Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

international - Page 957

  • Emil Shimoun, archevêque de Mossoul : « Notre souffrance est un prélude à ce que vous, allez souffrir dans un proche avenir »

    L’archevêque de Mossoul, Mgr Amel Shimoun Nona, fait partie de ces réfugiés irakiens de confession chrétienne qui ont fuit la barbarie islamique du « califat ». Dans un article publié le 10 août par le journal italien Corriere della Sera, il lance un avertissement aux Occidentaux.

    « Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche », a crié l’archevêque à ses frères chrétiens d’Occident. « S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. »

    Source en français : ndf.fr / Source originale : corriere.it

    http://fr.novopress.info/

  • La France a payé 58 millions de dollars à Al-Qaïda depuis 2008

    Selon une enquête du New York Times du 29 juillet 2014, Al Quaïda a reçu depuis 2008, plus de 125 millions de dollars !!! Quoi ? Comment ? Et oui, 125 millions de dollars récoltés uniquement grâce aux rançons payés par les occidentaux pour obtenir la libération de leurs otages. 

    Toujours selon cette enquête, la France est le principal pourvoyeur de fonds de l’organisation terroriste. Elle aurait versé à elle seule 58 millions de dollars. Ces sommes, toujours selon le New York Times seraient versées directement par l’état ou alors par des intermédiaires comme Areva ou les pays amis du golf, au premier rang desquels le Qatar. 
     
    Dans cet article, Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des États-Unis au Mali dénonce : « Les Européens ont beaucoup de comptes à rendre. Ils mènent une politique hypocrite. Ils paient des rançons et ensuite nient les avoir payées. Le danger n’est pas seulement que ça fait grandir le mouvement terroriste, c’est aussi que ça rend tous nos citoyens vulnérables ». Déclaration effroyablement prémonitoire. Le 13 septembre 2014, très énervé par l’exécution de 3 otages anglo-saxons, Barack Obama lui-même confirme: « Le président français, François Hollande, dit que son pays ne paie pas de rançons aux terroristes, alors qu’en réalité, il le fait »
     
    Dimanche, la plupart des dirigeants européens vont venir verser des larmes de crocodile sur les morts provoqués par des mouvements terroristes qu’ils ont largement contribué à financer. François Hollande, accusé par Obama de payer des rançons aux terroristes sera à la tête de cette grande marche contre… le terrorisme. Comprenne qui pourra. 
     
    Inconséquence ou incompétence ? 
    Quoi que… Cette fois, ce n’est pas seulement une minute de silence qu’on va nous demander, mais plutôt 2 ans et demi de silence, le temps d’arriver aux prochaines élections. Avec un « Patriot Act » à la française si besoin. Hollande n’est pas plus bête que Bush et les français ne sont pas plus intelligents que les américains. 
    Nous sommes tous des charlots. 
     
    Vive la République, Vive la France, Vive l’hypocrisie

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Contre les djihadistes, il faut renouer avec la Syrie

    L'ancien patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Bernard Squarcini, préconise une nouvelle loi-cadre sur le contre-terrorisme. Extrait de sa déclaration au Figaro :

    "Il faut légaliser les opérations spéciales. En amont du travail judiciaire, il faut autoriser administrativement les balises et les sonorisations, c'est-à-dire la pose de micros et de caméras directement dans les lieux de vie ou de réunions conspiratives, pour savoir ce qu'ils se disent. Car, on l'a bien vu avec les frères Kouachi, les écoutes téléphoniques en phase administrative ne donnent pas toujours."

    Il est vrai que Nicolas Sarkozy n'avait pas eu cette prudence et avait été longtemps (toujours ?) écouté sur son téléphone, les autorités n'ayant pas plus grave à surveiller...

    Plus concrètement, l'ancien préfet propose :

    "En termes pratiques, il faut renouer en urgence la coopération avec la Tunisie, l'Égypte, la Turquie, qui fluctuent, et, plus encore, la Syrie et le Maroc, pays avec lesquels les liens sont totalement rompus. Derrière le Maroc, par exemple, il y a la Mauritanie, à l'instabilité extrême. Comment frapper des cibles sans renseignement opérationnel en Syrie, par exemple? Comment tenir à jour la liste des djihadistes sans l'appui des Syriens?"

