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international - Page 954

  • La présidente de la Lituanie, ancienne commissaire européen, militante communiste ?

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "C’est une terrible affaire qui secoue le Parlement européen.Le mois dernier, tous les députés européens ont trouvé dans leur casier un exemplaire d’un livre sulfureux, intitulé Red Dalia, traduction en anglais du livre d’une journaliste lituanienne controversée, comme on dit, Ruta Janutiene, paru en Lituanie en 2013.

    Le Dahlia rouge, c’est Dalia Grybauskaite, la présidente de la Lituanie (depuis 2009, réélue l’an dernier), qui auparavant était commissaire européen. Elle s’est fait remarquer ces derniers temps par son hystérie antirusse et son soutien absolu aux actuelles autorités ukrainiennes, allant jusqu’à qualifier la Russie d’« Etat terroriste » (formule assez peu diplomatique dans la bouche d’une présidente dont le rôle principal est de représenter la Lituanie sur la scène internationale). Il est donc logique que son ministre de la Défense, participant du même délire, publie un manuel expliquant à la population comment survivre à une invasion russe et comment y résister…

    Or voici que Ruta Janutiene reprend et étaye une ancienne rumeur selon laquelle Dalia Grybauskaite est la fille d’un membre du KGB de Staline et qu’elle devint elle-même à 27 ans une ardente militante du parti communistes d’URSS. [Lire la suite]"

    Michel Janva

  • Combats dans l'Est de l'Ukraine, renforts russes selon Kiev

    L’essentiel

    Les combats continuaient, lundi 19 janvier, dans l’Est ukrainien entre les forces de Kiev et les séparatistes prorusses. ◾Plusieurs personnes ont été blessées dans un tir à l’hôpital de Donetsk, ville contrôlée par les prorusses.

    Sept cents soldats russes sont arrivés lundi en Ukraine, assure Kiev.

     

    La situation restait très tendue, lundi 19 janvier, dans l’Est séparatiste de l’Ukraine, après notamment un tir d’artillerie sur le centre de Donetsk et des accusations de Kiev qui affirme que les rebelles ont reçu le renfort de 700 soldats russes.

    La fin de semaine dernière avait été d’une violence inégalée. L’armée ukrainienne affirmait avoir repoussé une offensive des rebelles prorusses à l’aéroport de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine. Mais les combats se sont poursuivis dimanche 18 et lundi 19 janvier. 

    OFFENSIVE REBELLE

    Lundi après-midi, les bombardements – certes moins puissants que ce week-end – étaient à nouveau réguliers dans la zone de l’aéroport, selon des journalistes de l’AFP. Les séparatistes ont notamment « fait exploser » une partie du plafond du premier étage du nouveau terminal et causé « beaucoup de blessés » dans les rangs ukrainiens, selon un conseiller de la présidence présent près de la zone des combats. Au moins 3 soldats gouvernementaux auraient été tués dans la zone ces dernières 24 heures et 66 autres blessés, selon l’armée.

    A la mi-journée, c’est un hôpital qui a été touché par un tir de roquette dans le centre-ville de Donetsk. Une attaque qui a fait six blessés, parmi lesquels un médecin et cinq patients, a rapporté le ministère des situations d’urgence de la république séparatiste autoproclamée de Donetsk.[....]

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Combats-dans-l-Est-de-l-Ukraine

  • On nous parle de démocratie mais sommes-nous encore maîtres chez nous ?

    Les démocraties nationale ayant été vidées de leur substance et aucune démocratie européenne n’ayant pris le relais, les peuples ne sont désormais plus les arbitres et c’est pour cela qu’ils n’adhèrent plus.

    Depuis que l’idée d’une Europe politique existe, deux visions de celle-ci s’opposent. La vision confédérale et la vision fédérale. La première souhaite une simple coopération interétatique, la seconde, elle, souhaite au contraire une fusion des nations sous la houlette d’un super-État qui se substituerait aux États-nations.

