, et elle peut causer de graves dommages à des organes internes comme le foie. L’Express de Londres affirme que de nombreux combattants de Daesh sont atteints par le parasite.

    Elle se manifeste par des plaies ouvertes qui s’étendent alors que les parasites protozoaires« mangent » la peau. Des parasites qui se multiplient d’autant plus vite que la collecte des ordures n’est guère assurée dans les villes contrôlées par l’Etat islamique.

    Quelle est l’importance de l’épidémie ? La maladie est extrêmement virulente et certaines sources parlent de 100.000 personnes infectées, notamment dans les camps de réfugiés, en raison de l’effondrement du système sanitaire en Syrie.

    Qu’elle soit très présente à Raqqa, capitale auto-proclamée de l’Etat islamique, semble acquis : dans le nord-est de la ville déjà fortement endommagée par des bombardements, 2.500 cas ont été répertoriés.

    L’Etat islamique compterait actuellement entre 3.000 et 5.000 hommes à Raqqa.

    Les djihadistes ayant bloqué l’accès à tous les soignants étrangers dans les zones qu’ils contrôlent, ils ont de facto exclu non seulement les populations sur place mais également les militants de l’Etat islamique de l’accès aux soins, relativement aisés en début d’infection mais bien plus incertains une fois la maladie installée.

    Le premier cas de leishmaniose a été découvert en septembre 2013, selon l’Express, et s’étend d’autant plus rapidement que les médecins locaux ne sont pas armés pour combattre la maladie et que les organismes tels Médecins sans frontières ont dû fuir la région. La moitié des hôpitaux de Syrie ont fermé leurs portes ou sont gravement endommagés : selon The Independent, qui cite le doyen de la faculté de médecine tropicale duBaylor College of Medicine, la propagation de la leishmaniose est aujourd’hui « hors de contrôle ». »

    Anne Dolhein (source : reinformation.tv)

    http://www.contre-info.com/des-milliers-de-combattants-de-letat-islamique-infectes-par-la-leishmaniose#more-37497

  • JT du 10-04-2015 avec Eric Letty et Guillaume de Prémare (Résistance au meilleur des mondes)

  • Limitation de l'avortement : en Oklahoma aussi

    Lu sur Gènéthique :

    "Le lendemain du jour où l'Etat du Kansas a, pour la première fois aux Etats-Unis, interdit l'avortement au cours du second trimestre, les chambres de l’Etat voisin, l'Oklahoma, ont voté une loi identique.

    Le Sénat vient de voter le Dismemberment Abortion Act, du nom de la procédure de démembrement du fœtus pour un avortement après 12 semaines de grossesse.

    Pour que cette loi soit effective, le Gouverneur Mary Fallin doit la signer, ce qui devrait advenir sans difficulté puisqu'elle s'est montrée favorable aux restrictions relatives à l'IVG."

    Pendant que la France cherche par tous les moyens à banaliser le crime de l'avortement, les Etats pro-vie des Etats-Unis cherchent par tous les moyens à le limiter.

    Michel Janva

  • États-Unis : Face aux détracteurs du gaz de schiste, les géants de l’énergie ripostent

    Aux États-Unis, comme en Europe, l’exploitation du gaz de schiste suscite le débat. Ses partisans veulent accélérer son exploitation, potentiellement génératrice de croissance économique.

    Mais ses détracteurs dénoncent le procédé de fracturation hydraulique ou “fracking” qui consiste à aller chercher le gaz sous la terre à l’aide d’explosifs et de produits chimiques. Un procédé néfaste pour l’environnement.

    Dans le Colorado, les habitants de sont mobilisés pour faire interdire ce qu’ils appellent le “fracking” dans plusieurs villes, mais les géants de l’énergie contre-attaquent.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • "L'esprit du 11 janvier", feu de paille à géométrie variable, est mort à Garissa

    A lire dans le Nouvel Obs (photo : première liste des victimes) : 

    "C’est un mot d’ordre comme il en naît chaque jour des milliers sur les réseaux sociaux : #147notjustanumber. Dix-huit caractères en forme de bilan pour dénoncer la barbarie qui vient de frapper le Kenya. Dix-huit caractères pour rappeler que, au-delà du nombre, il y avait des vies, celles de jeunes hommes et de jeunes femmes. Dix-huit caractères, enfin, pour s’étonner de la faible mobilisation, pour ne pas dire la relative indifférence, avec laquelle cette tragédie a été commentée dans les chancelleries comme dans les médias.

    Lancé au lendemain du massacre qui a frappé les étudiants de l’université de Garissa la semaine dernière, ce mot d’ordre nous interpelle autant qu’il nous ébranle. Le monde aurait-il à ce point manqué de compassion et de solidarité ? Serions-nous coupables d’indignation sélective ? D’une émotion à géométrie variable en fonction des kilomètres qui nous séparent du massacre ou, pire, de la nationalité des victimes ?

    Ce jour-là, sur le campus de l’université de Garissa, les terroristes sont arrivés à l’aube. Ils ont encerclé les dortoirs, réveillé les étudiants à coups de crosses et de cris, avant de procéder à un tri aussi méthodique que macabre. D’un côté les musulmans, de l’autre les chrétiens. Aux premiers la vie sauve, aux seconds une balle. Et pour toute une population, le choc et l’effroi (...)

    Les valeurs que ces terroristes ont prises pour cible sont universelles. Au-delà des considérations géopolitiques locales, c’est donc un avertissement à la planète tout entière qu’ont voulu lancer les shebabs sur le campus de Garissa. Et pourtant. Il n’y a pas eu de marche ni de veillée spectaculaires pour célébrer la mémoire des victimes. Les télévisions et les sites d’information, toujours prompts à lancer des éditions spéciales, ont tardé à réagir, c’est vrai. Quant aux réactions officielles, elles ont été aussi formelles que lapidaires. Qu’il paraît loin, l’incroyable sursaut des opinions occidentales qui avait suivi les attentats de "Charlie Hebdo". On savait l’esprit du 11 janvier fragile. Il s’est évanoui en deux mois. Oubliant derrière le nombre, les ombres de Garissa".

    Lahire

  • Gollnisch sur France info

    Bruno Gollnisch  intervenait  hier soir sur France Info, questionné sur l’actualité « brûlante » du Front National

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