    La rupture des relations avec la Syrie et la volonté française de faire tomber Assad, au mépris de la plus élémentaire prudence fait porter sur nos autorités la lourde responsabilité des échecs récents de nos services de renseignement. Alors ? Hollande démission ?

    Michel Janva

  • Le terreau du radicalisme est au bout de la ligne du métro parisien, pas à Raqqa

    Lu sur Secret Défense :

    "Nous sommes en guerre, mais nous ne l'assumons pas. En guerre contre qui ? «Le terrorisme et le fondamentalisme» a répondu, dès mercredi, le président de la République dans son allocution à la suite de l'attentat contre Charlie Hebdo. Mais le terrorisme et le fondamentalisme sont des des notions bien abstraites : le premier désigne un moyen d'action, le second l'attachement excessif à des principes. Pour tuer, ces idées doivent s'incarner dans des êtres de chair bien réels, en l'occurrence tueurs qui ont mené l'attaque de mercredi à Paris. Alors que François Hollande évitait soigneusement de prononcer des mots comme islam, djihad ou musulman, les deux suspects, les frères Chérif et Saïd Kouachi, plaçaient explicitement leur attaque sous une bannière religieuse, en criant comme ils l'ont fait «Allahou Akbar» et «Nous avons vengé le Prophète». C'est un fait, dérangeant pour les innombrables Français attachés au «vivre-ensemble» et sans doute pour les musulmans pieux au premier chef, qui voient dans ces actes un «dévoiement absolu» de leur religion. Cette gêne, palpable dans les prudences des commentaires et des réactions, ne doit pourtant pas empêcher de comprendre ce qu'il arrive à notre pays. Pourquoi Chérif et Saïd Kouachi ont-ils fait cela ? Pourquoi, après Mohammed Merah à Toulouse et Mehdi Nemmouche à Bruxelles, sont-ils devenus cela ? Expliquer n'est pas excuser. [...]

    Cette radicalisation au sein de l'islam [...] est sans frontière. On l'observe partout où il y a des musulmans. La France n'y échappe pas et il ne s'agit plus d'un conflit importé comme lors des précédentes vagues de terrorisme des années 80 et 90, lorsque Libanais, Iraniens ou Algériens faisaient exploser des bombes sur notre sol. Cette fois-ci, les tueurs sont nos enfants. Une infime minorité d'entre eux, mais nos enfants quand même. Impossible de s'abriter derrière une quelconque ligne Maginot en boutant l'étranger hors de France. Cherif et Saïd Kouachi sont nés à Paris, en 1980 et 1982, et ils ont grandi dans le quartier des Buttes-Chaumont. Ils ne viennent pas d'une vallée reculée de l'Afghanistan ou du Yémen, mais du métro Bolivar et de la place des Fêtes. Ils sont allés à l'école de la République et l'un d'eux a pu, un soir, vous livrer une pizza sur sa mobylette comme vous avez pu croiser son frère dans une salle de sport.Nemmouche, lui, est né à Roubaix, et Merah à Toulouse. Rien que de la petite ville de Lunel dans l'Hérault, six jeunes sont partis pour la Syrie, où ils sont morts. Environ 1200 jeunes Français, ou résidents en France, sont impliqués dans les réseaux djihadistes vers le Proche-Orient et, parmi eux, un quart sont des convertis. Du jamais vu. Et rien ne dit que ce ne soit pas qu'un début.

    Qu'est-ce qui a mal tourné ? Au delà de l'émotion et du rappel des grands principes, il faut s'interroger. Le chercheur Olivier Roy confiait récemment à l'Opinion que «chez les jeunes anti-système,le djihad a remplacé le mythe de la Révolution» de sa propre jeunesse. Il y avait eu les anarchistes à la fin du XIXe siècle, qui ont assassiné le président de la République Sadi Carnot et le tsar Alexandre II, puis les mouvements d'extrême-gauche des années 70 (Brigades rouges, Fraction armée rouge, Action directe). Il y a aujourd'hui le djihadisme, qui fait appel à la même logique suicidaire d'un romantisme révolutionnaire.