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  • Kadyrov : le leader de DAECH qui menaçait la Russie a été tué

    Ramzan Kadyrov, a annoncé la mort de Tarkhana Batarišvili, également connu sous le nom de Abou Omar al-Chichani. Le porte-parole de « l’Etat islamique » est devenu célèbre pour avoir promis de porter la guerre en Tchétchénie. Le président Tchétchène avait alors vigoureusement réagi : « Je déclare en toute responsabilité que celui auquel est passé par la tête d’exprimer une menace contre la Russie et de prononcer le nom du président de notre pays, Vladimir Poutine, sera détruit là où il l’a fait. Nous n’allons pas attendre  qu’il aille au-delà de la roue de l’avion. Il ira là où pourrissent ses frères les terroristes Khattab, Abou Walid et d’autres messagers de l’Occident ».
     
     
     
    Sur son compte Instgram , Kadyrov précise ; «  c’est le sort de tous ceux qui s’imaginent  pouvoir menacer la Russie et le peuple tchétchène ». Il semblerait donc qu’il ait tenu ses promesses, ce qui devrait faire méditer les chefs duDAECH et les inciter à lire attentivement les scripts qu’on leur fait réciter avant de les prononcer.
     
    Plutôt que de bombarder aveuglément des hordes de fanatiques, les russessemblent avoir opté pour la décapitation (pour rester Daechien), c’est-à-dire éliminer une à une les têtes des différentes factions qui menacent directement la Russie.
     
    On apprend ainsi l’élimination en Ukraine de celle que l’on avait surnommée « White Widow », la terroriste britannique de renommée internationale, par un sniper. De son vrai nom Samantha Lewthwaite, la djihadiste, qui combattait en Ukraine aux côtés du bataillon ukrainien bénévole « Aydar » comme un tireur d’élite, termine sa carrière de terroriste comme Doukou Oumarov en Tchétchénie.

     

     
    Avic
     
    Sources : Politikus.ru , Al Manar, New York Post
  • Emeutes anti-Charlie Hebdo : chrétiens tués et églises brûlées au Niger

    Les émeutes au Niger contre la Une de Charlie Hebdo ont continué hier. Alors que l'on répète le refrain du Padamalgam en boucle en France au sujet des musulmans, ce sont des chrétiens qui ont été visés hier et avant-hier en Afrique comme le rapporte l'Observatoire de la christianophobie :

    "Dans un message à la nation, diffusé hier, Mahamadou Issoufou, Président du Niger, a annoncé que quatre corps calcinés de chrétiens ont été découverts dans les églises incendiées des faubourgs de Niamey« Ceux qui persécutent les chrétiens n’ont rien compris » a-t-il déclaré. C’est le moins qu’on puisse en dire, mais les chrétiens, au Niger comme dans d’autres pays majoritairement musulman, constituent des boucs émissaires commodes… Le bilan des églises incendiées à Niamey s’élevait, hier au soir, à 23 sur les 45 que compte la capitale du Niger. Des Bibles ont été également déchirées et brûlées par les manifestants musulmans contre Charlie Hebdo.

    Un cinquième corps calciné d’un chrétien a été retrouvé dans une église incendiée de Zinder où avait éclaté, vendredi dernier, la première manifestation contre Charlie Hebdo. Deux autres églises ont été incendiées à Maradi (à 600 km à l’est de Niamey) et encore une autre dans la ville de Gouré, à l’est du Niger. Un tel déferlement de violence antichrétienne ne s’était encore jamais produit au Niger. Les irresponsables de Charlie Hebdo en demanderont-ils pardon aux chrétiens ?"

    Ajoutons que d'après RFI, à Zinder, la dizaine d'églises que compte la ville ont été incendiées ou saccagées. Les chrétiens qui s'étaient réfugiés à la mission catholique ont été exfiltrés par l'armée, car les manifestants voulaient les brûler vifs. 1 gendarme et trois manifestants sont morts.