    Le terreau de ce radicalisme politique est au bout de la ligne du métro parisien, pas à Raqqa, «capitale» autoproclamée de l'Etat islamique. [...] [L]es plus modérés, comme les Frères musulmans de l'UOIF, veulent une communauté repliée sur elle-même, où l'on mange halal, refuse les mariages mixtes et dont les femmes portent le voile. Le politologique Gilles Kepel l'a décrit dans son livre «Quatre-vingt-treize» (Gallimard, 2012), fruit d'une enquête de terrain en Seine-Saint-Denis. Les plus radicaux sont dans une logique de confrontation, de guerre sainte (djihad) contre les mécréants. [...]

    Au Sahel et au Proche-Orient, notre pays fait la guerre aux djihadistes, un conflit qui a des ramifications jusque dans l'Hexagone. Or, la guerre finit toujours par imposer sa logique à la vie nationale. Pourra-t-on longtemps cloisonner les fronts extérieurs du théâtre intérieur, alors que la menace est globale ? Veut-on s'installer dans une situation où l'ennemi intérieur serait votre livreur de pizza ? Le défi, politique, est là."

    Michel Janva

  • Alexandre Latsa : « Le grand basculement du monde vers l’Asie est quasiment inévitable »

     Alexandre Latsa est Chef d’entreprise français en Russie où il réside depuis 2008. Il anime le site Dissonance, destiné à donner un “autre regard sur la Russie” et qui traite principalement de géopolitique, du traitement médiatique français sur la Russie, des relations Russie-Occident ou encore de la démographie en Russie. Il participe à de nombreuses autres publications et intervient également régulièrement dans les médias russes et français. Il a bien voulu répondre aux questions du Rouge & le Noir.

    R&N : Alexandre Latsa bonjour, vous êtes parti vivre en Russie en 2008. Pourquoi avoir quitté la France ?

    A. Latsa : Je suis parti vivre en Russie pour un ensemble de raisons, avant tout personnelles et professionnelles. On pourrait citer l’opportunité de m’y installer, la volonté de rejoindre un marché en croissance ou plus simplement la nécessité morale de fuir la France occupée, comme du reste l’illustre général De Gaulle l’avait fait bien avant moi.

    Ces choix personnels sont ceux d’un français trentenaire moyen patriote pour qui la vie au Poutinistan de 2014 est bien plus cohérente et logique que celle au sein de la France d’aujourd’hui, défigurée par quarante ans de destruction organisée comme vient de parfaitement le synthétiser Éric Zemmour dans son dernier ouvrage. Et ce même si la vie en Russie présente des difficultés réelles pour un étranger, administratives ou climatiques par exemple.

    Mon cas n’est pas unique et je ne suis qu’une statistique, partie d’une évolution sociologique de plus grande ampleur assez facile à vérifier si l’on étudie les chiffres de l’émigration française hors de France au cours de ces dernières années. Cette hémorragie qui ne fait que commencer d’après moi est due aux raisons que l’on connait tous : destruction organisée de l’économie et de l’État, dilution de la nation au sein du grand magma Bruxellois, anéantissement du vivre-ensemble par un remplacement de population et l’arrêt autoritaire de l’assimilation, mise en place d’un cadre sociétal totalement américanisé ayant permis la prise de pouvoir des minorités sur la majorité etc.

    Ces processus ne sont pas hasardeux mais volontaires. La situation que nous connaissons résulte de choix politiques conscients fait par des élites politiques dont la médiocrité n’est égalée historiquement que par leur incompétence et leur lâcheté. La fin de la raison d’État, pour citer un de mes amis, aura probablement pour corolaire historique la fin de la France telle que nous la connaissons. A moins d’un miracle et qu’une Jeanne d’Arc 2.0 ne survienne de nouveau pour sauver notre nation.

    R&N : Athée mais de culture catholique, vous vous êtes converti à l’orthodoxie. Pouvez-vous nous expliquer votre cheminement spirituel ?