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’Afrique n’est pas "Charlie"

    Vu d’Afrique, l’ "affaire Charlie hebdo" illustre les limites de l’universalisme européo-centré. Vendredi 16 janvier, alors que les sociétés de l’hémisphère nord communiaient dans le culte de la liberté d’expression, une partie de l’Afrique s’ insurgeait contre la France des "Charlie". Du Sénégal à la Mauritanie, du Mali au Niger, de l’Algérie à la Tunisie et au Soudan, le drapeau français a été brûlé, des bâtiments français incendiés et en "prime", des églises détruites. Quant aux imprudents chefs d’Etat africains qui participèrent à la marche des "Charlie", dont Ibrahim Boubacar Keita du Mali, les voilà désormais désignés ennemis de l’islam.

     

    Aveuglés par la légitime émotion et noyés sous l’immédiateté, nos responsables politiques n’ont pas songé à se demander comment l’Afrique percevait les événements. Or, alors que pour nous, il s’agit d’un ignoble attentat contre la liberté d’expression commis contre des journalistes, personnes sacrées dans nos sociétés de la communication, pour une grande partie de l’Afrique, il s’agit tout au contraire de la "juste punition de blasphémateurs". Qui plus est ces derniers n’en étaient pas à leur coup d’essai et ils avaient même été solennellement mis en garde. Voilà pourquoi leurs assassins sont considérés comme des "héros". Quant aux foules de "Charlie", elles sont vues comme complices des insultes faites au Prophète. De plus, comme le président de la République a marché à leur tête, cela signifie que la France et les Français sont coupables.

    Les conséquences géopolitiques qui vont découler de cette situation ne peuvent encore être mesurées, notamment dans les pays du Sahel en raison du jihadisme récurrent contre lequel nos troupes sont engagées. Le plus grave est ce qui s’est passé au Niger où Boko Haram qui, jusqu’à présent ne s’était pas manifesté, a pris le prétexte de la nouvelle livraison de Charlie Hebdo pour lancer les foules contre le centre culturel français de Zinder ; au même moment, nos postes militaires avancés veillent aux frontières du pays...

    Personne n’a dit ou vu que l’ "affaire Charlie Hebdo" n’est que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase des impératifs politiques et moraux que nous imposons à l’Afrique : démocratie, droits de l’homme, avortement, mariage homosexuel, anthropomorphisme etc. Tous y sont considérés avec dédain ou même comme de "diaboliques déviances".[...]

    La suite sue le blog officiel de Bernard Lugan

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Afrique-n-est-pas-Charlie

  • La Russie n’est pas Charlie, “lutter contre le terrorisme ne signifie pas être solidaire avec des blasphémateurs provocateurs”

    L’article 282 du Code pénal condamne l’“incitation à la haine” raciale, inter-ethnique ou religieuse ». En vertu de cette disposition du Code pénal, un député russe a demandé à l’autorité de contrôle des médias (« Roskomnadzor ») d’inclure Charlie Hebdo parmi les publications extrémistes interdites en Russie.

    Seul un ex-oligarque, Mikhaïl Khodorkovski, avait appelé les médias russes à publier des caricatures du prophète en signe de soutien à l’hebdomadaire ordurier français. L’appel n’avait trouvé écho qu’auprès du site Agentsvo Business Novosteï qui avait publié un dessin de Mahomet sorti de Charlie Hebdo mais a été contraint de le retirer sur demande expresse de l’autorité de contrôle des médias.

    Sergueï Medvedev, politologue à la Haute école d’Économie de Moscou, considère que le caractère blasphématoire des caricatures de Charlie Hebdo renforce chez les Russes l’idée que l’Occident est moralement corrompu. Ces dessins blasphématoires défendus par les « élites » de l’Europe de l’Ouest sont une preuve de son déclin moral.

    L’Église orthodoxe russe a expliqué que “lutter contre le terrorisme ne signifie pas être solidaire avec des blasphémateurs provocateurs”.

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