    A. Latsa : Oui il est fondé sur un axiome simple que Benoît XVI a parfaitement résumé « La rationalité est l’amie de Dieu ». Mon rejet personnel et instinctif de la décadence environnante que je qualifie de moderno-consumériste (au cœur du processus d’occidentisme totalitaire de la France des années 90) ne s’est pas traduit chez moi par une conversion à l’Islam et un engagement militaire au sud de la Méditerranée mais plutôt par un attrait vers les antimodernes européens, les Serbes d’abord, puis logiquement les Russes ensuite, et donc, au centre spirituel de ces territoires, l’orthodoxie [....]

    La suite sur le Rouge et le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Alexandre-Latsa-Le-grand

  • Comdamné par la "justice" de son pays, ami de la France, à 1000 coups de fouet pour insulte à l'islam

    Le 9 janvier 2014 en Arabie Saoudite : les 50 premiers coups de fouet ont été donnés en public ce vendredi après la prière à Raif Badawi condamné à 1000 coups de fouets sur 20 semaines et à 10 ans de prison pour avoir critiqué l'islam et le régime saoudien sur son blogue. Il a aussi désobéi à son père.

    De Numérama : 

    "Il risquait la peine de mort, et c'est finalement une peine peut-être plus douloureuse encore qui lui a été infligée. Alors que le monde entier s'unit pour défendre la liberté d'expression après l'assassinat de sang froid à Paris de douze personnes liées directement ou indirectement à Charlie Hebdo, le blogueur saoudien Raif Badawi a reçu vendredi ses 50 premiers coups de fouets après sa condamnation pour "insulte à l'islam". Le régime dans lequel s'applique le courant le plus intolérant mais aussi le plus minoritaire de l'islam, le wahhabisme, a condamné l'homme à recevoir au total 1000 coups de fouets sur deux semaines, et à passer dix ans en prison

    Enfermé depuis le 17 juin 2012 dans les geôles saoudiennes, Raif Badawi avait été le fondateur en 2008 d'un site intitulé "Free Saudi Liberals", sur lequel il critiquait des figures de l'autorité religieuse en Arabie Saoudite, et demandait une libéralisation morale du pays. Il avait été arrêté et mis en accusation pour avoir "insulté l'islam à travers un moyen de communication électronique", et fut également poursuivi du crime d'apostasie, c'est-à-dire de renoncement à l'islam.

    Le 11 janvier 2014 en France : "on" manifeste pour la liberté d'expression. Mais personne ne connaît son histoire sauf la poignée de Français qui lit la presse étrangère...

    Ici :

    "Le jeune blogueur de 31 ans a été condamné à dix années de prison et à 1000 coups de fouet sur une période de plusieurs mois.

    Il avait été arrêté en juin 2012 après avoir critiqué le régime saoudien et s'être exprimé sur l'islam sur son blogue. Il a été inculpé de cybercrime, d'apostasie et de désobéissance à son père, ce qui constitue un crime dans le royaume. Une fois la peine de prison purgée, il lui sera interdit de voyager pendant dix ans.

    Selon l'épouse de M. Badawi, l'homme est très mal en point après avoir reçu ses premiers coups de fouet. « Sa femme en ce moment ne va pas très bien. Elle se sent très loin, très impuissante. Elle est vraiment atterrée », explique l'agente de développement à Aministie internationale, Mireille Elchacar".

    L'article d'Amnesty international.

    Où est la cohérence dans la France des Charlie? Il doit y avoir des libertés d'expressions plus libres que d'autres, surtout quand les amis saoudiens s'en mêlent...

    Le Salon Beige

  • La marche républicaine des gogos et des bobos prépare le gouvernement mondial

    A l’avant, loin de la foule, la gouvernance mondiale.

     

    Le message est matraqué partout, digne d’un scénario d’Orwell. Les moutons croient marcher pour la liberté et valident Big Brother. Les moutons gobent que ce slogan prônerait le respect de tous alors qu’il reflète un syncrétisme qui prépare à la pensée unique.

    Lire la suite

  • 2000 tués par Boko Haram : le président de la conférence des évêques du Nigeria reproche son silence et son inaction à l'Occident

    ici en VO : Un des plus hauts dirigeants religieux de l'Afrique a accusé l'Occident d'ignorer la menace du groupe islamiste Boko Haram, quelques jours seulement après le massacre de 2000 personnes.

    La différence de traitement choque l'Afrique. 

    Le Salon Beige